Savoir estimer sa valeur ou plutôt la valeur de ses connaissances et de ses compétences sur le marché du travail est primordial pour être pris au sérieux par les recruteurs. Pourtant, nombreux sont ceux qui ne savent pas comment évaluer, au juste prix, leurs prétentions salariales. Voici quelques astuces.
Généralement, pour un jeune diplômé qui arrive à son tout premier entretien d’embauche, la peur est à son apogée quand retentit la question : « Quelles sont vos prétentions salariales ? » La raison en est simple, les jeunes diplômés ne savent pas souvent comment évaluer la valeur de leurs compétences. Ce point étant un critère de taille pour décrocher ou non un emploi, il est impératif de savoir l’évaluer au juste prix en se basant sur certains indicateurs. Plus encore, la prétention salariale doit comporter une certaine marge de manœuvre.
Quelles bases pour évaluer sa prétention ?
L’erreur concernant la prétention salariale arrive souvent aux jeunes diplômés. Il est pourtant tout à fait possible de le faire en se rapportant à certaines bases.
Une prétention réaliste et justifiée
Donner une prétention trop élevée au recruteur risque de le geler sur place. Par contre, une estimation trop faible risque de faire passer le candidat comme étant une personne qui n’évalue même pas les enjeux du poste. Aussi, il est plus pratique de formuler une prétention à travers une fourchette de prix. Celui-ci devrait avoir en moyenne 15 % de marge entre le montant le plus haut et le montant le plus bas.
Il faut également penser au fait que suivant les villes, la prétention salariale peut varier. Cela s’explique par le fait que le coût de la vie n’est pas le même à Antananarivo ou dans les régions. En effet, lors de l’évaluation de la prétention, il faut prendre en compte les dépenses (loyer, dépenses en déplacement, dépenses quotidiennes…).
Avoir une marge de manœuvre
Ce n’est pas parce que le recruteur n’aura pas accepté la prétention salariale parce qu’elle est trop haute, qu’il faudra pour autant refuser carrément l’emploi. C’est ce qu’on appelle se garder une marge de manœuvre. L’idée est de faire preuve de souplesse, sans pour autant brader ses services ou ses compétences.
Pourquoi est-ce important ? Dans le marché de l’emploi, ce n’est pas le fait d’avoir des dizaines de diplômes qui importe. Ce sont les expériences qui feront la différence. Â
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Selon une étude préliminaire sud-africaine sortie le mercredi 24 mars 2021, les personnes qui auraient contracté le variant sud-africain du coronavirus posséderaient une meilleure immunité face aux autres mutations de la COVID-19. En effet, les anticorps générés par le virus sud-africain se sont avérés efficaces à 100% contre le variant brésilien, lui aussi reconnu comme très contagieux.
Sachez que les personnes infectées par le variant sud-africain ont les mêmes symptômes de la souche initiale du coronavirus : fièvre, toux, courbatures, perte du goût et de l’odorat. L’un des soucis avec ce variant est qu’il réinfecte des personnes qui avaient déjà été malades. Il est cependant important de particulièrement surveiller le manque d’oxygénation. Si vous commencez à avoir du mal à bouger, à respirer et que vos ongles deviennent bleus, c’est un signe qu’il faut aller aux urgences.
Le laboratoire américain Moderna a débuté, à la mi-mars, un essai clinique de la version de son vaccin spécialement adapté au variant sud-africain. A noter qu’il s’agit d’un vaccin de rappel pour contrer les futurs variants du coronavirus.
Restez prudent !
Miaro amin'ny fivadihan'endriky ny tsimokaretina ve ny endrika vaovaon'ny coronavirus avy ao Afrika Atsimo ?
Araka ny fikarohana voalohany tany Afrika Atsimo nivoaka ny alarobia 24 martsa 2021, mety manana fiarovan-tena mahery kokoa manoloana ireo fiovan'endrika vaovaon'ny Covid-19 ireo tratran'ilay endika vaovaon'ny coronavirus avy any Afrika Atsimo. Rehefa nojerena, miaro 100% (zato isan-jato) amin'ilay endrika vaovao avy any Brezil, izay tena mora mifindra tokoa, ireo hery fiarovana napoitran'ny endrika vaovao avy ao Afrika Atsimo.
Fantaro fa mitovy soritraretina amin'ilay coronavirus hita voalohany ireo olona voan'ilay endrika vaovao avy ao Afrika Atsimo : manavy, mikohaka, folapolaka, tsy maheno tsiron-kanina sy fofona. Ny manahirana amin'ity endrika vaovao afrikanina tatsimo ity dia mety ho voany ihany koa ireo olona efa narary teo aloha. Mila jerena matetika ihany koa ny tsy fahampian'ny rivotra iainana, izay aloha tena zava-dehibe. Raha manomboka marary ianao rehefa mihetsika na miaina ary mihamangana ny hohonao, midika izany fa mila makany amin'ny vonjitaitra ianao.
Efa nanomboka ny andrana ny vaksiny manokana ho an'ity endrika vaovaon'ny coronavirus avy any Afrika atsimo ity ny laboratoara amerikana Moderna ny tapaky ny volana martsa teo. Marihina fa vaksiny famerenana izy ity hiarovana ireo endrika vaovaon'ny coronavirus mety hipoitra indray.
Samia mitandrina ary !
Les travaux pour la digitalisation à l’université d’Antananarivo ont débuté depuis près d’un mois. L’optique étant d’une part d’actualiser la liste des vrais étudiants de l’université, cette digitalisation viserait aussi la facilitation de l’octroi des bourses d’études.
Dans ses propos, lors de l’intervention sur la télévision nationale du 20 mars 2021, le président de la République a fait allusion au problème récurrent des universitaires, les bourses d’études. La digitalisation de la liste des étudiants de chaque université est la première étape de la solution. Viendront par la suite la configuration d’un compte électronique et des fonctionnalités qui y seront rattachées.
Une première étape assez réussie
Après un mois de mise en place, la liste digitalisée des étudiants de chaque université a finalement permis de mettre en place un système facilitant l’octroi des bourses d’études. « La Paositra Malagasy a mené dans un premier temps une qualification de la liste obtenue de l’université. La liste des qualifiés a été envoyée pour validation auprès de l’université, du ministère et de la présidence de la république. C’est la liste validée qui a servi de base dans la création des comptes Paositra Money pour les étudiants », selon Ranarison Richard, directeur général (DG) de la Paositra Malagasy.
C’est en se basant sur ce système que l’octroi des 4 mois de bourse et de l’équipement des étudiants s’est fait durant le mois de mars, selon le directeur général. « C’est l’université qui se charge de dresser la première liste qui a servi pour la qualification. Le reste du processus est entièrement légué aux services de la Paositra Malagasy », explique le Directeur de Cabinet de la présidence de l’Université d’Antananarivo, Jaona Andriamaniraka. Pourtant, selon les dires du DG de la Paositra Malagasy, les responsabilités de la Paositra s’arrêtent à l’établissement de la liste validée et à la distribution des bourses d’études en suivant le calendrier et l’organisation de l’Université.
Vers la concrétisation du Smart CampusÂ
Les universitaires auront prochainement une carte électronique qui sera automatiquement renflouée à chaque paiement des bourses d’études. C’est ce qu’a annoncé le président de la République lors de son allocution sur la chaine nationale. Ce que le ministre a également repris dans ses explications, rajoutant que le système de carte d’étudiant électronique reposera sur le portefeuille électronique e-Poketra. À ce système viendra par la suite s’ajouter des fonctionnalités qui permettront de suivre entre autres l’assiduité des étudiants.
Sur ce point, le Directeur de Cabinet de la présidence de l’Université d’Antananarivo, Jaona Andriamaniraka indique que le nouveau système de suivi des assiduités entrera dans le cadre du système Smart Campus. Celui-ci permettra d’après lui d’automatiser entièrement le fonctionnement de l’université, notamment le suivi des étudiants afin d’éviter les étudiants fantômes. Ce directeur d’expliquer que le suivi des assiduités sera un système entièrement automatisé qui prendra en compte le pointage des étudiants via leur carte. « Ce système est aujourd’hui en cours d’étude auprès de notre pôle informatique. Nous prévoyons de le mettre en application dès cette année, mais tout dépendra encore de la situation sanitaire, notamment si elle nous permet de continuer le travail », souligne-t-il.
Araka ny fanambarana nataon’ny filoham-pirenena ny 20 martsa lasa teo dia efa tonga eto Madagasikara ny endrika vaovaon’ny coronavirus avy any Afrika Atsimo. Ny tanora no mety ho voa betsaka amin’izany hoy izy. Isan’ny mahatonga izany hoy ny talen’ny fampiroboroboana ny fahasalamana eo anivon’ny ministeran’ny fahasalamana, ny dokotera Rakotaorivony Manitra, ny fisian’ny fiovan’ny endrika, ny hery sy ny fomba fiadin’ny coronavirus fa tsy toy ny taloha. Noho izany dia lasa mahery vaika sy mora mifindra kokoa izy.Â
Le président de la République a expliqué dans son discours du samedi 20 mars qu’actuellement les jeunes sont plus infectés par le nouveau variant du coronavirus. L’existence d’une mutation du virus en est la principale cause, explique le directeur de la promotion de la santé auprès du ministère de la santé publique, docteur Manitra Rakotoarivony. Lorsqu’il y a mutation, le virus change de forme, de puissance et de manière d’attaquer. Ainsi, il devient plus dangereux et plus contagieux.
Depuis quelques mois, les cas de contamination dans la région d’Analamanga ne cessent de monter en flèche. Et pourtant, malgré la peur de cette maladie, nombreux sont ceux qui ne peuvent pas se permettre de ne pas travailler. C’est le cas d’une famille de 3 personnes qui, malgré les mesures barrières, sont aujourd’hui contaminées par le virus.
 « On se soutient mutuellement comme on peut »
Elles sont trois au sein de la famille, dont deux sÅ“urs et la mère qui, selon la cadette, est celle qui court le plus de risques, du fait qu’elle est âgée. « C’est pour notre mère surtout qu’on s’en est fait au départ », indique-t-elle. Mais au final, les deux sÅ“urs ont aussi contracté le virus. « Nous n’avons pas fait de test, mais les symptômes sont en tous points identiques à ceux de la Covid-19 », précise la grande sÅ“ur. Â
Mais la maladie et le fait d’être toutes contaminées rend la situation difficile, la famille doit faire face au quotidien. « Le moral est au plus bas, surtout à cause du fait qu’on ne sait pas ce qui arrivera demain face à cette maladie », se désole la grande sœur, poursuivant qu’avec son état de santé, elle a dû demander un arrêt de travail pour se soigner. « En plus de la maladie, les craintes nous fatiguent et font que nous n’avons plus goût à rien. Même les repas sont fades, et on ne sait plus si c’est à cause de la maladie ou à cause du fait qu’on a peur », souligne-t-elle.
Pour eux, la peur de perdre des proches est la plus pesante. « Heureusement, dès les premiers symptômes, notre mère a directement eu les soins nécessaires auprès d’un centre de santé de base, et dans tous les cas, on se soutient mutuellement comme on peut », explique la cadette. La panique l’a gagnée en voyant sa mère qui était de plus en plus fatiguée, durant les premiers jours.
« On apprend à vivre avec la maladie »
Malgré la fatigue du quotidien, il faut chaque jour rassembler ses forces pour faire face à la journée. Si la grande sœur a pris un congé maladie à son lieu de travail, ce n’est pas le cas pour la cadette. La peur de la stabilité de son emploi l’oblige à rester active, dans le respect des gestes barrières pour protéger les autres. « Le fait que rester cloîtrée à la maison ne fera que me fatiguer encore plus. Aussi je préfère rester active, mais en respectant les gestes barrières, et surtout en gardant une grande distance avec les autres », souligne-t-elle.
Pour cette dernière, il n’y a aucun autre moyen que d’apprendre à vivre avec la maladie et de respecter les gestes barrières. « Aujourd’hui, je suis en télétravail, mais je le fais de sorte à ne pas sentir le fait que je suis confinée. On apprend juste à vivre avec la maladie, en suivant les traitements et en vivant chaque jour aussi normalement que possible », conclut--elle.
Les Barea se sont inclinés sur le lourd score de 4-0 sur la pelouse de Bahir Dar face à l’équipe des Antilopes visiblement mieux préparée.
« Nous avons perdu puisque nos adversaires ont été plus forts que nous ». Les mots du sélectionneur des Barea, Nicolas Dupuis, lors de la conférence de presse d’après match sur la page de la Fédération Malgache de Football, en disent long sur la raclée que ses hommes ont prise en Ethiopie. Les coéquipiers du capitaine du jour Lalaina Nomenjahary ou Bolida ont subi la loi des Antilopes, lors de la 5ème journée de la qualification à la CAN, se mettant par la même occasion en difficulté pour la course à la phase finale. Le score est sans appel : 4-0. La rencontre était pliée dès les premières 45 minutes. Les Ethiopiens ont montré leurs intentions dès les premières minutes avec une volonté manifeste de faire le jeu au contraire des Malgaches qui rendaient trop le ballon.
Un laxisme criard
Les Antilopes ont fini par trouver la faille à la 18ème minute par Gebremichael, profitant d’un laxisme criard de la défense Malgache. Récupérant une passe dans la surface de réparation, il a ajusté Melvin d’une frappe imparable. Malgré l’ouverture du score, les Ethiopiens ont continué à mettre le pied sur le ballon, ne laissant aux Malgaches que des miettes comme ce contre rondement mené qui a fini, par une frappe, dans le petit filet du revenant Faneva Ima. Les Malgaches vont se faire punir une seconde fois, cette fois sur coup franc, plein axe aux abords de la surface à la 34ème, tiré par Kedebe Gibeto et détourné par le mur. Les Barea sont dans les cordes avec une possession de 74% en faveur des locaux. Quatre minutes avant la pause, les hommes de Nicolas Dupuis vont se faire une nouvelle fois surprendre par Ahmed…c’est le troisième but pour l’Ethiopie.
Charnière expérimentale
Les absences de Morel et Fontaine se sont lourdement fait sentir lors de ce match. La charnière centrale « expérimentale », composée de Gervais et de Pascal n’a pas tenu le rang. En deuxième mi-temps, les Malgaches ont essayé de réagir mais sans succès, par Carolus à la 72ème, qui a préféré tirer sur le gardien de but, au lieu de servir Ramalingom, et par Abdallah à la 74ème, qui n’a pas réussi à la mettre au fond après un débordement de Methanire, sur le côté droit. C’est finalement Bekel Godo qui va sceller la victoire des siens à la 86ème minute.Â
Si le coach Nicolas Dupuis affirme que l’Ethiopie mérite sa victoire, la main du gardien de but éthiopien Teklemariam Shanko Balcha lui est restée en travers de la gorge. « Par contre, nous avons remarqué un fait de jeu, une flagrante erreur de l'arbitre qui aurait dû donner un carton rouge à la main volontaire du gardien adverse, en dehors de la surface de réparation. Ça aurait pu faire basculer le match en notre faveur s’ils avaient perdu leur gardien, même à 2-0 », lance le sélectionneur, non sans amertume.
Avec cette victoire, les Ethiopiens se hissent provisoirement à la tête du groupe K avant le match Cote d’Ivoire-Niger vendredi. Quoi qu’il en soit, les Malgaches n’ont plus leur destin entre leurs mains.
André Ranaivoson a commencé à travailler l’argile pour en faire des statuettes depuis 1986. C’était un moyen de développer l’imagination selon lui, raison pour laquelle il en a fait son métier. Des statues religieuses, des articles de décoration intérieure et de décorations de jardin, sculptés à la main et vendus au bord de la route nationale 7. Actuellement, toute la famille travaille avec André dans son atelier. Les statues sont vendues à partir de 500 ariary jusqu’à des millions d’ariary selon la taille et la dimension des commandes, explique-t-il.
Nanomboka tamin’ny taona 1986 no nisehatra tamin’ny fanamboarana sarivongana vita amin’ny tanimanga i Ranaivoson André. Tamin’ny alalan’ny aingam-panahiny no namoronany ity asa ity ary izy no voalohany nanao izany teo amin’ny kaominina misy azy. Sarimasina, sarivongana hanaingona trano sy zaridaina, ireo amin’ny ankapobeny ny zavatra ataony ary aranty sy amidy eo amin’ny tsenany manamorona ny lalam-pirenena izany. Miara-misalahy manao izanyamin’izao fotoana izao ny fianakaviany ary samy mandray anjara amin’izany na ny lahy na ny vavy.
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