COVID-19 : Tous ensemble face au virus

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Karine Manoa Linda

Karine Manoa Linda

Tsy nitsahatra nitolona ho an’ny tanindrazana  ireo mpanoratra fahiny. Indrindra tamin’ny  vanim-potoana mitady ny very ny 1930-1945 teo amin’ny sehatry ny literatiora. Niresaka matetika ny fomba hamerenana indray ny very izy ireo fahizany. Toy ny fanomezana ny lanja ny teny malagasy sy ny famporisihana ny tanora hanoratra. Amin’izao fotoana izao, mirona kokoa any amin’ny resaka fitiavana ny asa soratra eo amin’ny tontolon’ny poezia. Inona ny antony mahatonga izany ary efa hita ve ilay very notadiavina ? Nanambara i Rado Rakotondrazaka na i Nofy, mpanoratra sady poeta eo anivon’ny faribolana sandratra fa mbola tsy misy mpanoratra afaka milaza hoe hita ilay very notadiavina.  Nanampy i Namby Miventso, poeta izay mikambana ao anaty ny Havatsa-Upem fa amin’ny ampahany ihany no hita izany. Araho ao anatin’ny « Ndao hilaoeky » ny adihevitra mahakasika izay. 


Autrefois, écrivains, auteurs et poètes revendiquaient leur liberté à travers leurs œuvres. Par exemple, le monde littéraire a baptisé la période 1930-1945 de « mitady ny very », littéralement traduit par à “la recherche des égarés”. Durant cette période, retrouver ces égarés était au cœur des préoccupations des écrivains malgaches. Il s’agit, entre autres, de la reconsidération et de la revalorisation de la langue malgache ou encore de l’encouragement des jeunes à s’engager dans la littérature. A l’heure actuelle, le monde littéraire malgache se tourne plus généralement vers les histoires d'amour et les poésies romantiques.Pour quelles raisons ? Cela signifie-t-il que l’on a retrouvé les égarés ? Rado Rakotondrazaka alias Nofy, écrivain et poète issu du Faribolana sandratra répond dans Ndao Hilaoeky que personne ne peut affirmer pour le moment avoir retrouvé les égarés. Namby Miventso, poète et membre de l’Havatsa-Upem indique, quant à lui, qu’une partie seulement de ce qu’on a cherché a été retrouvée.

Le symbole de l’ordre des médecins est caractérisé par le caducée ou l’image de serpents entrelacés ou encore d’un spectre utilisé par un dieu grec pour guérir les morsures de serpents. Il est représenté par un bâton surmonté de deux ailes et entouré de deux serpents entrelacés. Il est différent pour chaque corps médical. Mais le point commun, c’est le serpent. Le président de l’ordre national des médecins docteur Éric Andrianasolo, explique que le caducée est utilisé par les médecins en service. 

« Les plantes et les animaux ont tous des vertus thérapeutiques », selon le docteur Nirifanja Randretsa. Plusieurs insectes comme les cafards, les scorpions, les abeilles et le « fo vato » peuvent traiter certaines maladies comme les allergies, les plaies profondes et les maladies du cœur, énonce le président de l’association nationale des médecins traditionnels, Josephin Andriandrainarivo. Pour eux, pouvoir guérir à partir des insectes ou des plantes est un don du ciel. De son côté, le docteur  Nirifanja Randretsa explique le fonctionnement de ce traitement homéopathique. Les insectes et les plantes possèdent tous des compléments ou des sels minéraux utiles à l’Homme.


Fahita eny aminy toeram-pitsaboana ny sary bibilava. Io famantarana io no antsoina hoe « caducée ». Izy io dia miseho amin’ny alalan’ny  hazo misy elatra roa ary hodidinin’ny bibilava iray. Araka ny tantara dia nampiasan’ny andriamanitry ny grika nitsaboana ny olona voakaikitry ny bibilava izy io taloha. Izay no nahatonga azy nampiasaina hatao famantarana ny fitsaboana. Samihafa ny «  caducée » ampiasan’ireo mpiasan’ny fahasalamana fa ilay bibilava no iraisan’izy ireo hoy ny filohan’ny ho lafitry ny mpitsabo, dokotera Andrianasolo Eric.

Azo hitsaboana avokoa ny biby sy ny zava-maniry rehetra hoy ny mpitsabo Randretsa Nirifanja.  Maro ireo biby kely azo hampiasaina amin’ny fitsaboana toy ny kadradraka, ny maingoka, ny tantely sy ny kankana hoy i ny filoha nasionalin’ny fikambanana mpitsabo nentim-paharazana, Josephin Andriandrainarivo.  Ny maingoka ohatra dia miasa tahaka ireny « antibiotique » ireny.  Ny tantely kosa mitsabo ny fivontosana vokatry ny tsy fahazakana sakafo.

A Madagascar, la majorité de la population travaille dans le domaine de l’agriculture et de l’élevage. Les productions agricoles sont essentiellement utilisées pour l’autosubsistance des ménages et comme source principale de revenus. Face aux conséquences du changement climatique et aux prix de vente très bas des produits, les paysans sont en difficulté. C’est le cas des habitants dans la commune d’Ambohijanaka située dans la région Analamanga.  Pour Tolotra Taratrinihoavy, un agriculteur de la commune, la diversification de la production agricole permet de sécuriser de manière efficace les revenus de l'exploitation agricole. Il plante à la fois des poireaux, des betteraves ainsi que des plantes aromatiques. Cela change selon la saison. Les légumineuses constituent des leviers intéressants de diversification et également une source d’argent pour toute l’année, explique-t-il. 


Ny fanovaovana ny fambolena eny an-tsaha mba hisy hiakatra sy hamidy mandava-taona no paik’ady entin’ireo tantsaha ahazoana vola mandava-taona. Ho an’ny ao amin’ny kaominina Ambohijanaka manokana izao, mifototra amin’ny fambolena legioma ny ankamaroan’ny olona ka ny poireau no isany vokatra amin’izao. Mandrapahalany tanteraka izay vokatra izay anefa, efa azo amidy ihany koa ny betterave. Aorian’izay, miroso amin’ny fambolena karoty sy hanitra fanao amin’ny sakafo izy ireo. Mahavita ny sakafo ao an-tokatrano sy ny saram-pianaran’ny ankizy ny vola azo hoy Taratrinihoavy Tolotra, tantsaha avy ao Ambohijanaka. Na izany na tsy izany, tsy maintsy mifototra amin’ny fiompiana kosa izy rehefa tsy misy ny orana satria tsy misy zavatra azo volena amin’izany. Maharitra roa ka hatramin’ny telo volana io ao anatin’ny taona iray.  

Voasakan’ny zandary teny an-dalana ilay kamiao mitondra hazo sarobidy ka kivy tanteraka i Romain. Saika hoe i Nomena no antsoina, hoy i Rondro fa izy mahafantatra olona, nefa izy tsy azo an-tariby. Tonga avy any i Stanislas ary sorena maheno ny zava-mitranga. Tsy tiany ho voatonotonona amin’izany ny anarany satria i Romain no tompon’andraikitra amin’ity afera ity. Mibaboka i Romain fa afera toy izao no nahafahany nanampy ara-bola an’i Stanislas hatrizay. Miady hevitra momba izany izy telo ary nony farany nilefitra ihany i Stanislas. Fa tezitra ihany anefa izy fa izay te hampiasa ny fahefany sy ny anarany dia nanara-po daholo indrindra fa tamin’ny fotoana tsy nahafahany nitondra noho ny COVID-19.

 


La gendarmerie a arrêté en cours de route le camion de Romain, transportant des bois précieux. Rondro propose à Romain, complètement désespéré, d’appeler Nomena qui a des contacts à la gendarmerie. Nomena est injoignable au téléphone. Stanislas arrive et remarque le problème. Il n’apprécie pas que son nom soit sali dans cette affaire. Ce dernier avoue que les aides financières avancées à Stanislas ont toujours été acquises de cette façon. Ils débattent de ce problème pendant un certain moment. Stanislas finit par céder et demande ce qu’il peut faire pour les aider. Mais il reste quand même mécontent parce que son nom et son pouvoir ont été abusés de manière exagérée, durant son absence à cause de la COVID-19.

En principe, la prétention salariale se définit comme étant la rémunération qu’un candidat souhaite prétendre pour un poste. C’est également souvent le critère éliminatoire lors d’un entretien d’embauche. Il est ainsi plus qu’important de savoir bien répondre à cette question.  

Si certains basent leurs prétentions salariales sur leurs compétences et leurs diplômes, d’autres pensent que donner une prétention à la hauteur des termes de référence du poste à pourvoir est plus logique. Bien qu’aucune de ces deux options ne soit une erreur, il y a toutefois des points importants à connaître, lors de la formulation de sa prétention salariale.

Salaire net ou brut ?

C’est souvent l’erreur qui mène par la suite à un « turn-over » des nouveaux candidats dans une entreprise. Les recruteurs ne donnent souvent pas la précision quant à la prétention salariale, et notamment si celle-ci fait allusion à un salaire brut ou net.

Lors d’un entretien, il est toujours question de « salaire brut ». « Cela n’exclut pas la possibilité de donner une prétention basée sur le salaire net, mais le candidat doit pourtant en faire la précision », selon une assistante en ressources humaines.

Une fourchette de salaire

C’est sans doute la manière la plus souple pour répondre à la question sur la prétention salariale. Il y a cependant une astuce à prendre en compte : faire en sorte que la valeur faible corresponde au salaire attendu.

Par ailleurs, il faut également savoir justifier pourquoi le candidat indique la fourchette haute ? Cela peut entre autres s’expliquer en se basant sur les tâches, la taille de l’entreprise, le marché de l’emploi…

Une réponse directe mais ouverte à la discussion

Les recruteurs veulent souvent entendre une réponse directe, une ouverture à la négociation de la part du candidat. Si  ce dernier peut répondre de cette manière, il pourrait  déjà avoir un pied dans l’entreprise. « Ce type de réponse permet d’une part de juger si le candidat est réellement décidé et s’il sait ce qu’il fait d’autre part », souligne un responsable en ressources humaines.

Cependant, même si le candidat a un chiffre précis à donner, il se doit d’être flexible et ouvert à la discussion. Cela veut dire que la proposition doit être un peu plus élevée que le salaire qu’il attend réellement, car le recruteur peut le revoir à la baisse.


Ce qui est à éviter

  • Mentionner la prétention dans la lettre de motivation, notamment si l’annonce n’a pas fait mention de cette précision. La raison en est simple, si la prétention ne coïncide pas avec la grille salariale prévue par l’entreprise, le recruteur ne verra aucun intérêt à contacter le candidat pour un entretien.
  • Evoquer la question avant le recruteur, au risque de passer pour un incongru. En effet, c’est généralement le recruteur qui doit aborder ce sujet en premier. Par contre, si le recruteur oublie d’en faire mention, il est préférable d’attendre que ce dernier demande si tout a été dit et glisser subtilement la question de rémunération.
  • Donner une prétention fixe, parce que l’idée est de donner à l’interlocuteur la possibilité de négocier le salaire. L’idéal est ainsi d’éviter de donner une réponse fermée. S’il faut donner un chiffre, il faudrait continuer la réponse par une ouverture du genre : « qu’en pensez-vous ? » ou « ce chiffre est encore discutable ».
  • Demander au recruteur combien l’entreprise propose démontre au recruteur que le candidat ne sait pas évaluer ses compétences et ses connaissances, ou qu’il n’a pas confiance en ses compétences. Il se peut certes que le candidat ne connaisse pas les barèmes appliqués. Il peut cependant se renseigner.

lundi, 22 mars 2021 10:01

Journal du 22 mars 2021

 

- Le variant sud-africain présent à Madagascar

- Coronavirus : attention aux faux négatifs !

- Recyclage : comment contribuer à une meilleure gestion de l’eau ?

- COVID-19 : l'importance de choisir le bon masque contre les nouveaux variants

 



-Mbola vitsy ireo mpivarotra trondro nahavita carte maraillière ao Morombe

-Efa tafiditra eto Madagasikara ny endrika vaovaon’ny COVID-19 avy any afrika atsimo

- COVID-19 : ny fitandreman’ny tsirairay no andrasana hisorohana ny valanaretina

- Miparitaka ny fivarotana fanafody tsy ara-dalana any Antalaha

- Atsimo Andrefana: Olona vaovao 32 no mitondra ny valanaretina COVID-19 ary olona 2 no maty teo anelanelan’ny 17 martsa sy 21 martsa


lundi, 22 mars 2021 09:22

Journal des régions du 22 mars 2021

-Nosy Be: mitsahatra manomboka ny 27 martsa ny zotram-piaramanidina iraisam-pirenena

-Ampanihy: olona maherin’ny 19.000 no hisitraka ny “tosika vonjy aina”

-Ambilobe-Vohémar: vita eo amin’ny 34 isan-jato ny asa fanamboarana ny lalana

 


-Nosy Be: les vols internationaux seront suspendus à compter le 27 mars

-Ampanihy: plus de 19.000 personnes bénéficieront de l’aide “tosika vonjy aina”

-Ambilobe-Vohémar: le travail de réhabilitation des routes est à 34%

lundi, 22 mars 2021 09:18

Revue de presse du 22 mars 2021

-Vaksiny coronavirus: tsy manohitra ny filoham-pirenena Andry Rajoelina

-Oniversitem-panjakana malagasy: manodidina ny 40.000 ireo mpianatra matoatoa

-CAN 2021: vinavinaina ho 1.500 olona ho ho tafiditra ao amin’ny kianjan’ny Barikadimy Toamasina

 


-Coronavirus : le président Andry Rajoelina n’est pas contre la vaccination

-Université publique malgache : environ 40.000 étudiants fantômes ont été recensés

-CAN 2021 : le stade Barikadimy à Toamasina pourra accueillir 1.500 spectateurs

Rayan, 20 ans, de son vrai nom Mamitiana Herilanto Ralainaivo, a terminé dans le top 4 des meilleurs joueurs Pro Evolution Soccer au monde à la suite d’une compétition internationale organisée par Konami, le développeur du jeu. Sinon, il est aussi champion d’Afrique en titre et triple champion de Madagascar en titre, toujours sur PES. Interview. 

Studio Sifaka : Top 4 des meilleurs joueurs PES ! Est-ce que vous pouvez nous raconter comment ça s’est fait ?

Rayan : En fait, c’est le tournoi eFootball.Open qui regroupe toutes les compétitions internationales PES dans le monde organisé par Konami. C’est un genre de championnat mondial d’e-foot. Les qualifications ont eu lieu en décembre 2020 avec un premier round où il fallait terminer avec plus de 200 points-évènement. Le deuxième round était ensuite noté sur une série de 15 matchs pour dégager un top 50 mondial pour une finale online. Ensuite, le World final a eu lieu à Londres. J’ai toujours terminé deuxième dans les différents rounds mais j’ai échoué à la quatrième place dans la grande finale.

Depuis quand jouez-vous à PES ?

Depuis que j’ai 6 ans. C’était PES 2006 sur PlayStation 2. J’ai participé à mon premier tournoi en 2018. J’ai été champion de Madagascar en 2018, 2019 et 2020. J’étais vice-champion d’Afrique 2019 et champion d’Afrique 2020. Je suis champion d’Afrique en titre. Sinon, j’ai fini sur le podium à l’Orange E sport Expérience spécial CAN en Egypte. On n’avait le droit de jouer qu’avec des équipes africaines.

Avec quelle équipe jouez-vous la plupart du temps dans les compétitions ?

Ça dépend. Pour les clubs, c’est le Real ou la Juventus et pour les équipes nationales, c’est la France. Lors de l’Orange E sport Expérience spécial CAN, j’ai joué avec le Sénégal.

Est-ce que vous êtes fan de football ? De ces équipes ?

Non je ne suis pas très foot. C’est juste pour le jeu.

Pourquoi PES ? Vous ne jouez pas à Fifa ?

Je suis également joueur Fifa. Je viens d’ailleurs d’officialiser un contrat professionnel avec Bunker eSports, un club français. Je suis joueur professionnel dans trois jeux : PES, Fifa et NBA 2K. Je suis aussi sélectionneur de l’équipe nationale NBA 2K qui va participer au championnat du monde fin avril.

Par curiosité, comment se passe ce championnat 2K ?

Chaque gamer dirige un joueur sur le terrain. Donc, je suis leur entraîneur. Je ne peux pas y participer car je ne peux accéder au serveur. Ce sont des malgaches de la diaspora que j’entraîne. L’entraînement a commencé il y a une semaine.

Vous avez décroché un contrat professionnel avec un club à l’étranger. Est-ce votre première incursion dans le pro gaming ?

Je suis entré dans le monde professionnel des jeux vidéo en 2019. J’étais joueur semi-professionnel chez Madagascar E-sport de Jonathan Mifsud. Après j’ai intégré Geckos. Sinon, une fois j’ai fait partie de Galaxia Esports comme joueur pro Fifa. J’ai gouté au pro gaming, il y a deux ans et je compte continuer. J’ai toujours voulu vivre de ma passion.

C’était quoi le déclic qui a fait que vous vous êtes dit « je vais en faire mon métier » ?

C’était en 2017. Je n’habitais pas la capitale mais dans l’Itasy. Quand j’ai eu mon bacc je suis venu à Tanà. J’étais allé dans une salle de jeux et j’y ai rencontré le champion de Madagascar en titre de l’époque, Kaim. Il revenait du Maroc où il avait représenté le pays. J’ai joué contre lui. Je ne savais pas qui il était à ce moment. On a fait sept matchs. J’ai gagné sept fois. C’est ce qui m’a motivé.

Quelle était votre première console ?

C’était une PS One. Celle de mon père. Je ne pouvais pas y toucher. Je ne pouvais que regarder mais lorsqu’il était au boulot, je jouais en cachette (Rires).

Est-ce que vous continuez vos études ?

Je fais actuellement de l’anglais au CNELA.

Ce qui sert dans cet univers …

Oui.

Combien d’heure par jour jouez-vous aux jeux vidéo ? D’ailleurs, est-ce qu’on peut encore dire que vous jouez ?

(Rires) Lorsque j’emploie le terme « jouer », je ne joue pas à ces trois jeux, 2K, PES et Fifa. Je me tape des parties de Call of Duty War Zone avec des amis. Pour ce qui est des temps de jeu, les tournois durent en général 8 heures, quand c’est local. Quand c’est online, ça dépend. Dès fois c’est 7 ou 8 heures. Avec le décalage horaire, les compétitions se font souvent tard dans la nuit, à partir de 22 heures. Sinon, je m’entraîne pendant trois heures par jour en moyenne.

Concrètement, en tant que pro gamer, qu’est-ce que vous faites de vos journées de travail ?

Je représente mon écurie. Il y a des tournois tous les jours mais ça dépend des attributions que me donne ma formation. Je fais aussi des interviews. Sinon, je devrais aussi commencer les streamings bientôt, donc je serais en quelque sorte un influenceur. Je pourrais aussi faire de la publicité.

vendredi, 19 mars 2021 13:01

Journal des régions du 19 mars 2021

  • Manamafy ny fepetra ara-pahasalamana ny faritra Analanjirofo
  • Nomena fiofanana mikasika ny kolontsainan’ny fandraharahana ireo tanora ao Fianarantsoa
  • Nahazo bac vaovao ny kaominina Anivorano atsinanana hitondrana entana sy olona

 



  • La région Analanjirofo renforce les gestes barrières
  • Les jeunes de Fianarantsoa ont bénéficié d’une formation sur la culture entrepreneuriale
  • La commune Anivorano Est a bénéficié d’un nouveau bac pour le transport de personnes et de marchandises
vendredi, 19 mars 2021 12:54

Revue de presse du 19 Mars 2021

  • Coronavirus : hitafa amin’ny vahoaka malagasy ny filoha ny sabotsy 20 martsa 2021
  • Praiminisitra vaovao : anarana 6 no efa nivoaka
  • Barea : tsy afaka handray anjara amin’ny lalao mandritra ny CAN 2021 ny akamaroan’ny mpilalao « titulaire »

 


  • Coronavirus : le président de la République prendra la parole ce samedi 20 mars 2021
  • Nouveau gouvernement : une liste de 6 noms déjà en circulation pour la place de premier ministre
  • Barea : plusieurs joueurs titulaires absents pour les matchs de la CAN 2021
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