Mampiantso an’i Fredy ho any amin’ny biraony I Stanislas. Mitandrina I Fredy tsy hikasikasika ireo fitaovana izay mety efa nokasihin’I Stanislas. Sorena amin’ny fihetsiny I Stanislas. Tezitra ihany koa izy satria niova tsy araka ny rafitra sy ny vina efa napetraka ny fizotry ny fitananana nandritra ny tsy nahateo azy. Mamaly azy I Fredy fa tsy ny ben’ny tanàna irery akory no “kaominina” fa maro no miara-miasa aminy mba hampandroso ny kaominina.
Stanislas demande à Fredy de venir dans son bureau. Fredy fait très attention à ne pas toucher les meubles que Stanislas a pu frôler, de peur d’être contaminé. Cela met Stanislas en colère. Il est également mécontent car les organisations de la commune ont complètent changé pendant son absence. Fredy rétorque que la commune ne peut fonctionner sans les autres collaborateurs du maire.
Les mots “faditra” et “ovana” sont à l’origine de “mifaditrovana”. "Ovana" désigne la partie d’un arbre, située juste en dessous de l’écorce et utilisée pour le "ala-faditra", un rituel pour chasser le mal : sorcellerie, maladie, etc. Mais ce mot correspond aussi aux organes du corps humain et est à l’origine de l’appellation "taova". "Tsy mifaditrovana" se dit d’une personne méchante, sans pitié, sans cœur, selon l’orateur Salohifito et l’écrivain, enseignant chercheur et membre de l’Akademia Malagasy, Nalisoa Ravalitera.
Avy amin’ny teny roa : “faditra” sy “ovana” no nahazoana ny teny hoe mifaditrovana. Singa iray amin’ny hazo ny ovana, ary nampiasaina hanaovana ala-faditra, hanalana ratsy. Ankoatra izay anefa hilazana ny ao anaty ihany koa izy io ka nahazoana ny teny hoe “taova”. Olona masiaka, tsy manana hantra, tsy misy fo mitempo no atao hoe “tsy mifaditrovana”, hoy ny mpikabary Salohifito sy ny mpanoratra, mpampianatra mpikaroka sady mpikambana ao amin’ny Akademia Malagasy, Nalisoa Ravalitera.
Porter un bébé est une expérience intérieure qui se lit sur tout le corps d’une mère. Il n'y a pas que les nausées ou l’augmentation de la taille des seins et du ventre comme signes de grossesse. Il y a également l’hyperpigmentation, la fragilité capillaire et la nervosité selon le gynécologue Haja Rafalimanana. Tout cela est dû aux hormones de grossesse, selon ses explications.
Miankina amin’ny toe-batan’ny vehivavy ny mety hisian’ny mony sy panda na tsia eo aminy rehefa bevohoka izy. Vokatry ny tsirinaina izay miforona ao anatin’ny vatany mandritra ny fitondrany vohoka no antony mahatonga ireo. Isany mpahazo ireo vehivavy ihany koa ny fivontosan’ny tongotra sy ny tanana mandritra io fotoana io izay heverin’ny maro fa noho ny fihinanana sira be loatra. Raha ny fanazavana anefa, samy manana ny antony mahatonga izany ny tsirairay ka ilaina hatrany ny manantona mpitsabo satria mety hitarika hatramin’ny fahafahan_jaza izany raha tsy voatsabo mialoha.
Le 14 mars 2020, le président de la République Andry Rajoelina s’est adressé pour la première fois à la nation pour évoquer la COVID-19. Un an plus tard, l’émission quotidienne qui informe sur l’évolution des statistiques revient après plusieurs mois, marquant ainsi le retour en force de l’épidémie, qui s’est dessinée depuis le début de l’année.
µétait Il y a un an que la crise sanitaire a commencé pour tout le pays avec un virus qui a fait 334 morts à ce jour et contaminé 21.587 personnes. Un palier a été franchi ,ce 15 mars 2021, dans ce qui s’apparente à une nouvelle vague du coronavirus, du moins face aux mesures prises par l’Etat. Les Malgaches pourront suivre à nouveau l’évolution des chiffres sur la maladie sur la chaîne nationale tous les jours aux environs de 13 h. Par contre, pas encore d’émission spéciale avec la valse de personnalités de la santé et du gouvernement conduite par la professeure Hanta Vololontiana Marie Danielle.
L’horizon s’assombrit
Pour l’heure, l’exécutif ne veut pas entendre parler de confinement à en comprendre le Premier ministre, Christian Ntsay. Mais c’était la semaine dernière. Les prochains jours seront scrutés de près par les observateurs pour avoir une idée de ce que le gouvernement compte faire, notamment lors du prochain conseil des ministres. L’annonce d’un éventuel état d’urgence sanitaire en dira long sur les intentions de l’exécutif.
Quoi qu’il en soit, le souvenir des mois de confinement reste encore frais dans les mémoires, surtout dans les localités les plus durement touchées comme Antananarivo. En effet, plusieurs activités n’ont pas encore repris totalement, l’horizon s’assombrit.
Lors de l’envoi d’un dossier de candidature pour n’importe quel poste à pouvoir, le premier objectif est d’accrocher l’attention du recruteur. Pour cela, il est impératif de soigner tant la présentation de son CV que la formulation de la lettre de motivation pour que celle-ci sorte du lot.
La lettre de motivation est sans doute l’élément qui peut faire la différence avec un autre candidat et permettre à un postulant de se démarquer des autres. Pourtant, il arrive souvent que face à l’envie de bien faire, on en vienne à être figé. En quelques points, voici des astuces pour parvenir à faire une lettre de motivation qui sort du lot.
Soigner la forme en suivant des règles de style
# Les champs obligatoires : il est impératif de remplir ces champs et surtout d’en respecter les emplacements. L’identité du postulant à gauche (nom, prénom, adresse et contact). À droite, il y aura l’identité du recruteur, notamment si l’offre d’emploi précise d’envoyer la lettre de motivation à une personne. Pour ce qui est de l’objet, celui-ci reprend l’intitulé du posté ou la référence du poste si c’est précisé dans l’offre.
# Les informations en 3 parties : les grandes lignes d’une lettre de motivation se catégorisent en 3 :
# Accroche percutante : le recruteur ne passera qu’une minute chrono à lire la lettre de motivation. Aussi, l’idéal est de faire une entrée en matière autant percutante qu’accrocheuse. Celle-ci se place après la formule de politesse et doit se démarquer. L’accroche doit être courte, concise, directe et surtout percutante.
Ne pas lésiner sur le contenu
# Jouer sur les accroches : « votre offre d’emploi pour un poste de responsable commercial a retenu toute mon attention » : voilà un exemple type de phrase d’accroche à éviter dans une lettre de motivation. Il est possible d’utiliser à la place des phrases plus directes et surtout plus concises du type : « Vous êtes à la recherche d’un responsable commercial pour renforcer votre équipe. Mon expérience dans telle entreprise me permettrait de répondre à vos attentes ».
# Se mettre en avant sans déraper : l’erreur de certains candidats est de penser qu’en critiquant leurs anciens employeurs, ils seront vus positivement par le recruteur. Il est de même du fait de se « survendre » en insistant sur certaines compétences, même si celles-ci coïncident avec le poste à pourvoir. Ces questions seront toujours abordées lors de l’entretien d’embauche.
# Plus d’originalité et varier les vocabulaires : dynamique, sérieux, ouverts, compétents… ; il existe autant de termes que certains recruteurs jugent finalement de « banal », car ils reviennent souvent. Le mieux, c’est de contourner l’utilisation de ces termes et de miser sur des synonymes ou d’autres vocabulaires.
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Peu de personnes savent ce que veut dire l’expression “Valala tsy mandady harona”. Elle est pourtant fréquemment utilisée dans les domaines politique et social. D’après les explications de l’orateur Salohifito, les Malgaches ont l’habitude de comparer les Hommes aux animaux, selon leur comportements et caractéristiques dans les expressions imagées. Les criquets sont le plus souvent utilisés pour désigner le peuple ou la foule, puisqu’ils se déplacent en groupe. L’expression « Valala tsy mandady harona » fait référence aux personnes vulnérables, c’est-à-dire, celles qui ne peuvent pas se protéger ou fuir en cas d’attaque. Salohifito apporte plus d'explications dans Kozio ahy.
Vitsy ny olona mahalala ny dikan’ny teny hoe “Valala tsy mandady harona” nefa faheno matetika izy io amin’ny sehatra politika na sosialy. Raha ny fanazavan’ny mpikabary Salohifito dia fanaon’ny olona, indrindra ny Malagasy ny manao fanoharana olona amin’ny biby arakaraka ny toetrany, ny asany na ny mombamomba azy tsotra izao. Ny valala no isan’ny ampiasaina matetika hilazana ny vahoaka, mety noho izy manao rodobe. Raha ny hoe “Valala tsy mandady harona” kosa dia hilazana ny vahoaka madinika, ireo tsy mahavita miaro tena na mitsoaka rehefa tojo fahavalo. Mitondra fanazavana misimisy kokoa momba izay izy ato anatin’ny Kozio ahy.