COVID-19 : Tous ensemble face au virus

Débat des jeunes

Andrea Razafi

Andrea Razafi

mercredi, 27 avril 2022 12:13

Le journal du 27 avril 2022

  • Ambatondrazaka : hahatratra 600.000 taonina ny voka-bary andrasana.
  • Mitombo ny vola miditra amin’ny tanora ao Nosy Iranjan’i Nosy be noho ny fitomboan’ny  mpizaha-tany  mitsidika any antoerana.
  • Fampihenana ny tahan4ny asan-jiolahy any majunga amin4ny alalan’ny famoronana tetikasa ho an’tanora.
  • Miantoka ny fitohizan’asa eo amin’ny firenena roa tonta ny nahalany ny filoha frantsay Macron.

Des associations ou traitements prétendent être spécialistes dans la prise en charge des enfants particuliers. Pour le cas d’un autiste par exemple, plusieurs diagnostics doivent être  réalisés pour confirmer le cas d’un enfant. En général, il n’existe aucun médicament thérapeutique pour guérir l’autisme, mais un suivi personnalisé pour accompagner l’enfant dans son développement. A part les éducateurs spécialisés, ce sont les pédopsychiatres qui prennent en charge ces enfants particuliers.  

Betsaka ny fikambanana na fitsaboana mijoro ho mandray an-tanana ireo zaza miavaka ary maro ny raiamandreny liana amin’izany. Fizaham-pahasalamana marolafy no mila atao raha hamantatra ny maha autiste na tsia ny zaza iray ohatra, araka ny fanazavan’ny autisme Madagasikara. Amin’ny ankapobeny dia tsy misy fanafody hitsaboana azy ireo fa ny fandraisana an-tanana azy no mampivoatra tsikelikely azy. Mety hisy fambara mitovitovy amin’ny autiste ny zaza iray anefa efa toetrany amin’ny ankapobeny ilay izy. Mila manantona mpitsabo hatrany ny ray aman-dreny mialoha ny hitsarana ny toetry ny zaza.

mercredi, 27 avril 2022 11:44

Le journal des régions du 27 avril 2022

  • Atsimo Andrefana : le passage du cyclone Jasmine a laissé des centaines de sinistrés.
  • Haute Matsiatra : paludisme, hausse des cas enregistrés dans la commune d’Andoharanomaintso.
  • Boeny : conformer le statut des « Dina » dans les régions Boeny  et Betsiboka.

 

  • Atsimo Andrefana : aman-jatony ireo traboina vokatry ny fandalovan’ny rivo-doza Jasmine.
  • Matsiatra Ambony : niakatra 62% ny tahan’ny olona voan’ny tazomoka ao amin’ny kaominina Andoharanomaintso.
  • Boeny : hampitoviana ny sata mifehy ny dina ao amin’ny faritra Boeny sy Betsiboka.

mercredi, 27 avril 2022 08:46

5e vague de coronavirus en Afrique du Sud

 L’Afrique du Sud entre dans sa 5e vague en ce moment. Le pays a déjà enregistré une diminution des cas. Le nombre de nouveaux cas augmente chaque jour, selon l'Institut national des maladies transmissibles. Les chiffres de ces derniers jours sont les plus élevés en trois mois. Pourtant en mars, ils ont enregistré 0 décès en 2 jours depuis le début de la pandémie en 2020. Raison pour laquelle, leur président, Cyril Ramaphosa, a annoncé au début de ce mois que toutes les restrictions sanitaires étaient levées. Espérons qu’ils vont mieux s’en sortir cette fois car le taux de couverture vaccinale du pays est assez élevé, environ 45%.

 Miditra amin’ny andiany faha-5 ange ny valanaretina coronavirus any Afrika Atsimo e. Efa tsy dia heno loatra intsony ilay izy dia iny indray fa niverina. Mihamiakatra mihamiakatra ihany ny isan’ireo tranga vaovao any an-toerana isan’andro araka ny nambaran’ny Institut national des maladies transmissibles. Ireo tarehimarika voaray nandritra izay andro vitsivitsy farany izany no tena avo indrindra tao anatin’ny 3 volana izay. Tamin’ny volana martsa anefa nisy an’izany hoe tsy nisy maty mihitsy tao anatin’ny 2 andro hatrizay nisian’ny coronavirus izay. Ny filohan’zareo aza, i Cyril Ramaphosa, efa nanambara mihitsy tamin’ny volana fiandohan’ity volana ity fa efa foana daholo ny fepetra ara-pahasalamana rehetra. Mety ho tombony ho andry zareo angamba dia hoe latsaka kelin’ny 45% n’ny mponina any no efa vita vaksiny.

 

Le petit monde des cinéphiles malgaches est en effervescence cette semaine. C’est le 28 avril qu’est programmée l’avant-première du long métrage « Joe » de Zo Tahiana Hariminoson. Les premières images du fil entrevues dans la bande-annonce qui circule sur les réseaux sociaux promettent.

Synopsis. C’est l’histoire de Joe, un père de famille dont la fille est atteinte d’une maladie incurable. Prêt à tout pour sauver la vie de son enfant, il s’est laissé tenter par une solution peu conventionnelle qui le voit entrainer dans une spirale de péripéties avec deux autres jeunes femmes …

« Le film montre jusqu’où les gens sont prêts à aller pour sauver la vie d’un être cher et pour changer de vie », explique Zo Tahiana Hariminoson, l’homme derrière le thriller fantastique « Joe ». Si le film met au gout du jour certains aspects culturels et traditionnels, Zo Tahiana Hariminoson affirme que le fantastique ne prend pas trop de place. « Ce sont les péripéties qui ont emmené les personnages dans la situation qui sont racontées et surtout la responsabilité de la société par rapport à cela », ajoute-t-il.

En salle uniquement

Quoi qu’il en soit, la bande-annonce a fait tilt auprès des cinéphiles. « Magnifique », « Enorme », « Enfin du vrai « cinéma » » … Les superlatifs ne manquent pas dans les commentaires qu’on peut lire notamment sur la page Facebook du film. Les amateurs sont visiblement surpris par cette production sombre et haletante qui ne sera diffusé qu’en salle. Un choix assumé par Zo Tahiana Hariminoson. « Le cinéma a vocation à être diffusé dans une salle de cinéma. Dans le cinéma, il y a des exigences techniques au niveau des images et du son. Il y a aussi une exigence scénaristique. Le cinéma est un œuvre d’art », explique-t-il. Pour cela, la boite de production a regroupé des techniciens qui ont baigné dans le monde du cinéma pendant des années.

Pour la distribution, l’équipe a fait appel au Canal Olympia. D’après Zo Tahiana Hariminoson, le film en version malgache sous-titré en français sera diffusé sur le réseau Canal Olympia en Afrique. Rendez-vous donc le 14 mai pour la première de Joe au Canal Olympia Andohatapenaka. L’avant-première est programmée le jeudi 28 avril.

Tolotra Andrianalizah

mardi, 26 avril 2022 13:05

Le journal du 26 avril 2022

  • Sehatra tsy miankina : hiakatra ny karama.
  • 30 isan-jaton’ny ankizy 3 hatramin’ny 5 taona no mianatra any amin’ny akany fibeazana tamin’ny 2017-2019.
  • Ilain’ny olom-pirenana ny fikojakojana ny fananana iombonana.
  • Nanomboka omaly alatsinainy 25 Avril ny Fifaninanam-pirenena N1A sokajy Lehilahy - Vondrona Andrefana.

Les jeunes hésitent encore à se lancer dans l’entrepreneuriat même s’ils ont des idées innovantes. Les raisons sont diverses mais le manque de confiance en soi, le manque de conseils et l’absence de soutiens financiers viennent en premier. C’est pourquoi l’évènement « Espace Jeune Entrepreneur » veut rapprocher les entrepreneurs en exercice et les étudiants intéressés par l’entrepreneuriat. L’objectif est clair : faire reculer le chômage grandissant, causé par les crises sanitaires et économiques. «  J’ai dû fermer ma petite entreprise à cause du covid-19. Les impôts coûtent chers alors que nous n’avions pas de recette. Je suggère ceux qui se lancent à s’intéresser au secteur primaire » dit Beharison Lysia, ex-entrepreneur. «  Nous poussons tous les acteurs du domaine à former un réseau. On concentre nos efforts sur ceux qui ont débuté pendant et après la crise sanitaire » rétorque Iavo Benjaka, membre du CEERE et organisateur de l’EJE. «  L’hésitation arrive quand les prix des matières premières changent du jour au lendemain ou quand une crise inattendue tel le covid-19 débarque. Cela implique qu’on doit refaire tout le calcul et ça complique les choses. J’invite les jeunes à diversifier les offres s’ils veulent s’en sortir » partage Rayan Akoutey.

Le secteur informel couvre 60% des emplois de la population active au niveau international. Ce phénomène est intense dans les pays en développement. 90 % de la population malgache perçoivent des revenus de ce secteur. A Madagascar, le secteur informel est peu exploité et cela entraîne la détérioration des caisses de l'État.

Mbola maro ireo tanora no misalasala hiditra amin’ny tontolon’ny fandraharana eto amintsika, noho ny antony maro. Tsy matoky tena, tsy ampy torohevitra sy tsy manana antoka ara-bola izy ireo na dia manana hevitra tsara ary. Antony nanaovana ny hetsika « Espace Jeune Entrepreneur » ny hampihaonana ireo tanora mpandraharaha sy ireo mbola mpianatra ka liana amin’io sehatra io. Tanjona ny hitadiavan’izy ireo vahaolana miaraka manoloana ny tsy fananana asa, izay miha-mahazo vahana noho ny krizy ara-pahasalamana sy krizy ekonomika. «  Voatery nijanona tsy nandraharaha izahay noho ny amehana ara-pahasalamana. Ambony ny hetra aloha kanefa ny vola miditra tsy nisy, ny banky rahateo tsy nampindram-bola anay » hoy i Beharison Lysia, mpandraharaha teo aloha. « Mampirisika ny mpandraharaha rehetra, na tanora na efa za-draharaha, ho tonga tambajotra iray lehibe izahay. Jerena manokana ireo orinasa nijoro nandrita ny amehana ara-pahasalamana ary omena fitaovana ampy hamilian’izy ireo ny orinasany » hoy i  Iavo Benjaka, mpikambana ao amin’ny CEERE sady mpikarakara ny EJE. « Ny fiovaovan’ny vidin’ny akora eny amin’ny tsena, ny toe-javatra tsy ampoizina toy ny valan-aretina ary ireo fandaniana mihoatra  kanefa tsy maintsy atao matetika no mahatonga fahasarotana eo amin’ny fandraharana. Ny fanomezana tolotra marolafy no azo antoka indrindra raha tiana hiroborobo ny fandraharana atao » hoy kosa i Rayan Akoutey, mpianatra liana amin’ny fandraharana.

 

Ny 60%-ny mpandraharaha maneran-tany dia ao amin’ny sehatra tsy manara-drafitra avokoa. Aty amin’ny firenena mahantra no tena ahitana izany. Eto amintsika, mahatratra 90% izany taha izany. Raha trandrahina araky ny tokony ho izy anefa io dia hanampy ny kitapom-bolam-panjakana.

  • Boeny : la direction régionale de l’industrie a procédé au plafonnement des prix des PPN.
  • Itasy : formation sur la protection de l’environnement pour les jeunes issues de communes enclavées.
  • Toliara : le cyclone Jasmine pourrait atterrir ce soir dans le district de Toliara I – II.

  • Boeny : Niroso tamin’ny famehezana ny vidin’entana farany ambony ny fitaleavam-paritry ny indostria, varotra ary fanjifana.
  • Itasy : fampiofanana ireo tanora any amin’ny kaominina lavitra andriana mikasika ny fiarovana ny tontolo iainana.
  • Toliara :  Vinavinaina hiditra an-tanety ao amin’ny Distrikan’i Toliara I sy II anio alina ny rivo-doza Jasmine.
lundi, 25 avril 2022 13:17

Le journal du 25 avril 2022

  • « Andro maty » eny amin’ny Oniversiten’Antananarivo manomboka anio.
  • Misy ny fiaraha-miasa eo amin’ny trano fanontana sy ireo fikambanana miasa ho an’ny Jamba amin’ny fanotana boky.
  • Fiarovana ny zon’ny mpanjifa amin’ny aterineto : ireo fitarainana iombonana no jeren’ny mpiaro ny zon’ny mpanjifa.

Les chauffeurs de taxi-moto de la première heure se plaignent du nombre en constante augmentation des gens qui se lancent dans cette activité.

Environ 5 000 selon le directeur de la mobilité urbaine, le commissaire Albert Estel Ainanirina. Voilà une estimation du nombre de chauffeurs de taxi-moto dans la commune urbaine d’Antananarivo. Le moins qu’on puisse dire c’est que les taxis-motos font désormais partie du paysage dans la capitale. Si les taxis conventionnels se plaignent de concurrence déloyale, les taxis-motos de la première heure déplorent une situation hors de contrôle à cause du refus de la commune de légiférer sur cette activité. « Trop ! Il y a trop de taxis-motos. Mes revenus diminuent de jour en jour à cause des nouveaux venus », lance un chauffeur de taxi-moto du côté d’Andravoahangy pour qui la position attentiste de la commune n’arrange ni l’affaire des taxis conventionnels ni celui des taxis-motos. « Je pense que si la commune met en place des règles et des taxes pour gérer cette activité, il y en aura pas mal qui ne le feront plus », ajoute-t-il.

Conseillers municipaux

Des pourparlers allant dans ce sens se poursuivent actuellement entre la commune et les taxis-motos. Le président de l’association AKD Fulgence Ramamonjisoa indique que le fait de réunir les taxis-motos au sein d’une association est une première étape vers la professionnalisation de l’activité. « Nous avons mis en place certaines règles comme l’obligation d’avoir un permis de conduire ou encore l’âge minimum de 24 ans pour rassurer la commune et les usagers », souligne-t-il. Notre premier interlocuteur affirme pour sa part être prêt à se conformer à ce que la commune pourrait décider quitte à investir dans une nouvelle moto.

Les taxis-motos font partie des activités qui se sont développées durant le confinement. Moins chers que les taxis conventionnels et pratiques dans les embouteillages, ils ont facilement trouvé leurs clients dans une capitale plus engorgée que jamais. La balle est dans le camp des conseillers communaux qui continuent de faire barrage.

Tolotra Andrianalizah

Le Studio Sifaka donne la parole aux jeunes pour échanger sur les actualités de la semaine. Aujourd’hui, Rameiliarinoro Mialy Sarobidy, Ny Soa Andriamanga et Raharimalala Andoniaina Aurélie, toutes les trois étudiantes, vont s’exprimer sur les questions liées à l’absence du civisme chez les jeunes ainsi que les impacts dans leur quotidien. Elles vont aussi donner leurs avis par rapport aux actualités internationales, notamment le récent débat entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen pour la présidentielle française.

 

Omena sehatra ny tanora eto amin’ny Studio Sifaka, mba hahafahan’izy ireo maneho ny heviny mahakasika ireo vaovao nisongadina nandritra ny herinandro. Ho an’ny anio, i Rameiliarinoro Mialy Sarobidy, i Ny Soa Andriamanga sy i Raharimalala Andoniaina Aurélie no haneho hevitra mahakasika ny tsy fahampian’ny fahaiza-miaina eo amin’ny tanora sy ny fiantraikan’izany amin’ny andavan’androny. Hiresaka momba ireo vaovao nisongadina maneran-tany koa izy izy ireo : Ny adihevitra teo amin’ny Emmanuel Macron sy Marine Le Pen ho an’ny fifidianana izay ho filoha frantsay no hanehoan’izy ireo hevitra.

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