Interview sur France 24 et RFI: Andry Rajoelina défend le Covid Organics.
3000 familles et enfants bénéficient de dons alimentaires.
Les plateformes de musique en streaming, un coup de pouce incontestable pour les artistes.
Utilisation d'internet en hausse: les jeunes plus exposés aux violences en ligne.
Famatsiam-bola hatramin'ny 7 000 dolara ho fanampiana ny orinasan'ny tanora any amin'ny faritra.Â
Fivahinianana tao amin'ny France 24 sy RFI: Nanizingizina ny filoha fa mahomby ny tambavy CVO.
Nihemotra ny fiofanana fampitomboana traikefa ho an'ireo mpitsara sy mpanazatra eo amin'ny taranja basikety.Â
«Zoto special Tourisme Madagascar » : Mbola baraingo hatreto ny fahafahan'i Zoto mianakavy miditra an'Antananarivo.
Nihena ny isan'ny fiara mpitatitra niasa nanomboka omaly ho an'Antananarivo sy ny manodidina.
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Avant de savoir lire, apprendre l'alphabet est nécessaire. La methode montessori a une façon bien à elle d'apprendre l'alphabet aux enfants. Avec cette methode, les enfants apprennent le son des lettres au lieu de leur nom.
Tsy maintsy nianatra abidia avokoa isika alohan'ny nahaizana namaky teny. Ny fomba montessori dia manana fampianarana manokana an'izay abidia izay. Amin'io fomba io dia ny feon'ny litera no ianaran'ny ankizy fa tsy ny anarany.
Le « Sikidy » est l’art divinatoire malgache. Chacun a sa conception du terme. Il y a ceux qui le considèrent comme de la sorcellerie. Et ceux qui l’utilisent à des fins de guérisons ou de protection contre le mal. Mais Rakoto Davida, un traditionnaliste, nous explique le vrai sens du terme.
Ny « Sikidy » dia nentin’ny olona hamatarana ny ho aviny. Samy manana ny fomba andraisany azy anefa ny malagasy. Ao ireo mampiasa azy ho fitaovana fiarovana. Misy ihany koa ireo miantso azy entina hanasitranana. Samy manana ny heviny tsirairay fa manazava ny tena dikany ao anatin’ny fandaharana Kozio ahy i Rakoto Davida, mpandalina ny fomba malagasy.
Toutes les autorisations de sortie dans les régions Analamanga, Atsinanana et Alaotra Mangoro, délivrées avant le 11 mai, ne sont plus valides et aucune nouvelle autorisation de sortie ne sera délivrée jusqu’à nouvel ordre.
C’est une décision prise suite à l’augmentation des nouveaux cas de coronavirus dans ces régions, d’après le communiqué du ministère du Transport du Tourisme et de la Météorologie de Madagascar (MTTN). À noter également, que de nouvelles villes ont été contaminées, comme Moramanga et Antsirabe. Les employés en mission et les particuliers en possession d’une autorisation de sortie avaient donc jusqu’à 12 heures ce 11 mai pour rentrer chez eux. Passé ce délai, aucun véhicule, piéton ou moto ne sera autorisé à sortir ou entrer dans l’une de ces régions citées plus haut.
Autorisations spéciales
Rappelons que les transports externes des villes d’Antananarivo et Toamasina, respectivement dans les régions Analamanga et Atsinanana, sont suspendus depuis le 23 mars. Le centre de commandement opérationnel et le MTTN délivraient quand même des autorisations spéciales pour permettre aux employés en mission ou à des particuliers de circuler.
 Dorénavant, seuls les véhicules de transport de marchandises, les ambulances ou les véhicules transportant des malades et les cortèges funèbres pourront passer les barrières sanitaires installées aux frontières des régions Analamanga, Atsinanana et Alaotra Mangoro.
Un jeune de 23 ans originaire de Morondava a créé un lave main intelligent.
Hygiène dans les cybercafés : les dispositions prises par les propriétaires.
World Music Trophy 2020 : le groupe Takasy représente Madagascar.
Certaines universités privées proposent une formation à distance, sous forme de vidéo.
Sahirana amin'ny fandoavana ny hofan-tranony ny akamaroan'ireo sekoly tsy miankina.
Miroso amin'ny fampianaran-davitra hoan'ny ankizy ireo sekoly sasany mba hamitana tsara ny programa.
Nakatona ireo sekoly sasany ao anaty faritra voakasiky ny coronavirus.
Mozika Sans Frontières, mamelomaso ny kanto ato anaty fihibohana.Â
Mihena ny fanafarana lavanila avy eto Madagasikara eo amin’ny tsena iraisam-pirenena, hatahorana ny fiantraikan'izany.
Mozika Sans Frontière (MSF), c’est un projet qui a vu le jour pendant le confinement.    Son but, c’est d’engager les artistes et les organisateurs de spectacles pour qu’ils puissent, dans un premier temps gagner de l’argent, mais surtout pour que, dans un second temps, le monde musical ne soit pas trop muet pendant cette crise sanitaire. Â
       Initié par Musichall Madagascar, Mozika Sans Frontières a obtenu la troisième place à l’issue du concours « HacKoragnavirus » organisé par Orange Madagascar. C’est à partir de là que l’idée a germée. De surcroît, les artistes sont parmi les victimes de cette crise sanitaire.
Comment ça marche ?
Comme son nom l’indique, Mozika Sans Frontières ne pose aucune frontière géographique ou musicale. Les artistes qui sont à Madagascar ou à l’étranger peuvent tous participer. Et chacun est libre de chanter ce qu’il veut, avec qui il veut et comme il le souhaite. « Ceux qui font du Tsapiky peuvent se mettre avec ceux de la R’n’B. Ceux qui sont dans le Salegy peuvent combiner cela avec du Classique. Il n’y a aucune frontière », martèle Mampiray Solofoniaina, spécialiste en gestion des industries culturelles.
Actuellement, Musichall Madagascar fait en sorte que les « grands artistes Malagasy de renom qui habitent à l’étranger » – pour reprendre les termes de Mampiray Solofoniaina –  « jouent avec les jeunes artistes qui sont en plein essor ici, à Madagascar ». La créativité est, donc, à l’honneur. Mais il est également possible de reprendre   les chansons d’une autre époque. Les covers sont aussi les bienvenues, si et seulement si les règles du jeu sont respectées.
Après le confinement, c’est terminé ?
Négatif ! Mampiray Solofoniaina a rassuré que le projet ne se terminera pas avec le confinement. « Nous avons déjà misé sur le long terme. Car après cette pandémie, le monde aura un nouveau visage. Le recours à internet et au streaming sera indispensable. Donc, c’est vraiment envisageable de le pérenniser. De toute façon, cela fait partie de nos objectifs», a-t-il affirmé.
Des directs et des shows à gogo sont programmés sur Facebook. Pour plus de fun et de loisirs, n’hésitez pas à aller sur la page « Mozika Sans Frontière ».
80 % de la vanille sur le marché mondial provient de Madagascar. Ce produit est cultivé essentiellement dans la région SAVA. Une production qui fait vivre 32 communes dans cette région. Cependant, cette filière n’est pas épargnée par la crise causée par la COVID19 même si elle représente le pilier principal du développement économique de Madagascar.
Avenir incertain
Comme le tourisme, le marché de la vanille est pourvoyeur de devises au sein de l’économie malgache et rémunère une chaîne de valeur entière, allant des producteurs aux exportateurs en passant par les collecteurs et les transporteurs. Pourtant, le prix de ce produit fétiche malgache ne cesse de baisser. Quelques années auparavant son prix était entre 350 dollars à 500 dollars le kilo. Ces deux dernières années, le cours de la vanille a chuté aux environs de 200 dollars.
Actuellement, face à la covid19, les exportations connaissent des impasses. Selon le directeur de la Communication au sein du ministère de l’Industrie et du Commerce et de l’Artisanat, Madagascar ne peut pas exporter, si les pays acheteurs n’en demandent pas. Et la suite dépendra encore des mesures prises par chaque pays importateur. A l’approche de l’ouverture de la saison de récolte de la vanille au mois de juin, l’avenir des opérateurs dans ce secteur reste incertain. Et toujours selon le ministère de tutelle, un conseil national de la vanille sera mis en place. Il aura pour rôle de déterminer les éventuels marchés d’écoulement de ce produit.
Le groupe Takasy est un groupe de musiciens traditionnel malgache. Le nom « Takasy » veut dire premièrement « valeur orientale ». « Takasy » est aussi un rythme Beko qui vient du Sud de Madagascar. Le groupe fait du Ba Gasy, du Beko et du Blues. Ils ont choisi de faire ces rythmes pour faire revivre des sons typiquement malgaches. Avec un soupçon de Blues, ils peuvent s’immiscer au sein de la musique du monde et toucher un public plus large.
Cette année Takasy participe au World Music Trophy, un concours de musique en ligne. Selon Andriamasimanana, « nous sommes encore confrontés à un problème dans le marché des musiques du monde. La plupart de nos artistes ne sont pas en mesure de participer à de grands festivals. » Cette participation est donc pour faire entrer la musique traditionnelle malgache sur la scène internationale.
Le vote en ligne du public pour le World Music Trophy se termine aujourd’hui, à 16h. Nous saurons qui va participer aux quarts de finale ce mercredi. La finale se déroulera aux Etats-Unis et Takasy a bien l’intention de faire partie des quatre finalistes.
Le projet « AKAFAKO » est initié par deux jeunes : Andrianarivelo Mamiariliva, 25 ans, et Andrianarisoa Kanto ,22 ans. Le projet consiste à collecter les déchets ménagers en allant de porte en porte. En voyant les ordures partout, qui bouchent les canaux, ils ont alors décidé de monter cet entreprise.
Nananganana ny orinasa « AKAFAKO » i Andrianarivelo Mamiariliva, 25 taona, sy i Andrianarisoa Kanto, 22 taona. Ity orinasa ity moa dia maka ireo fako rehetra isan-tokantrano. Ny fahitana ireo fako mivangongona eny rehetra eny sy manentsina ireo lakandrano no isany namporisika azy ireo hanao ity tetikasa ity.
Après sa victoire au concours Island Africa Talent, Denise, cette chanteuse à la voix d’or originaire de Toamasina n’a plus jamais cessé de se faire entendre. Dès la sortie de son premier single « Alofo » chez Universal Music Africa la carrière époustouflante de cette artiste malgache évolue considérablement. Ses chansons inspirées par son vécu, par l’amour, par les rêves et la réalité font un tabac auprès du public notamment « Jalousie » « Efa niova » « Karan jegny ». Restez à l’écoute.
Mpanakanto fanta-daza amin’ny feony sy ny talentany avy any Toamasina I Denise. Tao aorian'ny nibatany ny amboara tamin’ilay fifaninana Island Africa Talent, no tena nahafantarana an’i Denise teo amin’ny sehatra iraisampirenena. Anisan’ireo mpanakanto nitondra avo ny anaran’ny Madagasikara i Denise eo amin’ny sehatry ny kanto sy ny mozika. Anisan’ny tena tsy afohizan’ny mpankafy azy ny fahaizana mandona azy ireo hatrany amin’ny hira izay avoakany raha tsy hilaza afa tsy « Jalousie », « Efa niova » « Karan jegny ». Mpanakanto ao anatin’ny lazany tanteraka ary tsy mitsahatra ny manome ny tsara indrindra avy aminy i Denise.
Tovo J’Hay de son vrai nom, Herinirina Ratovondrahona, est un chanteur reconnu pour ses diverses chansons à l’eau de rose qui enivre le cœur du public. Par son style et sa manière de chanter plutôt singulière, il a su s’imposer dans le monde de la musique. Depuis la sortie de son premier album « Satry foana » en 2001, Tovo J’Hay fait carton. Et aujourd’hui encore, ses titres tels que « Tena mamy », « Tia T’koa », ou « Tsy misy toa anao » son encore sur toutes les lèvres.
Ny taona 2001 i Ratovondrahona Herinirina, na Tovo J’Hay no namoaka ny rakikirany voalohany izay nampitondrainy ny lohateny hoe « Satry foana ». Ankoatra ny maha mpihira, mpanoratra sy mpitendry azy dia efa nandalo teo amin’ny sehatry ny filalaovana horonantsary ihany koa I Tovo J'Hay. Ny angolampeony sy ny fomba entiny mihira no mampiavaka azy .