COVID-19 : Tous ensemble face au virus

Programme intégral

Karine Manoa Linda

Karine Manoa Linda

Une année est passée après la première déclaration télévisée du président quant à prise des mesures sanitaires face à la COVID19. En 2020, plusieurs écoles privées ont dû fermer leurs portes et n’ont pas pu terminer le programme scolaire face au confinement.

Le même scénario que celui de 2020 serait-il à craindre pour les écoles privées, mais aussi pour les jeunes élèves de ces établissements ? Depuis quelques semaines, chacun est sur le qui-vive face à la hausse des cas de contamination et l’apparition d’une nouvelle variante de la COVID-19. Certes, un reconfinement ne figure pas encore au programme. Mais rien n’est moins sûr. Les parents d’élèves se questionnent quant à la suite de l’année scolaire de leurs enfants. Certaines écoles privées ont déjà terminé 75 % de leur programme scolaire.

La précédente année scolaire a servi de leçon

Pour de nombreuses écoles privées, la crise qu’a engendrée le premier confinement a servi de leçon. Pour rappel, l’année scolaire s’est terminée brusquement pour nombreux établissements, surtout ceux qui n’ont pas pu mettre en place un système de téléenseignement. Mais depuis le début de l’année scolaire 2020 – 2021, pour de nombreux établissements la priorité a été de revoir leurs méthodes. « Pour notre cas, qu’il y ait ou non confinement à nouveau, le programme scolaire est quasi terminé », indique Solofomanana Harivelo, directeur du collège privé Bright School du côté d’Anosibe. Selon ce responsable, le cas est le même pour toutes les classes. « Nous en sommes maintenant à 75 % du programme scolaire pour toutes les classes », indique-t-il.

Le cas est le même pour l’école Les Chérubins du côté d’Ampitatafika. Selon Dominique, directeur de cet établissement, le ministère de l’Éducation nationale a déjà mis en place un programme scolaire calé à la semaine près pour toutes les écoles privées. « Dans notre cas, nous suivons ce programme à la lettre, parce que l’objectif est de faire que toutes les écoles puissent être au même niveau quant au programme scolaire », souligne-t-il.

Les mesures sanitaires sont renforcées

Par ailleurs, les mesures sanitaires ont été renforcées pour certains établissements, afin de protéger au maximum les étudiants. Dans le cas du collège Bright School par exemple, la direction a pris la décision de départager les élèves en deux groupes. « Le premier groupe aura classe chaque matin et le deuxième chaque après-midi. Ce qui nous permet de respecter la distanciation même en classe », souligne le directeur Solofomanana Harivelo. En outre, les DLM ont été renforcé et le port de masque est obligatoire, selon ce responsable.

Le cas est le même pour l’école les Chérubins. « Cela peut paraître assez paranoïaque peut-être, mais nous demandons directement aux parents de garder leurs enfants à la maison dès le moindre symptôme que ce soit », précise le directeur. Selon lui, il est plus qu’important de rester vigilant car il en va de la sécurité de toutes les personnes qui se rencontrent chaque jour dans l’établissement.

mercredi, 17 mars 2021 11:53

Journal des régions du 17 mars 2021

    • Toamasina : lisea 2 no mikatona noho ny fihanaky ny coronavirus
    • Vatomandry : olona 10 no maty noho ny fihinanana soka-dranomasina
    • Sainte Marie : ho tanterahina ny 15 hatramin’ny 18 jolay izao ny festival des baleines

 


    • Toamasina : 2 lycées ferment à cause de la COVID-19
    • Vatomandry : 10 personnes décédées suite à une consommation de tortue de mer
    • Sainte Marie : le festival des baleines prévu du 15 au 18 juillet 2021
mercredi, 17 mars 2021 11:52

Revue de presse du 17 mars 2021

    • Vaksiny COVID-19 : eo an-dalam-pandinihana ny mety handraisana izany i Madagasikara
    • Barea : vonona hiatrika ny lalao manoloana an’i Ethiopie
    • Lozam-pifamoivoizana fiara mitondra mpianatra : 3 no namoy ny ainy ary 6 naratra

  • Vaccin anti COVID-19 : Madagascar est en phase d’observation
  • Barea de Madagascar : fin prêts pour le match contre l’Ethiopie
  • Un accident de bus scolaire fait 3 victimes et 6 blessés
mercredi, 17 mars 2021 11:07

Le surnaturel dans la culture malgache

Apparitions, manifestations, fantômes et autres esprits font partie intégrante de la culture malgache. Ce sont les esprits des personnes décédées qui ne sont pas encore transformés en « Zanahary », c’est-à-dire en dieu et qui se manifestent à cause d’un sacrilège. Nous, êtres vivants ainsi que les esprits, nous trouvons tous dans le même monde, selon les explications de Josephin Andriandrainarivo, président de l’association « Manda atao aron’ny maha gasy ». Nous pouvons éviter ces apparitions en respectant les « fady » des lieux. Pour tout remettre à sa place, il faut des rituels.  Toky Gérard, auteur de théâtre radiophonique, nous explique comment il donne leurs caractéristiques aux fantômes et esprits dans les scènes de théâtre radiophonique.


Angatra, matoatoa, avelo, ao anatin’ny kolontsaina malagasy daholo izany. Fanahin’olona maty izay mbola tsy lasa Zanahary ireo no mimpoitra noho ny ota fady natao tamina toerana iray ohatra. Tontolo iray ihany no misy antsika sy ireo fanahy araka ny fanazavana nataon’i Andriandrainarivo Josephin, filohan’ny fikambana « Manda atao aron’ny maha gasy ». Azontsika sorohina ireny fisehoana ireny amin’ny fanarahana ireo fady amin’ilay toerana. Mba hamerenana azy amin’ny laoniny, misy ireo fombafomba fanao amin’izany. Etsy an-daniny, manazava kosa i Toky Gérard, mpanoratra tantara amin’ny onjam-peo, ny amin’ny fanomezany toetra an’ireo matoatoa sy fanahy any anaty tantara.

mercredi, 17 mars 2021 11:03

Sifflet du 17 mars 2021

    • Tsy afaka mandray anjara amin’ny fifanintsanana CAN i Théodin noho ny ratra nahazo azy
    • Mpilalao roa ihany aloha hatreto no tsy afaka mandray anjara amin’ny fifanintsanana hiakarana CAN
    • CAN U17 : nofoanana na efa nisy firenena tonga tany Maroc aza
    • Kanizat Ibrahim : vehivavy voalohany filoha lefitry ny CAF

  • Le capitaine de Fosa Junior, Théodin forfait aux éliminatoires à la CAN suite à sa blessure
  • Barea : 2 joueurs absents pour les éliminatoires à la CAN
  • CAN U17 : annulation de la compétition même si le Sénégal est déjà au Maroc
  • Kanizat Ibrahim : la première femme vice-présidente de la CAF

« Les jeunes sont l’avenir de la Nation », cette expression revient souvent. Pourtant, l’implication même des jeunes dans le développement de la nation reste jusqu’à maintenant assez difficile. C’est ce constat qui a mené Narindra Raelison, jeune travailleur social, à créer l’association Young Actives for Development. Cette jeune activiste partage avec nous la vision, les objectifs et les débuts de l’association.

Studio Sifaka : D’où vous est venue l’idée de créer l’association Young Actives For Development ?

Narindra Raelison : J’ai fait des études pour devenir travailleur social et j’ai toujours été passionnée par cette branche, surtout par le fait d’aider et de réaliser des actions au niveau sociétal pour parvenir à un développement de la société. J’aime également réaliser des actions ou faire du volontariat, et en 2017 nous avons créé une petite association. L’idée de départ était une simple initiative entre jeunes pour partager des lampions à l’occasion de la fête nationale. Pour financer ce petit projet, nous avons réalisé une collecte de fonds, aussi nous avons dû choisir un nom pour l’association, ce qui a mené à Young Actives. Par la suite, en vue de légaliser l’association nous avons étendu le nom à « Young Actives For Development ».

Vous êtes passé du stade d’actions sociales au départ à des actions plutôt tournées vers les jeunes aujourd’hui, comment s’est fait ce revirement ?

Le principe même du travail social est de mettre en place des activités ou des projets qui ont réellement un impact auprès des cibles. Cela devrait par la suite permettre à ces cibles de ne plus dépendre des aides, projets ou actions. C’est ainsi qu’en 2019, nous avons repensé notre stratégie d’action. En même temps, nous étions dans la phase de formalisation de l’association. Mais nous avons repensé nos objectifs en deux points : autonomiser et responsabiliser les jeunes. De fait, aujourd’hui, nous essayons de mettre en place des activités durables et qui permettront d’atteindre ces objectifs.

Comment identifiez-vous les activités, pour qu’elles aient réellement un impact et pour qu’elles soient aussi durables ?

En fait, c’est cette année que l’association va réellement lancer ces projets. Nous travaillons pour le moment dans la zone d’Anatihazo Isotry et nous avons deux projets qui attendent d’être lancés : le “Young’s life program” et le “social life program”. Ces programmes s’apparentent à nos objectifs, soit l’autonomisation et la responsabilisation des jeunes. Nous nous focalisons surtout sur l’implication des jeunes dans la réalisation de ces programmes. Ainsi, la première étape dans la conception a été l’enquête auprès des concernées, notamment les jeunes et les parents, pour identifier les problèmes sociaux. Lors des concertations, nous faisons tout pour inciter les cibles elles-mêmes à exposer leurs besoins. C’est la meilleure manière d’arriver à une implication effective de ces jeunes dans le programme.  

Mivory ao amin’ny kaominina ny ben’ny tanàna sy ireo mpanolo-tsaina hiresaka momba ny fanovana ny fitantanana tao amin’ny kaominina. Mitsipaka ireo vina natao tefy maika nandritra ny tsy nahateo azy I Stanislas. Manohitra azy kosa I Valitera milaza fa hitondra ho amin’ny fanarenana ny toe-karena haingana kokoa ilay fanovana fitantanana naroson’I Fredy. Tsy hanaiky izay naroson’I Fredy mihitsy I Stanislas. Tsy maintsy hotohizana ny efa natomboka hoy izy.


Le maire et les conseillers municipaux se réunissent dans les locaux de la commune.  Stanislas n’accepte pas le nouveau processus de gestion de la commune mis en place par Fredy. Valitera lui explique que ce nouveau système de gestion sera plus efficace pour arriver à un redressement économique. Stanislas est radical sur son point de vue, il veut à tout prix changer cette gestion.  

mardi, 16 mars 2021 13:48

Journal du 16 mars 2021

 

    • Mpiasa sosialy : nirotsaka an-tsehatra ihany na dia teo aza ny valan’aretina coronavirus
    • Ankizy miasa eo amin’ny gara Antsirabe : efa zatra mikarama ka sarotra ho an’ireo akany ny miahy azy ireo
    • Fitadidiana lesona amin’ny alalan’ny kilalao, hetsika ataona tanora ao Toamasina
    • «Etude d’impact environnemental » : ilaina mialohan’ny hanangana fotodrafitrasa

  • Adhérer à des associations ou des communautés plus expérimentées pour mieux gérer son enfant autiste
  • Les guides touristiques de la région Amoron’i Mania n’arrivent pas à redémarrer leurs activités
  • Tourisme : une baisse du nombre de visiteurs dans les aires protégées constatée
  • Dessins de presse : cela passe mieux avec un peu d’humour
  • Retour en force du groupe Mahaleo : certains jeunes restent impressionnés

mardi, 16 mars 2021 12:14

L’entrepreneuriat numérique

Orinasa misehatra amin’ny nomerika iray ao Fianarantsoa izay ahitana tanora mpahay informatika no namorona rafibaiko fivarotana tapakila an-tserasera. Tao anatin’ny fihiboana izy ireo no namorona ilay rafibaiko. Hatreto dia mbola tsy misy anarana izy io. Tanjona ny hanamorana ny fivarotana tapakila sy ny fitantanana ny hetsika, hampihena ny famoahana an-taratasay, ary koa mba hananana  traikefa arak’asa araka ny fanazavan'i Tolotsoa Nomenjanahary tanora ao anatin’ny ekipa. Mila fantarina mialoha ilay toerana hanaovana ny hetsika  mba ahafahana manao sary ilay toerana sy ahafantarana ny fipetrakin’ny seza, foronina  ny kaody QR-n’ny tapakila, alefa amin’ny alalan’ny tambajotra sosialy na amin'ny alàlan'ny mailaka ny tapakila, ary atao « scan » eo amin’ny fidirana amin’ny fotoanan’ny hetsika hoy i Francky Andrianirina Harisoa.  I Josué Ratovondrahona, tanora mpandraharaha amin'ny sehatra nomerika kosa miresaka amintsika momba ny fandraharahana nomerika ato anatin’ny fandaharana Ketrika sy kandra.


Une application de vente de billets en ligne a été créée par une entreprise de service numérique à Fianarantsoa, composée de jeunes informaticiens. Ils ont commencé à créer cette application durant la période de confinement. Jusqu’à maintenant, ils n’ont pas encore nommé cette application. L’objectif est de faciliter la vente de billets et la gestion d’événements, de diminuer le coût par rapport aux impressions et aussi d’avoir plus d’expériences entrepreneuriales, selon les explications de Tolotsoa Nomenjanahary,  jeune informaticien membre de l’équipe. Comment ça marche ? Il suffit tout d’abord d’avoir le planning de la salle, de créer le code QR du billet, d’envoyer le billet via les réseaux sociaux ou via mail, et le scanner lors de l’arrivée des clients à l’évènement, selon Francky Andrianirina Harisoa. A son tour, Josué Ratovondrahona, un jeune entrepreneur dans le service numérique, nous parle de l’entrepreneuriat numérique.

Depuis le début de la pandémie, les scientifiques ont démontré que le coronavirus interagit avec un récepteur qui permet au virus de pénétrer à l’intérieur des cellules. Trois types cellulaires sont concernés : le premier est au niveau des poumons, le deuxième au niveau des intestins et le troisième est au niveau de la cavité nasale. Cette dernière, une fois infectée par le virus génère une inflammation qui perturbe les nerfs présents à proximité. Cela expliquerait pourquoi un nombre important de personnes infectées à la COVID-19 ont perdu l’odorat.

 



Ahoana ny mahatonga ireo mararin’ny COVID-19 sasany tsy haheno fofona intsony ?

Nanomboka hatramin’ny niatombohan’ny valan’aretina, nanamarina ireo mpikaroka fa mifandray amin’ilay singa mpandray, izay varavarana hidirany ao amin’ny sela, ny coronavirus. Karazana sela 3 no voakasika amin’izany : ny voalohany eo amin’ny avokavoka, ny faharoa ao amin’ny tsinay ary ny farany ao amin’ny lavak’orona. Mamaivay ity farany rehefa mifampikasoka amin’ilay otrikaretina ary manimba ny hoza-dretsika ao amin’ny orona sy ny manodidina azy. Izay no mahatonga ireo olona marobe voan’ny coronavirus tsy hahare fofona intsony.


Vrai. Cela est le cas pour tous les vaccins en général. Pourquoi ? Les femmes ont généralement un niveau d'anticorps plus élevé que les hommes. Cette différence est plus marquée à l'âge adulte. Par ailleurs, une plus grande production d'anticorps implique une réponse plus forte aux vaccins.  Les scientifiques supposent qu'un facteur hormonal joue un rôle dans cette différence.  

En effet, les hormones féminines (œstrogènes et la progestérone) empêche le récepteur, porte d'entrée du coronavirus dans les cellules. À l'inverse, la testostérone, ralentit la production de cytokines. Ces dernières sont des molécules du système immunitaire qui jouent un rôle de messager semblable au rôle des hormones. Les cytokines entraînent l'inflammation qui va détruire les cellules infectées.

Les effets secondaires des vaccins anti-covid graves sont rares dans les pays qui ont commencé les campagnes de vaccination. À ce jour, il s'agit surtout de symptômes grippaux, tels que la fièvre, la fatigue, les maux de tête, les nausées, etc...


 


Ny vehivavy tokoa ve no tena mora handairan’ny vokadratsy ateraky ny vakisiny hiarovana amin’ny COVID-19 ?

Eny, marina izany. Mahakasika ireo vaksiny amin’ny ankapobeny mihitsy izany. Fa maninona ary ? Ny vehivavy tsinona, amin’ny ankapobeny, manana tahana hery fiarovana ambony kokoa noho ny lehilahy. Hita kokoa izany rehefa lehibebe iny ny olona. Etsy andaniny, ny famokarana hery fiarovana betsaka midika fa mila vaksiny mahery kokoa. Milaza ireo mpikaroka fa misy hidiran’ny tsirim-panentana no antony izany.

Marina tokona aloha fa ny tsirim-panentana vehivavy (ny œstrogène sy ny progestérone) no manakana ireo mpandray ny vaksiny, izay varavarana hidiran’ny coronavirus any anaty sela. Mifanohitra amin'izay anefa, ny tsirim-panentana lehilahy, ny testostérone, mampihena ny famokarana cytokines. Ity farany dia singa ao anaty ny hery fiarovana, izay mitovy anjara asa amin’ny tsirim-panentana. Ny cytokine no mahatonga fahamaizana izay mety hanimba ireo sela nidiran’ny coronavirus.

Vitsy izao ireo vokadratsy ateraky ny vaksiny miaro amin’ny Covid izay mitera-doza indrindra any amin’ny firernena izay nanomboka ny fanaovam-baksiny faobe. Hatramin’izao aloha, soritraretina manambara gripa toy ny fanaviana, harerahana, aretin’andoha, maloiloy no vokadratsy ateraky ny vaksiny miaro amin’ny COVID-19.


Manana ny toe-tany sy toetrandro takiany manokana ny fambolena voaloboka. Tsy dia mila rano be ny tany ambolena azy, mila an’ilay hatsiaka amin’ny ririnina iny ihany koa mba ahafahan’ny taomboaloboka matory na miala sasatra ary tsy ahitana raviny izy amin’izay fotoana izay. Isan’ny mamaly izany fepetra izany  ny faritra Matsiatra Ambony ary isan’ireo toerana  mamokatra voaloboka ny ao Ambalavao sy Alakamisy Ambohimaha. Aorian’ny fiotazana ny voan’ny voaloboka no manomboka ny asa fikarakarana ny tany raha ny nambaran’i Razafimaro André, tantatsaha mpamboly voaloboka ao Alakamisy Ambohimaha. Asiana voly avotra eny anelanelan’ny tanimboaloboka, any amin’ny volana aogositra no manao ny fanetezana, ary any amin’ny voalana janoary na febroary ny fiotazana raha ny fanazavany hatrany. Mampahafantatra ny asan’ny sommelier izay asa mifandraika amin’ny divay kosa i Andrianasaina Tatianah, sommelier avy amina orinasa iray  mpanodina divay ao Fianarantsoa ato anatin’ny fandaharana Ketrika sy Kandra.


La viticulture a ses propres exigences climatiques. Le sol n'a pas besoin de beaucoup d'eau, il a aussi besoin du froid de l'hiver pour que les vignes puissent se reposer et ne pas contenir de feuilles à ce moment-là. Les conditions climatiques de la région de Haute Matsiatra répondent à ces critères et le district d’Ambalavao et d’Alakamisy Ambohimaha font partie des zones de production. Selon Razafimaro André, un viticulteur à Alakamisy Ambohimaha, l'aménagement de terroir viticole commence après la récolte des raisins, la taille se fait en août, et les vendages en mi-janvier ou en février. La sommelière Tatianah Andrianasaina nous informe sur  le métier d'un sommelier, un travail lié au vin, dans  l'émission Ketrika sy Kandra.

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