COVID-19 : Tous ensemble face au virus

ÉLECTIONS

Andrea Razafi

Andrea Razafi

La lumière est un élément essentiel quand on réalise un film. Elle dirige le regard du public sur ce qu'il doit voir dans une scène mais également sert à bien définir le contraste du film. Douce, dure, diffuse, etc. elle peut créer des sensations, voire de l'émotion dans le film. Les techniques d'installation de la lumière et de l'éclairage sont discutées entre le réalisateur et le directeur de la photographie bien avant le tournage.

 



Anisan'ny singa manome fihetseham-po ny jiro sy ny hazavana amin'ny fanatontosana sarimihetsika. Entina anavahana tsara izay tokony ho toerana maizina sy mazava ihany koa izy ary entina isarihana ny mason'ny mpijery amin'izay tokony ho jereny. Misy fomba ametrahana azy ireo jiro eo am-panatontosana ilay sarimihetsika mba ahatongavana amin'ilay fihetseham-po ilaina. Resahan'ny mpanatontosa sarimihetsika sy ny tomponandraikitra an'izay lafiny izay mialoha izany rehetra izany.

Plusieurs personnes utilisent encore le masque jetable en ce moment, les mêmes que ceux portés par le personnel de santé. Après utilisation, ils sont souvent jetés à la poubelle, et par la suite, ils atterrissent dans les bacs à ordure. Pourtant, cette habitude présente un risque de propagation du coronavirus et autres maladies.

En effet, les déchets ménagers sont encore manipulés par des gens, que ce soit par les sans-abris ou les éboueurs. Pour le cas d’Antananarivo par exemple, les ordures sont déversées à Andralanitra. Avant de les incinérer, les habitants aux alentours y récupèrent des objets, et souvent de la nourriture. Si l’un d’eux touche accidentellement un masque infecté, il pourrait lui aussi être contaminé par la Covid 19. Par conséquent, le premier réflexe à adopter est de ne pas jeter à la poubelle, ni les masques, ni les matériaux qui pourraient présenter des risques de contamination. « On a cette mauvaise habitude de jeter les couches et autres choses du genre partout alors qu’on pourrait s’en débarrasser en creusant une fosse pour les incinérer. C’est-à-dire une incinération à domicile », affirme le docteur Rachel Razanajoary.

La meilleure manière de se débarrasser d’un masque jetable est donc de l’incinérer. Le Service Autonome de Maintenance de la Ville d'Antananarivo ou SAMVA, la structure en charge de la collecte des déchets ménagers, sensibilise déjà la population à brûler directement les masques après usage au lieu de les jeter à la poubelle.

Depuis l'existence du coronavirus à Madagascar, des protocoles de traitement ont été élaborés pour soigner les malades. Le premier à base de chloroquine, le deuxième est la tisane Covid Organics. Depuis quelques jours voire des semaines, un troisième protocole est en gestation en partenariat avec l'OMS. Ce serait l'association de deux solutions injectables. Mais la question qui se pose : où en sommes-nous actuellement ?

Selon le  directeur des fournitures de soins du ministère de la Santé Publique, le Pr Zely Randriamantany, « c'est en phase de préparation ». En effet,  selon ses explications, en principe les essais cliniques sous forme d'injection devaient être déjà lancés mais « il y a encore des données sur les prérequis pour la surveillance des malades que nous attendons ». Le Pr Zely Randriamanantany a insisté sur la confidentialité du troisième protocole durant la conversation, tout en affirmant qu'il s'agit de médicament injectable.

Traitement au choix du patient

Mais en attendant sa mise en œuvre effective, et les informations y afférentes, lequel des trois protocoles les médecins utilisent pour soigner les malades du coronavirus ? « A l'hôpital, les médecins donnent le choix entre le CVO, le protocole habituel ou le protocole d'essais cliniques sur les injections. Si le malade choisit le troisième, on lui explique le rythme et l'administration injectable », soutient-il.

L'autre question qui se pose : pourquoi avoir choisi l'injection ? « Ce ne sont pas des médicaments qu'on a inventés. Ce sont des médicaments qui existent déjà. Donc, on suit les présentations proposées par les firmes pharmaceutiques. Ce ne sont pas nous qui décidons de les mettre en suppositoires, en solutions buvables, en injection ou en comprimés. Quand ces firmes disent que ce sera des suppositoires, ce sera des suppositoires, quand elles disent que ce sera des injections, ce sera des injections sinon ça va pas marcher », assure-t-il. Toutes les autres informations attendent le feu vert de l'OMS. A suivre. 

mercredi, 10 juin 2020 11:54

Journal du 10 juin 2020

Où en sommes-nous avec les essais cliniques sur les injections ?

Les masques jetables doivent être incinérer.

Comment reconnaitre qu’un téléphone est original ?

Créer dans un futur proche un vaste réseau de journaliste d’investigation, c’est l’objectif du  Team building  des journalistes du réseau Malina et ceux du réseau Trandraka.



Manana tombony ara-pahasalamana ny mpanao fanatanjahantena amin'ny ady amin'ny COVID19.

Isan'ireo 10 mendrika indrindra manerantany tamin'ny fifaninanana Prix Equateur 2020 ny VOI TAMIA Antsirabe.

Mahaliana tanora malagasy maro manerantany ny fifaninanan-kira « Gasikara Midera ».

BOKY MITETY VOHITRA, sehatra famakiana boky ho an'ny ankizy manana fahasembanana. 

Malagasy miatrika ny coronavirus any ivelany : manao ahoana ny ao Gabon? 

Il existe très peu de données qui permettent d'évaluer la sensibilité des femmes enceintes à la Covid 19. Cependant ce que l'on sait, c'est que la femme enceinte subit des changements immunologiques et physiologiques pendant la grossesse.
Étant donné qu'à ce jour il n'existe aucun vaccin contre le coronavirus et que le covid organics n'est pas recommandé aux femmes enceintes, il est important pour elle de suivre les gestes barrières afin de se protéger du coronavirus pour éviter tout infection. 
Si vous êtes enceinte, lavez-vous régulièrement les mains avec du savon et de l'eau, éviter les personnes malades et les endroits trop fréquentés, ne vous touchez pas le visage, portez un masque et nettoyez votre chambre autant que possible.



Ny vehivavy bevohoka ve mora andairan'ny coronavirus kokoa? 
Tsy ampy ny antontan'isa ahafahana mamantatra ny vehivavy bevohoka manoloana ny Covid-19. Saingy fantaro fa misy fiovana goavana eo amin'ny vatany sy ny heriny rehefa mitondra vohoka ny vehivavy. 
Ka mety hampaharefo kokoa azy izany manoloana ireo tsimokaretina mikendry ny taovampisefoana, toy ny gripa na ny coqueluche. Izay no mahatsara ny fanaovana vakisiny fanefitr'ireo aretina ireo ny vehivavy mitondra vohoka. Et ces dernier peuvent la rendre plus sensibles et plus à risque de complications aux infections virales respiratoires, comme la grippe ou encore la coqueluche... c'est pour cela que les femmes enceintes doivent être vacciné contre ces deux maladies.
Hatreto aloha mbola tsy misy ny vakisiny hiadiana amin'ny coronavirus, ary ny covid organics ihany koa tsy azon'ny vehivavy bevohoka sotroina. Ny fiarovana tsara indrindra ho azy ireo izany dia ny fanajana ny fihetsika fototra na ilay atao hoe geste barrière. 
Raha mitondra vohoka ianao, diovy matetika amin'ny rano sy savony ny tananao. Fadio ny mandeha amin'ny toerana be olona, ary aza adinoina hatrany ny manao arotava sy manadio matetika ny ao an-tranonao. 

En plus d'être artiste, Mirado est aussi un défenseur des droits des enfants, et travaille étroitement avec l'UNICEF. Il se place comme porte-parole des enfants et se bat pour leur éducation.



Ankoatran'ny maha mpihira an'i Mirado dia mpiaro ny zon'ny ankizy ihany koa izy ary miara-miasa akaiky amin'ny UNICEF. Mijoro ho feon'ny ankizy izy, hampita ny fitarainana sy ny fangatahan'izy ireo, sy manosika azy ireo amin'ny fianarany.

La lecture est une activité qui n'est pas vraiment accessible à la plupart des enfants et des jeunes malgaches. Dans la capitale par exemple, il n'y a pas assez de bibliothèques. Et même les jeunes qui peuvent y aller ne trouvent pas beaucoup de livres à leurs goûts. L'association Ank'Izy a alors élaboré le projet Bibliobus : un bus rempli de livres et d'animateurs qui se rapproche des enfants des rues pour leur offrir l'opportunité de lire.

Le bibliobus est ainsi une bibliothèque mobile ayant pour objectif d'améliorer l'accès aux savoirs et aux connaissances grâce aux livres aux enfants des rues. Il faut noter que l'association a choisi les quartiers stratégiques de La Réunion kely, Andrefan'Ambohijanahary, Andravoahangy et Ambatomainty. Elle cible surtout les enfants vulnérables qui n'ont presque aucune occasion de se familiariser avec des livres. « Les enfants ont vraiment hâte que ce bibliobus arrive dans leurs quartiers. En plus, maintenant que nous avons plusieurs livres en malgache contenant des images c'est avec encore plus d'impatience qu'ils attendent », affirme le président de l'association Ank'Izy, Ranoelimanana Dimby.

Prendre le temps de lire dans le bus

Pour consolider ce projet, l'association collabore désormais avec l'Association pour la Promotion de la Lecture et de l'Écrit à Madagascar (APLEM). Cette dernière organise déjà des séances hebdomadaires d'animation sur la lecture dans 35 quartiers d'Antananarivo depuis deux ans. « Nos séances ne durent que deux heures par jour et cela ne suffit vraiment pas aux enfants. Ils en veulent plus ! Donc, nous apprenons aux jeunes et aux enfants à aimer la lecture. Puis nous les dirigeons vers les bibliobus où ils pourront lire davantage » explique la présidente de l'APLEM, Michèle Razafintsalama.

Le bibliobus aurait déjà dû arriver dans les rues de Tanà depuis quelques temps. Cependant, il a été pris de court par la crise sanitaire. Les responsables espèrent le lancer dès que la situation le permettra. Il sillonnera les quartiers mentionnés plus haut tous les mercredis après-midi et samedis matin.

 

mardi, 09 juin 2020 12:14

Journal du 9 juin 2020

Est-ce que la dépréciation de l’Ariary est forcément mauvaise pour l’économie ? 

Comment les jeunes assurent-ils la sécurité en ressource en eau ?

Qu'est-ce que le bien-être exactement ?

Le freelance dans le secteur du web pendant le confinement peut-être productif ou pas.



Tapitra ny taom-pilalaovana 2020 ho an’ny Rugby Afrika.

Mirona any amin’ny fikarakarana volo ho natoraly ny tanora.

Haiady taekwondo : Tsy misy ny fifaninana fa mitohy kosa ny fampiofanana ireo atleta amin’ny taranja taekwondo Itf.

Ny niatrehan'i Rakotonirina Njara ny fihibohana tanteraka tany Congo.

176 travailleurs malgaches en provenance de Koweït ont été rapatriés ce lundi 8 juin 2020. Ils seront mis en quarantaine pendant 14 jours à Antananarivo, dans deux hôtels différents. En plus d’une surveillance stricte, un accompagnement psychologique leur est également proposé. En effet, quelques-unes se révèlent être victimes de violence psychologique et/ou physique pendant leur séjour au Koweït.



Tafody teto Madagasikara ireo mpiasa malagasy avy any Koweit, miisa 176, ny alatsinainy 8 jona 2020 teo. Izy ireo dia efa nahatapitra ny fe-potoana tokony nijanony any ivelany ka nangataka hody tamin’ny ministeran’ny raharaham-bahiny, na dia mbola mihidy aza ny sisintany malagasy amin’izao fotoana izao. Atoka-monina mandritra ny 15 andro izy ireo alohan’ny hampodiana azy any amin’ny fianavakaviany sy ny fiaraha-monina misy azy.

mardi, 09 juin 2020 11:54

Sandrify : Hainteny et Sôva

Les ethnies à Madagascar ont chacune leur littérature orale. Il y a le « hainteny » pour les Merina, le « sôva » pour les Tsimihety ou encore le « tôkatôka » pour les Betsimisaraka. Mbato Ravoloson, un spécialiste de la littérature orale et acteur de théâtre nous explique les spécificités du « hainteny » et du « sôva ».



Samy manana ny mampiavaka azy ny literatiora am-bava isam-poko eto Madagasikara.

Ohatra ny hainteny ho an’ny merina, ny sôva ho an’ny Tsimihety, ny Tôkatôka ho an’ny Betsimisaraka sy ireo maro hafa. Samy manana ny mampiavaka azy ireo ka ny mikasika ny « hainteny » sy ny « sôva » no hazavain’i Ravaloson Mbato, mpandalina ny literatiora am-bava sady mpilalao tantara an-tsangana.

Les médecins sont divisés sur la question à propos des anti-inflammatoires. D’après certains, la prise d’ibuprofène et de la cortisone peuvent accélérer le développement de la covid 19. Aucune donnée clinique n’appuie cette théorie. Cette dernière à même provoqué une confusion considérable et est l’objet d’une controverse au sein de la communauté médicale. Il est recommandé de ne pas en consommer si vous avez de la fièvre et que vous soupçonnez que ce symptôme soit lié au coronavirus. En attendant des études complémentaires, privilégiez le paracétamol. Et suivez les conseils de votre médecin.



Marina ve fa ny fihinanana ibuprofene dia mampihombo ny soritr'aretina coronavirus? Mbola mizarazara ny hevitry ny mpitsabo manodidina ny fanafody anti inflammatoire. Ny sasany milaza fa ny ubiprofene sy ny cortisone dia manafaingana ny fihanaky ny coronavirus ao anaty vatan'olombelona iray. Hatreto anefa mbola tsy misy voka pikarohana manamarina izany. Saingy raha misy tazo ianao ary manahy fa mety ho soritr'aretina coronavirus izany. Mandra piandry ny valin'ny fikarohana, aleo aza paracétamol no hoanina. Saingy ny tsara indrindra dia ny fanarahana ny torohevitry ny mpitsabo anao.

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