La crampe est une forte contraction involontaire, douloureuse et paralysante de certains muscles à cause d’un trouble fonctionnel, comme la fatigue. Elle est très connue et fréquente chez les sportifs, comme Maherison et Fortunat en témoigne. Toutefois, la crampe peut arriver à n’importe quel moment de la journée, même au lit, comme le cas de Linda. Le coach sportif, Angelo Randrianandrasana explique qu’il faut immédiatement étirer le muscle atteint de crampe et prendre un petit temps de pause. Certaines crampes peuvent être évitées en buvant suffisamment d’eau dans la journée.
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Ny crampe dia fikainkonana na fivokonan-kozatra. Maharary tsy ahavitana mihetsika mihitsy aza indraindray rehefa mitranga izany. Ny mpanao fanatanjahantena no tena miaina azy io matetika, vokatry ny havizanana na ny ezaka be loatra ataony. Saingy mety ho tratran’izany avokoa ny rehetra, na dia eo am-pandriana aza toa an’i Linda. Manazava ny mpanazatra ara-fanatanjahantena, Randrianandrasana Angelo, fa tsy maintsy henjanina avy hatrany ilay hozatra mivokona ary rehefa afaka izany dia tokony avela haka aina aloha satria mety hiverimberina izay kirampy izay ary mety tsy hamaly intsony izay hozatra izay ny farany. Azo sorohana ny krampy raha misotro rano tsara anatin’ny andro iray. Fa indrindra, ny olona tsirairay koa dia tokony hahalala ny fetrany rehefa mampiasa vatana.
Ramanantoanina Andrianiaina (Rany), étudiant en droit et Tolotra Andrianirina, étudiant en communication s’expriment sur les sujets suivants :
- L’usage d’électricité et l’usage des énergies propres comme alternative.
- La vaccination contre la covid-19 comme critère d’embauche au sein des entreprises.
- La rentrée scolaire 2022 : Revenir en classe ou rester en confinement ?
Ramanantoanina Andrianiaina (Rany), mpianatra lalà na sy Tolotra Andrianirina, mpianatra mahakasika ny fifandraisana (Communication) dia maneho hevitra mikasika ny :
- Famatsiana jiro sy ny fampiasana ireo angovo madio hanoloana ireo mahazatra.
- Fanaovam-baksiny miady amin’ny covid-19 eny anivon’ny toeram-piasana.
- Fidiran’ny mpianatra taona 2022: Hiditra sa mbola hihiboka ?
Les élections sont toujours une affaire de gros sous. Qu’en est-il du financement des partis politiques à deux ans de l’échéance présidentielle ?
A un peu moins de deux ans de la Présidentielle de 2023, Madagascar entre dans une période délicate en matière de lutte contre la corruption selon la directrice exécutive de Transparency International-Initiative Madagascar, Ketakandriana Rafitoson. « La vigilance est plus de jamais de mise », indique-t-elle alors que l’association travaille justement sur les fonds de campagne. « Nous avons lancé une consultation en septembre auprès des partis politiques sur les mécanismes à mettre en place pour parvenir à la traçabilité et au plafonnement des fonds de campagne », indique Mialisoa Randriamampianina, responsable de projet intégrité politique de TI-IM. Cette dernière indique que des mécanismes spécifiques sont nécessaires car jusqu’ici on a toujours fait fi de la loi. En effet, les textes encadrent le financement des partis politiques et des campagnes mais ils n’ont eu que peu d’effet.
Egalité des chances
En 2018, TI-IM a déjà lancé un appel aux candidats à la Présidentielle sur l’origine des fonds lors de la campagne mais sur les 36 inscrits, seuls 6 ont répondu. « Sur le plan théorique, les partis sont ouverts à ce débat mais dans le fond, il y a une certaine réticence dans la mesure où un plafonnement limite la portée des campagnes », lance Mialisoa Randriamampianina qui réitère que les questions d’argent rendent les partis réticents. Consciente de la difficulté de la tâche, elle indique que c’est une étape importante à franchir dans ce combat. « Si jamais ce ne sera pas encore pour 2023, ce sera pour les élections à venir », indique-t-elle.
L’enjeu est de taille car il y a un risque de « capture de l’Etat par des intérêts privés » si l’on se réfère à un rapport publié par TI-IM il y a quelques mois. Au-delà de cela, il y a également le souci d’égalité des chances pour les partis politiques comme c’est inscrit dans l’article premier de la loi relative aux partis politiques. L’objectif étant de « renforcer la démocratie et l’alternance démocratique et promouvoir la participation permanente à la formation de la volonté politique du peuple ».
Tolotra Andrianalizah
Dans la lutte contre la pandémie du COVID-19, de nombreux pays se ruent vers le programme de dose additionnel ou dose boost dans le but de renforcer l’action des vaccins. Pourtant l’OMS s’oppose à cette campagne de 3e dose. La raison principale en est l’inégalité dans la distribution des vaccins dans le monde, en sachant que beaucoup de pays africains n’atteignent même pas 10% de taux de couverture vaccinale à ce jour. Cette entité onusienne soutient également que la dose de rappel n’est pas une stratégie viable à long terme, qu’il faudra trouver des solutions plus efficaces.
Quant à Madagascar, l’administration de la dose additionnelle a été accordée par le ministère de la santé publique depuis le 15 janvier 2022. Les détails de l’organisation auprès des vaccinodromes n’ont pas encore été communiqués.
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Anatin’ny ady amin'ny valanaretina COVID-19 dia mihazakazaka amin'ny fanaovana fatra fanampiny na fatra fahatelo ho an'ny mponina ao aminy ny firenena any ivelany mba hanamafisana ny hery fiarovana. Ny OMS anefa manameloka an'io fironana io satria voalohany indrindra dia mitarika amin'ny fitsinjarana vaksiny tsy ara-drariny izany satria misy ireo firenena mbola tsy nanomboka nanao vaksiny ny mponina ao aminy akory raha toa ka ny firenena manankarena dia efa nahavita ny fatram-bakisiny fanampiny ny ankamaroan'ny mponina ao aminy. Nilaza koa izy ny manampahaizana fa tsy vahaolana maharitra ny fanaovana vaksiny fanampiny matetika fa mila mitady vahaolana mahomby kokoa ireo siantifika.  Ho an’i Madagasikara kosa dia efa nankatoavin’ny ministeran’ny fahasalamana sy azo tanterahina ny fatra fanampiny nanomboka ny 15 janoary teo eny amin’ny ivo-toerana fanaovam-bakisiny.
26 points. 147ème sur 180 pays. Madagascar a légèrement progressé dans l’Indice de la perception de corruption, une progression en trompe-œil souligne Tranparency International-Initiative Madagascar.
« Illusion d’optique », lance Transparency International-Initiative Madagascar. Madagascar a progressé d’un point dans l’Indice de perception de la corruption (IPC) 2021 avec 26 points contre 25 l’année dernière et par la même occasion deux places de prises dans le classement. 147 contre 149 sur 180 pays. Le résultat est quelque peu inespéré dans la mesure où l’IPC 2021 couvre l’année 2020, année de la première vague de la COVID-19 où de nombreux scandales ont émaillé les actualités entre les affaires dites des « bonbons sucettes » et des « écrans plats » entre autres. Quoi qu’il en soit, des avancées ont été notées comme la mise en place du pôle anti-corruption à Mahajanga ou le renforcement des contrôles anti-corruption décrété par le ministère de la Justice.
Mathématique
Pour TI-IM, le point gagné est à mettre sur le compte du mode de calcul car pour cette année, seules sept sources ont été prises en compte contre huit l’année dernières, le World Economic Forum n’ayant pas de données sur le pays en 2020. Pour rappel, l’IPC est un indice composite qui réussit plusieurs indices émanant d’organismes spécialisés. La directrice exécutive de TI-IM Ketakandriana Rafitoson indique toutefois que cela ne remet pas en question la crédibilité des résultats. « Dans l’étude de la corruption, l’IPC est complété par d’autres outils comme l’Afrobaromètre qui s’intéresse à l’avis des citoyens. La perception des citoyens est souvent plus marquée que celle des experts car c’est la population qui subit la corruption », explique-t-elle.
Malgré le point de gagner, Madagascar est encore en-deçà de la moyenne continentale (33/100). Ketakandriana Rafitoson estime que l’heure n’est pas à l’autosatisfaction car la route est encore longue pour atteindre la tolérance zéro prônée en 2019. Il y a dix ans, Madagascar était crédité de 32 points et se situait à 118ème place sur 176 pays.
Tolotra Andrianalizah
Le « telo atara » est une sorte de tapis de natte fait de « vinda », utilisé dans la partie Sud du pays. Selon l'historien Randrianandraina Jacques Modeste, « Atara » vient du nom d'un lac dont la profondeur est inconnue. La longueur de ce tapis varie entre 1 mètre 60 et 1 mètre 70. Il se divise en trois parties dans le sens vertical : les deux côtés ont la même longueur mais le milieu, là où l’on se met, est légèrement plus grand. Il est simple à concevoir et de n'importe quelle couleur que l’on souhaite. Le « telo atara » sert de lit aux invités de marque. Il peut être plié ou enroulé. Pour fabriquer le « telo atara » à partir du « vinda », faire bouillir ce dernier dans une casserole, le colorer puis le faire sécher pendant trois jours, et l’induire d’huile de zébu, explique Mme Jemeny, confectionneuse de « telo atara ».
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Fitaovana iray fampiasa amin’ny andravanandron’ny olona any atsimo ny telo atara. Araka ny fanazavan’ny mpahay tantara sy fomba Bara, Randrianandraina Jacques Modeste, karazana tsihy vita amin’ny vinda ity telo atara ity. Avy amin’ny anaran’ny dobon-drano lalina tsy hay fantarina ny halaliny ny hoe atara. Raha lava indrindra izany ny telo atara dia eo amin’ny 1 metatra sy 70 eo ary ny fohy indrindra dia eo amin’ny 1 metatra sy 60 eo. Mitovy halava ny sakany roa fa ny eo ampovoany, ilay lafihana, somary ngeza noho ireo. Rariana ny fanamboarana azy ity ary azo atao loko izay tianao hanome hendrika ilay telo atara. Ny vahiny manakaja no matory aminy. Azo hampiasain’ny mpivady ho entina hatoriana raha sendra mamangy olona na misy toerana handehananany koa. Izany hoe azo aforitra na ahorina izy. Alaina ny vinda, ataty ary hozana aorian’ny telo andro rehefa hanamboatra ity telo atara ity, hoy i Ramatoa Jemeny manazava. Andrahoina anaty vilany, asiana loko izay tiana ary hosorana menaka omby ilay vinda avy eo. Atapy amin’ny andro alina izy no tena mety. Maina izy izay vao afaka mandrary.
La réponse dépend de chaque individu et de la forme de la maladie, si c’est bénigne, modérée ou grave. Mais dans tous les cas, il faut attendre que les symptômes disparaissent entièrement avant de reprendre le sport, tel que la fièvre, la toux, les maux de tête etc. La reprise doit se faire graduellement, lentement et par étape. Sortir marcher un peu, faire des étirements légers pendant une semaine. Ensuite, pratiquer un exercice doux et marcher entre 15 à 30 minutes. C'est vers la troisième semaine que l'on peut recommencer à courir ou à utiliser de la force physique. Le plus important c’est d’y aller en douceur.
Par contre, si les symptômes étaient plus sérieux durant la maladie, comme des difficultés respiratoires ou des douleurs thoraciques, un avis médical s’impose avant de reprendre le sport.
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Rahoviana no afaka miverina manao fanatanjahantena raha toa ka avy voan’ny COVID-19 ?
Miankina amin’ny tsirairay sy ny fomba fisehoan’ny aretina ny valin’izay. Fa amin’ny ankapobeny dia miandry hoe afaka tanteraka ireo soritraretina rehetra aloha, toy ny hoe fanaviana, kohaka na aretin’andoha. Mandeha tsikelikely ary moramora ny fiverenana amin’ny fanatanjahantena. Ohatra, ny herinandro voalohany mivoaka mandeha tongotra kely 5 minitra isanandro. Ny herinandro faharoa, ampitomboina kely ho 15 minitra indray. Ny herinandro fahatelo vao tokony mihazakazaka na manao hetsika mafimafy kokoa.
Raha toa kosa ka mafimafy kokoa ny niatrehana ny aretina, mety hoe nisy olana teo amin’ny fisefoana na tany amin’ny tratra, dia manatona mpitsabo alohan’ny hanaovana fanatanjahantena indray.
À part la sponsorisation payante des pages Facebook, d’autres méthodes s’avèrent efficaces pour augmenter la visibilité de sa page et booster les ventes. Pour Prisca Ranjalahy, qui travaille dans ce milieu depuis maintenant 10 ans, elle préfère travailler sur la communication et la relation humaine. « Je m’adresse à mes potentiels clients comme si je parlais à des amis. J’essaie de créer une certaine proximité avec eux. » Samantha Tiasoa Ratsirahonana, formatrice en communication digitale nous donne quelques conseils pour améliorer la visibilité des pages ou des comptes afin d’attirer les clients.
Le « pitch deck » est un outil qui sert à présenter les potentiels d’un projet à des futurs bailleurs. Le but étant de montrer à ces derniers l’opportunité derrière le projet ainsi que sa rentabilité. La prestance, le choix des mots et la maitrise des chiffres autour de votre projet sont les points les plus décisifs lors d’un pitch deck, selon Andriamasy Steeve, Business speaking.
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Ankoatr’ireo fanaovana dokambarotra handoavam-bola ao amin’ny Facebook, misy paikady maro azo hampiharina mba hisarihana ireo mpanjifa eo amin’ny pejy na kaonty hanatsarana ny varotra atao ao na ny « vente en ligne ». Ho an’i Ranjalahy Prisca, izay mpivarotra kojakojan-damaody efa ho 10 taona izay, isan’ireo tena himasoany ny fomba firesaka amin’ireo mpanjifa. Manome toro-hevitra  hoan’ireo mpivarotra ihany koa i Ratsirahonana Tiasoa Samantha, matihanina amin’ny sehatry ny nomerika.
Fomba fiasa iray entina miresaka sy handresena lahatra ireo mpamatsy vola ny « Pitch Deck ». Hahafahana manomana izany, mila mahafehy ny antontan’isa mifandraika amin’ilay tetikasany ilay mpandraharaha. Mila maneho ihany koa izy fa manana ny fahaiza-manao sy ny toetra hahafahana manatanteraka io tetikasany io. Fanazavana entin’i Andriamasy Steeve, mpandalina momba ny asa.