COVID-19 : Tous ensemble face au virus

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Le monde entier a été amené à porter un masque pour se protéger le visage et le nez.

Le « Masque » : Plusieurs intitulés, mais une manière unique de le porter

Bouclier respiratoire, cache bouche ou encore protège-visage… les appellations du masque pour lutter contre la propagation du coronavirus sont aussi nombreuses que différentes d’un pays à un autre. Un petit tour d’horizon s’impose !

Le port de masque n’est plus un choix, mais une obligation. A part les masques médicaux, ceux en tissus sont recommandés.

A chaque pays son intitulé

A Madagascar, le terme le plus utilisé pour parler des masques c’est le fameux « cache bouche ». Même en malgache, on le traduit par « aro vava ». Si on se réfère à ce terme, on peut penser que c’est seulement la bouche que l’on protège. Une raison pour laquelle Rainibozy, un spécialiste de la langue malgache a traduit le masque « ampigam-pisefoana » ou « bouclier respiratoire » pour éviter de tomber dans la confusion du « cache bouche ».

En Tunisie et au Maroc, on utilise l’appellation « bavette ». En principe, une bavette est un tissu qu’on met au-dessus des vêtements des bébés pour éviter de les tâcher. Mais actuellement ce terme est utilisé dans ces pays pour désigner le masque de protection.

Au Québec, c’est l’appellation « couvre visage » qui est prônée. Un terme pour signifier le masque artisanal, c’est-à-dire ceux en tissus.

Cache bouche, bavette ou encore couvre-visage sont tous des masques de protection. Peu importe la dénomination, le principe d’utilisation reste le même. Le nez et la bouche doivent être protégés en même temps.

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