COVID-19 : Tous ensemble face au virus

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Karine Manoa Linda

Karine Manoa Linda

A part la perte d’appétit ou plutôt la perte de goût, les dents jaunies et tachées ainsi que la mauvaise haleine sont aussi des effets négatifs de la cigarette. Pourtant, même en arrêtant de fumer, les dents ne retrouvent leur blancheur qu’avec un petit coup de pouce.

Parmi les nombreux effets secondaires du tabagisme, l’atteinte de la santé bucco-dentaire est sans doute celle qui frappe premièrement au regard… et au nez. En plus de favoriser une halitose ou lamauvaise haleine, le tabac favorise les caries et parodonties et entraîne également le jaunissement des dents. Décider d’arrêter le tabac est déjà une étape, mais il faut encore prendre soin de ses dents pour pouvoir les retrouver blanchies comme avant. Voici quelques astuces :

#1 Le mélange bicarbonate de soude et citron

Grâce à son acidité, le citron aide à redonner aux dents leur blancheur facilement et favorise leur brillance. Plus encore, la vitamine C du citron renforce et assainit les gencives. La formule ? Environ 75 grammes de bicarbonate de soude à diluer dans le jus d’un demi-citron. Le mélange devra donner une consistance pâteuse dont on se servira deux à trois fois par mois pour se brosser les dents. Ce mélange ne doit pas s’utiliser plus de 4 fois sur le mois au risque d’abîmer l’émail dentaire, notamment à cause de l’acidité du citron.

#2 Le charbon de bois

Sans danger pour la santé, le charbon de bois est utilisé depuis de nombreuses années pour blanchir les dents. On l’utilise depuis des millénaires en Inde pour blanchir les dents. Plus encore, l’efficacité du charbon de bois peut se voir en seulement quelques jours d’utilisation. Le principe est d’ajouter un peu de poudre de charbon de bois au dentifrice avant de se brosser les dents. Il est tout aussi possible d’utiliser un coton-tige imbibé d’eau. On y verse un peu de poudre de charbon de bois avant de frotter les dents une à une en instant sur les tâches.

#3 Le sel de mer

Il s’agit bien sûr du sel iodé qui grâce à sa teneur en iode possède des propriétés antiseptiques et antifongiques. Le principe est simple, ajouter un peu de sel dans de l’eau tiède et utiliser ce mélange pour se brosser les dents 2 à 3 fois par semaine. Il est tout aussi possible d’utiliser le sel directement sur le dentifrice et de se brosser les dents avec le mélange. A noter toutefois que l’utilisation du sel ne doit pas se faire trop souvent car il risque d’abîmer les dents.

#4  L’huile de coco naturel

Oui, l’huile de coco naturel et pure permet également de blanchir les dents. Elle peut même aider à faire plus que ça, toutefois si le rituel ayurvédique est respecté à la lettre. Comment faire ? Il suffit de prendre chaque matin une cuillère à soupe d’huile de coco et de l’utiliser comme bain de bouche pendant 15 minutes. On utilisera de l’eau tiède avec un peu de sel pour le rinçage. Cette formule permet d’aider les dents à retrouver leur blancheur. Par la suite pour que le rituel sert aussi de détoxifiant, on le termine avec un verre de jus de citron qu’il faudra boire à la paille pour éviter le contact avec les dents.  

#5 Les aliments qui blanchissent les dents   

Sains, naturels et surtout pratiques pour retrouver une bonne santé après un sevrage, ces aliments permettent également de retrouver rapidement des dents blanches. Voici une petite liste non exhaustive de ces aliments :

  • Les légumes frais trempés dans du yaourt: carotte, céleri, chou-fleur… grâce à leur texture, ces légumes aident à polir la surface des dents. Ils stimulent également la production de salive qui viendra par la suite nettoyer la bouche. De plus, les légumes frais permettent de retrouver une meilleure santé.
  • Les fruits : notamment ceux qui ont un apport d’acide suffisant pour nettoyer les dents, à savoir l’orange, les cerises, les fraises, les pêches… L’ananas en fait également partie et il se reconnaît même comme étant un perturbateur de protéines à la surface de l’émail, réduisant la décoloration et les taches.
  • L’oignon : certes, l’haleine risque de perdre le reste de fraîcheur qu’elle a mais les dents pourront par contre retrouver leur blancheur facilement. Grâce au composé soufré qu’il renferme, l’oignon empêche la formation de plaque entre les dents.
vendredi, 12 mars 2021 14:43

Mangiky

« Mangiky » est le titre d’une chanson du célèbre chanteur D-Lain qui atteint aujourd’hui des milliers de vues sur YouTube. Mais ce n’est pas tout, c’est aussi une expression couramment utilisée dans la partie Sud de Madagascar utilisée pour évoquer le silence ou la solitude ou également le calme qui règne dans certains villages  reculés et enclavés. C’est ce dont on parle dans Kozio Ahy en compagnie d’André Resambany, un natif de Tuléar. 


Isan’ireo hira malagasy be mpijery indrindra ao amin’ny Youtube amin’izao fotoana izao ilay hiran’ilay mpanakanto D-Lain mitondra ny lohateny hoe « mangiky ». « Mangiky » dia teny fampiasa amin’ny andavan’andro any amin’ny tapany Atsimon’i Madagasikara any entina ilazana ny hoe « mangina ». Entina indrindra hamaritana ihany koa ireo tanana somary lavitra andriana sy vitsy mponina. Izay no hazavain’i Resambany André, monina ao Toliara ao ato anatin’ny Kozio Ahy.

vendredi, 12 mars 2021 14:06

Journal du 12 mars 2021

  • Mihagoragora ny fanajana an’ireo fepetra ara-pahasalamana eny amin’ny « Cybercafés » sasany eto Andrenivohitra
  • Inona no sarotra ao anatin’ny fitadiavana fizarana arak’asa ?
  • Hatraiza no fetran’ny dinabe manoloana ny fandikan-dalàna niseho ?
  • Samy manana ny fombany ankalazana ny taom-baovao malagasy ny isan-tokantrano

 


  • COVID-19 : certains pays décident de suspendre l’exportation du vaccin AstraZeneca
  • COVID-19 : le ministère de la Santé publique change de tactique
  • Madagascar : vers une intégration dans la zone de libre-échange continentale africaine ?
  • Festival d’art urbain 2021 : des Å“uvres artistiques basées sur le thème de la « dérive urbaine » pour contribuer à une ville meilleure

vendredi, 12 mars 2021 12:30

Revue de presse du 12 mars 2021

  • « Tsy mihiboka isika raha samy mitandrina » hoy ny ministry ny fahasalamana
  • Vontovorona : mitohy ny fihetsiketsehan’ny mpianatra
  • Ady amin’ny tsy fanjarian-tsakafo : ho avy tsy ho ela ny « Nutriset »


  • Le re-confinement peut être évité en respectant les gestes barrières
  • Vontovorona : les manifestations estudiantines reprennent
  • Lutte contre la malnutrition : vers la concrétisation du « Nutriset »
vendredi, 12 mars 2021 12:24

Journal des régions du 12 mars 2021

  • Tsy hitsahatra ny sidina iraisam-pirenena makany Nosy Be
  • 12 martsa : nifarana androany ny atrikasa mahakasika ny fitantanana omby sy ny ady amin’ny alatr’omby
  • Mitondra ny anjara birikiny eo anivon’ny tontolo iainana ny mpiasan’ny fitsarana any Ambatondrazaka

 


  • Les vols vers Nosy Be seront maintenus
  • 12 mars : l’atelier sur la gestion bovine prend fin ce jour
  • Le TPI Ambatondrazaka contribue à la préservation de l’environnement

Elles ont toutes un point commun…elles ont reçu le prix Nobel de la paix.  Elles sont mères, épouses, filles et par-dessus tout guerrières. Elles utilisent ou ont utilisé leur voix pour dénoncer les atrocités de ce monde, mais aussi et surtout véhiculé des messages d’espoir pour toutes les femmes. Voici les récits de femmes qui ont œuvré pour la paix dans le monde.

Mère Teresa, l’icône de charité

Emblème féminine de la paix, Agnès Gonxha Bojaxhiu connu sous le nom de Mère Teresa est connue pour sa grande charité, qui a suscité une vague d’émotions dans le monde. Devenue religieuse en 1928, alors âgée de 18 ans, elle devient enseignante puis directrice d’école à Calcutta en Inde. Elle quitte son poste en 1948, afin d’être plus près des pauvres et des personnes les plus démunies. Elle commence par donner des cours dans la rue à des enfants et finit par créer en 1950 « Les Missionnaires de de la Charité », un lieu consacré aux soins des enfants malades et abandonnés. Un centre de prise en charge des personnes mourantes appelé « mouroir de Kaligat » voit le jour deux ans plus tard. Elle est récompensée pour son engagement caritatif auprès des pauvres et des plus démunis en 1979 par le prix Nobel de la paix. Actuellement, plus de 20 ans après sa mort, Les Missionnaires de la Charité sont présents dans 123 pays dans le monde à travers des centres d'aide familiale, des orphelinats, des écoles, des hospices ou encore des maisons d'accueil pour les personnes atteintes de maladies comme la lèpre, le sida ou la tuberculose.

Aung San Suu Kyi, l’icône de la démocratie

Femme politique, ex-ministre, ex-conseillère d’Etat, Aung San Suu Kyi est une figure importante de l’opposition non-violente à la dictature militaire birmane dans les années 80. Elle fonde la Ligue nationale pour la démocratie en 1988, un parti politique opposé au régime dictatorial au pouvoir. Son parti mène largement aux élections législatives de 1991 et gagne les 392 places sur les 492 à l’assemblée. Face à la popularité de « The Lady », le gouvernement annule les résultats des élections et place Aung San Suu Kiy et les autres dirigeants du parti sous résidence surveillée. Elle reçoit le soutien international et obtient le prix Nobel en 1991 pour son engagement pour la liberté et pour les Droits de l'Homme. Elle n’est libérée qu’en 2010 et est élue députée deux ans plus tard. Elle est nommée ministre des Affaires étrangères en 2013 et devient conseillère spéciale de l'État puis première ministre en 2016. Sa vie bascule en février 2021 lorsque le gouvernement est renversé par un coup d’Etat militaire.  A 75 ans, elle est de nouveau en résidence surveillée après une décennie de liberté.

Shirin Ebadi, l’icône des droits des femmes

Première femme à devenir juge en Iran en 1974, Shirin Ebadi œuvre depuis pour la défense des droits des femmes et des enfants. Elle offre une aide juridique, parfois gratuite, aux personnes persécutées par le régime iranien.  Elle fonde l'organisation iranienne de protection des droits de l'enfant en 1995, et en 2001 le Centre des défenseurs des droits de l'homme en Iran. En 2003, elle reçoit le Prix Nobel de la Paix pour son engagement pour la démocratie et la défense des droits de l’Homme en Iran. En 2004, elle figure parmi l'une des « 100 femmes les plus influentes dans le Monde » du magazine Forbes. Son militantisme contre le régime iranien lui vaut une incarcération suivi d’un exil à Londres en 2009. Le mouvement a pourtant pris de l’ampleur en Iran depuis l'arrivée de la République islamique. Shirin Ebadi a servi d’exemple pour plusieurs femmes musulmanes qui continuent les protestations malgré la répression des autorités.

Ellen Johnson Sirleaf , l’icône de la démocratie africaine au féminin

Ex-présidente du Libéria, Ellen Johnson Sirleaf a marqué les esprits à son élection à la présidence en 2006, faisant d’elle la première femme élue chef d'État sur le continent africain. En deux mandats, elle met en place un gouvernement axé sur le maintien de la paix.  Ses piliers sont alors la sécurité, la primauté du droit et la gouvernance, la relance économique et la reconstruction des infrastructures. Mais son parcours a débuté bien avant. E.J Sirleaf fait partie  des survivants du coup d’Etat de 1980, alors qu’elle était ministre des Finances. Après un exil de deux ans, elle revient au Liberia et déclare vouloir faire campagne contre le régime militaire de Samuel Doe, le nouveau président. Elle est menacée de mort et est condamnée à dix ans de prison en 1985, mais est libérée peu de temps après. Cette opposition politique lui vaut le surnom « Dame de fer ». Durant sa présidence, elle défend les lois criminalisant l'homosexualité, lutte contre la propagation du virus Ebola et participe activement à la reconstruction de son pays ravagé par des années de guerre civile.  En 2011, elle reçoit le prix Nobel de la paix  avec sa compatriote Leymah Gbowee et la Yéménite Tawakkul Karman. 

 

Malala Yousafzai, l'icône de la lutte pour l'éducation des femmes

 

L’histoire inspirante de la jeune pakistanaise Malala Yousafzai a fait le tour du monde en 2008. A 11 ans, elle prend la parole dans une vidéo et dénonce la violence des talibansqui incendient les écoles pour filles. Son acte de bravoure lui vaut la haine des talibans qui répliquent par un attentat envers l’adolescente. Elle survit de justesse après avoir reçu une balle dans la tête. Malala Yousafzai est devenue un modèle pour les militants du droit à l'éducation dans le monde entier. Elle gagne le prix national de la jeunesse pour la paix du gouvernement pakistanais en 2011, et en 2012 le prix Simone de Beauvoir pour la liberté des femmes. Elle sort le livre Moi, Malala je lutte pour l'éducation et je résiste aux talibans, en 2014. La même année, à seulement 17 ans, elle se voit décernée du prix Nobel de la paix, faisant d’elle la plus jeune lauréate de ce prix. Elle est réfugié  à Londres avec sa famille et est aujourd'hui la plus jeune Messager de la paix des Nations Unies.

La ministre de l’Industrie, du commerce et de l’artisanat, Lantosoa Rakotomalala, fait savoir que le processus de ratification de la Zone de libre-échange continentale africaine suit son cours. Des pourparlers sont menés pour obtenir l’adhésion des acteurs du secteur privé au projet.

Ne pas uniquement voir une zone de libre-échange comme une menace mais se focaliser sur les opportunités. C’est dans cet état d’esprit que le gouvernement mène les discussions avec le secteur privé, en vue de la ratification de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf). « Nous sommes en train de rassurer le secteur privé », indique la ministre de l’Industrie, lors du forum des affaires Madagascar-Japon, en réponse à l’ambassadeur du Japon Yoshihiro Higuchi, qui déplore que le pays n’y participe pas encore,

Chaîne de valeur

La ministre n’a pas manqué de rappeler que les premiers acteurs sont avant tout les entreprises. Le fait est qu’on assiste actuellement à une certaine frilosité du secteur privé quant à une ouverture au marché africain. « Sur le principe, nous sommes d’accord, lance le président du Syndicat des industries de Madagascar Hassim Amiraly. Mais la question est de savoir si nous sommes prêts ». Cet industriel indique que se mettre sur la ligne de départ est une chose mais avoir les moyens de réaliser ses ambitions en est une autre. « Comment voulez-vous affronter les grosses cylindrées avec une petite voiture ? Un producteur de yaourt malgache importe le pot, l’opercule, le sucre et même le lait en poudre. Comment peut-on rivaliser ? », s’interroge-t-il. En ce sens, il avance que la première chose à faire serait de mettre en place une chaîne de valeur malgache.

La ZLECAf est une réalité depuis le 1er janvier 2021. L’idée est de stimuler le commerce intra-africain mais également de promouvoir l’industrialisation sur le continent et, par la même occasion, de créer des emplois. Quoi qu’il en soit, c’est un marché de 1.3 milliard de consommateurs qui tend les bras à Madagascar mais encore faut-il savoir l’aborder. Pour le moment, les accords régionaux de libre-échange signés par le pays n’ont pas profité à l’économie.

vendredi, 12 mars 2021 10:00

Tsara mpiantoka naman’ny vonona

S’assurer d’avoir toutes les ressources en main avant d’entamer la réalisation d’un projet de vie. C’est ce que signifie l’expression « Tsara mpiantoka naman’ny vonona ». En effet, elle est souvent utilisée dans un mauvais contexte au niveau de la société, souvent pour exprimer de l’ironie ou du sarcasme lors d’un emprunt. L’écrivain Nalisoa Ravalitera nous en dit plus dans Kozio Ahy. 


Matetika dia entina hanaovana eson-teny ny hoe « tsara mpiantoka naman’ny vonona ». Eson-teny rehefa misy mihindrana na mampiasana ny fitaovana na ny vola an’ny tena. Diso tanteraka anefa izay fampiasan’ny fiaraha-monina io fomba fiteny io izay. Mitondra amintsika ny seha-kevitra tokony hampiasana azy ny mpanoratra Nalisoa Ravalitera ato anatin’ny Kozio ahy.

I Fredy no misolo an’I Stanislas amin’izao tsy maha eo azy izao. Manoro azy fomba fitondrana vaovao manome fiovana I Mahefa sy Tsizehena. Vonona ny hanarina izay lesoka nandritra ny fitantanan’I Stanislas I Fredy. Eo amin’ny lafiny toe-karena, fomba fitantanan’ny toeram-piantsonana, fanamboarana ny lalana, resaka fikarakarana taratasy, sns, izany mila jerena avokoa hoy I Mahefa. Mikasika bebe kokoa ny fiaraha-monina kosa ny an’I Fredy toy ny fitsinjovana ire zokiolona, ny sembana ary ny marefo no tiany hasiana fanovana. Ny an’I Tsizehena indray, ny tontolo iainana indray no tiany asiana maso. Mametraka ireo izay rehetra tokony hatao izy ireo.


Fredy est le remplaçant de Stanislas, par intérim, à la commune. Mahefa et Tsizehena lui montrent le meilleur moyen de gérer la commune. Fredy est prêt à réparer les dégâts durant le mandat de Stanislas. Les changements se feront au niveau de l’économie, la gestion des arrêts des autobus, la réhabilitation des routes, l’administration,  d’après Mahefa. Les changements que Fredy veut apporter s’orientent plus sur le plan social comme la priorisation des soins des personnes âgées, les personnes handicapées et les personnes vulnérables. Pour Tsizehena, il est important de se pencher sur l’amélioration de la préservation de l’environnement. Après une longue discussion, ils mettent en place l’organisation pour les actions à entreprendre.

jeudi, 11 mars 2021 12:58

Journal du 11 mars 2021

    • Tsy tokony hirohatra any amin’ny fitiliana TDR ny olona te-hanamarina ny fisian’ny tsimokaretina COVID-19 ao aminy
    • Lasa option ny série A, C sy D any amin’ny bakalorea
    • Samy mitady ireo mpampiantrano azy ireo mpifindra monina avy any Atsimo tonga ao SAVA
    • Mbola mazoto manao fizahantany ny malagasy sasany na ao anatin’ny kirizy aza
    • Zava-dehibe ho any ireo tanora ny fankalazana ny taom-baovao Malagasy


    • Les entreprises japonaises s’intéressent à plusieurs secteurs d’activités du marché malgache
    • Les titres fonciers à Madagascar sont majoritairement inscrits au nom de la gent masculine
    • Un engouement particulier pour le jardinage potager dans la société actuelle
    • L’apiculture, un secteur porteur dans l’Est, malgré la crise sanitaire

On parle souvent de la situation de COVID-19 dans les zones urbaines et les chefs-lieux de province mais rarement de ce qui se passe dans les zones reculées et les communautés rurales. Nous avons quitté la capitale pour rencontrer les communautés et les personnels de santé ainsi que les entités décentralisées concernées par la lutte contre cette crise sanitaire à Madagascar. Pour ce faire, nous avons choisi la commune rurale d’Antanifotsy, une des plus proches de la capitale. 


Voaresaka matetika ny fifehezana sy ny fihanaky ny valan’aretina COVID-19 eny anivon’ny tanan-dehibe sy ny renivohi-paritant samihafa eto Madagasikara. Izahay kosa ato anatin’ny Santenaka dia nisafidy ny hijery ifotony ny zava-misy eny anivon’ireo toerana lavitra andriana sy ny tontolo ambanivohitra. Ato anatin’ny Santenaka dia nihaona tamin’ireo mponina sy ireo tompon’andraikitra samihafa voakasik’izany eo anivon’ny kaominina ambanivohitra Antanifotsy ny Studio Sifaka. 

jeudi, 11 mars 2021 12:46

Revue de presse du 11 mars 2021

  • Tohana ara-tsosialy : nanome 150 tapitrisa dolara ny banky iraisampirenena 
  • Tapitra ny fe-potoam-piasan’ny mpikambana ao amin’ny HCC
  • Lisi-pifidianana : maherin’ny 2 tapitrisa ireo vehivavy mbola tokony hisoratra anarana

 


  • Assistance sociale : 150 Millions USD alloués par la banque mondiale à Madagascar
  • Fin de mandat pour la HCC
  • Liste électorale : deux millions de femmes manquent à l’appel
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