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Karine Manoa Linda

Karine Manoa Linda

Le terme « fisasana » peut se traduire par l’action de se laver. C’est une tradition malgache tenue par la famille du défunt après l’enterrement. Le principeconsiste à se purifier dans une rivière. A Antananarivo, cette tradition est toujours maintenue chez certaines familles. Cependant, les différentes régions de Madagascar n’ont pas les mêmes rituels durant le « fisasana ». 

A Nosy-Be, la première étape du fisasana se fait en se lavant avec de l’eau et du miel juste après avoir enterré le défunt. Dans la région Atsinanana, les proches du défunt nettoient le tombeau et ses alentours une semaine après l’enterrement. Cette tradition est le début du deuil, peu importe la localité et les rituels. Concernant le deuil, cela ne doit pas dépasser la période du fisasana explique l’orateur, Rado Havozomy. 


Ny fisasana dia fiandohan’ny fisaonana. Ho an’ny eto Antananarivo dia amin’ny alalan’ny fanasana ireo lamban’ny maty eny amin’ny renirano no endriky ny fanatanterahiana azy. Any Nosy-Be indray dia vantany vao vita ny fandevenana no manasa tanana amin’ny rano sy tantely. Miseho amin’ny endrika roa kosa izany ho an’ny any amin’ny faritra Atsinanana. Voalohany, izay avy nandray ny razana dia tsy maintsy manasa tanana amin’ny toaka gasy. Faharoa, manadio sy manamboatra ny fasana ny manodidina herinandro aorian’ny fandevenanana. Mikasika ny fisaonana indray dia tsy tokony hihoatra ny fotoanan’ny fisasana izany hoy ny mpikabary Rado Havozomy. Saingy miankina amin’ny tsirairay izany.

Prendre la décision d’arrêter de fumer, c’est archi facile. Par contre, trouver les meilleures manières d’y arriver sans faire de récidive, c’est l’étape la plus dure. Aujourd’hui, ceux qui ne veulent pas suivre des thérapies peuvent également utiliser des applications pour bien aboutir dans leur sevrage.   

Rien de plus simple désormais pour concrètement arrêter de fumer : un smartphone et une bonne dose de volonté peuvent être suffisants pour y arriver. Voici une liste des meilleures applications que nous avons essayées qui peuvent aider pendant la période de sevrage tabagique. La première étape pour chacune de ces applications est d’informer le profil du fumeur : le nombre de cigarette par jour, le prix du paquet, la fréquence des envies…

  • QWIT : l’application des futurs ex-fumeurs

D’une utilisation simple et intuitive, l’application Qwit permet un suivi personnalisé des étapes du sevrage tabagique. On peut lier l’application à un compte Google, ce qui permet d’avoir en tout temps une synchronisation des étapes et défis.

Elle permet d’avoir un aperçu en temps réel du temps que la personne aura passé sans fumer de cigarette. En parallèle, l’application donnera également les bienfaits sur la santé. Pour que la personne puisse toujours avoir un moteur qui propulse son choix, Qwit permet également d’écrire, dans des notes, ses motivations personnelles de tous les jours pour arrêter de fumer ou éviter de refumer.

  • Stop Tobacco : le thérapeute virtuel au quotidien

Disponible en version gratuite, mais aussi en version payante, cette application propose un thérapeute virtuel pour la personne qui veut arrêter de fumer. Bien que l’application soit en Anglais, elle est facile à utiliser et à maîtriser.

Stop tobacco incite le fumeur à écrire une note chaque fois qu’il veut fumer une cigarette, notamment pour expliquer la raison. Ce qui permettra d’avoir un aperçu de tout ce qui pousse à refumer. Il y a également un challenge à faire chaque jour pour faciliter le sevrage, des réflexions et des mythes concernant le tabagisme. L’objectif de l’application est d’aider la personne à réduire progressivement le nombre de cigarettes par jour.

  • Smoke Free: gérer l’abstinence en temps réel

Ludique, intuitive et riche en fonctionnalités, cette application permet réellement de se motiver pour arrêter de fumer. Le tableau de bord permet de voir le temps passé sans fumer, l’argent économisé, l’évolution de la santé du fumeur, le progrès et les succès sous forme de badges.

L’application propose des challenges quotidiens qui aideront la personne à ne plus retoucher à la cigarette. Il est même possible de se planifier un lot et indiquer son prix, l’application se chargera de calculer le temps qu’il faut pour économiser afin de l’avoir. Ce sera quelque part une motivation pour le fumeur d’économiser encore plus et ainsi fumer encore moins.

  • Smokler: pour mettre votre patience à l’épreuve

Smokler a permis à plus de 5 millions de personnes dans le monde de se défaire de la cigarette. La raison est sans doute le fait que cette application permet autant de voir les résultats de l’arrêt de la cigarette en temps réel sur la santé que sur les finances. Mais plus encore, le tableau de bord permet également de voir dans les progrès le temps de vie gagné depuis l’arrêt de la cigarette.

Pour aider la personne à réellement arrêter et ne plus faire de récidives, l’application Smokler propose de mettre en place un objectif palpable (un objet à acheter ou un voyage à planifier…). Par ailleurs, il y a également la possibilité de suivre les missions quotidiennes pour résister face à l’envie de refumer.

  • EasyQuit Stop Smoking : arrêter la cigarette devient plus ludique

Un pourcentage de la récupération de votre corps après détoxification, un petit jeu pour aider à passer l’envie de fumer et à déstresser, la durée de vie gagnée chaque jour passé sans cigarette, un décompte du temps sans cigarette qui se comptabilise sous forme d’objectifs, etc. En tout, une application qui offre toute une panoplie de fonctionnalités pour aider la personne à arrêter de fumer.

Plus encore, l’application offre une option pour que la personne puisse établir elle-même ses objectifs : par exemple passer de 20 tiges à la moitié en 3 semaines, etc. Il y a également une fonctionnalité permettant d’inscrire les envies et les déclencheurs, afin de trouver la solution pour les éviter.

Bien que ces applications permettent d’aider la personne dans sa période de sevrage, leur efficacité dépendra avant tout de la volonté et de la motivation de la personne à réellement arrêter la cigarette.

À Madagascar, le niveau d’instruction de la population est, de manière générale, marqué par la prédominance des personnes sans instruction : 21,5 % (selon le RGHP-3 de 2018). Pour les adultes, l’analphabétisme est pourtant un blocage plus que pesant, impactant même le quotidien.  

Incapacité à faire des calculs, incapacité à lire ou à comprendre des contrats de travail, incapacité à écrire même leur nom, etc. L’analphabétisme constitue pour certains un problème ne permettant pas une meilleure évolution de leur vie. Cela tend même, pour certains parents, à causer des conflits intergénérationnels, notamment à l’âge où l’enfant recherche naturellement à s’émanciper.

« …mes employeurs m’ont arnaqué »

« J’ai changé de travail 5 fois en 3 ans, toujours en tant qu’homme à tout faire, parce que mes précédents employeurs m’ont arnaqué. Finalement, j’ai abandonné et je préfère travailler comme chercheur d’eau et être payé au jour le jour », explique Tantely. Aujourd’hui âgé d’un peu plus de 40 ans, Tantely vient de la région Vakinankaratra. Il est venu en ville pour chercher du travail. « Je suis issu d’une famille de 7 enfants et je n’ai pas été à l’école parce que nos parents étaient pauvres », souligne-t-il. Aujourd’hui, il travaille en tant que chercheur d’eau et fait les calculs de ses dus simplement par habitude ou plutôt automatisme.

« … ma fille en est complexée »

Une mère de famille, qui a préféré garder son anonymat, témoigne quant à elle du fait que cela cause quelque part un conflit intergénérationnel dans sa famille. « Contrairement à mon mari, je ne suis pas instruite. Je sais lire et écrire, mais je n’ai pas dépassé la classe primaire. Quelque part, ma fille en est complexée, ce qui fait qu’on a du mal à échanger », souligne-t-elle, poursuivant que pour les réunions de parent ou autres, sa fille préfère toujours que ce soit son père qui y va.

Cette mère de famille, autant que Tantely, ne cherche qu’une chose : pouvoir trouver le moyen d’apprendre pour changer la donne.

Des programmes en attente de subvention

« Aujourd’hui, en terme, d’alphabétisation pour les adultes, c’est dans la région Anosy à Betroka et Beraketa que des programmes sont fonctionnels en partenariat avec les Peace Corps », indique Jeannot Aimé Rakotonandrasana, Directeur de l’Éducation Non Formelle au niveau du Ministère de l’Éducation Nationale. Par ailleurs, des sites pour les centres de ressource en alphabétisation (CAR) sont déjà mis en place également dans d’autres régions : Androy, Atsimo Atsinana, Atsimo Andrefana, Menabe, Amoron’i Mania Ihorombe, Anosy, Atsinanana. « Nous sommes dans l’attente de subvention pour le fonctionnement de ces centres, ce qui devrait sortir pour cette année d’exercice 2021 », souligne-t-il.

Les cibles sont les personnes âgées de 15 à 45 ans, et pour cette année le programme visera les parents d’élève et les membres du FEFFI (Farimbon’Ezaka ho Fampandrosoana ny Fanabeazana eny Ifotony ou coopérative pour développement de l’éducation de base), en vue d’une remise à niveau pour une meilleure gestion de l’argent du FEFFI. C’est cette tranche qui est prise en charge par les CAR ou Centre de Ressource d’Alphabétisation. D’autre part, dans la région Anosy, notamment à Beraketa et Betroka, les centres d’alphabétisation déjà fonctionnels ont été mis en place grâce à un partenariat avec l’UNESCO. Ces centres sont même dotés de radios communautaires pour promouvoir l’éducation.


Le taux d’analphabétisme global dans tout Madagascar est aujourd’hui évalué à environ 28 %, dont 26 % pour les personnes âgées de 15 à 49 ans.


Niantso an’i Kalozara amin’ny finday i Saotra fa manembona azy, ny fahasalaman’ity farany no nahamaika an’i Kalozara. Nilaza i Saotra fa any amin’ny havany no mitsabo tena fa tsy any amin’ny hopitaly. Manoro hevitra azy anefa i Kalozara mba hiverina any Andranofady. Milaza ity farany fa tsy misy afaka hitsabo azy any, kanefa nampatsiahy azy I Kalozara fa azo antoka fa afaka mandray an-tànana ny fitsaboana azy ny ao amin’ny CSB. 


Parce qu’elle lui manque, Saotra appelle Kalozara au telephone. Cette dernière en profite pour lui demander des nouvelles sur sa santé. Saotra indique qu’il se soigne chez des membres de sa famille et non à l’hôpital. Kalozara lui conseille cependant de revenir à Andranofady, mais il reste craintif pensant que personne ne peut le soigner là-bas. Kalozara lui rappelle toutefois que le CSB peut prendre en charge les cas de COVID-19, et dispose de médicaments et de soins nécessaires.

mardi, 09 mars 2021 13:10

Tsara joro

La bénédiction ou de l’accord des aînés est primordiale dans la culture malgache. C’est à ce thème que nous allons nous consacrer dans Kozio Ahy. Les paroles et le contenu du titre phare du moment « Tsara Joro » de la célèbre chanteuse Denise exposent une expression parfaitement imagée de l’importance de la bénédiction des aînés. En compagnie du grand écrivain malgache Jean Rabenalisoa Ravalitera, la diva Denise nous explique les vraies significations de « Tsara Joro », qui impliquent de transmettre la dignité des aînés aux plus jeunes afin que cela puisse leur apporter du succès dans la vie. 


Hifantoka amin’ny lanjan’ny tso-drano eo amin’ny kolontsaina Malagasy ny Kozio Ahy. Ny tonon’ilay  hiran’ilay mpanakanto fanta-daza Denise, mitondra ny lohateny hoe « Tsara Joro » dia isan’ny maneho sy manazava ny maha zava-dehibe ny tso-dranon-dray aman-dreny amin’ny kolontsaina malagasy. i Denise amin’ny maha-mpanakanto azy sy ny mpanoratra Jean Rabenalisoa Ravalitera dia manazava amintsika ato anatin’ny Kozio Ahy fa ny hasina avy amin’ireo ray aman-dreny no hampitainy amin’ny zanaka amin’ny alalan’ny rano ka izay no maha sarobidy ny tso-drano.

mardi, 09 mars 2021 12:25

Journal du 09 mars 2021

    • Nidina 5% ny tahan’ny fanaovana vaksiny teto Madagasikara tamin’ny taona 2020
    • Antananarivo : nitombo 80 % ny mpitoroka ny herisetra ao an-tokantrano, teny amin’ny «« Brigade Féminine de Proximité » 
    • Manana ny paikady hitantanany ny filoha fokontany vehivavy
    • Fanatajahantena : tsy mbola misy fifandanjana eo amin’ny lahy sy ny vavy
    • Hamolavola lalàna hifehy ny fampiasana « drône » ny eo anivon’ny Aviation Civile de Madagascar

  • Les conditions d’homologation des écoles privées d’expression française ou anglaise
  • Le profil idéal pour un dirigeant de fédération et de confédération
  • Musichall : une application 100% malgache pour la promotion des artistes malgaches
  • Deep Nostalgia : un site web pour faire revivre des proches décédés en vidéo

« Une seule personne peut changer le monde », Rosa Parks.

Politiciennes, artistes, poètes, plusieurs femmes malgaches ont marqué l’histoire de Madagascar à travers le temps. Le Studio Sifaka en a sélectionné quelques-unes, souvent méconnues du public.

Esther Nirina

Esther Ranirinaharitafika, connue comme Esther Nirina est une poétesse malgache francophone des années 80.  Elle a grandi à Madagascar mais s’installe en France vers ses 18 ans. Ses recueils de poésie attirent l’attention de plusieurs éditeurs français, mais c’est finalement Jean-Jacques Sergent qui publiera ses œuvres en France. A son retour à Madagascar en 1990, alors âgée de 58 ans, elle participe à la vie littéraire sur place et continue à publier. Plume souvent oubliée, le volume de poème « Simple voyelle » sorti en 1980 gagne pourtant le Grand Prix Littérature de Madagascar, cette même année. Elle meurt en 2004 à la suite de la publication de son premier recueil en malgache « Mivolana an-tsoratra ». Elle reçoit la distinction française Chevalier de l’ordre des Arts et des Lettres la même année.

 

Juliette Ratsimandrava

Femme de lettres, enseignante-chercheure, académicienne, Juliette Ratsimandrava est une des figures féminines les plus importantes de la culture et de la langue malgache. Elle a contribué largement à la réalisation du dictionnaire encyclopédique de la langue malgache « Rakibolana Rakipahalalana », devenu un ouvrage de référence actuellement. La sœur du colonel Richard Ratsimandrava a tenu des postes clés de son vivant : directrice de l’Office National des Langues au sein de l’Académie malgache, conservatrice de la Bibliothèque Nationale, responsable du centre des langues au Tahala rary hasina, responsable culturel de la ville d’Antananarivo…  Son parcours lui a valu le titre de « Commandeur de l’Ordre des Arts, des Lettres et de la Culture » en 2016, un mois avant sa mort le mois de septembre.

 

Monique Andreas Esoavelomandroso

Figure féminine politique, Monique Andreas Esoavelomandroso a débuté dans l’administration après ses études sur l'audit financier, à Paris et à l'université de Pittsburgh. Elle ntègre des ministères entre 1977-1993 où elle exerce des responsabilités différentes avant d’être nommée ministre chargée de la décentralisation, du développement des provinces autonomes et des communes en 2003. De 2004 à 2008, elle devient secrétaire générale de la Commission de l'Océan Indien. Depuis, elle tient le poste de médiatrice de la République de Madagascar. Sa mission est d’aider les citoyens contre les dérives et les dysfonctionnements de l’administration. Un parcours inspirant pour toutes les jeunes femmes actuelles !

 

Madeleine Ramaholimihaso

Madeleine Ramaholimihaso est la première femme nommée au rang de Grande Chancelière de l’Ordre National Malagasy en 2019. Cette femme se démarque par son parcours exceptionnel. Major de sa promotion de l’Ecole de Haut Enseignement Commercial pour les jeunes filles (HECJF) de la chambre de commerce et d’industrie de Paris, elle devient expert-comptable et créée son propre cabinet en 1963. Elle est élue président de l’Ordre des experts-comptables de Madagascar en 1979.  Elle fait également partie des Présidents d’Honneur de la Fédération Internationale des Experts Comptables Francophones (FIDEF). Elle est actuellement présidente de l’Association pour la Promotion de l’Entreprise à Madagascar (APEM), fondée en 1987.

mardi, 09 mars 2021 11:47

Journal des régions du 09 mars 2021

    • Fokontany Andakabe : olona 2O nisitraka fanomezana ara-tsakafo avy amin’ny « banque alimentaire »
    • Nanatanteraka tanamaro ny fokonolona anesorana ny loto nanentsina ny vavahady fampidiran-drano tao amin’ny tohandranon’ny Dabaray
    • Toamasina: mpitondra tuc-tuc 200 avy amin'ny fikambanana FMTMT no mahazo fampiofanana momban’ny lalàna mifehy ny fifamoivoizana sy fivelarana mahaolona avy amin’ny association ZARA

  • Fokontany Andakabe : 20 personnes bénéficieront de la banque alimentaire
  • Tanamaro pour le nettoyage du barrage à Dabaray
  • Toamasina : 200 conducteurs de tuc-tuc jouiront d’une formation pour une meilleure circulation au sein de la ville
mardi, 09 mars 2021 11:37

Revue de presse du 09 mars 2021

    • Fifidianana filohan’ny CAF: tsy afaka hofidiana i Ahmad
    • Velan-kevitra sy lalao no nanamarihan’ny vehivavy mpilalao baolina lavalava ny 8 martsa
    • 8 martsa : nanatanteraka fanentanana mahakasika ny homamiadan’ny nono ny fikambanan’ny vehivavy mpanao gazety

  • Ahmad, hors course à la présidence de la CAF
  • 8 mars : la fédération met en avant les joueuses de rugby
  • Association des femmes journalistes : sensibilisation sur le cancer du sein pour célébrer le 8 mars

Hametraka fitarainana ao amin’ny BIF-n’ny kaominina i Solofo momba ilay fakàna an-keriny ny taniny. Vory eo avokoa ireo mponina avy any Ambalamaro sy fokontany manodidina  manotrona azy. Miandry ny fihavian’ny ben’ny tanàna ry zareo satria mila mifanatrika. Manazava i Beby, fa ilay orinasa nanamboatra lalana no ambadik’io fakana ny tanim-bahoaka io ho setriny tamin’ny fanampiany ny ben’ny tanàna. Tsy ilaina ao Andanofady intsony Stanislas hoy izy. Milaza hitory ny ben’ny tanàna any amin’ny BIANCO amin’izao afera misy kolikoly izao ihany koa i Johnny.


Solofo va déposer sa plainte auprès de la BIF de la commune concernant son problème foncier. Les citoyens d’Ambalamaro et des autres fokontany sont venus le soutenir. Ils espèrent également avoir un face à face avec le maire. Beby explique que l’entreprise en charge de la construction des routes est derrière cette appropriation des terres. Selon elle, c’est le maire qui leur a fourni les titres fonciers. Johnny prévoit également déposer une plainte contre le maire au niveau de la BIANCO.

Mitaraina mafy amin’i Besoa i Solofo. Misy solontenan’ny mpandraharaha naman’ny ben’ny tanàna tonga nandrefy ny taniny mba hanorenana orinasa. Manana taratasy ara-dalàna i Besoa kanefa manana toy izany ihany koa ireo solotena ireo. Manome soso-kevitra azy i Besoa mba hiroso amin’ny fitoriana ary hanangona ireo rosia nandoavana ny hetran-tany hatrizay miaraka amin’ireo taratasin-tany mba hatao porofo. Manahy trangana kolikoly avo lenta ataon’ny kaominina i Besoa.


Solofo se plaint auprès de Besoa. Des employés envoyés par un ami du maire  sont en train de mesurer ses parcelles de terrain afin d’y implanter une usine. Pourtant Besoa possède tous les titres fonciers de ce patrimoine.  Besoa lui conseille de porter plainte mais Solofo a peur de perdre face à cet entrepreneur.

Matahotra i Bako fa tena misy fahavoazana ny vadiny.  Sady matory tsy mety andeha hiasa izy no namono ny findainy ihany koa. Mivaky Stan fa mikasa ny hanongana azy Andranofady, nanonofy mihitsy izy vokatr’izany, fa nisy korontana be tao Andranofady, ary lasa nitsoaka izy telo mianaka. Tonga Romain nony avy ary nanome toky fa tsy hisy afaka hanala teo amin’ny toerany izany i Stan.


Bako craint que son mari ne soit pas en forme. Il dort tout le temps, ne va pas au travail et éteint son téléphone portable. Après une longue attente, Stan a finalement affirmé qu'Andranofady envisage de le renverser du pouvoir.  Il a même déjà rêvé que sa famille et lui devaient s’enfuir à cause de cela. Romain est venu plus tard et a rassuré Stan que personne ne pourrait le retirer de sa place de maire.

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