COVID-19 : Tous ensemble face au virus

Débat des jeunes

Andrea Razafi

Andrea Razafi

vendredi, 28 janvier 2022 11:06

Le journal du 28 janvier 2022

  • Vary tsinjo : Vahaolana vonjimaika fotsiny hoy ny mpanjifa.
  • Entana ilaina amin’ny andavanandro : nahitam-piakarana ny vidiny, na eo ary ny voalaza ho fanarahamason’ny tompon’andraikitra.
  • Rivo-doza Batsirai : Any amin’ny 2792 km Atsinanan’i Tomasina no misy ny ivony, ny marain’ny 28 janoary.
  • 7 jours pour un film : nahazo traikefa amin’ny fanantontosana horonantsary ireo vehivavy.

Avec la décrue qui s’amorce, les autorités sont à pied d’œuvre pour renforcer les digues avec en toile de fond, l’éventualité d’un nouveau cyclone, Batsirai.

Premiers rayons de soleil après les pluies meurtrières du cyclone Ana. Les cours d’eau passant par la ville d’Antananarivo se sont assagies et la décrue devrait se poursuivre selon l’Autorité pour la protection contre les inondations de la plaine d'Antananarivo (APIPA) ce midi. Au niveau d’Ampitatafika, la Sisaony, avec 3.03 m, a connu une baisse de 30 cm au cours des 18 dernières heures. Il en est de même pour l’Ikopa (2.48 cm) avec une baisse de 46 cm enregistré au niveau d’Anosizato. La vigilance est toutefois toujours de mise dans les communes concernées par les crues d’après une prévisionniste des crues de l’APIPA, Hanitriniaina Rakotomalala. « L’alerte danger imminent est toujours maintenu du côté de Bevomanga où l’Ikopa s’affiche encore à 4.92 m malgré une baisse de 12 cm, le niveau critique étant de 4.5 m », indique-t-elle. Elle explique que l’APIPA surveille la progression de la décrue. « Avec les pluies qui se sont arrêtées dans les zones des affluents des cours d’eau qui passent par la ville, la décrue devrait se poursuivre », lance-t-elle.

Batsirai

L’APIPA profite de cette accalmie pour effectuer des réparations sur les digues qui ont menacé de rompre durant les inondations. Le chef de service des travaux de l'autorité Rinah Iharanandriana Ranaivoarisolo fait savoir qu’il y a plusieurs menaces sur les rives de la Sisaony. « Nous avons rapidement dépêché du matériel pour renforcer les digues au niveau de ces points. C’est le cas à Ampahitrosy, Atsimondrano, ou encore à Andohantajona, Itaosy. Nous avons aussi mis des balises au niveau du barrage d’Antsapanana sur l’Ikopa », explique le technicien. Il indique par contre que pour la digue qui a rompu à Ambohimangidy, Ampitatafika, il faut attendre que l’eau se soit entièrement retirée pour pouvoir la réhabiliter. Rinah Iharanandriana Ranaivoarisolo de souligner que l’entretien et les éventuelles réhabilitations des digues à Antananarivo sont inscrits dans le budget de l’APIPA.

Le dernier bilan du passage du cyclone fait état de 41 morts et 110 394 sinistrés. Le Grand Tanà, épicentre de la catastrophe, compte 29 morts et plus de 80 000 sinistrés. Alors que le Bureau national de la gestion des risques et des catastrophes s’active sur le front de la réponse, Météo France indique que la dépression tropicale Batsirai devrait se transformer en cyclone la semaine prochaine. Cette deuxième tempête tropicale de la saison se dirige lentement mais surement vers les Mascareignes.

Tolotra Andrianalizah

  • 40 sites d’hébergment fermés et 103 autres encores ouverts selon le BNGRC.
  • Reprise des cours univesitaires hier pour Antananarivo, Toamasina et Mahajanga.
  • Retour sur les côtes d’Analanjirofo d’une dizaine de pêcheurs et de 16 pirogues.
  • JIRAMA : retard de la réduction des délestages.

  • Toerana fandraisana traboina nohon’ny tondra-drano, miisa 40 no nakatona teto Analamanga, ary 103 no mbola misokatra hatreto hoy ny BNGRC.
  • Niverina nanohy ny fampianarana omaly ny tao amin’ny oniversité an’Antananarivo, Toamasina ary Mahajanga.
  • Tafaverina an tanety, omaly, ireo mpanarato ampolony izay nandeha tamin’ny lakana miisa 16 tany Fenerive Est.
  • Tsy mbola hihena ny fahatapahan jiro ho an’Antananarivo hoy ny Jirama.
jeudi, 27 janvier 2022 12:23

Le journal du 27 janvier 2022

  • COVID-19 : ny sokajin’olona marefo no tena marisika amin’ny fanaovana fatram-bakisiny fanampiny.
  • Tetik’asa OBS Mada: Hampiofana ireo tanora ao amin’ny faritra Matsiatra Ambony sy Amoron’ i Mania ary Ihorombe.
  • Vita ilay lalana tapaka PK 108.600 teo amin’ny lalam-pirenena faharoa ao moramanga mampitohy an’anatananarivo –toamasina.
  • Miroso ny asa fananganana toby fitehirizanan-drano ao Miandrivazo.

Les réseaux sociaux sont devenus des outils indispensables aux entreprises. Mais encore faut-il savoir quels réseaux sociaux choisir en fonction de l’identité de l’entreprise, de ses produits et de sa cible. Selon Thierry Ratsizehena, consultant et formateur en médias sociaux, il faut prendre en compte le comportement des cibles, les réseaux qu’ils utilisent et pourquoi ils les utilisent.  En général, Facebook et Linkedin sont les must des réseaux sociaux qu’une entreprise devrait avoir.

Titulaire d’un Master 2 en droits des affaires, Steeve Andriamasy travaille actuellement comme conférencier en entrepreneuriat. Un métier qui ne correspond pas totalement à son parcours académique. Pourtant, dans ce travail, il est parfaitement épanoui. Certes, le ministère du travail à Madagascar défini cela comme une inadéquation entre l’emploi et la formation. Mais pour certains jeunes comme Steeve, c’est une opportunité de basculer vers un métier qui lui correspond plus.

Fitaovana iray tsy azo hialana  ho an’ireo orinasa ny fampiasana tambazotra sosialy, indrindra fa nanomboka tamin’ny nidiran’ny valanaretina covid 19 teto Madagasikara. Maro ireo tambazotra sosialy azon’izy ireo hampiasaina saingy mila hay ny misafidy izany. Miankina amin’ny antom-pisian’ilay orinasa, ny vokatra amidiny sy ny sokajin’olona kendreny izany. Ilaina ny mamantatra ny toetr’ireo olona tiana ho sarihana, ny tambazotra tena fampiasany sy ny antony hampiasany izany, hoy Ratsizehena Thierry, mpampiofana momba ny fampiasana tambazotran-tserasera.

Nahavita fianarana tao amin’ny lalam-piofanana lalàna i Andriamasy Steeve. Tsy mifanaraka tanteraka amin’izay anefa ny asa nataony taty aoriana. Na izany aza, mivelatra sy mivoatra ny maha izy azy ao anatin’io sehatra asa vaovao io. Manome toro-hevitra ho an’ireo tanora izay mety hanaraka izay safidy izay izy.

Le pic des contaminations ou la phase aigüe de la pandémie pourrait prendre fin vers le mois de mars prochain en Europe, a déclaré le directeur général de l’organisation mondiale de la santé ce 24 janvier 2022.

Au moins 60% de la population européenne aurait été déjà en contact avec le variant Omicron. Une fois que cette vague sera calmée, une immunité globale va s’installer soit grâce aux vaccins, soit grâce à l’immunité conférée par une infection, explique-t-il. Ainsi, le nombre de nouvelles contaminations va baisser et se stabiliser pendant plusieurs mois.   

Toutefois, l’organisation onusienne demande à ne pas relâcher les efforts déjà déployés jusqu’à maintenant. Il faut accélérer la distribution des vaccins et se préparer à l’arrivée d’un éventuel nouveau variant.

 

COVID-19 : antenaina hihena ny isan’ny tranga vaovao voamarina any Eoropa ato ho ato

Tokony ho tratra amin’ny volana martsa ho avy io ny isa farany ambony amin’ny tranga vaovao na pic des contaminations, ao Eoropa hoy ny tale jeneralin’ny sampandraharahan’ny firenena mikambana misahana ny fahasalamana, ny 24 janoary teo.

Farafahakeliny 60% isanjaton’ireo mponina ao Eoropa mantsy dia efa nifampikasoka tamin’ilay endrika vaovao Omicron avokoa. Heverina noho izany fa ho azo ny hery fiarovana iombonana, na avy amin’ny alalan’ny vaksiny io na avy amin’ny alalan’ny olona iray voan’ny COVID-19 ka sitrana. Hihena ny isan’ny tranga vaovao ary tsy hisy fiovana be intsony izany, ato anatin’ny volana maromaro.

Na izany aza, nangataka ny OMS ny hanohizana ireo ezaka rehetra efa natombokatra hatreto, toy ny fanaovam-baksiny. Ary miomana hatrany sao misy fiovan’endrika vaovao mipoitra.

Solidarité, entraide, … les catastrophes humanitaires sont souvent des révélateurs de l’humanité qui sommeille en tout un chacun.

Voir des familles démunies après la montée des eaux laissent difficilement insensible. Les derniers chiffres officiels parlent de 101 461 sinistrés dans tout Madagascar dont 95 398 pour la seule région d’Analamanga. Pour le cas de la capitale, même si le soleil a fait son retour, la décrue n’est pas encore au rendez-vous. Le président de la République Andry Rajoelina est encore descendu sur le terrain ce jour pour constater les dégâts dans la partie sud de la ville.

Des centaines d’hommes et de femmes sont actuellement à pied d’œuvre pour porter assistance aux sinistrés. Une responsable au sein du ministère de la Population partage son vécu depuis plus d’une semaine. « Je ne dors que deux heures par jour. Je suis toujours sur le terrain à coordonner les actions », indique-t-elle, pour qui cette inondation est la cinquième catastrophe à laquelle elle a fait face. « Ce n’est jamais pareil. C’est certes mon travail mais on ne peut ne pas être triste à la vue de ces familles dans le désarroi. Dieu merci, jusqu’ici, je n’étais pas encore confronté à beaucoup de blessés graves ni de morts », confie-t-elle. Elle déclare toutefois qu’il est important de surmonter les sentiments pour bien assurer son rôle. « Savoir que ce je fais peut vraiment aider des gens dans le besoin me confère une satisfaction personnelle », conclut-elle.

Solidarité

La solidarité s’organise également dans les communautés touchées. Des photos partagées sur les réseaux sociaux ont montré des gens qui collaborent pour colmater par exemple des digues. C’est le cas du fokontany d’Ankeniheny du côté d’Ambodimita. D’après la conseillère municipale à la CUA Hilda Hasinjo Ravelonahina, les habitants ont répondu à l’appel du fokontany pour trouver une solution à la digue qui présentait des fuites. Un même élan de solidarité a été observé du côté d’Ankorondrano où la population a aidé à la mise en place de batardeaux pour contenir l’eau.

Des actions isolées et spontanées ont également été observées durant ces derniers jours toujours sur les réseaux sociaux. Quatre garçons, âgés entre 19 et 20 ans, se sont par exemple cotisés pour donner des provisions à une dizaine de foyers du côté d’Ambohimanambola. Ils avaient ciblé des personnes qui ne pouvaient pas travailler à cause du mauvais temps. D’après les explications, ce sont des amis qui ont l’habitude de faire des actions de ce genre notamment durant les fêtes.

Toujours dans cet esprit de solidarité, les autorités ont lancé un appel à volontaires pour aider dans l’assistance des sinistrés. Selon une source auprès du ministère de la Communication, les jeunes y ont répondu massivement. « On avait recherché 350 volontaires. Plus de 700 ont répondu à l’appel », confie la source.

Tolotra Andrianalizah

mercredi, 26 janvier 2022 12:30

Le journal des régions du 26 janvier 2022

  • Ouverture de la route nationale n°2 PK 108+600 à Moramanga.
  • Diminution des cas de feu à Antsohihy.
  • Compte rendu des états de lieu à Madagascar suite aux fortes pluies.
  • Des femmes pêcheurs de Tuléar bénéficient d’une formation.

  • Nisokatra androany maraina ny lalam-pirenena faharoa teo amin’ny lalana tapaka PK 108+600 any
    Moramanga.
  • Nihena ny doro tanety any Antsohihy vokatry ny fifandrimbonan’ireo mpikambana ao anatin’ny
    Komity Miady amin’ny afo.
  • Ny zava-nisy eraky ny nosy vokatry ny rotsak'orana be loatra.
  • Nahazo fiofanana ireo vehivavy mpanjono any Toliary mahakasika ny jono sy ny fahaleovan-tenan’izy ireo.

mercredi, 26 janvier 2022 12:26

Le journal du 26 janvier 2022

  • Traboina eo Mahamasina : Mahazo fampianarana momba ny zo fototra maha-olona.
  • Tra-boina Ambodihady: Efitrano fianarana no handraisana ny ankamaroan’izy ireo.
  • Bongolava : mandray anjara amin’ny fametrahana filaminana ny tanora amin’ny alalan’ny fandrafetana tetikasam-piarahamonina.
  • Deepfake : mampirongatra ny fiparitahan’ny vaovao tsy marina amin’ny aterineto.

Le « deepfake » est une technique permettant de modifier le contenu d’une image, d’une vidéo ou d’un son, grâce à l’intelligence artificielle. Le « deepfake » peut se peut se faire à travers de nombreuses applications, il y a la possibilité d’échanger le visage d’une personne sur une vidéo avec celui d’une autre ou la possibilité de modifier tout simplement un élément de la vidéo. Bien qu’il soit divertissant, il peut également conduire à la création et diffusion de fausses informations.  Il est difficile aujourd’hui d’identifier une vidéo « deepfake », mais on peut déjà le faire  en observant la manière dont la personne prononce les mots, a suggéré le représentant du Factiviste Ricard Andrianamanana. Il existe aussi des plateformes comme factchecker.org ou la page facebook « Factivistes » pour Madagascar, qui apprennent aux internautes à identifier les fausses informations. 

Fomba fampiasana ny teknolojia malaza anaty tambajotra sosialy  ny « Deepfake », entina hanovana horonantsary na horonampeo. Mety ho kilalao sy fanandramana no tena ampiasain’ny olona azy, fa mety ho tonga any amin’ny fanaparitahana vaovao tsy marina anefa. Misy karazany ireo rafibaiko fampiasa amin’izany, ao ny manova endrika, ao ny fampifamadihana tarehin’olona roa, ao koa ny hahafahana manova singa iray anatin’ilay horonantsary. Sarotra ny fahafantarana ny horonantsary vidéo deepfake fa azo fantarina amin’ny fomba firesaka ihany izany hoy ny solontena avy amin’ny Factiviste, Andrianamanana Ricard.Mila mitandrina amin’izy ity satria fomba hahafahana mamorona vaovao diso izy, entina hanalana baraka ihany koa amin’ny alalan’ny fampilazana teny izay mety tsy naloaky ny vavan’ilay olona voakasika. Efa misy ireo karazana tahalaka toy factchecker.org na ny pejy facebook factiviste raha eto Madagasikara, izay mampianatra ny olona mijery ny vaovao diso. 

mercredi, 26 janvier 2022 10:24

Internet, un service essentiel mais...

Le changement au niveau du volume et du prix des offres internet ont fait réagir un grand nombre d’utilisateurs sur les réseaux sociaux. Une situation qui laisse voir qu’internet est essentiel dans notre quotidien, dans la vie professionnelle que personnelle. Mais jusqu’où peut-on dire qu’internet est essentiel à Madagascar ?

« J’utilise beaucoup internet. Je suis professeur dans une université privée en ligne, donc les recherches, la préparation des cours et la correspondance avec les collègues et les étudiants passent toutes par internet. Je consomme jusqu’à 150 Go par mois », selon Rakotozandry Ignace, professeur. De constat, la vie virtuelle a eu un élan considérable depuis le début de la pandémie. Presque tout se fait en ligne. « Depuis le contexte imposé par le coronavirus, il faut basculer l’enseignement vers internet. Cela permettra d’éviter l’interruption incessante des cours et d’assurer la réussite de l’année scolaire, surtout dans les zones les plus impactées par la maladie », renchérit Rakotoarivelo Dera, professeur. Néanmoins, des mesures devraient être prises pour bien faire cette transaction, rattrape Majelo Jean, opérateur en multi-services : « Même si internet est un service essentiel pour beaucoup, seules les zones électrifiées jouissent d’internet, ce qui ne dépasse pas 30% des foyers malgaches aujourd’hui. Cela risque de pousser à un développement à deux vitesses et donc de créer un contraste plus grand».

Madagascar possède un taux de pénétration à internet de 14% dont 42% à Antananarivo par rapport au nombre d’habitants, selon des chercheurs au sein de malagasy.tech. La qualité de la connexion reste donc satisfaisante même si cette faible consommation justifie la cherté des offres.

Maro tamin’ireo mampiasa aterineto no naneho hevitra manoloana ny fiovan’ny tolotra aterineto eto amintsika, na eo amin’ny vidiny na ny kalitao. Misy mihitsy ny manankim-piainana aminy, na amin’ny sehatry ny asa na amin’ny fiainana an-davanandro. Azo itarafana ny maha-zava-dehibe ny aterineto noho izany ity tranga ity. Marina tokony ve tsy azo ihodivirana ny aterineto eto Madagasikara ?

« Mpampianatra amin’irony sekoly ratovana an-davitra irony aho ka mampiasa aterineto na amin’ny fikarohana ataoko, na amin’ny fanomanana ny fampianarana, na iseraserana amin’ireo mpiara-miasa sy mpianatra. Mandany hatramin’ny 150 Go isam-bolana aho noho izany » hoy i Rakotozandry Ignace, mpampianatra. Tsikaritra ihany koa fa nanomboka tamin’ny nisian’ny amehana ara-pahasalamana, nahazo vahana ny fampiasana aterineto amin’ny lafin-javatra maro. « Noho ny fihibohana lavareny vokatry ny valan’aretina coronavirus, tsara kokoa raha atao an’aterineto avokoa ny fampianarana mba tsy ahatapaka ny taom-pianarana, indrindra ho an’ireo faritra tena voakasik’izany » hoy kosa i Rakotoarivelo Dera, mpampianatra. Na eo ary izany, misalasala i Majelo Jean, mpisehatra amin’irony multi-services irony. Notsindriany fa : « na ilaina amin’ny andavan’andro ary ny aterineto, tsara ihany ny hampitoviana lenta ny faritra rehetra mba tsy hisian’ny fisaraham-bazana lalina amin’ny faliny fampandrosoana. Hita ho taraiky ireo toerana tsy mampiasa aterineto noho tsy fisian’ny famatsiana jiro, raha oharina amin’ireo manana izany ».

 

Eto Madagasikara, 14%- ny mponina no mampiasa aterineto,  ary ny 42%-ny mponina eto Antananarivo no mampiasa izany hoy ireo mpikaroka avy ao amin’ny malagasy.tech. Noho io taha ambany io no mahatonga ny saran’ny aterineto ho mbola lafo, hoy izy ireo hatrany.

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