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Karine Manoa Linda

Karine Manoa Linda

mercredi, 03 mars 2021 12:46

Revue de presse du 03 mars 2021

  • Fatiantoka 1 miliara dolara ny an’ny Jirama noho ny fampiharana vidin-jiro tsy araka ny tokony ho izy
  • Ny fametrahana ny « China Town » etsy Behoririka- Antananarivo
  • Olona 7 maty tanatin’ny telo andro noho ny kere tany Andraoka

  • La Jirama accumule une perte d’un milliard de dollar depuis 2009
  • La transformation du quartier de Behoririka en « China Town »
  • Kere dans la commune d’Andraoka : 7 décès en trois jours
mercredi, 03 mars 2021 12:38

Journal des régions du 3 mars 2021

    • Androy : nozaraina masomboly katsaka ny 6 taonina ny tao amin’ny distrikan'Ambovombe sy Tsihombe
    • Alaotra: nihena ny voka-bary noho ny tondra-drano nisy tany an-toerana
    • Melaky: vinavinaina hahakasika an’i Melaky rahampitso alakamisy na ny zoma ho avy izao ny tangoron-drahona ao amin’ny lakan-dranon’i Mozambika
    • Sava : natomboka ny 1 martsa teo ny asa fanamboara-dalana ny « avenue de l’émergence »

  • Androy : 6 tonnes de semences de maïs distribués aux habitants des districts d’Ambovombe et de Tsihombe
  • Alaotra : la récolte de riz a diminué à cause des inondations
  • Melaky : l’amas nuageux présent au-dessus du canal de Mozambique touchera le littoral de Melaky jeudi ou vendredi, selon les prévisions météorologiques
  • Sava : la construction de l’« Avenue de l’émergence » a débuté le 1 mars

Malgré un pouvoir d’achat assez faible des Malgaches, les livres éducatifs ont encore leur place dans le marché éducatif à Madagascar. Outre les livres obligatoires à l’école, certains parents font encore leur possible pour offrir des livres à leurs enfants, conscients de leur importance dans l’éducation.

En dehors de la période de la rentrée scolaire, l’occasion des fêtes est celle qui voit également une certaine hausse des ventes de livres pour enfants au marché de livres d’occasion d’Ambohijatovo. Ce constat est le même au niveau des librairies. Cependant, il faut noter que ce sont généralement les mêmes clients qui achètent des livres pour leurs enfants. Pour cause, le faible pouvoir d’achat de nombreuses familles malgaches. Par ailleurs, il est tout aussi nécessaire de renforcer les sensibilisations pour la lecture de livre.

Les livres ne figurent pas parmi les priorités des ménages   

« À Madagascar, on entend souvent l’expression qui souligne que l’éducation est le meilleur des héritages. Pourtant, cela reste utopique chez nous », souligne Ravaka Mihamina, une des fondatrices de Karné Madagascar, qui publie depuis des magazines éducatifs pour enfants. Selon elle, certes, il y a un problème vu que le pouvoir d’achat est faible, mais il y a aussi une grande question de culture. « On nous a quelque part habitués à prioriser l’achat de choses futiles par rapport à l’achat de livres. De fait, devant un livre éducatif qui coûte 5.000 ariary et une robe à 20.000 ariary par exemple, la robe se vendra plus rapidement », indique-t-elle.

Rija, responsable auprès de la librairie Mille Feuilles, rle confirme. « Il faut surtout appuyer que le manque de moyen y est pour beaucoup », précise-t-il, poursuivant que « les parents achètent souvent des livres lors de la rentrée scolaire et parfois pendant les périodes de fêtes ».

Plus de moyens pour plus d’accès

« Pour ma part, j’ai remarqué que les actions de sensibilisation menées par l’Etat, les associations et les autres acteurs sur la lecture ont beaucoup impacté les Malgaches », précise Ravaka Mihamina. Selon elle, ces actions devraient être renforcées et il faudrait même trouver le moyen de donner aux enfants plus de moyens pour avoir accès facilement aux livres. Marie Michelle Rakotoanosy, de l’édition Jeune Malgache, apporte la même précision : « nous remarquons que beaucoup sont intéressés et achètent des livres lors de nos évènements annuels, dont la foire du livre », explique-t-elle.

Par ailleurs, ce sont les associations qui sont les plus grandes acheteuses indique cette responsable. « Ces dernières achètent les livres pour ravitailler les bibliothèques dans les écoles ou autres endroits et, à ma connaissance, cela permet de donner aux enfants plus d’accès à ces supports éducatifs », souligne-t-elle. Pour Rija, de la librairie Mille Feuilles, le marché de livres d’occasion est autant un avantage qu’un blocage. « L’existence de vendeurs de livres d’occasion qui bordent les rues permet aux familles d’acheter à moindre coût », souligne-t-il.  

Anisan’ny maridrefy ho an’ny asa efa vita hatrizay ireny amboara atolotra ho an’ny mpanankato ireny, hoy i Mr Sayda, mpihira, tato anaty fandaharana #NdaoHilaoeky. Tsy tokony ho resahina akory ny  fisoloan-tenan’ireo mpankafy ao anatin’ireny fifaninanana ireny hoy indray i Tiane, mpisehatra eo amin’ny ara-kolontsaina, rehefa miresaka ireny fanomezana amboara ireny. Misy ny mason-tsivana apetraky ny mpikarakara sady manana ny vondron’olona iantefany manokana izy. Samy manana ny sehatra misy azy izany. Afaka manome lanja ny sangan’asan’ny mpanakanto ireny fanomezana amboara ireny satria mandrisika azy hanatsara kokoa ny asany, eo amin’ny resaka kalitao izany.


L’attribution de prix aux artistes est un moyen de mesurer leurs œuvres, selon Mr Sayda, chanteur, dans #NdaoHilaoeky. Cependant, la question de représentativité n’a pas lieu d’être, d’après Tiane, médiateur culturel, étant donné que les organisateurs ont leurs propres critères de sélection et de public cible. La valorisation de l’œuvre est aussi abordée dans l’émission, puisque ces évènements encouragent l’artiste à perfectionner son travail, il y va de la qualité de l’œuvre donc.

mercredi, 03 mars 2021 11:30

Journal du 03 mars 2021

    • Electric Vocuhila : un groupe de jazz tropical français inspiré par le « tsapiky »
    • Voir des personnages afro dans les films rends les jeunes malgaches fier
    • Les jeunes poètes malgaches sont en admiration devant les poètes modernes
    • Projet Chinatown à Tanà : vers l’embellissement de la ville
    • La gratuité de l’éducation n’est que théorique selon les sociétés civiles

  • Andro maneran-tany natokana ho an’ny zava-manan’aina dia : azo trandrahana am-pahamendrehana ny ala
  • Tsy sahy mitoroka ny trangana kolikoly ny ankamaroan’ny olon-tsotra
  • Poezia ankehitriny : mahazo laka ny resa-pitiavana sy fiainam-piarahamonina
  • Misy amin’ireo cybercafé no manana tolotra manokana hanampiana ireo tanora manao taratasy fangatahana asa alefa amin’ny aterineto
  • Lasa sarotra ho an’ny tanora ny mitady fahamarinan-toerana mialoha ny hanambadiana

A Madagascar, manger du riz est devenu plus qu’une habitude. Certains avancent même que cela fait partie de la culture. Dans l’histoire, la première semence de riz a été retracée en Asie. La production s’est ensuite étalée dans les autres continents. Cette semence est arrivée à Madagascar vers le 8ème siècle explique l’historien Alex Randriamahefa. En principe, le pays n’a pas importé de riz. A l’origine, ce sont les explorateurs qui ont fait circuler cette céréale à Madagascar, toujours d’après lui. Le riz est devenu l’aliment de base des malgaches à partir du moment où la famine est apparue officiellement pour la première fois, vers le début des années 1800. Cependant, il ne fait pas partie des 7 mets typiquement malgaches mais sert plutôt d’accompagnement. 

Faire cuire du riz peut relever de l’art culinaire, si on le prépare avec des techniques spécifiques suivies d’une bonne présentation. En principe, l'art culinaire vise à rendre la cuisine de manière artistique. Par exemple, une omelette peut relever de l’art culinaire si on utilise une autre technique à part faire passer de l’huile dans une poêle. On peut par exemple utiliser la cuisine moléculaire. Cette dernière se différencie de la cuisine gastronomique, qu’on voit dans les restaurants. Mais pour précision, la cuisine gastronomique regroupe à la fois l'art culinaire, les techniques de présentations de plats, l’art de la table, et bien d’autres points culinaires.


Eto Madagasikara dia lasa kolotsaina ho an'ny olona sasany ny fihinanana vary. Raha ny tantara no jerena dia tany Azia no nahitana ny voam-bary voalohany. Niparitaka tamin'ny kaontinanta hafa ny famokarana izany avy eo. Tany ho any amin’ny taonjato fahavalo kosa no tonga teto Madagasikara ny vary hoy ny mpahay tantara Randriamahefa Alex. Tsy nanafatra vary ny malagasy tamin’izany fa maro ny fivezivezana nisy teto Madagasikara nandritra io vanim-potoana io ka ireo izay niditra teto no nitondra azy hoy hatrany ny fanazavana. Fa rehefa nsiy ny mosary tany amin’ny taona 1800 tany izay vao lasa foto-tsakafo ny vary. Araka izany tsy tafiditra ao anatin’ireo sakafo 7 mampiavaka an’i Madagasikara ny vary. Fa natao hoanina hiaraka amin’izy ireo fotsiny. Na izany aza misy ireo mihevitra fa ny fihinanam-bary dia kolotsaina ka izay no ihinany azy. Misy kosa ny mihinana noho ny fahazarana. Ny fandrahoam-bary dia mety ho haify na « art culinaire » raha manaraka tekinika hafa ankoatra ny fomba fahandro azy mahazatra ny mpahandro. Ny haify dia fitambaran’ny fomba fampiarahana ireo tekinika vaovaon’ny fandrahoana sakafo sy fomba fanehoana azy eo ambony lovia. Natao hisarika maso, orona ary vava izany ny sakafo iray vao azo lazaina ho haify.

Bien habillé ne veut pas dire être à la mode ou encore connaître toutes  les nouvelles tendances. L’idéal, c’est de savoir se vêtir, selon sa morphologie. Ainsi on peut éviter les fashion faux-pas en ne portant que des tenues pour mettre en valeur notre silhouette. On vous propose quelques pistes en faisant le tour des 6 types de silhouettes des femmes, à savoir les formes en X, V, A, O, H et 8.

La forme  X

La silhouette en X, c’est le rêve de beaucoup de femmes. Ici, les épaules et la partie inférieure du corps sont proportionnelles et la hanche est marquée. Même si cette forme est très enviée, ce n’est pas toujours évident de connaître les vêtements qui lui sont adaptés. Pour mettre en valeur le corps, l’idéal c’est de porter des robes, des chemises, ou encore des hauts cintrés. Les pantalons serrés comme les skinny sont aussi conseillés. A éviter, les pantalons évasés et les hauts larges.

La forme V

La forme V met en valeur les épaules. En général ce sont les sportives surtout les nageuses qui ont cette silhouette. Les femmes qui ont cette morphologie ont les épaules larges, le bassin étroit et de longues jambes et une poitrine volumineuse. Pour mettre  en valeur tout le corps, il faut éviter les hauts « off shoulder », c’est-à-dire les habits qui montrent les épaules. Ceci dit, privilégiez des hauts qui marquent la taille avec des cols en V. L’idéal serait aussi de porter des pantalons évasés pour donner un effet proportionnel entre les épaules et la partie inférieure du corps.

La forme  A

Cette morphologie se caractérise par des épaules plus larges que les hanches et la partie inférieure est plus ronde que la supérieure. Les femmes qui possèdent cette forme ont des fesses arrondies. Conseils : misez sur des hauts  et des robes sans bretelles pour mettre en valeur le corps avec cette silhouette. Les pantalons et les jupes droites sont aussi à privilégier. A éviter donc, les robes péplum qui cachent la forme du bassin, les hanches et les fesses.

La forme O

Cette silhouette se distingue par la forme arrondie de tout le corps. Contrairement aux autres morphologies, la taille est moins marquée. Il faut faire attention aux vêtements à motifs et imprimés lorsqu’on a cette forme. Les motifs accentuent les formes. Cela ne veut pas dire que les motifs sont interdits. Mais choisir ceux qui sont moins tape-à-l’œil. Pour les hauts, choisissez des vêtements en col V ou décolletés pour donner un effet plus long du torse. Les vêtements ne doivent pas être ni trop large ni trop cintrés. Pour la partie inférieure, des pantalons droits feront l’affaire.

La forme H

Cette forme est la plus proportionnelle de toutes les silhouettes. Les femmes qui ont cette morphologie ont une forme droite de l’épaule jusqu’aux pieds. Souvent, elle s’associe avec des petites poitrines et des fesses plates. Privilégier des pantalons skinny avec des poches à l’arrière. Cela donnera une illusion arrondie des fesses. Et pour le haut, il faut choisir des habits à col arrondi. Il faut avantager des robes et jupes péplum pour donner un effet volumineux du corps.

La forme 8

Cette forme est l’association de la forme X avec la forme O. La taille est marquée et les parties supérieure et inférieure sont arrondies. Les femmes qui ont cette silhouette ont souvent la poitrine marquée et des fesses arrondies. Les robes et les hauts caches cœur sont à favoriser pour mettre en valeur la poitrine. Les pantalons à jambe droite ou skinny vont bien à cette silhouette. A éviter les pantalons évasés pour garder la proportionnalité entre les parties supérieure et inférieure du corps.

Peu importe votre silhouette, il ne faut pas oublier le plaisir d’être à l’aise dans vos habits.

Plus que 9 jours avant la fin de la campagne de crowdfunding lancée par l’équipe de Lamako pour le lancement du jeu éponyme. Si l’objectif est d’atteindre 39.000 euros, la campagne n’a réuni pour le moment que 8.543 euros. Mais de quoi s’agit-il ?

Lamako est un jeu de société basé sur des éléments de la culture malgache. C’est une sorte de quizz où le but est d’accumuler des points pour vaincre des monstres issus de mythes et légendes malgaches comme Trimobe ou encore Darafify. Les questions du quizz permettent de tester ses connaissances ou d’apprendre des faits sur la culture de la Grande île et Madagascar en général à travers cinq catégories : Exploration, Vie & tradition, Histoire, Gastronomie et Faune & flore.

Tout ou rien

L’équipe derrière le projet est composée de jeunes malgaches qui entendent valoriser la culture de la Grande île peut-on lire dans leur dossier de présentation. Elle est partie du constat que la richesse de la culture malgache est peu connue des Malgaches-mêmes, encore moins des jeunes générations « dans un contexte de double culture ».

Lamako a vu le jour à la Startup Weekend Madagascar 2017, dont il est sorti vainqueur. A l’époque, il s’agissait d’une application mobile. En 2018, une version Web est sortie avec une dizaine de questions sur la culture malgache mais faute de moyens le développement a été arrêté malgré un bon accueil. Le jeu de société tel qu’il est actuellement a été repensé par Hobi et Kristel en 2019. La concrétisation du projet s’est faite en 2020 avec la création de l’univers Lamako et des premières maquettes. 2021, le produit fini est prêt à être mis sur le marché. L’équipe a lancé une campagne de crowdfunding d’un mois sur Ulule qui se termine donc dans 9 jours. Seuls 21% de l’objectif de 39.000 euros est atteint jusqu’ici avec 8.543 euros recueillis. Si la somme n’est pas réunie à la date limite au 11 mars, les contributeurs qui ont déjà payé seront remboursés et la fabrication du jeu ne pourra pas être lancée, selon le principe du « tout ou rien ».

mercredi, 03 mars 2021 07:19

Sakoma

Camarade, copain ou encore petit-ami… sont autant de significations du mot « sakoma ». Ce dernier est un terme argotique utilisé par les jeunes dans la partie nord-est de Madagascar, notamment dans la région Diana et Sava. D’après l’écrivaine Olynca Rabenoely, « sakoma » est surtout plus utilisé entre les jeunes femmes.


Ny « sakoma » dia teny mitovy hevitra amin’ny hoe sakaiza, olontiana na koa namana. Fitenin-jatovo any amin’ny tapany avaratra atsinanan’ny nosy iny io. Ny tovovavy no tena mpampiasa azy hoy I Rabenoely Olynca, mpanoratra.

Nombreux sont ceux qui pensent que quand on arrête de fumer, c’est la période de sevrage qui est le plus dur. Une affirmation qui constitue surtout un blocage pour certains fumeurs qui veulent arrêter. Les symptômes du sevrage apparaissent après 48 h de temps sans tabac dès quela personne commence à chercher tous les moyens possibles pour compenser le manque de nicotine. Mais il est tout à fait possible de gérer ce manque sans forcément grossir ou encore être irritable.

  • Arrêter le tabac augmente le stress et l’irritabilité – faux

La plupart des fumeurs pensent que la cigarette permet de se calmer en période de stress. Pourtant, c’est la dépendance à la nicotine qui maintient l’état d’esprit des fumeurs. C’est la dépendance à la nicotine qui augmente un peu plus l’état de stress du fumeur. Pourtant, pendant la période de sevrage, notamment entre 48 h et 72 h sans tabac, ce besoin de nicotine est au plus haut point. C’est pour cela qu’il est plus qu’important de savoir le surmonter, pour éviter les récidives. Il faut garder en tête que le tabac ne soulage pas le stress, il ne fera que l’augmenter un peu plus.

  • Arrêter le tabac fait grossir – faux

La cigarette est un coupe-faim. Il réduit le grignotage et aussi réduit l’appétit, notamment quand la personne fume avant un déjeuner. De fait, nombreux sont ceux qui pensent à tort qu’arrêter de fumer pourrait augmenter l’appétit, et plus encore manger peut être un substitut nicotinique. Ce n’est pas totalement faux, mais ce n’est pas vrai pour autant. Selon un thérapeute spécialisé en dépendance, qui préfère garder son anonymat, le tiers des fumeurs qui décident d’arrêter n’a pas de problème de gain de poids. « Le tout est de savoir équilibrer son alimentation et surtout de manger de la nourriture qui aide le corps à éliminer la nicotine plus rapidement », souligne ce thérapeute.

  • Le sevrage prend beaucoup de temps – vrai et faux

La question est plutôt de savoir combien de temps dure la période la plus délicate au début du sevrage, pendant laquelle le manque de nicotine et l’envie de fumer sont les plus forts. Généralement, cette période intervient dans les 48 ou 72 heures sans cigarette. Pendant ces 3 premiers jours, il est plus que difficile de résister à l’envie de fumer. Mais une fois passée cette étape, il suffira de se retenir contre les envies passagères.


En général, la durée d’abstinence définit 3 stades lors d’un sevrage tabagique : récent (6 mois), persistant (12 mois), confirmé (plus de 12 mois). Une personne qui arrive à tenir les 6 premiers mois a toutes les chances de réussir son sevrage. Plusieurs méthodes peuvent toutefois aider à passer plus facilement cette période : acupuncture, hypnothérapie, homéopathie, naturopathie, etc.


Miaro ny atidoha no anjara asan’ny fonon’atidoha, ka raha hidiran’ny otrikaretina na koa tsimokaretina izany dia mitarika ny meningite na aretin’ny fonon’atidoha. Antony mahatonga izany ny fidiran’ny otrikaretina eo amin’ny fery amin’ny loha, ny tibekilaozy ary ny fifampikasohana amin’olona efa voa raha ny nambaran’I dokotera Razanajohary Rachel. Ny fanatonana mpitsabo rehefa marary sy ny fanajana ireo fepetra hiadiana amin’ny coronavirus dia isan’ny misoroka izany araka ny fanazavany hatrany. Miresaka ny hydrocephalie na ny fibotan-karandoha kosa i Dokotera Razafindravonjy Soloniaina Jean, assistant en neurochirurgie ato anatin’ny fandaharana Santenaka.


Les méninges ont pour fonction de protéger le cerveau. L’infection microbienne ou virale  dans les méninges peut provoquer la méningite. L’infection microbienne, le contact avec la personne atteinte de la maladie ainsi que la tuberculose font partie des causes de la méningite, selon Docteur Rachel Razanajohary. Elle ajoute que la consultation d’un médecin en cas d’un signe de la maladie et le respect des gestes barrières font partie de préventions de la méningite. A son tour, le docteur Soloniaina Jean Razafindravonjy, assistant en neurochirurgie nous informe sur l’hydrocéphalie dans #Santenaka.

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