La fermeture du ciel de Madagascar a contraint les acteurs du tourisme à revoir leurs stratégies notamment au niveau des prix pour attirer la clientèle locale. Sainte-Marie, destination touristique par excellence, ne déroge pas à cette règle. Hors de question  de voir l’avènement d’un tourisme de masse sur l’île.
« Nous ne serons jamais une destination comme Mahajanga pour diverses raisons », lance une responsable de l’Office du tourisme de Sainte-Marie, lors de la deuxième édition de la foire du tourisme local. Elle explique d’emblée que l’île ne pourra pas nourrir un afflux important de touristes. « Pratiquement toutes les denrées alimentaires que nous consommons viennent de la grande terre. C’est pour cela que c’est cher. Lorsque le temps est mauvais, il arrive qu’il n’y ait pas de bateau pendant deux jours », avance-t-elle.
Environnement
D’un autre côté, les acteurs du tourisme sur Nosy Boraha tiennent beaucoup à l’authenticité de l’île. L’énergie avec laquelle une responsable d’un des hôtels de l’île a répondu par la négation en dit long sur ce sentiment de conservation. « Hors de question d’aboutir à un tourisme de masse sur notre île ! », lance-t-elle. Quoi qu’il en soit, son établissement a quand même relativement joué le jeu pour se maintenir à flot, en proposant une baisse de prix de 15%. « Nous avons ouvert exceptionnellement pour les fêtes de fin d’année. Nous allons également ouvrir pour Pâques. Ces ouvertures flash nous permettent d’assurer l’entretien de l’hôtel », explique-t-elle. Du côté de l’Office du tourisme, on avance par ailleurs la préservation de l’environnement de l’île. « On connaît tous l’impact du tourisme de masse sur l’environnement », indique-t-elle. Toutefois, elle fait savoir que de nombreux établissements ont baissé drastiquement leur prix. Néanmoins, la destination reste relativement chère. Â
Pour le moment, les acteurs du tourisme restent dans l’expectative quant à l’ouverture du ciel de Madagascar pour la haute saison en juillet avec l’arrivée des baleines. La question est de savoir si l’île va connaître une dérogation comme Nosy Be, le moment venu, sachant que pratiquement toute l’économie de l’île repose sur le tourisme. Â
Les défis que Madagascar doit relever pour améliorer son climat des affaires ont été soulevés lors de l’ouverture du forum des affaires Madagascar-Japon 2021. A cet effet, l’ambassadeur du Japon a émis quelques suggestions, dont une qui concerne le système médical, en particulier la vaccination.
« En raison de l’épidémie de la COVID-19, il est devenu clair que la question de savoir si un traitement approprié peut être obtenu immédiatement dans un pays (…) a un impact important sur la mise en œuvre et la poursuite du business international », glisse l’ambassadeur du Japon Yoshihiro Higuchi dans son allocution, à l’occasion de l’ouverture du forum des affaires Madagascar-Japon 2021, ce jour au Carlton. Cet évènement organisé par l’Association économique Madagascar Japon (AEMAJA) a pour but de discuter des pistes d’amélioration de l’environnement des affaires à Madagascar.
Pas de vaccin pour Madagascar
L’ambassadeur a profité de son discours pour distiller des suggestions à l’égard de la partie malgache, parmi lesquelles une qui concerne le système médical. Il a fait savoir que certaines entreprises japonaises qui « font du business à Madagascar » ne sont pas encore revenues à cause de la situation sanitaire. En ce sens, il a indiqué que le projet de coopération entre les deux gouvernements vise également à élever le niveau global des soins médicaux à Madagascar. Yoshihiro Higuchi notamment de souligner la nécessité d’une politique de vaccination, qui d’après lui, est étroitement liée au business international. Il faut savoir que jusqu’ici, Madagascar ne s’est encore positionné sur aucun des vaccins disponibles actuellement sur le marché. Le directeur de la communication du ministère de la Santé publique, Andry Raharison, est formel sur ce point. « Madagascar ne se positionne sur aucun vaccin pour le moment. Nous avons notre CVO qui est efficace », martèle-t-il.
Ni une excuse ni un prétexte
L’ambassadeur du Japon s’est, par ailleurs, projeté dans l’après-corona en avançant un « avec-corona ». Pour lui, ce serait une erreur d’attendre l’après-corona en espérant revenir à la situation pré-corona. « Nous devons viser à créer un environnement des affaires unique à Madagascar qui s’adapte à un monde « avec-corona » », lance-t-il en lançant que la COVID-19 ne devrait être ni une excuse, ni un prétexte. « Nous devons continuer à maintenir et même promouvoir les activités économiques », estime Yoshihiro Higuchi. Face à cela, il regrette que Madagascar maintienne toujours ses frontières fermées. « La plupart des pays ont déjà repris leurs activités, avec les mesures sanitaires strictes de précaution au niveau des frontières », lance-t-il.
Quoi qu’il en soit, le forum constitue une occasion pour le secteur privé des deux pays d’identifier des opportunités d’affaires. Des entreprises japonaises sont d’ailleurs connectées pour en ligne pour discuter avec leurs homologues durant l’évènement. Pour ce qui est des échanges commerciaux avec le Japon, la ministre de l’industrie du commerce et de l’artisanat, Lantosoa Rakotomalala, a indiqué qu’ils sont encore à un stade embryonnaire.
En 2017, avec la contribution de l'assemblée parlementaire de la francophonie ou l'APF, Madagascar disposait, pour la première fois, de son parlement national des jeunes. Quelques années plus tard, pour faciliter l’alternance et la transition avec les nouveaux membres de ce parlement, l’association Opaly Madagascar a été créée sous l’initiative des membres du bureau du premier parlement national des jeunes. Amboara Fiorenantsoa, présidente de l’association nous apporte quelques éléments d’explication sur l’association, sa vocation et ses réalisations.
Studio Sifaka : Opaly Madagascar et parlement des jeunes, quelle est la corrélation ?
Amboara Fiorenantsoa : Le parlement des jeunes est la structure qui permet aux jeunes de faire des plaidoyers ou de porter des projets de lois touchant les jeunes au niveau des chambres parlementaires. Opaly, par contre, est une structure qui a été créée par des anciens membres du bureau de ce parlement des jeunes. Il faut savoir qu’aujourd’hui, le recrutement des délégués des 22 régions pour le parlement des jeunes n’a pas encore eu lieu. A travers Opaly, notre rôle est de chapeauter le parlement national des jeunes, l’idée étant de faciliter la tâche des nouveaux délégués. En d’autres termes, Opaly Madagascar se veut être un intermédiaire actif pour appuyer ou renforcer les plaidoyers des jeunes au niveau des parlementaires.
Quelle stratégie pour aider et appuyer les plaidoyers des jeunes au niveau des chambres parlementaires ?
Notre stratégie dépend des cas, notamment quand une organisation veut porter une proposition de loi au niveau de la chambre basse. A l’exemple de celle sur la dépénalisation de l’avortement, qui est portée par Maries Stopes Madagascar. Pour renforcer et appuyer leur plaidoyer, l’ONG se rapproche de nous et, de notre côté, nous les orientons vers la commission jeunesse et la commission santé du parlement. En nous basant sur notre expérience en tant qu’ancien membres du parlement national des jeunes, nous pouvons leur indiquer les parlementaires qui peuvent appuyer leur proposition et ceux qui pourront également être contre. C’est seulement par la suite que nous travaillons ensemble sur la stratégie de plaidoyer en interne pour arriver à un vote effectif de la proposition de loi.
Les objectifs d’Opaly et du Parlement des jeunes sont-ils, selon vous, atteints jusqu’à maintenant ?
Je tiens à préciser d’abord que le premier projet de loi que nous avons porté au niveau du parlement a été la mise en place effective du Parlement national des jeunes. Ce projet a été débattu pendant près de 4 ans avant d’avoir eu un retour positif, et surtout pour que l’assemblée nationale reconnaisse réellement ce parlement. Le travail d’Opaly et du parlement national des jeunes est de longue haleine. De fait, il faut du temps pour dire qu’il y a eu un impact ou non, parce qu’il y a toute une chaîne et un mécanisme qu’il faut comprendre et maîtriser. Parmi les réalisations d’Opaly et du Parlement des jeunes, il y a entre autres le pacte national en faveur de la jeunesse en 2018. C’était un évènement pour lequel nous nous sommes mobilisés en termes d’organisation, et qui s’est déroulé au niveau de l’assemblée nationale. L’idée était de procéder, en quelque sorte, à une consultation pour déterminer les axes stratégiques qui devraient figurer dans les projets nationaux afin d’aboutir au développement des jeunes.
Niverina nody ao Andranofady i Stanislas rehefa avy nitsabo ny zanany tany andrenivohitra. Vao tonga anefa izy dia naheno fa narotsak’i Fredy ao amin’ny teti-bola hitsinjovana ny fahasalamam-bahoaka ny volan’ny kaomina raha notenen’ny firaisamonim-pirenena izy. Tezitra noho izany i Stanislas satria amin’ny maha ben’ny tanà na azy dia izy no tokony handray izany fanapahan-kevitra izany izay vao mandalo eo anivon’ny mpanolotsaina. Etsy an-daniny, fantatra ihany koa fa voan’ny COVID-19 izy sy i Bako vadiny.
Après avoir emmené son fils en ville pour le soigner, Stanislas revient à Andranofady. Dès son arrivée, il apprend que Fredy a versé toutes les recettes de la commune dans le budget pour la santé publique après que la société civile l’y ait forcé. Stanislas pique une crise de colère car selon lui, c’est son rôle en tant que maire de prendre cette décision avant que les conseillers ne passent à la validation. D’autre part, il vient d’apprendre que sa femme Bako et lui, sa femme, sont bel et bien contaminés par la COVID-19.
Pour venir en aide au secteur touristique après la crise COVID-19, le ministère des Transports, du Tourisme et de la Météorologie avec l’Office National du Tourisme ont lancé, en moins de 6 mois, une deuxième foire nationale du tourisme. Cette nouvelle édition se tient cette semaine au Jardin d’Antaninarenina, l’idée est cette fois encore de promouvoir le tourisme local.
Le tourisme est sans doute le secteur le plus impacté par la crise qu’a entraînée la pandémie de coronavirus. Outre les hôteliers et les tours opérateurs, les guides et autres acteurs vivants de ce secteur sont également dans l’impasse. La tenue d’une foire pour relancer le tourisme locale est une solution adéquate pour les hôteliers, parcs et tours opérateurs. De leur côté, les guides touristiques se sentent quelque peu délaissés.
Pour consolider les efforts de promotion du tourisme local
Le coordonnateur de la deuxième édition de la foire du tourisme, Jimmy Joharison, souligne que l’idée de cette édition est de renforcer le franc succès de la première foire du tourisme qui s’est tenue en novembre 2020. « Le succès a été au rendez-vous lors de la première édition, avec un peu moins de 5.000 visiteurs. On peut également le mesurer grâce à l’engouement de nouveaux exposants pour cette deuxième édition », indique-t-il. Ainsi, à travers cette deuxième édition, les organisateurs veulent instaurer cet évènement comme étant un rendez-vous incontournable pour la relance du tourisme local.
Sainte-Marie se démarque
Pour la destination Sainte-Marie, par exemple, la tenue de la première édition et notamment les offres promotionnelles ont permis une petite éclaircie pour le tourisme au mois de décembre. « Certes, les chiffres ne sont pas autant satisfaisants, mais cela a permis quelque part aux acteurs du tourisme à Sainte-Marie de se remettre à flot », explique la responsable, auprès de l’office du tourisme de Sainte Marie, Eliari Zidzou. Nouvel exposant pour cette édition, l’OTSM entend se démarquer, cette destination étant jusqu’à maintenant préservée du tourisme de masse.
Toutefois, ce ne sont pas tous les acteurs du secteur touristique qui peuvent tirer profit directement de cette foire.
Les guides touristiques, les grands oubliés
Il est quasi impossible de parler de tourisme sans pour autant faire allusion aux guides touristiques qui, à Madagascar, sont principalement des travailleurs indépendants. Depuis le début de la pandémie et la fermeture des frontières, ces acteurs sont les plus touchés par la baisse des activités. « Certes, la promotion du tourisme local a un impact, bien que peu auprès des guides. La visite des parcs nationaux ne peut se faire sans guidage, ce qui nous permet à travers les associations d’avoir une rentrée d’argent, même infime », explique le président de la Fédération Nationale des Guides, Maheryson Manitra.
Pourtant, cela ne permet pas à la majorité de tenir longtemps. « Nous sommes une soixantaine de guides à travailler à Bemaraha et depuis décembre les visiteurs n’arrivent qu’au compte-goutte. Chaque guide doit attendre son tour pour pouvoir accompagner des clients », explique Heritahiana Anselme Ramanandraibe, guide touristique dans cette réserve naturelle.
Même s’ils sont également des acteurs incontournables dans le secteur touristique, les guides n’ont pas été présents sur les deux éditions de cette foire. « Vu le contexte exceptionnel de la situation, et surtout le fait que cela impacte fortement notre quotidien, on devrait pouvoir bénéficier d’une dérogation exceptionnelle et pouvoir aussi proposer des offres dans un tel évènement », lance Heritahiana Anselme Ramanandraibe, guide touristique. Selon ses explications, les textes de loi ne leur permettent pas de faire cela. Par ailleurs, le comité d’organisation de la foire pourrait prendre la décision d’inviter les guides touristiques à exposer.
Le sport est un des secteurs de promotion de l’équilibre entre l’homme et la femme. Cependant à Madagascar cela n’existe pas encore. Par exemple, lors des championnats, les hommes obtiennent plus de lots que les femmes. Le directeur technique de la fédération malgache de rugby explique que c’est la société qui n’est pas convaincue de l’importance du soutien du sport féminin. Ce déséquilibre se manifeste également dans le cadre des compétitions internationales comme l’inexistence de certains championnats féminin dans certaines disciplines. Par exemple, en 2019, l’équipe de rugby féminin était hors course au Jeux des Iles.
Isan’ny sehatra tokony hahitana taratra ny fifandanjana misy eo amin’ny lahy sy ny vavy ny sehatry ny fanatajahantena. Tsy tena hita taratra anefa izany raha ny zava-misy hita eto Madagasiakara. Ohatra eo amin’ny fizarana ireo loka dia mahazo mihoatra noho ny vehivavy ny lehilahy. Mnamafy izany ny tale tekinikan’ny Malagasy Rugby. Ny fiarahamonina mihitsy no tsy mazoto amin’ny fanohanana ny fanatajahantena vehivavy hoy izy. Tsy eto Madagasikara irery ihany no ahitana tsy fifandanjana izay fa na eo amin’ny sehatra iraisam-pirenena ihany koa aza. Toy ny zava-nisy tamin’ny Lalaon’ny Nosy 2019. Tsy tao anaty lisitra hifaninanana ny taranja rugby vehivavy.
Ndao hilaoeky revient sur la « résistance civile non violente », une forme de revendication de manière pacifique que les citoyens peuvent mener pour le respect de leurs droits. En effet, une partie de la communauté persiste à dire qu’il n’y a aucun résultat et aucune entité ne voudra écouter une manifestation silencieuse. Nous avons donc invité Alex Andriamahefa, un jeune historien et Andriananina Rajoharison, directeur du civisme, de la paix et du développement durable auprès du Ministère de la jeunesse et des sports. Ils ont tous deux souligné l’efficacité de la « résistance civile non violente » mais chacun, selon leur expertise. Le jeune historien a pris des références dans l’histoire de Madagascar comme Jean Ralaimongo, qui a choisi de faire une résistance civile non violente, durant ses revendications pour le droit de l’Homme durant la colonisation. Il a ainsi réussi à abolir le SMOTIG ou le Service de la Main-d'Å’uvre des Travaux Publics d'Intérêt Général. Selon Alex, il faut savoir précisément de quelle requête il s’agit, établir une stratégie et agir de manière symbolique. Les crises traversées par Madagascar durant ces plusieurs années montrent que les parties adverses se trouvent dans un cercle vicieux et dans un état vindicatif. Aux yeux de Andrianina Rajoharison, il faut révolutionner le concept de la lutte car les révolutions sont menées afin de changer une situation, donc on doit opter pour la construction d’un nouveau monde après chaque revendication. Il faut donc mener la lutte jusqu’au bout de manière pacifique et surtout avec patience.Â
Miverina amin’ilay hoe “fitakiana na tolona tsy misy herisetra » ny Ndao hilaoeky. Misy tokoa ireo milaza fa tsy misy mihaino izy ireny ary tsy azo ny valin’ny fitakiana raha tsy misy korontana sy rà latsaka. Nasainay i Andriamahefa Alex, mpikaroka ara-tantara sy Rajoharison Andrianina, talen'ny fanabeazana, fandriampahalemana ary fampandrosoana maharitra ao amin'ny minisiteran'ny tanora sy ny fanatanjahantena. Samy nanasongadina ny fahombiazan'ny " fitakiana na tolona tsy misy herisetra » izy ireo fa amin’ny toerana misy azy avy. Nampatsiahy ny tantaran'ny tantaran'i Madagasikara i Alex, toa an'i Jean Ralaimongo izay nisafidy ny tolona tsy misy herisetra nandritra ny fitakiany ny fiarovana ny zon'olombelona nandritra ny fanjanahantany. Nahomby izany tamin'ny fanafoanana ny SMOTIG na ny « Service de la Main-d'Oeuvre des Travaux Publics d'Intérieur Général ». Tsy maintsy fantatra tsara ny tanjon’ny fangatahana, mila manana paikady mazava ary manao fanairana amin’ny alalan’ny fanehoan-kevitra. Ireo krizy nolalovan'i Madagasikara nandritra izay taona maro izay dia maneho hoy izy fa lasa variana mifanao valy faty ireo andaniny roa. Ho an'i Rajoharison Andriananina, tokony havaozina ny foto-kevitry ny tolona satria entina hanovana toe-javatra ny hetsika, noho izany fananganana zavatra vaovao no ilaina hoy izy amin’ny alalan’ny fitakiana. Tokony atao hatramin'ny farany ny fitakiana fa am-pilaminana ary indrindra ao anatin’ny faharetana.
A Anosy, près de l’arrêt de bus de la radio, se trouve « sakafo-ts’art-cool ». Dans cette petite gargote, le mokary, une petite galette sucrée à base de farine de riz, de lait de coco et de vanille, fait fureur. Il y a 8 ans de cela, Rivo et son équipe ont commencé par des mokary uniquement à la vanille et au coco, comme la plupart de leurs concurrents. Actuellement, ils sont reconnus pour leur fameux mokary au chocolat et au fromage. Élevé dans une famille passionnée de gastronomie, il hérite son savoir-faire dans la préparation du mokary de ses parents. Tiré par l’ambition d’innover, une fois en tête de l’entreprise familiale, il décide d’aller à la recherche de nouvelles saveurs qui ont tout de suite fait tilt auprès des clients. Depuis, « Ny mokary eo anosy » est devenue une référence, non seulement pour les personnes faisant des activités à Anosy et ses environs mais aussi pour tous ceux qui ont le palet curieux.Â
Tsy misy tsy mahalala ny « sakafo-ts’art-cool », mpivarotra mokary etsy Anosy. Ny mokary misy fromazy sy ny mokary misy sokola no tena ahafantaran’ny olona an’i Rivo sy ny mpiara-miasa aminy. Amin’ny 6 maraina izy 5 mirahalahy dia efa manokatra tsena. Ny mpiasa eo n’Anosy sy ny manondidina dia efa saika manana fahazarana ny misakafo maraina eo avokoa. Efa raharaham-pianakaviana ny an’i Rivo sy ny havany raha ny fanaovana mokary satria dia io ihany koa no niveloman’ireo ray amandreniny teo aloha. Rehefa tojo tsy fahasalamana ireo nahitana masoandro dia nomena ireo ankizy ny fitantana izay orinasa-mpianakaviana izay. Ireto zanaka taty aoriana araka izany no nitady hevitra hanatsarana ny tsiron’ny mokary izay lasa ankafizin’ny maro amin’izao fotoana izao.Â