Les éleveurs commencent à s’orienter vers l’utilisation de la provende naturelle dans leurs fermes à Diego-Suarez. On peut trouver sur place une partie des matières premières pour l’élaboration de provende, mais il y a ceux qui sont importés de la capitale, c'est le cas de « concentré » par exemple. Voulant s’investir dans le secteur élevage, en particulier, des poulets améliorés, Jean Narcisse s’occupe lui-même de la préparation de provende afin de nourrir sa bassecour.
Manomboka mamokatra ny sakafom-biby natoraly ireo mpiompy eto Antsiranana, indrindra ireo miompy akoho gasy hatsaraina. Ny fanaraha-maso ny sakafo sy fahasalamana ary ny toerana atorian’ireo akoho ireo no antoky ny fitomboany araka ny tokony ho izy hoy Jean Narcisse, mpiompy akoho gasy hatsaraina eto Antsiranana.
Matsiatra Ambony: Une cérémonie d’inauguration de la nouvelle bibliothèque, organisée par l’association Fitarikandro Ambalavao a eu lieu le 1er septembre.
Diana : Le CRCO a décidé de ne pas faire payer les tickets de location d’emplacements aux marchands du marché à Bazarikely et de celui de la friperie à Tanambao IV, durant ce mois de septembre.
Atsimo Andrefana : Les matériels sanitaires pour la lutte contre la covid-19 sont arrivés dans le service de la santé publique du district de Betioky Atsimo et d’Ampanihy Ouest durant la fin de la semaine dernière.
Melaky : Les sujets d’examen du CEPE pour les CISCO de Morafenobe et d’Ambatomainty sont déjà arrivés le 1er septembre. Ceux du CISCO de Maintirano et d’Antsalova sont prévus d’arriver ce jour.
Matsiatra Ambony : Nahazo toeram-pamakiam-boky vaovao ny ao Ambohijafy Andrefana Ambalavao ka ireo ankizy sy tanora sahirana no tena tarihina ho liana amin’izany.
Diana : Nanapa-kevitra ny CRCO any an-toerana fa tsy ampandoavina haban-tsena ireo mpivarotra ao Bazarikely sy ao amin’ny tsenan’ny friperia ao Tanambao IV mandritra ny volana Septambra .
Atsimo Andrefana : Efa tonga any amin’ny sampan-draharaha misahana ny fahasalamam-bahoaka ao amin’ny distrikan’ny Betioky Atsimo sy Ampanihy andrefana ny faran’ny herinandro teo ireo fitaovana entina hiadiana amin’ny valanaretina coronavirus.
Melaky: Efa tonga omaly ny laza adina CEPE ho an’ny CISCO Morafenobe sy Ambatomainty. Ho tonga androany ihany koa ny an’ny CISCO Maintirano sy Antsalova.
Alliance française de d’Antsiranana : Les examens du DELF et du DALF sont maintenus en dépit du confinement partiel .
Féminisation des noms de métiers : quels sont les enjeux ?
L’IFM lance le Biblio’drive.
Le crowdfunding, une piste de financement ouverte pour les nouveaux projets.
Les effets du voyage sur le développement de l’enfant.
Ny fahitan’ireo mpianatra nanala CEPE ny laza adina.
Fiantraikan’ny covid 19 eo amin’ny toe-karena : miandrandra fanafohanana ara-ketra ho an’ny taona 2021 ireo mpandraharaha amin’ny sehatra tsy miankina.
Mpitsara maromaro nivondrona mba hampahafantatra ny lalàna fototra ho an’ny olom-pirenena.
Ny fifampitaizana eo anivon’ny fiaraha-monina no mahatonga ny tanora sahirana rehefa manoratra amin’ny teny gasy.
Bilaogy natokana ho an’ny fanabeazana sy ny asa tanana.
« La clef de la réussite, ce sont les relations » est une phrase que l’on entend souvent. Mais qu’entend-on exactement par « relations » ? Des représentations positives tournant autour de ce référent pourraient, en effet, faire pencher la balance pour certains, alors que pour d’autres cela pourrait être vu comme une forme de népotisme ou de favoritisme. Pour ce débat, nous avons invité Mialy Sombiniaina Rakotondrasoa, responsable en communication au sein de YMCA Madagascar et Andry Ramilijaona, directeur de la bonne gouvernance et de la lutte contre la corruption au sein de la commune urbaine d’Antananarivo.
« Tsy tafavoaka hono raha tsy mahafantatra olona » izay no re matetika eny amin’ny sehatry ny asa eny. Mety ho fiangarana, na kitranoantrano no andikan’ny sasany an’izay fa mety midika fotsiny ihany koa izay hoe « fahalalana olona » izay ho fivelarana eo amin’ny tontolon’ny asa. Rakotondrasoa Mialy Sombiniaina, tompon’andraikitry ny serasera eo anivon’ny YMCA Madagascar sy Ramilijaona Andry, tale ny tsara tantana sy ny ady amin’ny kolikoly no hiady hevitra ato anatin’ny Ndao Hilaoeky.
La perception du scoutisme diffère selon les opinions. Certains avis lui confèrent une connotation positive, d’autres la considèrent plus comme un concept éducationnel plutôt péjoratif. Le stéréotype d’ « éducation exclusivement chrétienne » que la société donne au scoutisme alimente davantage les débats concernant ce mouvement. Comment définir précisément le scoutisme et pour quelles raisons certains parents s’y opposent ?
Seha-panabeazana kristianina. Izay no hahafantaran’ny fiaraha-monina ny skoto eto Madagasikara. Raha tena zohina anefa, mivelatra kokoa ny tena famaritana ny « skoto ». Mizarazara ny hevitra mikasika ny skoto, ao ireo mahita fa tsara ho an’ny tanora io fikambanana io ary ao koa ireo manohitra izany.
Un examen officiel de fait pour ces écoliers de la capitale. Le soulagement s’est lu sur les visages à la sortie des centres d’examens, aussi bien des parents que des enfants.
Star. Tsanta, 11 ans était la star de sa famille aujourd’hui. En plus de son père, de sa mère et de son petit-frère, ses grands-parents paternels, une tante, un oncle et deux cousins sont venus la chercher à la sortie du collège Saint-François Xavier. « Je suis heureuse de les voir ici », lance-t-elle. La petite fille de 11 ans a vécu une journée assez intense ce mardi 1er septembre 2020. Une journée qui a commencé à 5h10. Comme pour plus de 29.000 écoliers de la circonscription scolaire d’Antananarivo, Tsanta a passé le premier examen officiel de sa vie.
Loin des péripéties autour de l’organisation de cet examen à cause de la covid-19, elle s’est préparée minutieusement à ce rendez-vous. Cela ne l’a pas empêchée d’avoir le trac ce matin, à la vue du centre. « J’ai eu la nausée avant d’entrer dans la cour », raconte-t-elle. Sa mère qui l’a accompagnée à l’intérieur indique qu’elle s’est calmée à la vue de visages familiers. « Des camarades de sa classe étaient dans le même centre. Lorsque je suis venue lui apporter son déjeuner à midi, elle était apaisée ».
Vacances
Pour ce qui est qui est des épreuves, Tsanta préfère afficher la prudence. « C’était abordable mais j’ai eu du mal avec le tantara sy fanabeazana ary fampivelarana ny maha olo-mendrika », indique-t-elle.
Rado et Ntsoa, deux cousins tous deux âgés de 10 ans se veulent plus confiants. « C’était facile, en général. Le problème était peut-être un peu difficile », selon Rado. Les deux garçons ont passé leur CEPE au CEG Antanimena. Pour sa part Ntsoa a déjà la tête en vacances. « Nous irons à la campagne », déclare-t-il.
Le ministère de l’Education nationale indique que 96% des inscrits ont répondu présents. Une école privée a fait savoir que des parents ont préféré ne pas envoyer leurs enfants par peur du coronavirus. La correction des copies débutera immédiatement fait savoir le ministère qui annonce des résultats après une semaine.
Au même titre que l’alcool et le tabac, les nouvelles technologies représentent également aujourd’hui une autre forme d’addiction qui concerne surtout les jeunes. La Digital Détox est un moyen permettant de s’en défaire petit à petit.
Effets néfastes des écrans de smartphones sur les yeux, impacts des fréquences hertziennes sur la santé… ; il existe de nombreux problèmes liés à l’utilisation excessive de la nouvelle technologie, dont l’addiction. « L’addiction à la technologie vient surtout du fait que les avancées offrent de nombreuses possibilités et deviennent une partie intégrante du quotidien », explique Holitiana Rajaonarivony, psychologue clinicienne. C’est notamment le cas avec les smartphones, les tablettes ou encore les ordinateurs. Aujourd’hui, il existe une solution pour se défaire petit à petit de cette addiction : la Digital Détox.
Se déconnecter du monde digital
Le concept de la Digital Détox existe déjà depuis un bon moment dans d’autres pays, mais il est encore peu connu à Madagascar. Selon Anja Andriantsiresy, responsable auprès de la Ferme d’Ambohimanga, « À Madagascar, peu de personnes aujourd’hui connaissent et se préoccupent de ce qu’est l’addiction au smartphone ou à la technologie ». De fait, peu connaissent ce qu’est la Digital Détox et surtout quelle est son utilité et son importance. « L’idée est née du besoin ou plutôt de la prise de conscience des utilisateurs de smartphones et surtout de la “génération connectée”, quant à leur addiction », explique Anja Andriantsiresy.
Étymologiquement, la digital détox est une thérapie pour se détoxifier de tout ce qui est digital. « Il s’agit d’une retraite de déconnexion et surtout, dans le cas de celle proposée à la ferme d’Ambohimanga, une retraite pour se reconnecter avec soi-même et avec la nature », poursuit Anja Randriantsiresy. Le but est d’aider les personnes à se défaire de leur addiction à la technologie, notamment au smartphone. « Les personnes qui viennent participer à ces séances sont généralement celles qui sentent que leur addiction commence à grandir et veulent changer cela », explique-t-il.
Se reconnecter avec soi-même et avec la nature
« Pour ma part, un week-end digital détox m’a permis de complètement me déconnecter le temps de deux jours », explique un participant, qui a préféré garder son anonymat. Selon Anja Andriantsiresy, « les participants sont principalement des personnes qui ressentent le besoin de se défaire de leur addiction. Dès leur arrivée chez nous, les participants sont invités à déposer leur smartphone dans une boîte et à ne plus y toucher pendant le reste du séjour »
Mais un week-end digital détox, dans le cas de la Ferme d’Ambohimanga, permet aussi de se connecter avec soi-même et avec la nature. « Notre principale activité tourne autour de la Permaculture et nous proposons aux participants des activités qui s’y rattachent », explique le responsable. A la place du temps passé à être connecté, plusieurs activités sont proposées dont des séances de méditation, des séances de yoga, des ateliers de jardinage ou des ateliers en permaculture.
L’exception culturelle est une branche du droit international qui consiste à promouvoir et à protéger les œuvres artistiques nationales face à la propagation et à l’écoulement des œuvres internationales. D’une manière générale, les œuvres audiovisuelles ne sont pas considérées de la même façon que les autres marchandises sur le marché ou qui font objet d’échanges.
Vers 1945, les accords généraux sur les tarifs douaniers et le commerce (GATT) ont été signés, instaurant la liberté d’échanges. Mais ces accords ont prévu des clauses de sauvegarde, en l’occurrence, le droit d’un pays de hausser les droits de douanes sur les produits audiovisuels étrangers. Ces clauses de sauvegarde n’ont pas plu aux Etats Unis d’autant plus qu’à cette époque, le cinéma américain a connu un essor fulgurant. Mais la plupart des pays européens se sont rassemblés pour protéger les œuvres européennes. D’où la naissance de l’exception culturelle, aujourd’hui garantie par l’Unesco.
Selon Mampiray Solofoniaina de Musichall Madagascar, il faut que Madagascar considère cette pratique pour promouvoir les produits audiovisuels de nos artistes. De surcroît, ce système crée des revenus à ces derniers.
Sur ce point, Planeta Koltoraly offre divers programmes de formation musicale, adaptés aux besoins et aux habitudes des élèves musiciens, selon les explications de Silo Andrianandraina, artiste et parmi les formateurs. Planeta Koltoraly propose actuellement des cours en salle à Antananarivo et à Antsirabe, mais les formations sont également disponibles en ligne.
Ny « exception culturelle » dia lalàna iraisam-pirenena napetraka mba hiarovana sy hampiroboroboana ny zava-kanto ao anatina firenena iray. Ao anatin’izany dia omena lanja ny zava-kanto eto an-toerana ka tsy ampitoviana tantana amin’ireo entana ara-barotra isan-karazany hita eny an-tsena. Ara-tantara, dia nentina hiarovana ny sinema frantsay manoloana ny fitobaky ny sinema amerikanina izy io tany amin’ny taona 1945 tany ho any. Taty aoriana dia nitarina tao Eoropa ary amin’izao efa tohanan’ny Unesco izany.
Mamporisika ny fampiharana azy io eto Madagasikara i Mampiray Solofoniaina avy ao amin’ny Musichall Madagascar, satria ankoatra ny fiarovana ny zava-kanto malagasy, dia mampiditra vola ho an’ny mpanakanto ihany koa izany.
Eo amin’izay indrindra dia mampianatra mozika sy zava-kanto ny Planeta Koltoraly izay hita eto Antananarivo sy any Antsirabe. Anisan’ny mampiavaka azy ny fampanarahana ny fampianarana araka ny hetahetan’ilay mpianatra hoy i Andrianandraina Silo.
Les frontières vont bientôt rouvrir. Il est temps de partir à la découverte de Madagascar. La Grande Île possède plusieurs destinations touristiques encore peu connues de ses habitants. Studio Sifaka en a sélectionné quelques-unes pour vous.
Le Massif du Makay
Le Massif du Makay est un massif montagneux situé au Sud-Ouest de la Grande Île, au nord de celui d’Isalo. Parfait pour les passionnés de randonnée, ce site s’étend sur une surface de 4.000km². Plus besoin de fantasmer sur les grands canyons de l’Arizona, désormais vous pouvez visiter ceux du Makay. D’ailleurs, il est conseillé d’être obligatoirement accompagné par un guide touristique au risque de se perdre dans cette immense surface. Cette destination est également connue pour sa biodiversité unique qui renferme une centaine d’espèces endémiques comme le fameux Propithecus verreauxi, plus communément appelé Sifaka.
Les villages des Zafimaniry
Si vous passez par la RN7 vers Fianarantsoa, n’oubliez pas de vous arrêter à Ambositra pour découvrir les villages Zafimaniry. Pour la petite histoire, les Zafimaniry sont connus pour leur parfaite maîtrise de la sculpture en bois. D’ailleurs, « le savoir-faire du travail du bois des Zafimaniry » est inscrit sur la liste du patrimoine culturel immatériel de l’humanité de l’UNESCO depuis 2008. Les villages se situent à 40km de la ville d’Ambositra et à partir de là ne sont accessibles qu’à pied. Antoetra, Faliarivo, Ifasina et Sakaivo sont connus pour leurs maisons en bois entièrement sculptées selon les croyances et valeurs des Zafimaniry. Bref, la destination parfaite pour, en même temps, faire de la randonnée et découvrir de nouvelles cultures.
Des plages à découvrir
Qui dit vacances dit aussi soleil et tropique ! La presqu’île d’Anjavavy, située au nord de Majunga, est la destination idéale si vous souhaitez bronzer au soleil. Sable fin, mer turquoise et, en bonus, une réserve naturelle bordée de baobabs pour une ballade romantique. Si vous êtes plutôt pour les sports en mer, cap vers le Sud de Madagascar à Libanona, à seulement quelques minutes de Fort-Dauphin. En plus de ses kilomètres de sable blanc et de sa mer émeraude, Libanona offre aussi de bonnes conditions pour faire du surf.
Bonne route !
Avec la démocratisation des réseaux sociaux, de nouvelles personnalités ont émergé : les influenceurs. Au-delà des vidéos qui peuvent faire rire ou faire réfléchir, il y a ce qu’on appelle le marketing d’influence, une approche que les Malgaches découvrent progressivement.
Tefi, Antso Bommartin, « Izahay2Kely » (Tik Tok)… Ces noms ne sont plus à présenter dans le paysage des réseaux sociaux malgaches. Tefi compte à lui seul deux pages sur Facebook, la première ayant 118.000 abonnés et la seconde 13.000. Des chiffres éloquents pour un vidéaste humoristique qui a posté des vidéos juste pour s’amuser à ses débuts.
Le nouveau phénomène est, sans conteste, Joely dont l’ascension fulgurante n’a pas échappé à plusieurs utilisateurs de Facebook. En moins de cinq mois, ce jeune homme a su faire parler de lui à travers ses interprétations de théâtre radiophonique ou « tantara gasy ». « J’ai commencé avec les vidéos de tantara gasy sur mon compte personnel. Cela a tellement marché que j’ai été contacté par une agence de communication », explique Joely. Par la suite, il a figuré dans une publicité, toujours sur Facebook, pour une marque de biscuits. « Depuis, j’ai ouvert une page ». Le début
Potentiel
L'agence de communication IdeaMada s'intéresse justement à ce créneau. « Nous recrutons les influenceurs dans l’optique de les professionnaliser », explique la co-gérante de l’entreprise, Vania Rasaminanana, avant de souligner que l’agence travaille uniquement sur la partie digitale avec ces influenceurs. Elle les propose auprès de la clientèle qui peut être des entreprises ou des organismes. « En tant que clients, ces derniers vont les rémunérer pour relayer une information ou une cause », ajoute-t-elle. D’après Vania Rasaminanana le marketing d’influence est un concept assez nouveau à Madagascar. « Les grandes entreprises dépensent encore beaucoup d’argent dans les mass médias », lance-t-elle. Elle estime toutefois qu’être influenceur est un métier qui est en train de se développer. L’agence compte actuellement sur un pool de 28 influenceurs.
Aujourd’hui, il est encore difficile de connaître le retouru sur investissement des compagnie qui se sont lancés dans des partenariats avec des influenceurs. Il est également diifficile de savoir aussi combien ces derniers touchent. Les influenceurs augmentent. Seul le temps pourra déterminer si ce métier et bien un métier d’avenir. A suivre…
La pratique de l’école à la maison a pris forme à Madagascar durant le confinement. Pour cette nouvelle rentrée des classes, cette méthode séduit plutôt les parents et les écoles. L’école à la maison est-elle plus efficace que l’enseignement en classe en ce qui concerne l’éducation des enfants ? C’est le thème discuté dans « Ndao hilaoeky ». La traductrice-interprète Adrienne Rabemanantsoa nous partage ses vécus et ses expériences quant à cette pratique. Tandis que le jeune enseignant Mirindra Andriantsimiangy suggère plus d’accompagnement pour que cette méthode soit bien efficace.
Nampirona ireo ray aman-dreny sy ireo toeram-pampianarana tamin’ny fianarana any an-trano ny fihibohana. Manintona azy ireo ity fomba fiasa ity amin’izao fanomanana ny fidirana amin’ny taom-pianarana vaovao izao. Mety hampivelatra kokoa ny ankizy ve ny fianarana any an-trano mihoatra ny any an-dakilasy ? Izay no fanontaniana napetraka tao anatin’ny Ndao hilaoeky. Mizara ny niainany sy ny fivelarana azony tanatin’izay fianarana tao antrano fony fahekely izay, i Rabemanantsoa Adrienne, mpandika teny. Mandroso soso-kevitra ny amin’ny fampifandraisana ny ankizy amin’ny fiarahamonina hatrany kosa i Andriatsimiangy Mirindra, mpampianatra.