COVID-19 : Tous ensemble face au virus

Débat des jeunes

Andrea Razafi

Andrea Razafi

Durant ce confinement, les enfants restent scotchés aux écrans. Pourtant, selon les spécialistes en éducation, ils nuisent au développement du cerveau des enfants. Les enfants de moins de deux ans ne doivent en aucun cas être en contact avec les écrans, si la durée de consultation devrait être limitée à deux heures par jour pour les enfants de deux à cinq ans. En pratique, les parents ont du mal à adopter cette méthode. Est-ce qu'on doit vraiment limiter le contact des enfants de moins de 6 ans avec les écrans ? Tefy Ratrimoarivony, père de famille et Sehenoarinjaka Ranarivelo, mère de famille répondent à la question.



Manimba ny fivelaran'ny sain'ny ankizy, hoy ireo mpanabe, ny fijanonana maharitra manoloana ny fahitalavitra, ny finday, ny solosaina sns. Tokony tsy hifanerasera amin'ny efijery mihitsy ny zaza latsaky ny 2 taona ary ferana ho adiny 2 isanandro ihany izany ho an'ny zaza 2 taona ka hatramin'ny 5 taona. Misy ireo mahavita mampihatra izany fa maro ihany koa ireo mahita fa sarotra izany. Tokony ho ferana tokoa ary ve ny fifandraisan'ny ankizy amin'ny efijery rehefa latsaky ny 6 taona ? Mamaly izay fanontaniana izay Ratrimoarivony Tefy, raim-pianakaviana sy Ranarivelo Sehenoarinjaka, renim-pianakaviana.

jeudi, 06 août 2020 12:25

Journal du 06 août 2020

Falling Walls Lab, le gagnant national connu demain.

Comment devenir une gazelle ?

LinkedIn, une alternative pour accéder au monde professionnel.

Confinement : des idées d’activités vertes à faire chez soi.

Le confinement complique la rédaction du mémoire de fin d’étude pour certains étudiants en troisième et en cinquième année.



Fisokafany amin'ny ampahany ny fizahatany ao nosy be.

K-pop Lockdown Contest Madagascar, miroso amin’ny dingana famaranana.

Fidirana amin’ny septambra vonona ve ny ray aman-dreny ?

E-mobilier : Rafibaiko ahafahana mitady ny tolotra misy eo amin’ny tsenan’ny trano.

Fikafika hanampiana ny tanora hitia ny taranja matematika.

A chacun sa manière de profiter de son temps de pause pendant ce reconfinement. Il y en a qui profitent pour regarder des séries ou encore faire un peu de sport mais la lecture est aussi recommandée par les psychologues. Pourtant lorsqu’on a discuté avec quelques jeunes, ce n’est pas une activité qui les intéresse pendant le confinement. Quel est le rapport entre la lecture et la covid-19 ? Les réponses avec Hoby Andriamiharimanana, psychologue et Hobiana Andrianimerina, écrivain.



Samy manana ny fialamboly tiany ny tsirairay amin’izao fihibohana izao. Ao ny mijery fahitalavitra. Ao ihany koa ny manao fanatanjahatena. Fa isan’ny fialamboly atoron’ny psikology ihany koa ny famakiana boky. Rehefa nanontany tanora anefa izahay dia tsy nampazoto azy ireo ny hamaky boky amin’izao vanim-potoana izao. Inona tokoa no hifandraisan’ny tsy fahazotoana mamaky boky amin’ny covid-19 ? mamaly izany i Hoby Andriamiharimanana, psikology sy Hobiana Andrianimerina, mpanoratra.

Le fait de porter le masque pendant que nous sommes en activité peut nous faire transpirer sous cet accessoire. Les petits frottements sont susceptibles de provoquer des petites irritations cutanées.  Sous le nez, autour de la bouche ou encore sur le menton sont les zones du visage les plus concernées.  Bien évident les réactions sont différentes d'une personne à une autre. Avec le masque notre peau respire moins bien. N'hésitez pas à l'hydrater, elle vous en remerciera !



Manimba hoditra ve ny fanaovana arovava ?

Mahatsemboka ny manao arotava rehefa sady manao ny asa aman-draharaha amin'ny andavanandro. Mety hitarika hirifiry ny kasokasoka kely ateraky ny arovava amin'ny hoditra. Faritra eo amin'ny tava voakasika indrindra amin'izany ny eo ambanin'ny orona, manodidina ny vava na eo amin'ny saoka. Mety tsy hitovy aloha ny fiantriakany eo amin'ny tsirairay. Tsy afaka miaina tsara ny hoditra rehefa manao arotava. Aza misalasala ny manamandina ny hodi-tavanao, hitanao fa ho faly amin'izany izy.

mercredi, 05 août 2020 14:38

Vivre écolo tout en étant urbain

Dès qu’il est question de mode de vie écologique, beaucoup pensent aux conditions de vie rurale sans électricité ni confort urbain. Pourtant, il est tout à fait possible de vivre en ville tout en adoptant ce concept.

Vivre de manière écologique, par définition, c’est adopter un mode de vie qui limite les impacts néfastes sur l’environnement. Il s’agit tout autant de réduire la consommation énergétique, mais aussi les déchets et, en particulier, ceux qui ont un fort impact négatif sur l’environnement comme les sacs en plastique. Aujourd’hui, à Antananarivo, des jeunes se sont lancé le défi d’adopter ce mode de vie respectant l’environnement. Un objectif déjà quasi atteint !

Comment vivre écologiquement en ville ?

Pour Jay Ralitera, jeune environnementaliste et activiste climatique, il est tout à fait possible d’adopter un mode de vie écologique, tout en habitant en ville. « Pour de nombreuses personnes, dès qu’il est question d’écologie ou de mode de vie écologique, il est toujours question de style de vie en campagne ». Pourtant, il est possible d’avoir le nécessaire et de vivre convenablement en adoptant des gestes écologiques.

A travers « Le terrier », une collocation écologique en plein centre-ville, Jay et ses colocataires veulent amplifier le message et encourager les autres en donnant l’exemple du mode de vie « urbain et écologique ». « L’idée de notre projet, c’est avant tout d’adopter des gestes écologiques au quotidien en commençant chez nous, mais aussi de transmettre cette habitude aux autres. Ainsi, nous essayons, par exemple, d’éviter les gaspillages inutiles, mais aussi de réduire nos déchets, notamment ceux qui ne sont pas biodégradables. »

Réduire ses dépenses

Concrètement, pour en arriver à ce stade, les colocataires du « Terrier » ont adapté leurs habitudes quotidiennes : réduction de la consommation d’énergie, de déchets (en évitant les produits transformés et stockés dans des boites non biodégradables), meilleure gestion des déchets (la plupart des déchets sont utilisés comme compost dans leur jardin) …

A partir de ces actions, il devient possible de réduire largement les dépenses mensuelles d’un foyer. Pour Le Terrier, par exemple, « au fil des mois, nous évaluons notre consommation électrique et essayons de déceler qu’est ce qui consomme beaucoup trop. Nous essayons, par la suite, de trouver une meilleure alternative. » Le réfrigérateur figure notamment parmi les matériels les plus énergivores dans un foyer. Pourtant, de nombreuses alternatives existent pour conserver les aliments.

Non. Mis à part que les deux soient apparus presque au même moment, ceci est une coïncidence. Presque tous les pays du monde recensent des cas de Covid-19, alors que la plupart n'ont pas encore la 5G. C'est d'ailleurs ce que l'OMS rappelle sur son site.

D'où vient alors cette idée ? Eh bien, c'est à cause d'une vidéo affirmant que le virus se propage par les ondes et les réseaux mobiles que la rumeur est sortie. Cette vidéo qui est le fruit d'une théorie du complot a été visionnée des centaines de milliers de fois.



Misy ifandraisany ve ny 5G sy ny valanaretina coronavirus ? 

Tsia, fa saika nifandraika ny fotoana nimpoiran'izy ireo. Fifandrifin-javatra fotsiny izany. Ahitana ny aretina COVID-19 manerana firenena maro eran'izao tontolo izao nefa ny sasany tsy misy 5G. Izany mihitsy no ampatsiahivin'ny fikambanana iraisam-pirenena misahana ny fahasalamana ao amin'ny tranon-kalan'izy ireo.

Avy aiza ary izany hevitra izany ? Horonantsary iray nilaza fa miparitraka amin'ny alalan'ny onja sy ny tambajotram-pifandraisana ny tsimokaretina. Niparitaka avy eo ny tsaho. Efa voajery in-jato amby arivo io horonantsary io izay vokatry ny « théorie du complot ».

mercredi, 05 août 2020 12:28

Journal du 05 août 2020

Lumière bleue : Méfiez-vous de vos écrans.

Télétravail en coworking : une solution envisageable en ce temps de confinement.

Serment d’hippocrate : Le serment d’Hippocrate, c’est quoi ?

Banque photo : Madagascar dispose actuellement d’une banque d’images.



Mizotra ao anatin'ny fanajana ireo fepetra fisorohana ny coronavirus ny fanadinana ara-panatanjahantena BEPC.

Volana aogositra : Vitsy ireo mamonjy mpanety.

Partage FB : Fampiasana sarin’olona any amin’ny tambazotra serasera tsy ahazoana alalana, melohin’ny lalàna.

Roller : fialam-boly miha mahazo vahana amin'izao fialan-tsasatra izao any Toamasina.

Le Président de la République s’est fendu d’une déclaration choc, lors de sa rencontre avec les opérateurs touristiques de Nosy-Be, en annonçant une éventuelle reprise des activités en octobre. Qu’est-ce que cela signifie ? Un opérateur dans le secteur touristique qui a souhaité préserver l’anonyma s’avance.

« Il faut bien commencer par quelque chose. C’est l’affect qui dicte au gouvernement cette volonté de reprendre les activités sur Nosy-Be », lance notre interlocuteur, actuellement engagé dans les pourparlers avec le gouvernement pour permettre justement cette reprise. Depuis cette semaine, des séances de travail sont programmées entre les autorités et les opérateurs concernés.

Destination Safe

« Nous allons rouvrir Nosy-Be. Comme c’est petit, c’est le meilleur endroit pour appliquer et tester les mesures qui s’imposent. Le modèle Nosy-Be serait alors à dupliquer sur les autres sites touristiques », explique l’opérateur. Le secteur du tourisme, avec le soutien du Ministère de la Santé a préparé un protocole sanitaire dont le document est actuellement en attente de validation. « Une ouverture en octobre signifie qu’il faut accélérer la cadence. Une fois le protocole acté, il faudra former tout le personnel », précise-t-il en soulignant que l’objectif est de convaincre les touristes que Nosy-Be est une destination « safe ».

Quoi qu’il en soit, l’avenir proche s’inscrit encore en pointillés car la reprise dépend en grande partie de l’évolution de la maladie à Madagascar. Les autorités l’ont d’ailleurs reconnu devant les opérateurs. Autre inconnu, les marchés émetteurs. D’après notre interlocuteur, de nombreux pays veulent également relancer leur tourisme national, incitant les consommateurs à voyager vers leur destination. « Sinon, notre clientèle se compose essentiellement de catégorie de personnes du troisième âge, les plus vulnérables face à la covid-19. C’est pour cela qu’il est important que Madagascar soit plus rassurant quant à sa capacité à garantir la santé des touristes », conclut-il.

Jusqu’au sixième mois, il faut garder les nouveaux nés au chaud.  Entre la température confortable de son nid d’ange et l’air ambiant à l’extérieur, la différence est radicale. Il faut, par conséquence, bien les couvrir pour éviter de les exposer à toutes sortes de maladies, souligne l’infirmière Teviky Adelaide. D’ailleurs les enfants comme les adultes peuvent attraper la coqueluche. Une maladie respiratoire très contagieuse. Les personnes atteintes de coqueluche transmettent généralement la maladie à d’autres en toussant ou en éternuant, explique le Dr Soahita Zafitiana Elgenita.



Tsara ho an’ny zaza vao teraka ka hatramin’ny faha-enimbolana ny hamonosana lamba azy mba ahazoany hafanana. Hiaro azy amin’ny aretina maro izany. Ary tokony hovitaina daholo ny vaksiny rehetra mba hiarovana ihany koa amin’ny aretina toy ny koha-davareny. Izay sady mety hahazo ny zaza na ny olon-dehibe, ary mifindra ihany koa hoy Dr Soahita Zafitiana Elgenita.

La déclamation poétique. Une manière à part entière de savourer la littérature. On donne vie aux œuvres de l’auteur tout en partageant l’émotion avec le public. La déclamation de poème requiert de l’éloquence dans la voix mais aussi une bonne maîtrise de la scène. Mampandriniaina Manitra, membre du cercle littéraire Faribolana Sandratra souligne l’importance de cet art dans la littérature malgache. Quant à Laingotsiky, poète, elle nous partage ses secrets dans la déclamation de poème.



Fomba iray hankafizana ny asa-soratra ny antsa tononkalo. Fanomezana aim-panahy an’ilay tononkalo no sady fizarana aina amin’ny mpanatrika na mpihaino. Miavaka ny fiantsana ary mila fahaizana amin’ny feo sy ny fihetsika. Hamaritra ny antsa tononkalo ao anatin’ny literatiora malagasy i Mampandriniaina Manitra, mpikambana ao amin’ny Faribolana Sandratra. Hizara ny tsiambaratelony ato amin’ny Sandrify ihany koa i Laingotsiky, mpanoratra sy mpiantsa tononkalo.

mercredi, 05 août 2020 11:20

Kozio ahy : « Alako hehy »

«Alako hehy», c'est un terme argotique très utilisé par les jeunes, notamment les jeunes femmes dans le sud de Madagascar. Ce groupe de mots s'emploie souvent pour dire que « on s'en moque de ce que les autres en pensent, amusons-nous bien !». Il est aussi comme un mot de courage pour continuer la vie.  Thierry Andrianasolo, un jeune habitant à Fort-Dauphin, nous donne les détails.



« Alako hehy », dia fitenin' ireo tanora fa indrindra ny zatovovavy avy any amin' ny faritra atsimon'i Madagasikara iny. Ampiasaina io andian-teny io hanehoana  fa «tsy misy irarahiana izay fiheveran' ny hafa any, aleo manalazy ». Ankoatra izay, teny fankaherezana entina hiatrika fiainana koa izy io. Tanora monina any Faradofay i Thierry Andrianasolo, hanome ny andinindininy mikasika izay izy.

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