L’alimentation sans viande est une tendance qui commence à se faire remarquer. Cela peut s’expliquer par plusieurs raisons : souci de santé et de manger plus sainement, choix liés à des croyances religieuses, ou mode de vie tout simplement. Guanelle et Tahirisoa Rakotosalama, deux sœurs, l’une vegan et l’autre flexitarienne, c’est-à -dire quelqu’un qui limite sa consommation de viande, décident donc de créer la première boucherie végétale à Madagascar.
Studio Sifaka : Qu’est-ce qui vous a motivé à créer ce projet de boucherie végétale ?
Guanelle Rakotosalama : Nous avons remarqué que pas mal de Malgaches ont des problèmes de santé liés au mode de vie et à l’alimentation. Je pense notamment aux maladies cardio-vasculaires causées par une consommation excessive de viande rouge et du cholestérol. Mais à côté également, il y a ceux qui sont passés au régime végétarien et végétalien. Nous voulons ainsi offrir une meilleure alternative à la viande avec une gamme variée de produits essentiellement à base de blé et de pois.
Pouvez-vous citer quelques exemples de ces produits ?
Des saucisses végétales à préparer avec des légumes, des lentilles ou des brèdes, du seitan analogue poulet ou bœuf pour des brochettes par exemple, du fromage végétal. Et notre produit le plus vendu : la mayonnaise 100% végétale, sans œuf ni conservateur.
Avez-vous eu des difficultés à percer sur le marché malgache ?
Nous avons commencé par ouvrir un restaurant au mois de septembre 2019. Effectivement, nous avons eu beaucoup de réserves au départ car notre concept était vraiment novateur. Par précaution, le restaurant a proposé deux cartes différentes : une carte pour ceux qui mangent de la viande et une autre pour ceux qui n’en mangent pas. Et étonnement, nous avons eu beaucoup plus de demandes sur la carte sans viande, que même si le restaurant a dû fermer à cause de la pandémie, nous avons continué à produire et à livrer.   Â
Qui sont vos clients actuels ?
Majoritairement des étrangers, des expatriés. Mais également un panel de clientèle malgache qui se soucie davantage de leur alimentation. Beaucoup de végétariens et de végétaliens aussi.Â
Vous avez lancé une cagnotte en ligne pour soutenir votre projet, comment allez-vous utiliser cette somme ?
D’abord, elle servira à améliorer nos offres en nous permettant de proposer plus de produits et pas uniquement de la viande végétale. Il y a vraiment des demandes et des besoins spécifiques sur le marché malgache. Mais surtout, nous souhaitons contribuer à réduire les maladies cardio-vasculaires en proposant une alimentation plus saine et plus équilibrée.
Dans le cadre du mouvement Tantsoroka covid-19, la Coalition des radios de Madagascar et Autisme Madagascar concoctent actuellement des contes traduits en langue des signes pour sensibiliser tous les enfants face à la pandémie du coronavirus. Cela est rendu possible grâce à une collaboration avec l’auteur Arikaomisa Randria et l'interprète Manantsoa.
En tout, le mouvement diffusera 25 contes pour enfants. Cette activité contribue au respect du droit à l’information pour tous. « Tous, pour nous, inclut les enfants, notamment ceux qui sont en situation de handicap. D’où l’importance de pouvoir passer les messages aux enfants, de manière ludique, à travers la langue des signes », justifie la coordonnatrice du mouvement, Mbolatiana Raveloarimisa.
Ces messages ne tournent pas uniquement autour des gestes barrières et des symptômes du coronavirus. « Au-delà de cela, nous passons aussi des messages, de manière plus globale, sur la santé et l’hygiène aux enfants, parce que Madagascar connaît périodiquement des épidémies comme le choléra ou la peste. Les enfants devraient connaitre et adopter ces bons gestes », ajoute-t-elle.
Interprétation adaptée aux enfants
Manantsoa a l’habitude de traduire le discours présidentiel et le journal de la chaîne nationale. Cette fois, il a pour défi de parler d’un sujet sérieux sur un ton ludique. C’est donc tout un art. « Ce n’est pas du tout le même public donc il y a des activités translangagières à faire. Bien-sûr, j’utilise les signes officiels, mais puisqu’il n’est pas évident pour les enfants de comprendre certaines réalités, on doit les paraphraser », explique-t-il. Â
Pour faire passer plus facilement le message, Manantsoa doit accentuer ses expressions faciales. Les enfants doivent, par exemple, comprendre dès le début qui tient le premier et le second rôle dans l’histoire. Il faut également faire attention aux repères spatiaux, souligne-t-il, « les adultes ont la faculté de corriger instantanément les erreurs, mais lorsqu’on s’adresse à des enfants, on doit toujours penser : j’ai situé tel élément ici ou là . »
Selon Manantsoa, cette initiative est capitale pour les malentendants. Ces derniers ne pouvaient jusqu’à présent assimiler les paroles des chansons de sensibilisation et le journal est trop officiel et formel pour eux, même traduit en langue des signes.
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Fizarà na kifafa ho an'ny mpivarotra eny Analakely, nirotsaka an-tsehatra ny polisy.
Baoritra, boaty plastika, ahoana ny fomba hampiasà na azy ireny indray mba hampihenana ny fako ?
Tokony taizana hanao ny raharaha rehetra ao an-tokantrano dieny mbola kely ny lehilahy.
Mahomby ve ny fanazaran-tena manaraka torohevitra avy amin’ny rafibaiko na application amin’ny finday ?
Fifaninana fandraharahana no endrika ankalazana ny andro manerantany ho an’ny vehivavy afrikanina ho antsika eto Madagasikara.
Il est très important d'appliquer le gel hydroalcoolique sur une peau sèche et non sur une peau humide.  Pourquoi ? et bien cette solution désinfectante contient de l'alcool et l'activité de cette substance contre les bactéries dépend de sa concentration. L'eau diminuerait donc l'efficacité de l'alcool qui élimine les bactéries.
Lorsque vous êtes à l'extérieur veillez à avoir votre propre gel hydroalcoolique. En effet, pour des raisons certainement économiques, certains magasins vous accueillent avec une solution diluer avec de l'eau.
Mbola mandaitra ve ny gel hydoralcoolique raha mifangaro amin'ny rano ?
Zava-dehibe ny manosotra ny gel hydroalcoolique amin'ny tanana maina fa tsy mando. Nahoana ary ? Misy alikaola ny gel desinfectant ary miankina amin'ny fahamandriana no mahatonga azy afaka manala ireo bakteria. Mampiena izay fahafahana izay noho izany ny fanafangaroana azy amin'ny rano.
Rehefa any ivelany ianao, manà na ny gel hydroalcoolique anao manokana. Misy toeram-pivarotana sasany manolotra anao gel efa mifangaro amin'ny rano, noho ny fitsitsiana ara-pandaniana angamba.
Dezaka qui vient du mot français « désert » est un terme argotique des jeunes pour désigner les endroits éloignés de la capitale et les milieux ruraux caractérisés par la poussière et la brousse. En outre, « dezaka » s'utilise également en référence aux personnes sont en retard par rapport à une actualité, pour souligner qu'ils doivent revenir de loin pour être à la page. Ce terme est surtout utilisé dans les Hautes Terres comme dans la région Analamanga, Bongolava, Vakinankaratra. L'écrivain, Hubert Rakotoarimanana, nous en dit plus.
Fitenin-jatovo ny hoe « dezaka », avy amin' ny teny vahiny izay midika hoe « tany efitra », entina ilazana ny toerana lavitry ny renivohitra, ny tontolo ambanivohitra izay be vovoka sy bozaka. Ankoatra izay, ampiasaina io teny io hanoharana ny olona lavitry ny fandrosoana na koa tara amin' ny fanarahana vaovao. Ny tanora avy eto afovoan-tany no matetika mampiasa azy io toy ny avy amin' ny faritra Analamanga, Bongolava, Vakinankaratra. Hanazava mikasika izay i Hubert Rakotoarimanana, mpanoratra.
Que ce soit pour les œufs ou la chair, la filière avicole est grippée par la situation sanitaire. Les prix baissent un peu partout, la demande n’est pas au rendez-vous.
« C’est à peine si nous en vendons deux sobika (paniers) par jour actuellement alors que nous en vendons en moyenne sept », se plaint une grossiste d’œufs du côté d’Antohomadinika, une sobika contenant 400 Å“ufs. D’ordinaire animé durant la matinée, ce marché aux Å“ufs de la capitale est devenu plus calme depuis la crise, au grand dam des marchands. « Normalement, il y a des acheteurs qui viennent deux à trois fois par jour mais là ils ne viennent plus qu’une fois », ajoute la grossiste. Pour une autre vendeuse, le responsable est tout trouvé. « C’est le confinement. C’est à peine si j’arrive à écouler la moitié de ce que je vends d’habitude », souligne-t-elle. Résultat, le prix des Å“ufs connait une baisse faute d’acheteurs. La baisse peut aller jusqu’à 50 ariary selon le calibre. Un Å“uf vendu à 450 est actuellement proposé à 400 ariary par exemple.Â
Vente à perte
Le problème de débouché touche également le marché du poulet de chair, d’après un technicien auprès d’un fournisseur en intrants avicoles. « Sept des fermiers avec qui je travaille du côté d’Imerintsiatosika ont fermé au cours des dernières semaines. Les autres ont dû réduire la taille de leur cheptel pour pouvoir assurer l’alimentation des bêtes », indique-t-il tout en soulignant que les producteurs commencent à vendre à perte. Si au départ des fermes, le poulet était proposé entre 7.000 et 7.500 ariary le kilo avant le confinement, le prix s’articule aujourd’hui à 5.700 ariary. De plus, « auparavant, une ferme avec plus de 1.000 têtes pouvait recevoir une commande de 300 têtes. Actuellement, c’est de l’ordre de 50 voire 10 têtes », précise-il. C’est toute la filière avicole qui se retrouve ébranlée par la crise.
Désormais, Madagascar disposera d’un cadre institutionnel permettant d’instaurer des règlementations pour le secteur de l’agriculture biologique. Après avoir obtenu l’aval des parlementaires au mois de mai 2020, la loi 2020-003 portant sur l’agriculture biologique à Madagascar a été validée par la Haute Cour Constitutionnelle.
Pour les exploitants agricoles comme pour les opérateurs malgaches, l’adoption de la loi 2020-003, portant sur l’agriculture biologique est une réelle opportunité. Travaillant de concert avec des partenaires des secteurs privés, dont SYMABIO (Syndicat Malgache d’Agriculture Biologique) ou CASEF (Croissance Agricole et Sécurisation Foncière), le ministère de l’agriculture de l’élevage et de la pêche veut mettre en place un cadre règlementaire pour la filière agriculture bio. Cela permettra désormais aux produits malgaches de bénéficier d’une certification Bio pour pouvoir se frayer un chemin facilement sur le marché national, régional et également mondial. Â
Par définition, l’agriculture biologique est un mode de production qui n’utilise ni produits chimiques comme les engrais ou les pesticides, ni OGM (organisme génétiquement modifié). Ce système de production met plutôt l’accent sur la qualité des produits et le respect de l’environnement. De fait, plusieurs critères entrent en jeu dans la certification des produits dont la traçabilité du produit depuis la production jusqu’à la commercialisation.
Plus de facilité pour les producteurs et opérateurs malgaches
Dans un pays où l’économie repose en grande partie sur l’agriculture, l’essor de la filière est une réelle opportunité, notamment la mise en place d’une règlementation pour la certification bio. Aujourd’hui, l’agriculture bio impliquerait 23.000 producteurs et 177 entreprises selon les chiffres du MAEP. Pourtant, le développement réel de ce secteur est resté jusqu’à maintenant en retard, dû notamment à l’absence d’un cadre règlementaire. Cette nouvelle loi, dont le décret d’application reste attendu, comporte 33 articles et fait mention entre autres des principes généraux de l’agriculture biologique à Madagascar, de son champ d’application, du système d’évaluation et de la conformité des produits.
Il faut savoir que pour obtenir une certification bio, les producteurs comme les opérateurs économiques devaient jusqu’à maintenant se référer aux règlementations européenne, américaine et japonaise. Grâce à cette nouvelle loi, la condition de mise sur le marché des produits sera plus allégée, les exportateurs n’auront plus besoin d’une double certification pour pouvoir répondre aux normes des pays importateurs.
Mis à part les producteurs et les opérateurs qui exportent leurs produits, peu de gens s’intéressent encore à la filière et à la certification bio. Pourtant, pour pouvoir asseoir un réel développement sur le long terme, il est important de sensibiliser autant les producteurs que les consommateurs sur l’importance des produits et de l’agriculture biologique.
Pour que l’après coronavirus ne soit pas un cauchemar, l’association Jeunes Actifs Interrégional (JAI) invite déjà les jeunes à l’imaginer et à partager leurs visions à travers un concours vidéo.
Ouvert aux jeunes de 16 à 30 ans, ce concours a pour objectif de renforcer leurs compétences et leur autonomie. D’après les organisateurs, c’est aussi un moyen de les aider à s’exprimer en public, de les intéresser à la vie de la nation et  de les inciter à véhiculer des messages positifs sur les réseaux sociaux.
Dans une vidéo de 30 secondes, chaque participant est invité à partager leur vision de Madagascar et de la jeunesse malgache après cette crise sanitaire liée à la pandémie du coronavirus.
Des formations pour les chanceux
Les 10 à 15 vidéos qui auront le plus de réactions seront récompensées. A la clé, pas de somme d’argent ou de matériel informatique mais un renforcement de capacités en leadership, développement personnel, culture entrepreneuriale et citoyenneté. « Ce concours et le lot à gagner sont complémentaires puisqu’il faut avoir une vision, un rêve pour devenir un leader. Le renforcement du leadership et de l’autonomie chez les jeunes fait aussi partie des missions de notre association », explique Erico Randriarimalala, président de JAI.Â
Selon ce jeune leader, les formations en leadership et en développement personnel ne manquent pas à Madagascar. Toutefois, il faut les renforcer pour que les résultats soient palpables. Il souligne également que le fait de participer à ce genre de concours contribue déjà à une prise de responsabilité. Et puis, il est toujours utile de se former et d’apprendre de nouvelles choses chaque jour.
Ceux qui sont intéressés ont jusqu’au 23 août pour envoyer leurs vidéos à la page JAI Association. Le vote public débutera dès le lendemain.
Peut-on éradiquer la pandémie ?
Quelle fréquence idéale pour le désinfection ?
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Les femmes se soutiennent à travers des photos en noir et blanc.
Inona ny atao hoe olona salama manoloana izao coronavirus izao ?
Covid-19 : tsinjovina manokana ireo olona manana fahasembanana sy ny ankizy autistes.
Zara revy, hetsika iray hanehoan'ny tanora ny vinany ho an'i Madagasikara.
Herinandro manerantany hoan'ny fampinonoan-dreny, avy aiza no niavian'izany ?Â
La désinfection de la maison, du lieu de travail, des marchés ou des lieux publics est devenue impérative face au coronavirus. Bien évidemment, nettoyer et désinfecter sont deux opérations corollaires, sauf que le nettoyage peut être effectué tous les jours, toutes les semaines, à chaque fois qu’on le souhaite. Mais qu’en est-il de la désinfection ? Il faut s’y mettre quotidiennement, hebdomadairement, deux fois par semaine, ou à la demande ?
D’après les explications d’un responsable d’une entreprise locale spécialisée en désinfection, une opération dite « traitement de choc » précède la désinfection. Ensuite, la fréquence de l’action dépend du nombre de personnes qui fréquentent le lieu. « Si, après le traitement de choc, il y a beaucoup de monde, il est préférable de procéder à la désinfection deux à trois fois par semaine. Autrement, avec peu de monde, une désinfection par semaine est largement suffisante », informe-t-il.
Traitement de choc et désinfection
Par ailleurs, de nombreuses personnes s’inquiètent de l’éventuelle toxicité des produits désinfectants. Toujours selon ce responsable, les produits utilisés lors de l’opération de traitement de choc sont effectivement beaucoup plus forts, à la limite suffocants, contrairement à ceux pour la désinfection normale. « Mais il n’y a aucun risque sur la santé », a-t-il fait savoir.
En ce qui concerne le coût des opérations, le prix dépend des surfaces à désinfecter. Mais, généralement, une surface de 300 m² se désinfecte aux environs de 280.000 Ariary. Il ne faut pas non plus oublier que la désinfection à l’eau de javel est relativement efficace. Mais avant d’opter pour ce système, il est préférable de se conformer aux conseils des professionnels ou de se documenter.
Garder sa ligne sans pour autant passer par des régimes alimentaires draconiens, c’est désormais la nouvelle tendance. Mais le régime Healthy, c’est avant tout le choix de manger mieux ou d’adopter une alimentation saine et équilibrée.
Apparue aux Etats-Unis et aujourd’hui très en vogue en Europe, la tendance Healthy Food commence également à prendre place à Madagascar. Vu comme une simple prédisposition pour se défaire de la malbouffe des fastfoods, le healthy food est plus une prise de conscience sur l’importance d’une meilleure alimentation. En effet, une alimentation équilibrée est nécessaire pour la santé, mais aide également ceux qui veulent retrouver une jolie silhouette.
Le healthy food : manger mieux
L’apparition du « healthy food » a commencé par la prise de conscience des effets néfastes de la malbouffe sur la santé. Les menus trop gras ou trop caloriques des fastfoods sont à l’origine de certaines maladies, dont le surpoids ou les problèmes cardiovasculaires. Une alimentation saine est ainsi un des moyens pour renverser la tendance.
Le principe d’un régime healthy, c’est avant tout l’équilibre et le choix des aliments pour que l’organisme ait au quotidien l’apport de nutriments, vitamines et minéraux nécessaires. En accompagnement à un programme sportif ou juste pour garder sa ligne, un régime healthy contribue avant tout au bien-être. Bien que peu nombreux, il existe aujourd’hui des coaches sportifs qui font également dans le coaching nutritionnel à Madagascar.
Profiter du confinement pour se mettre au healthy food
En apportant les nutriments et éléments nécessaires, le healthy food permet de renforcer nos défenses immunitaires. Cela en fait une mesure préventive adéquate pour faire face à la pandémie de covid-19. Une situation qui pourrait également expliquer l’engouement pour le healthy food.
Avec le confinement, et surtout le fait de ne pouvoir sortir de la maison, chacun peut aujourd’hui se mettre au healthy food. Il s’agit d’adopter une meilleure hygiène de vie et sortir des mauvaises habitudes alimentaires. Sans entrer dans les détails, l’idéal serait un repas principalement composé de légumes, avec assez de protéines et d’amidon et peu de graisse. Il ne faut pas oublier d’y ajouter également au moins un fruit ou un jus de fruit.
L'avènement des livres pop-up avec des illustrations en 3D devrait faire plaisir à plus d'un. Les éléments de dessins peuvent prendre forme et bouger à l'ouverture des pages. Il faut établir un petit projet pour produire ce genre d'illustration. Rija, responsable d'exploitation à la librairie Mille Feuilles nous l'explique davantage dans l'émission. D'un autre côté, il y a les dessins en 2D, qui sont des compléments d'informations pour l'enfant afin qu'il puisse bien comprendre l'histoire. Marie Michelle Rakotoanosy, écrivaine de conte pour enfant et directrice d'édition à « Edition Jeunes Malgache » nous explique que ces dessins sont mieux s'ils sont adaptés à l'environnement de l'histoire dans le livre, afin que l'enfant ait des repères par rapport à ce qu'il lit.
Boky misy pop up, sary mivoitra sy mihetsika no hita ao anatiny. Dingana maromaro vao mahatafavoaka izany boky misy pop up izany. Tsy toy ny amin'ny sary tsotra izay atonta fotsiny ihany ny fanaovana azy, araka ny ambaran'i Rija, tompon'andraikitra ara-teknika ao amin'ny fivarotam-boky Mille Feuilles. Ny boky misy sary tsotra, izay efa mahazatra antsika ny mahita azy, atonta miaraka amin'ny lahatsoratra no hatafavoahany. Natao ho fanampim-panazavana ny tantara ireo sary ireo hoy i Marie Michelle Rakotoanosy, mpanoratra tantara ho an'ny ankizy sady talen'ny fanontana ao amin'ny « Edition Jeunes Malgaches ». Tsara hoy izy raha mifandraika amin'ny tontolo misy ilay tantara no sary atao mba tsy hahavery ireo ankizy sy hahazoany sary an-tsaina izany toerana izany.