Les menstruations
Les menstruations sont naturelles chez la femme. Elles apparaissent autour de l’âge de 11 ou de 14 ans. Vivre ses premières menstruations dépend de chaque femme : certaines sont prêtes puisque leurs mères les ont déjà parlé auparavant, d’autres ont eu peur parce qu’elles ignorent ce qui arrivent à leurs corps. Selon le Dr Samuel, de Fianarantsoa, les menstruations ne sont pas une maladie même si elles présentent des maux de dos et des maux de ventre. Et durant cette période, le respect de l’hygiène est très important.
Ny fadimbolana
Tranga voajanahary miseho eo amin’ny vatan’ny vehivavy manomboka ny faha-11 sy faha-14 taona eo ny fadimbolana. Samy manana ny fomba fiainany an’izany fadimbolana voalohany izany ny vehivavy tsirairay : efa nampahafantarana, tsy nampoizina satria mbola tsy nahafantatra, natahoatra. Manazava aloha i Dr Samuel avy any Fianarantsoa fa tsy aretina ny fadimbolana na marary ary ny kibo sy ny lamosina. Mila tandrovana ny fahadiovana eo amin’ny vatana ray manontolo ary indrindra eo amin’ny taovam-pananahana rehefa tonga ny fadimbolana.
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Presque 5 000 ha de rizières ont été inondés et 20 000 tonnes de riz sont irrécupérables à Marovoay, dans la région Boeny, un des greniers de Madagascar. D’après Faniry Randriamanjaka, conseiller technique en agriculture, on ne peut plus rien faire pour ces récoltes-là . Une fois que les terrains seront de nouveau cultivables, il suggère d’inciter les paysans à utiliser des plants à cycle court qui poussent rapidement.
Actuellement, cette situation n’a pas encore d’impact sur le prix du riz malgache sur le marché. Faniry Randriamanjaka pense quand même qu’il faudra tôt ou tard importer des stocks de riz de l’étranger. La Chine est l’un des principaux exportateur de riz à Madagascar, mais face à l’épidémie de coronavirus en ce moment, il conseille de faire l’importation depuis d’autres pays qui ne sont pas touchés par le virus.
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Baolina kitra : Nitohy androany teny amin’ny Mining Business Center Ivato ny valandresaka momba ny fanatsarana ny tontolon’ny baolina kitra.
Baolina lavalava : Hisy ny tombana atao amin’ny ireo mpanazatra ambaratonga fahatelo niofana nanomboka ny volana jiona teo. Atao ny 3 hatramin’ny 8 febroary izao any Senegal izany.
Haiady Pancrace : Hotanterahina etsy amin’ny gymnase couvert Ankorondrano amin’ny Alahady ho avy izao ny andiany voalohany ny fiadiana izay tompondakan’i Madagasikara ho an'ny vanim-potoana 2019-2020.
Foot-ball : La concertation sur l’amélioration du football malgache se poursuit aujourd’hui au Mining Business Center Ivato.
Rugby : Une évaluation sera faite aux arbitres qui ont suivi une formation en juin dernier. La formation va se dérouler au Sénégal du 3 au 8 février.
Pancrace : La première édition du championnat de Madagascar de Pancrace 2019-2020 se déroulera ce dimanche au gymnase couvert Mahamasina.
La culture du fihavanana malgache fait en sorte qu’aucun membre de la société, notamment lorsqu’il est de la famille, ne soit laissé dans la difficulté. Face à cela, certaines personnes ne cherchent pas d’autres moyens pour améliorer leur condition de vie. Pour les pays en voie de développement comme Madagascar, le PNUD – Programme des Nations Unies pour le Développement – met en avant la stratégie du développement des compétences. Les gens sont amenés à renforcer leurs capacités pour améliorer leur condition de vie par leurs propres moyens.
Durant le débat sur ce thème au Studio Sifaka, il est ressorti qu’il y a des personnes qui ont uniquement besoin qu’on leur donne des opportunités, des moyens pour améliorer leur niveau de vie. Ils ont besoin d’une canne à pêche. Et d’un autre côté, certaines personnes ont besoin qu’on leur donne d’abord des produits pour qu’ils puissent ensuite les transformer en moyen. Ils ont besoin de poisson pour ensuite s’équiper d’une canne à pêche.
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Le BNGRC -Bureau National de Gestion des Risques et des Catastrophes- intervient dans toutes les régions de Madagascar notamment en cas d’inondation. Les interventions se passent en moins de 24h, dès que le danger arrive.
Dans un premier temps, le bureau gère l’évacuation et le transport les sinistrés vers les tranompokonolona ou tranompokontany, des maisons communes situées en hauteur. Selon le Brigadier Colonel Elack Olivier Andrianjaka directeur général du BNGRC, le bureau ne possède pas de site d’hébergement à proprement parler.
Dans un deuxième temps, les techniciens du BNGRC accompagnés par des personnels du ministère évaluent les dégâts. En parallèle, le bureau travaille avec la présidence pour le transport des matériels de secours et les vivres
Enfin, il aide les autorités locales dans la reconstruction des villes.
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