Plusieurs personnes utilisent internet sans être conscientes des risques qu’elles encourent. Elles suivent juste les ondes et ne visent aucun objectif précis par rapport à leurs activités en ligne. Il est pourtant conseillé d’utiliser internet et tous ses dérivés de façon positive. Cela garantirait la sécurité en ligne mais aussi l’initiation de changements positifs dans la communauté. Fitiavana Ramamisoa, chargée de mission chez Youth First nous explique en quoi c’est important et comment faire.
Tsara ny manana tanjona mazava rehefa mampiasa aterineto, indrindra fa ny tambazotran-tserasera. Raha manarak’efa fotsiny mantsy isika dia mety tsy ahatsikaritra ireo loza manambana ka iharan’ny voka-dratsin’ny fampiasà na aterineto. Manazava amintsika ny mety ho fiantraikan’izany amin’ny tanora, Ramamisoa Fitiavana, avy ao amin’ny fikambanana Youth First. Atorony antsika ihany koa ny fomba fampiasà na aterineto amin’ny lafitsarany.
Comme à chaque vendredi, le débat de ce 7 août est consacré à l'avis des jeunes sur les actualités majeures de la semaine. Nous avons invité deux étudiants, Fara, étudiante en Droit et Joël, étudiant en communication, pour discuter des sujets suivants :
- La solidarité des femmes pour la lutte contre le féminicide à travers la publication de photos en noir et blanc sur les réseaux sociaux.
- Le déroulement des épreuves d’EPS en cette période de coronavirus.
- La rentrée des classes en septembre.
Toy ny isaky ny zoma, maneho hevitra ny amin’ireo vaovao mety mahaliana azy ny tanora. Vahiny amin’izany i Fara, mpianatra lalà na sy i Joël, mpianatra serasera. Hiresaka momba ireto lohahevitra manaraka ireto izy ireo :
- Fifanohanan’ny vehivavy amin’ny alalan’ny sary mainty sy fotsy tamin’ny tambajotran-tserasera.
- Fizotry ny fanadinana ara-panatanjahan-tena BEPC amin’izao vanim-potoanan’ny coronavirus izao.
- Fidiran’ny mpianatra amin’ny septambra.
Le trousseau scolaire est-il prêt pour la nouvelle rentrée ?
La sécurité en ligne commence par la prise de conscience du danger.
Le business sur Facebook fait-il de nous des entrepreneurs ?
L’impact de la pandémie actuelle sur le métier d’interprète/traducteur.
Les petites boules poilues à effet thérapeutique.
Fanampiana sosialim-bahoaka, manao ahoana kosa ireo tsy manan-kialofana ?
SOS Taxi : fitaterana maimaimpoana ho an’ireo mararin’ny coronavirus.
Manao ahaoana ny fanomanan’ireo mpianatra hanao adina ara-panatajahantena amin’ny BEPC sy BACC ?
Mitombo ireo manao fanatanjahan-tena eny amin’ny araben'ny fahaleovan-tena sy eny amoron-dranomasina ao Toamasina.
Avec l’évolution de la technologie et l’augmentation des offres de travail en ligne, la plupart des jeunes malgaches se sont lancés en tant que freelance. Mais existe-t-il un cadre légal qui protège les freelancers malgaches face à certains problèmes avec leur client, notamment le refus de paiement ou les arnaques. Andry Razafimahefa, consultant juridique auprès du Cabinet Juridixia Madagascar Consulting apporte plus d’explications sur cela.
Studio Sifaka : Face aux arnaques et aux refus de paiement, existe-t-il un cadre légal sur lequel les freelancers malgaches peuvent s’appuyer ?
Andry Razafimahefa : Concrètement, à Madagascar, il n’existe pas encore de cadre légal précis et établi pour les freelancers tout comme l’est le Code du Travail pour les employés. Mais, deux options sont possibles pour les jeunes qui travaillent en freelance pour des clients étrangers. D’une part, ils peuvent établir un contrat de prestation de service ou un contrat de travail. En plus simple, le Freelancer peut convenir d’un contrat avec son client stipulant qu’en contrepartie d’un travail fourni ce dernier devra payer telle ou telle rémunération.
D’autre part, pour ce qui est des arnaques ou des refus de paiement, le code pénal peut aider les freelancers. Normalement, avant d’arriver à l’exécution du travail, des échanges par mail ont été déjà effectués entre le freelancer et le client. Au niveau du tribunal, ces échanges de mails constituent déjà des preuves même en l’absence d’un contrat signé entre les deux parties. Par ailleurs, c’est au juge compétent au niveau du tribunal de trancher sur la recevabilité ou non des preuves, notamment dans le cas d’un refus de payer ou d’une arnaque.
Comment faire valoir un contrat de travail établi entre un client basé à l’étranger et un prestataire basé à Madagascar ?
Il faut savoir que tout freelancer peut établir un contrat avec son client, même si celui-ci est à l’étranger. Le contrat est établi et signé par le client qui en fait une copie numérique et l’envoie à son prestataire pour qu’il le signe, par la suite. Il existe également les contrats signés électroniquement. Certes, la signature électronique n’est pas encore acceptée à Madagascar, mais dans tous les cas, ce contrat peut déjà être une preuve pour le freelancer si, par malheur, il se fait arnaquer par son client ou si celui-ci refuse de payer.
Le freelancer non inscrit légalement est-il plus à risque que ceux qui le sont ?
Normalement, toute personne qui exerce une activité commerciale doit être inscrite légalement et avoir un numéro d’inscription fiscale et une immatriculation à l’INSTAT. Il peut s’inscrire en tant qu’entreprise individuelle ou en tant que SARLU (société à responsabilité limitée unipersonnelle), et dans les deux cas, il obtient une immatriculation auprès de l’INSTAT et de l’administration fiscale. Mais à Madagascar, peu de gens s’intéressent à cela.
Dans tous les cas, que la personne soit inscrite ou non légalement, il est toujours possible pour le freelancer de faire valoir ses droits en cas de conflits avec un client. Mais, pour cela, il faudra avoir les preuves de l’existence d’une entente entre son client et lui, dont les échanges par mail entre autres. Â
Le doodle art est une forme d’art à base de gribouillages et de formes géométriques. Il n’exige pas de technique de dessin spécifique mais il nécessite beaucoup d’imagination. Mat Li est un jeune artiste qui fait du doodle art depuis 2 ans maintenant. A travers son art, il veut conscientiser les gens sur les problèmes actuels comme la destruction de l’environnement.
Ny doodle art dia fomba fanaovana sary iray mifototra amin’ny soratsoratra, tsipitsipika sy endrika rafitsary na « formes géométriques ». Tsy mila fahaizana manokana izy io fa fahaiza-mamorona no tena ilaina. Anisan’ny miangaly ny doodle art efa ho 2 taona izay i Mat Li. Te hanokatra ny sain’ny rehetra izy amin’ny alalan’ny kanto izay ataony manoloana ny olana izay sedrain’izao tontolo izao tahaka ny fanimbana ny tontolo iainana.
Non. Le virus est présent lorsqu’une personne éternue, crache, tousse et il peut rester un certain temps sur les surfaces. C'est la raison pour laquelle les experts nous demandent de tousser ou d’éternuer dans notre coude. C’est à ce moment-là vous que vous allez déposer la covid-19 sur votre vêtement, si vous êtes porteur du virus. Il va y rester un certain temps, mais une fois qu’il sera lavé avec du savon, un détergeant ou avec un peu d’eau de javel, il disparaîtra. Vous n’avez donc pas besoin de laver séparément ce vêtement du reste de votre lessive.
Mila sasana mitokana ve ireo akanjo mitondra ny tsimokaretina coronavirus ?
Tsia. Mifindra ny tsimokaretina rehefa mihevina, mikohaka na mandrora ny olona iray. Mety hipetraka eny amina toerana iray mandritra ny fotoana elaela izy. Isany fihetsika fototry ny fiarovana ny mikohaka na mihevona anaty sandry. Amin'iny fotoana iny no mipetraka amin'ny akanjo ny covid-19, raha mitondra tsimokaretina ianao. Hipetraka eo mandritra ny fotoana elaela izy nefa miala ihany rehefa avy sasana amin'ny savony na eau de javel. Tsy mila sasana mitokana noho izany ilay akanjo.
Fy Hibohana, un ouvrage poétique né pendant la période pandémique du coronavirus.
Les jeunes de la région Itasy se mobilisent dans la lutte contre le coronavirus par le biais de photographies sur les réseaux sociaux et Facebook.
Les cyclo-pousses de la ville de Farafangana qui ne présentent pas de dispositif de lavage de main ou DLM seront mis en fourrière.
Fy hibohana, amboara tononkalo teraka tao anatin’izao valanaretina coronavirus izao.
Miara mientana ny tanoran’Itasy amin’ny fanehoana an-tsary ny ady atrehana amin’ny coronavirus ao amin’ny tambajotra serasera facebook.
Hogiazana ireo cyclo-pousse tsy manana fitaovam-panasana tanana na ny DLM ao Farafangana.
« Baliky » est un mot pour désigner les comportements d’une personne vaniteuse. Ce terme est très utilisé dans la partie Sud de Madagascar. Selon Jean Régis Randrianandrasana, animateur évènementiel, il sert aussi à signifier « l’obstination ou l’entêtement d’une personne ». Le secrétaire général dans la fédération des artistes sur la langue et la littérature, Jean Cadet Randriatsarazoky, intervient aussi sur l’explication du mot « baliky ».
«Baliky », teny fampiasan’ny olona any Atsimo, entina hilazana ny fitondrantenan’ olona iray tia mieboebo. Raha ny fanazavan’ i Randrianandrasana Jean Régis, mpanentana lanonana, ampiasaina ihany koa izy io hiantsoana ireo olona be di-doha na mazan-doha. Haneho ny heviny momba ny fampiasana io teny io ihany koa Randriatsarazoky Jean Cadet, sekretera jeneralin’ny Federasion'ny mpikanto teny sy soratra na ny FMTS.
« Andriaky ao masira », est un terme utilisé par les jeunes femmes dans la partie sud. Cette expression vise à souligner une moquerie poussée ou une exagération particulière sur des sujets de discussion, lors de commérages entre filles. Jean Régis Randrianandrasana, animateur événementiel, donne plus d’explications.
Fomba fitenin’ireo zatovovavy any amin’ ny faritra atsimo iny ny hoe « andriaky ao masira ». Teny midika fanarabiana izy io na koa fanatavezana resaka atao mandritra ny takoritsika ataon’ ny zatovovavy. Hanome fanampim-panazavana momba izay Jean Régis Randrianandrasana, mpanentana lanonana.
Mianoka a 11 ans. Elle a participé au concours K-pop Lockdown Contest organisé par l’ambassade de la République de la Corée à Madagascar avec la complicité de sa mère. Focus sur cette jeune passionnée de culture sud-coréenne.
C’était une évidence pour Mianoka de participer au Kpop Lockdown Contest. Elle a commencé à s’intéresser au K-pop à l’âge de 9 ans. « J’ai découvert le Kpop avec les BTS », indique Mianoka. Sa mère se rappelle qu’elle s’y est vraiment mise après avoir vu un concert en direct de ce boys band coréen au Cinepax. « Elles ont un groupe à l’école avec ses camarades de classe », lance sa mère. Cette dernière avoue avoir été « larguée » au départ avec le K-pop. Elle a pu compter sur sa fille pour lui expliquer que c’est un genre de musique à part entière. « Je me rappelle qu’elle m’avait dit que le Gangnam Style sur lequel on a dansé est du K-pop », raconte sa complice amusée.
Autodidacte
Ce qui a attiré Mianoka avec le K-pop au départ, c’était les chorégraphies. Mais cela a évolué au fil du temps. « Il y a aussi une culture de groupe que j’aime bien. Puis c’est cool de découvrir un pays à travers sa musique », déclare la fillette, qui s’est mise à apprendre la langue en autodidacte sous les yeux impressionnés de sa mère. « J’ai vu qu'elle ne s'était pas arrêtée à la musique mais s'est ouverte à la culture, la nourriture, la langue … C'est surtout ce dernier point qui m'a impressionné et je la pousse dans ce sens », souligne la mère.
L’ambassade de la République de la Corée indique que plus de 700 personnes ont participé au concours jusqu’à la clôture de la présélection le 3 août dernier. « Dans le but de casser la routine créée par le confinement et afin d'encourager les k-pop lovers en ces temps difficiles, on a organisé cette compétition en ligne », affirme l’ambassade, avec le message que la première étape pour combattre le coronavirus est de rester à la maison. D'où les hashtag liés à  l'évènement #FightCovid19 et #MijanonaoAntrano.
Clientélisme, abus, … les chefs de fokotany sont la cible privilégiée des critiques depuis le début de la distribution des aides sociales publiques. Ils sont pourtant incontournables dans le processus.
« C’est vraiment difficile en ce moment », lance le chef du fokontany d’Andravoahangy ouest, Ndretsa Rabeson. Sentiment partagé dans le fokontany d’Ankaditapaka : « Depuis que le Président de la République a déclaré que tout le monde jouira des aides, les gens ne veulent rien savoir, indique un membre de ce bureau. Ce qui n’est pas précisé c’est que le nombre des bénéficiaires est limité ». D’après cette responsable, seule la moitié des ménages dans son fokontany pourrait bénéficier des aides du programme Sosialim-bahoaka.
La commune urbaine d’Antananarivo a expliqué dans les médias qu’il revient aux fokontany d’établir la liste des bénéficiaires sur la base de leur vulnérabilité en faisant en sorte que ceux qui ont déjà reçu le Tosika Fameno ne figurent plus dans le recensement. « La ville d’Antananarivo compte 320.000 ménages vulnérables. Environ 100.000 ont reçu le Tosika Fameno et 40.000 le Vatsy Tsinjo sous forme de bon d’achat. Le Sosialim-bahoaka vise 200.000 ménages », a souligné un émissaire de la commune urbaine d’Antananarivo sur le plateau d’un journal.
Liste additive
« Nous avons la lourde tâche de dire qui sera ou ne sera pas dans la liste. Pourtant tout le monde se dit vulnérable actuellement car beaucoup ont perdu leur travail », se plaint la membre du fokontany d’Ankaditapaka. La situation est moins délicate pour Ndretsa Rabeson avec un quota de 430 bénéficiaires pour 580 ménages. « Les plus démunis ont été les premiers à être inscrits sur la liste. Nous savons, au sein du fokontany, qui sont les familles qui sont vraiment dans le besoin », précise-t-il. D’après les responsables de ces fokontany, les autorités leur ont indiqué qu’une autre vague est à prévoir pour ceux qui n’ont pas figuré dans la liste.
Bon nombre de personnes se ruent aujourd’hui sur l’automédication depuis la publication d’une liste de médicaments pouvant servir dans le traitement de la covid-19. Pourtant, tant pour les autres maladies que pour la covid-19, les risques liés à l’automédication sont énormes. Dans le cas de la pandémie qui sévit actuellement, outre le niveau de toxicité des médicaments, on parle même du risque que la personne développe une résistance aux traitements prescrits.Â
C’est quoi la résistance au traitement ?
A l’heure actuelle, la résistance au traitement constitue une des plus grandes menaces dans cette lutte contre le coronavirus. En effet, face à la recrudescence des cas de contamination, nombreuses personnes prennent tout de suite des médicaments dès que le moindre symptôme se présente. Pourtant, le Dr Manitra Rakotoarivony insiste sur l’importance de consulter un médecin. Selon lui, « il est plus qu’important de toujours consulter un médecin avant de prendre n’importe quel médicament ». Seul un médecin reste apte à juger si le patient peut prendre ou non tel ou tel médicament, que ce soit à titre préventif ou pour un soin curatif.
« Il faut savoir que parmi les effets secondaires d’un médicament, il y a également la résistance à celui-ci. C’est surtout dû au fait que le médicament en question ait été utilisé à tort, ce qui implique que son efficacité contre les bactéries ou le virus en lui-même devient moindre », indique-t-il. C’est d’ailleurs une des raisons pour laquelle les médecins et le personnel de la santé répètent souvent que les antibiotiques ne sont pas systématiques pour toutes les maladies. A terme, dans le cas de la covid-19, la résistance au traitement pourrait même induire à une mutation du virus.
La prescription des médicaments se base sur de nombreux critères
La liste de médicaments utilisés dans le traitement des malades de la covid-19 a été publiée sur la page officielle du CTC 19. Face à cela, le Dr Manitra Rakotoarivony rappelle que plusieurs critères sont à prendre en compte dans la prescription des médicaments, et encore plus dans le cadre du traitement de la covid-19.
« Rien ne prouve qu’un traitement qui a fonctionné sur une personne peut également fonctionner sur une autre », martèle ce médecin. Il faut également souligner que les médicaments sont en eux-mêmes des poisons, et ont ainsi un niveau de toxicité qu’il faut prendre en compte. « C’est dans ce sens que les médecins jouissent de ce qu’on appelle la libre prescription, et se basent sur les antécédents et l’état du patient pour prescrire un traitement », souligne-t-il. En effet, deux personnes du même âge et ayant le même poids peuvent ne pas avoir les mêmes réactions face à un médicament.
Le chocolat est excellent pour la mémoire en plus d’être un anti-stress et un antidépresseur. Manger trop de chocolat peut entraîner la constipation, et des allergies à ceux qui ont le foie fragile, selon l’explication du Docteur Rachel Razanajoary.
Les fruits de mer, les fruits et légumes, les légumineuses, le sésame, les abats, le chocolat, les produits laitiers constituent de bons boosters de mémoire. Pour avoir des résultats efficaces, ils devraient être pris pendant la préparation des examens ou tout au long de la vie, affirme Fanjaharitiana Ramanantsoa, mais pas uniquement au moment des épreuves.
Marobe ireo voka-tsoa azo avy amin’ny fihinanana sokola : mampitombo ny fitadidiana, manampy ny olona mba tsy ho tratran’ny fahaketrahana ara-tsaina, ary miaro amin’ny rarin-tsaina.....Mampitohana ihany koa nefa ny fihinanana azy be loatra ary miteraka loza ho an’izay tsy mahazaka sy ireo manana aretin’aty, araka ny fanazavan’i dokotera Rachel Razanajoary.
Tsy ny sokolà ihany no manampy amin’ny fitadidiana, fa misy koa ny hazan-dranomasina, voankazo sy legioma, voamaina, taovan-kena, vokatra avy amin’ny ronono, sesame, sns. Tokony amin’ny fotoana hanomanana ny fanadinana na mandritra ny androm-piainana mihitsy no hihinanana an’ireo sakafo ireo araka ny fanazavan’i Ramanatsoa Fanjaharitiana. Mahatsara ny fitadidiana ny fihinanana fanfody mampitombo fitadidiana fa saingy mety hisy banga izany raha tsy mandray azy io avy eo.