COVID-19 : Tous ensemble face au virus

Programme intégral

Andrea Razafi

Andrea Razafi

Les masques sont devenus des accessoires importants et obligatoires en ce temps de pandémie. Les types de masques obligatoires ne sont pas définis. Chacun peut porter le masque de son choix que ce soit le type médical ou celui en tissu lavable.

Concernant les masques chirurgicaux, ils protègent de 95% à 98% des bactéries et des virus. En principe, ces masques sont utilisés par le personnel médical. Dans le contexte du coronavirus, ils sont également recommandés pour les personnes atteintes afin de limiter sa propagation. Cependant, ces masques ne sont pas accessibles au grand public à cause de leur prix variant de 1.000 à 2.000 ariary la pièce. Et il y en a même qui les vendent jusqu’à 5.500 ariary la pièce.

Quid de leur efficacité ?

L’information selon laquelle ces masques peuvent être lavés et réutilisés circule actuellement sur la toile, elle vient de l’enseignant-chercheur, Philippe Vroman. Mais pour le docteur Rachelle Razanajohary, les masques chirurgicaux sont faits pour être jetés, leur efficacité peut diminuer après un ou plusieurs lavages. Par contre, même lavés, ils protègent mieux que ceux en tissu. Dans le cas des usages médicaux, ces masques sont obligatoirement jetables.

Reconnaître les vrais des faux

Les masques chirurgicaux ne se vendent plus seulement dans les pharmacies. On en trouve actuellement dans chaque coin de rue et sur Facebook. Les prix d’une boîte de masque sur facebook varient entre 20.000 et 35.000 ariary. Des prix qui s’approchent de ceux affichés dans les pharmacies. Pour une meilleure efficacité, il faut bien faire la différence entre le vrai et le faux. Le vrai se distingue par l’existence des références qui sont inscrites sur la boîte. Soit NF EN 14683 ou NF EN 149. Donc si on achète par pièce, il est difficile de vérifier ces références.

mercredi, 23 septembre 2020 15:12

Egalité femme-homme : Focus sur les médias

L’ONU Femmes, entité des Nations Unies pour l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes, a procédé à une mise à jour des chiffres sur l’égalité femme-homme ce mois de septembre. Dans les médias, la présence des femmes en tant que sujets d’information est passée de 17% à 24%. Un chiffre insatisfaisant selon l’ONU Femmes. D’autant plus que seuls 9% de ces sujets parlent réellement d’égalité femme-homme et 4% des stéréotypes sexistes.

Les journalistes écrivent en fonction des actualités existantes

Un journaliste ne va pas toujours chercher des sujets sur la femme à traiter chaque jour explique Anny Andrianaivonirina, de l’association des femmes journalistes de Madagascar. Les actualités traitées dans les médias dépendent du contexte. « Nous n’allons pas exiger que 50% des sujets d’informations parlent exclusivement des femmes », souligne-t-elle avant d’ajouter « si nous allons traiter un sujet sur une vendeuse de charbon par exemple, nous allons parler du charbon et non de la femme. L’approche genre, c’est une chose que nous devons vivre chaque jour et il ne faut pas toujours raisonner chiffres mais qualité des articles ».

Saisir chaque opportunité

Les femmes sont présentes dans tous les domaines et à tous les niveaux de la société, mais à des proportions différentes. Les journalistes interagissent donc souvent avec des femmes tout au long de l’exercice de leur métier, que ce soit en tant que sujets d’information ou sources. « Le problème, c’est que plusieurs femmes n’osent pas parler d’égalité femme-homme face à la presse. Par contre, elles sont très dynamiques quand il s’agit d’autres problèmes de la société. Au cours de cette pandémie par exemple, ce sont surtout les femmes qui interpellent les journalistes en cas de soucis au sein de leur communauté », explique le président de l’ordre des journalistes de Madagascar, Gérard Rakotonirina. Il appartient donc à chaque journaliste et organe de presse de profiter de chaque occasion pour faire ressortir cette cause et la mettre en valeur.

mercredi, 23 septembre 2020 12:10

Journal du 23 septembre 2020

Antsirabe : Un nouveau centre de formation professionnelle pour les jeunes à Ambano.

Comment reconnaître une plateforme ou un site de paiement en ligne sécurisé ?

Intégration des jeunes dans les actions de plaidoyer.

Egalité femme-homme dans les médias : 24% des sujets d’informations parlent des femmes.



Miatrika ny fanadinana BEPC tahaka ny mpianatra rehetra ireo manana fahasembanana ara-pahitana.

Faradoboka bakalorea : Mety hiteraka fikorantanan’ny sain’ireo mpianatra ny fanatrehana izany raha tsy mitovy amin’ny tany amin’ny sekoly nihaviana ny fomba fampianarana amin’izy ireny.

Kaominina Antananarivo renivohitra : Nozaraina sokajy dimy ny vola aloa ny amin’ny tsy fanarahana ny fehezam-pitsipika ho an’ny fikoloam-pahasalamana.

Mety ho voan’ny Alzheimer ve ny tanora?

Mitaky ny hampitomboana ho 50% ny ampahan-ketra aloan’ny orinasa ao Nosy Iranja ny ben’ny tanàna any an-toerana.

mercredi, 23 septembre 2020 11:49

Kozio ahy : « Tary »

« Tary » est un terme utilisé par les jeunes pour désigner un «  jeune homme » soit un « mec » ou un « gars » en registre familier. Utilisé par les jeunes des haut-plateaux, ce terme était déjà utilisé avant les années 2000 et est encore actuellement très présent dans la société, dans les films ou les chansons malgaches. 



Ny hoe « tary » dia fitenin-jatovo entina hilazàna hoe bandy, na koa tovolahy. Ny tanora eto am-povoan-tany no mpampiasa azy io, ary efa tany alohan’ny taona 2000 tany no efa nampiasàna azy hoy Haja Andriamparany, mpikabary. Mbola ampiasaina eny amin’ny fiaraha-monina eny io fiteny io ankehitriny, na koa eny amin’ny hira na horonan-tsary samihafa eny. 

La mort fait partie de la vie et il arrive qu’on perde un proche, un membre de la famille, un collègue, un conjoint, ... Dans la culture malgache, si une personne perd son conjoint une seule fois, il n’y a rien de particulier à retenir. Mais si cela se répète, c’est-à-dire si elle perd son conjoint, se remarie et perd de nouveau le dernier, dans ce cas, l’on parle de femme « mafana tratra » ou d’homme « maranitra antsy ».

Selon les explications du traditionnaliste et astrologue, Herinjaka Varibolo, des malédictions jetées par les ascendants aux descendants peuvent expliquer ce fait. Il peut s’agir également d’un esprit qui vit à l’intérieur de l’homme ou de la femme et qui tue tous ses partenaires.

Face à ce genre de situation, la purification est essentielle, toujours selon Herinjaka Varibolo. Cela peut être effectué à travers des massages spirituels, des purifications dans des fleuves ou rivières ou encore d’un pacte.  

Toujours dans ce cadre, il est plus que loisible de prêter attention aux derniers mots d’un mourant. La famille et ses proches se doivent de les accomplir sous peine de malheurs ou de malédictions. Cependant, selon l’astrologue et traditionnaliste David Rakoto, les derniers mots d’un mourant ne doivent pas être accomplis s’ils vont à l’encontre des traditions, des us et coutumes.



Anisan’ny lalovan’ny olombelona ny fahafatesana, na izany ny ray aman-dreny, ny iray tampo, ny namana, ny zanaka, ny vady. Amin’ity farany ity kosa, raha maty vady foana ny olona iray dia antsoina hoe « mafana tratra » izy raha vehivavy ary « maranitra antsy » raha lehilahy. Anisan’ny antony mahatonga io, hoy ny mpahay fomban-drazana Herinjaka Varibolo, ny ozon-drazana izay mifindra amin’ny taranaka mandimby rehetra. Mety ho lolo mpirenireny eny rehetra eny koa io ka manambady ilay vehivavy na ilay lehilahy, izany hoe tafiditra ary mipetraka ao aminy ao ary mamono izay vadiny rehetra.

Manoloana izany trangan-javatra izany dia mila fanafahana ilay olona mafana tratra na maranitra antsy. Anisan’ny azo hatao, hoy hatrany, i Herinjaka Varibolo, ny mandroaka ily fanahy ratsy tsy hipetraka ao amin’ilay olona intsony amin’ny alalan’ny faditra, ny sorona, ny fanadiovana anaty rano mandeha, ny evoka, na ny fanorana.

Rehefa miresaka fahafatesana ihany koa dia matetika ny velona manontany ny fianakavian’ilay nodimandry ny hafatra napetrany, mba tsy hananan-tsiny. Mahavoan’ny tsiny tokoa ny tsy fanajana ny hafatry ny maty hoy ny mpanandro sady mpahay fomban-drazana, Rakoto David. Manoloana izay kosa nefa dia tsy tokony ho tanterahana ny hafatry ny maty izay mifanipaka na tsy manaja ny fomban-drazana, hoy hatrany izy, satria manjary very ny hasin’ilay fomba.

« Les langues des signes pour tous ! »  Tel est le thème de cette année pour le 23 septembre, journée internationale de la langue des signes. Cette dernière est un dispositif de communication parmi tant d’autres, particulièrement destiné aux sujets malentendants. Notre débat du jour porte sur la question : « Peut-on envisager d’intégrer la langue des signes dans le cadre scolaire à Madagascar ? » 

Fitasoa Noel Ravelosaotra, du centre d’éducation pour les enfants malentendants ou AKA.MA et Harilala Andriamahefa, directrice d’une école privée ont tous deux défendu la promotion de l’éducation inclusive à travers l’appui des spécialistes des langues des signes et l’adoption de ce langage par la société.



Ny 23 Septambra no hankalazana ny andro iraisam-pirenena ho an’ny tenin’ny tanana. Fiseraserana natao ho an’ireo manana olana ara-pandrenesana. Natao ho an’ny rehetra ny tenin’ny tanana, izay no lohahevitra amin’ity taona 2020 ity. Azo eritreretina eto amintsika ve izany hoe ampianarina ny ankizy any an-tsekoly ny tenin’ny tanana ? Fanontaniana napetraka tao anaty ny Ndao hilaoeky. Nandray anjara tamin’ny ady hevitra i Ravelosaotra Fitasoa Noel, avy amin’ny sekoly AKA.MA, akany fanmpianarana ireo ankizy manana olana ara-pandrenesana sy Andriamahefa Harilala, talen-tsekoly amina fianarana tsy miankina. Samy nanohana ny fampivelarana ny fanabeazana mampiaty amin’ny alalan’ny fampitomboana ireo matihanina mikasika ny tenin’ny tanana sy ny fianaran’ny fiarahamonina io fiteny io izy ireo.

mercredi, 23 septembre 2020 11:09

Vers un essai de phase III pour le CVO ?

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) signifie son soutien à la médecine traditionnelle en approuvant, dans un communiqué de presse, des essais cliniques de phase 3 de phytothérapie contre la covid-19. Une nouvelle que salue le Dr Charles Andrianjara, directeur général de l’Institut malgache de recherches appliquées (IMRA), à qui on doit la formule du Covid-Organics (CVO).

Malgré le scepticisme international et même auprès d’une partie de l’opinion malgache, le Président malgache a toujours juré par le CVO depuis le lancement de cette décoction à base d’artémisia dans la lutte contre la covid-19. En effet, si Madagascar n’a pas été le seul pays africain à proposer un remède, le CVO a été particulièrement repris par les médias avec des interprétations différentes.

Sécurité et efficacité

L’OMS a décidé de soutenir la médecine traditionnelle en indiquant, il y a quelques jours, dans un communiqué, qu’un comité d’experts de l’organisation, le Centre africain pour le contrôle et la prévention des maladies et la Commission des affaires sociales de l'Union africaine, a approuvé un protocole pour les essais cliniques de phase III de la phytothérapie pour la covid-19. D’après les explications, l’idée est d’évaluer la sécurité et l’efficacité des produits actuellement proposés. « Tout comme dans d'autres domaines de la médecine, une science solide est la seule base pour des thérapies de médecine traditionnelle sûres et efficaces, indique le Dr Prosper Tumusiime, responsable au bureau Afrique de l’OMS cité dans le communiqué. « Si un produit de médecine traditionnelle s’avère sûr, efficace et de qualité assurée, l’OMS recommandera une fabrication locale à grande échelle et rapide » peut-on aussi lire dans le document.

Grande population

Lors de son intervention télévisée, le Président malgache a annoncé une première livrée de la gélule CVO+ dans les prochains jours, la version améliorée de la tisane CVO. Pour le Dr Charles Andrianjara, l'annonce de l'OMS est une bonne nouvelle. « Nous remercions déjà l’OMS pour cela », souligne-t-il en ajoutant que le CVO a déjà passé les phases I et II qui consistent à se pencher sur la toxicité du produit et son efficacité. Le directeur général de l’IMRA a tenu toutefois à préciser que, par principe, dans un essai clinique, aucune donnée ne doit sortir durant le processus afin d’éviter les interprétations. Si les phases I et II sont surtout réalisées sur des volontaires, l’essai de phase III se fera sur une population beaucoup plus large.

Si vous avez été en contact avec un collègue contaminé ou qui présente des symptômes de coronavirus :

- Premièrement, parlez-en à vos supérieurs hiérarchiques afin qu'ils prennent les mesures nécessaires pour éviter la propagation de la pandémie au sein de votre lieu de travail.

- Deuxièmement, il est fortement recommandé de rester isoler 14 jours chez vous après votre dernier contact avec votre collègue.

- Et troisièmement, faites-vous tester au bout de 7 jours.

Pourquoi au bout de 7 jours ? Et bien parce que selon plusieurs virologues le « test PCR réalisé trop tôt peut être négatif alors que la personne est infectée ».



Inona no atao raha misy mpiara-miasa amiko voan'ny covid-19 ?

Raha efa nifampikasoka tamina mpiara miasa voa na misy soritraretina ianao :

- Voalohany. Resaho amin'ny lehibenao izany handraisany fepetra mba tsy hiparitahan'ny valan'aretina ao am-piasana.

- Faharoa. Tena mila mihiboka mandritra ny 14 andro any an-tranonao ianao taorian'ny fifampikasohana tamin'ilay mpiara-miasa voa.

- Fahatelo. Manaova fitiliana 7 andro taorian'ny fifampikasohana.

Fa maninona no hoe 7 andro aoriana ? Satria araka ny nambaran'ireo manampahaizana manokana momba ny tsimokaretina, mety tsy hamokatra ilay fitiliana raha aloha loatra no atao nefa ilay olona efa mety voa.

L’effet placebo est la sensation de guérison chez les patients. La psychologue Mihanta Ravelonarivo explique que cette sensation est due à la croyance et à l’impression que la simple prescription de médicaments exerce un effet de guérison sur le sujet malade. Par contre, l’effet nocebo est contraire au placebo. Le patient peut ne pas être guéri s’il pense que le médicament qui lui a été prescrit ne peut pas le soigner réellement.



Ny « effet placebo » dia fahatsapana fa sitrana avy hatrany rehefa marary ka nihinana fanafody. Tsy voatery ho nahazo fahasitranana eo noho eo anefa ianao fa mety ho fahatsapana fotsiny ihany izany. Araka ny fanazavan’i Ravelonarivo Mihanta, psikology, dia misy ihany koa ny mifanohitra amin’izany. Ilay atao hoe « effet nocébo ». Izany hoe fahatsapana tsy fahasitranana na dia tokony hanasitrana aza ilay fanafody.

mercredi, 23 septembre 2020 10:43

Journal des régions du 23 septembre 2020

Partie Sud : Les vagues peuvent atteindre 4 m ce 23 septembre, interdiction d’aller en mer.

Toamasina : La commune a procédé à la destruction des logements inappropriés autour du stade Barikadimy.

Ambohijoky, région Alaotra Mangoro : Des jeunes font appel aux dons pour reconstruire l’EPP d'Ambohijoky.

Diego Suarez : La réception technique du Jardin Place Kabary et du Jardin Cailla a eu lieu le 22 septembre.



Atsimon’ny Nosy : Mety hahatratra 4 m ny haavon’ny onja androany ka entanina ny mponina mba tsy hiandriaka.

Toamasina, faritra Atsinanana : Nanomboka nandrava ny trano miorina tsy ara-dalàna ao Barikadimy ny kaominina.

Ambohijoky, faritra Alaotra Mangoro : Mangataka tolo-tanana amin’ireo tsara sitrapo mba hanorenana ny EPP Ampany ny tanora maromaro.

Antsiranana, faritra DIANA : Natolotra ho lasa fananan’ny kaominina ny Jardin Place Kabary sy Jardin Cailla.

Les chercheurs et les professionnels en agronomie travaillent sur le mode d’emploi et d’utilisation des remèdes chimiques et des médicaments destinés à la consommation. Parmi ces scientifiques figurent les pharmaciens et les ingénieurs agronomes qui interviennent dans des secteurs différents mais complémentaires.

La jeune pharmacienne et également responsable de la maternité de Befelatanana, le docteur Anja Irina Ravelomanantsoa, explique les responsabilités d’un pharmacien hospitalier. Elle développe l’interdépendance du travail d’un médecin hospitalier et du pharmacien hospitalier. Par ailleurs, les ingénieurs agronomes sont également des professionnels du domaine pharmaceutique et chimique car ils font également des recherches sur la fabrication d’insecticides pour les cultures. Rovaniaina Briand Randriantsaramiafara, ingénieur agronome souligne l’importance de ce métier pour le développement de l’agriculture et de son projet professionnel.



Alohan’ny fihinana sy fampiasaina an’ireny fanafody ireny dia misy asan’ny mpikaroka sy manam-pahaizana maro izay miketrika ny fomba fampiasa azy. Ao anatin’ ireo mpisehatra ireo ny « pharmacien d’hôpital » sy ny « ingénieur en agronome », izay samy manana ny sehatr’asany fa samy mikirakira fanafody avokoa. Manazava ny fahasamihafana sy fifandraisan’ny asan’ny mpitsabo sy ny dokotera manam-pahaizana momba ny fanafody eny anivon’ny hopitaly ny mpiandraikitra ny fivarotam-panafody ao amin’ny tobim-piterahana Befelatanana, dokotera Ravelomanantsoa Anja Irina. I Randriantsaramifara Rovaniaina Briand kosa izay injenieran’ ny fambolena mikaroka momba ny fanafodim-bibikely hiarovana ny voly dia mizara ny anjara asan’ny injenieran’ny fambolena amin’ ny fampandrosoana an’io sehatra io. Mitondra ny vinan’asany eto Makagasikara koa izy rehefa vita ny fianarany ao Maorisy.

En général, les dents de lait apparaissent entre le 6 et le 8ème mois du bébé, selon les explications du pédiatre, le Dr Paul TATA. Des perturbations sur la sante du bébé peuvent apparaître en cette période de poussée dentaire. De ce fait, il recommande d’appliquer du miel à la racine des dents du bébé et surtout consulter un médecin.

De 3 à 6 ans, l’enfant peut consommer des repas consistants, explique Fanjaharitiana Ramanatsoa nutritionniste. On peut lui donner de la viande, des œufs, du poisson, des produits laitiers et surtout des légumes et fruits. L’alimentation d’un enfant est importante pour son développement car cela lui donne de l’énergie, développe sa mémoire ainsi que son cerveau.



Amin’ny ankapobeny, eo anelanelan’ny faha-6 ka hatramin’ny faha-8 volany ny zazakely no maniry nify voalohany araka ny fanazavan’i Dokotera Tata Paul, mpitsabo zaza. Mety hisy fikorontanana ny toe-pahasalamany amin’izay ka torohevitra tsara ny fanosorana tantely amin’ny vodinifin’ilay zaza fa indrindra ny fanatonana tobim-pahasalamana araka ny fanazavany hatrany.

Efa afaka mihinana sakafom-pianakaviana toy ny vary sy laoka ny zaza 3 ka hatramin’ny 6 taona, araka ny fanazavan’i Ramanantsoa Fanjaharitiana, mpahay ara-tsakafo. Tokony omena sakafo avy amin’ny biby toy ny hena, ny trondro, ny atody, ny sakafo azo avy amin’ny ronono fa indrindra ny voankazo sy legioma ny zaza amin’izay salan-taona izay araka ny fanazavany hatrany. Antoky ny fitomboan’ny zaza ny fisakafoanana satria mitondra tanjaka sy fahasalamana ho azy ary manatsara ny fitadidiany ihany koa.

Pour en savoir plus sur nos activités
M'inscrire à la newsletter