COVID-19 : Tous ensemble face au virus

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Karine Manoa Linda

Karine Manoa Linda

Voyager à la campagne, rencontrer les paysans et s’immerger dans leur quotidien, c’est le tourisme rural ou tourisme chez l’habitant. Le tourisme rural casse les codes des hôtels de luxe, des visites de parcs et de musées. Une formation a été organisée une semaine durant à Antananarivo pour préparer les futurs acteurs du secteur du tourisme rural. 20 femmes et 15 jeunes venant des régions à fort potentiel touristique comme Boeny, Sofia et Diana ont suivi la formation. Selon Henintsoa Rakotomalala, organisatrice, des notions en tourisme, en techniques de guidage, en cuisine, en l’hôtellerie, en vie associative, et en commerce sans oublier le volet environnement, ont été données aux jeunes bénéficiaires. Le but de ce projet initié par Madagascar Tourisme Rural est de faire de ces bénéficiaires des acteurs de développement locaux.


Mitsidika ny tontolo ambanivohitra, mihaona mivantana amin’ireo tantsaha ary miaina ny fiainan’izy ireo, izay no antsoina hoe fizahantany eny ambanivohitra. Miala amin’ny fomba fizahantany mahazatra izy. Ho fanomanana ireo mpisehatra amin’ny fizahantany eny ambanivolo, vehivavy 20 sy tanora 15 avy amin’ny faritra Boeny, Sofia ary Diana no nomena fiofanana teto Antananarivo nandritra ny herinandro. Nomena traikefa mahakasika ny fizahantany, ny fomba fandraisam-bahiny, ny fomba fitsidihana toerana iray, ny resaka lakozia, ny fiainam-pikambanana ary ny fiarovana ny tontolo iainana ireo tonga nanatrika, hoy ny iray amin’ireo mpikarakara, Rakotomalala Henintsoa. Ny tanjon’ity tetikasa novolavolain’ny Madagascar Tourisme Rural ity ny hahatonga ireo mpisehatra ho fanoitra amin’ny fampandrosoana ifotony.

Depuis deux jours, les députés font face aux membres du gouvernement au Centre de conférence international d’Ivato. Au-delà des longues prises de parole, en quoi consiste ces face-à-face durant les sessions parlementaires ordinaires ?

« Le face-à-face n’est ni plus ni moins que la manifestation de la redevabilité, lance un membre du personnel de l’Assemblée nationale. C’est inscrit dans la Constitution. Le gouvernement est responsable devant l’Assemblée nationale ». D’après ses explications, c’est à ce moment que les ministres sont appelés à faire le compte-rendu de leur travail. « Les membres du gouvernement ne sont pas élus. Ils sont de ce fait redevables auprès des élus que sont les députés et les sénateurs », ajoute-t-il. Miadana Fabien Privat de l’ONG Tolotsoa parle de bilan. « Le face-à-face c’est le moment d’apprécier ce qui a été fait et ce qui n’a pas été fait suivant la loi de Finances », indique-t-il. Ce membre de la société civile précise que la loi de Finances constitue la balise des actions du gouvernement. « Les députés peuvent ainsi rappeler aux ministres concernés ce qui restent à faire », renchérit-il.

Parfois redoutés par les ministres, les face-à-face peuvent donner lieu à des échanges musclés surtout de la part des élus. « C’est l’occasion pour les députés d’interpeler un ou plusieurs ministres. Ils font aussi des remontées de doléances de leur circonscription respective », explique le responsable au sein de l’Assemblée nationale. Il n’est pas rare que la prise de parole d’un député se résume à une liste d’infrastructures à réaliser. « Normalement, les travaux à réaliser doivent être inscrits dans la loi de Finances », indique Miadana Fabien Privat, qui rappelle que ce sont les besoins de la population qui doivent être transposés dans ce texte.

Rapport parlementaire

Durant les face-à-face, chaque ministre est accompagné par son staff. Une ancienne membre de cabinet d’un ministère explique que le rôle de son équipe est de recueillir les questions, puis rédiger et consolider les réponses pour le ministre et le premier ministre. Les face-à-face peuvent durer plusieurs heures dans la mesure où tous les députés ont un droit de parole. « Ils ont droit à 5 minutes chacun. Pour cette session, nous avons divisé les élus en deux groupes », fait savoir notre interlocuteur auprès de l’Assemblée nationale. L’ancienne membre de cabinet raconte qu’une fois, ils étaient restés à Tsimbazaza jusqu’à 2h30 du matin.

Toujours dans l’optique de la redevabilité, les élus sont tenus de faire un compte rendu auprès de leur circonscription à la fin de chaque session. Cela peut prendre plusieurs formes comme un document écrit, une allocution lors d’un rassemblement ou une émission radio. « Le rapport parlementaire est une obligation mais beaucoup d’élus ne le font pas. J’en connais certains qui n’en ont jamais fait », regrette le membre du personnel de l’Assemblée nationale.

Tolotra Andrianalizah

Mirongatra ny mpampiditra hira amin’ny alalan’ny solosaina eny rehetra eny, indrindra ny eto Antananarivo renivohitra. Mahazo tombony manokana amin’izany izy ireo rehefa mivarotra ny hira afindran’izy ireo any amin’ny mpanjifany, nefa manahoana kosa ny mahakasika ireo tompon’ny hira ? Voalaza fa tsy ara-dalàna ary tsy nahazonana alalana ny fanaovana izany ary izay no nahatonga ny Ofisy misahana ny fiarovana ny zon’ny mpamorona na ny OMDA mitondra ny fanazavana ato amin’ny fandaharana « Hono ho’a ». Ny talen’ny OMDA, Ranjarivo Haja dia milaza fa efa misy ny dingana ataon’izy ireo entina mampanara-dalana ireo mpampiditra hira tsy ara-dalàna ireo fa ny tena tompon’ny teny farany dia ny tompon’ny sangan’asa ihany.


Les services de transfert de musique dans les rues se font de plus en plus nombreux, surtout dans la capitale. Ils gagnent leur vie en vendant des chansons qu’ils transfèrent à leur clientèle, mais qu’en-est-il des propriétaires de ces chansons ? Cette pratique n’est pas autorisée et même interdite par la protection des droits d’auteur, l’Office Malgache du droit d’auteur ou OMDA,. Le Directeur de l’OMDA, Haja Ranjarivo, affirme leur initiative de régulariser cette pratique, mais la base dépend surtout des propriétaires des œuvres.

Jeudi 2 décembre 2021, les livres sont vendus au kilo, à l’Institut Français de Madagascar. 750 kilos de livres usés sont liquidés. Le kilo est bradé à 5.000 ariary, soit plus d’un euro. Florence Dimani, responsable médiathèque au sein de l’IFM est flattée de voir que les jeunes s’intéressent au livre, contre toute attente. Le circuit de vente des livres, dit-elle, est difficilement accessible à Madagascar. Une opportunité comme celle-ci ne se rate pas. Les acheteurs, majoritairement jeunes et étudiants, sont venus par centaine pour faire la queue devant l’IFM. Chaque groupe, composé de 20 individus, ont 20mn chacun pour trouver les livres de leur choix. Une fois le choix fait, ils se dirigent au pesage et paient à la sortie. L’argent récolté, termine-t-elle, sera utilisé pour acheter de nouveaux livres.


Alakamisy 2 desambra 2021, amidy 5.000 ariary monja ny kilaon’ny boky tonta tetsy amin’ny Institut Français de Madagscar Analakely. Boky nandrafitra ny tranombokin’ity ivokolo ity ireto amidy sy ho soloina vaovao ireto. Nanambara ny tompon’andraikitry ny tranombokin’ny IFM,  Florence Dimani, fa isan’ny midangana ny vidim-boky eto Madagasikara ary maro ireo tanora no tsy afaka mividy izany na dia liana sy tia ny vaky boky aza. Antony iray nanaovana izao varoboba izao. Tanora sy mpianatra no ankamaroan’ireo tonga nilahatra manoloana ny ivokolo frantsay hividy ireo boky. Manana 20 minitra ny isan’olona hisafidianana ny boky tiany ka tsy mihoatra ny 5 kilao no azon’ny tsirairay vidiana. Miditra isaky ny andiany roapolo izy ireo mba hitsinjovana ny fiarovana amin’ny valan’aretina. Ny vola azo amin’ity hetsika ity, hoy hatrany ny mpikarakara, dia hividianana boky vaovao. Ny volana novambra na desambra no manao hetsika toy izao ity ivokolo frantsay ity.

Voasafidy ho mpanolo-tsaina ara-bola hoan’ny repoblika an’i Madagasikara ny kabinetra Rothschild & Co ny 10 novambra 2021 lasa teo. Haharitra 15 volana no hiara-dalana amin’ny repoblika malagasy io mpanolotsaina io. Hampihaona ny tolotra sy ny tinady eo amin’ny ireo izay mety ho mpamatsy vola sy ny firenena mitady vola io kabinetra io, ary hampihena ny risiky ny fampiasana vola maloto eto Madagasikara. Matihanina sy manana traikefa maro eo amin’ny tsenam-bola iraisam-pirenena  ny Rothschild & Co, hoy Ratobisaona Rado, antony nisafidianana azy hitantsoroka an’i Madagasikara eo amin’izay lafiny izay.


Le cabinet Rothschild & Co a été nommé conseiller financier de la république de Madagascar, le 11 novembre dernier. Il conseillera Madagascar durant les 15 prochains mois sur la stratégie financière à adopter et la quête de financement et partenariat pour le redressement économique de Madagascar. Rothschild & Co est un des meilleurs conseillers financiers du monde entier, raison pour laquelle, l’Etat Malgache a fait appel à cette structure, explique Rado Ratobisaona, économiste.

vendredi, 03 décembre 2021 12:49

Le rock, le métal et les chansons à texte

Fanaovana akanjo mainty, firavaka vy, volo lava, tevika, mitondra moto Harley Davidson no matetika hamaritana ireo mpankafy ny gadona mavesatra, na rock io na métal. Eo amin’ny fomba famoronana hira, ny zava-maneno ampiasaina aminy ary ny karazana feo ao anatiny no maha samihafa azy ireo, hoy Poon Andrianiaina, mpitendry gitara amina tarika mpivohy ny gadona rock.

Toy ny ahoana kosa ny atao hoe vazo miteny ? i Samoela no hanazava izany amintsika, ato amin’ny tapany faharoan’ny fandaharana.


Porter des vêtements sombres, des bijoux en métal, avoir des cheveux longs et des piercings, conduire une Harley Davidson est souvent la définition des fans ou des artistes de heavy metal ou de rock. C’est au niveau musical que se dessinent les différences. Suivez les explications d’un guitariste de groupe de rock, Poon Andrianiaina.

Mais qu’est-ce qui fait la définition des chansons à texte ? Samoela nous explique cela dans la deuxième partie de l’émission.

vendredi, 03 décembre 2021 12:44

Infos vues par les jeunes du 3 décembre 2021

Hiresaka mikasika ireo vaovao nisongadina nandritra ity herinandro ity indray ireo tanora vahinin’ny Studio Sifaka izay ahitana an’i Rajaonarivelo Andoniaina, mpampianatra, Randremanantsoa Océane sy Fanilo Mihamina, mpianatra lalàna eny amin’ny oniversiten’Antananarivo.

Ireto ireo lohahevitra noresahina :

  • Ny antenimieran’ny tanora sy ny andraikiny
  • Ny fahatapahan’ny jiro sy ny rano ary fandatsahana orana artifisialy
  • Ny fitomboan’ny isan’ireo tanora mitondra ny tsimok’aretina VIH SIDA

Dans notre rendez-vous de chaque vendredi, pour le débat, nous avons comme invités Andoniaina Rajaonarivelo, professeur de physique-chimie, Océane Randremanantsoa et Fanilo Mihamina, deux étudiantes en droit à l’université d’Antananarivo.

Voici les sujets discutés :

  • Le parlement national des jeunes et ses activités
  • Les pluies provoquées, les coupures d’eau et d’électricité
  • La hausse des cas de jeunes séropositifs
vendredi, 03 décembre 2021 12:30

Journal du 3 décembre 2021

  • Sampana fampitaovana ny tanora i-tafa : efa ahitam-bokatra ankehitriny
  • Nisokatra ny fanjonoana trondro andranomamy ao Miandrivazo
  • Tompon’andraikitra amin’ny fiarovana ny ankizy amin’ny herisetra mety hahazo azy noho ny fampiasana aterineto ny olon-dehibe izay akaiky azy
  • Mitohy ny fitsirihana ataon’ny ministeran’ny varotra sy fanjifana amin’ny entana sy sakafo lafo daty amidy eny an-tsena

vendredi, 03 décembre 2021 12:13

Omicron : une controverse sur sa dénomination

Le plus récent variant de la COVID-19, Omicron, à prononcer « Omicrone », intéresse linguistes et scientifiques. Les défenseurs de la langue française soutiennent l’importance de souligner le « n » pour une prononciation correcte, conformément à l’alphabet grec.

Aux yeux des scientifiques, la quinzième lettre de l’alphabet grec a été choisie pour représenter ce variant afin d’éviter les confusions. Au lieu de dire variant Nu, Omicron permet de ne pas faire de rapprochement dans la prononciation du mot « Nu » et du mot anglais « New », d’une part. D’autre part, le nom de famille Xi (à lire SI), étant très répandu en Chine, aurait été l’autre raison pour laquelle l’OMS a opté pour la prochaine lettre de l’alphabet grec afin de dénommer le variant B.1.1.529.

Aucun groupe culturel, national, régional, professionnel ou ethnique ne devrait être suggéré dans la dénomination des maladies. C’est la raison pour laquelle les variants dits « indiens », « sud-africains », « anglais » ont été remplacés par des lettres de l’alphabet grec.



Omicron: niteraka resabe ny nanomezana ny anarany

Ny endriny hita farany amin'ny COVID-19, Omicron, tononina ny "Omicrone" dia mahaliana ny linguista sy ny mpahay siansa. Ireo mpiaro ny teny frantsay dia miteny ny maha-zava-dehibe ny fanononana ny litera "n" satria izay no mifanaraka amin'ny abidy grika.

Eo imason'ny mpahay siansa, ny litera fahadimy ambin'ny folo amin'ny abidy grika no nofidina hanehoana an'io endriny vaovao amin’ny coronavirus io mba hisorohana ny fisafotofotoana. Satria raha tokony hiteny hoe variant Nu, mety hifanindry amin’ny fanononana ny teny anglisy " new" izany amin'ny lafiny iray. Etsy ankilany, ny anarana hoe Xi (à lire SI) dia tena be mpampiasa any Sina ka mety hitondra fanaratsiana ilay olona mitondra izay anarana izay, raha io no noraisina, hoy ny OMS.

Ny fanomezana anarana ireny aretina ireny dia tsy tokony entina hanavakavahana vondron’olona na mponina na foko. Izany ny antony nanoloana ny anarana hoe "variant Indien", na “variant sud-africain" na koa hoe “ variant Anglais" amin'ny litera amin'ny abidy grika.

 


vendredi, 03 décembre 2021 11:23

Journal des régions du 3 décembre 2021

  • Fiverenan’ny sidina iraisam-pirenena any Nosy-Be : misy ireo lamina tokony apetraka
  • Fanavaozana ny drafitra enti-miatrika ny tandindondoza sy ny loza tao amin’ny distrikan’Ambilobe
  • Misy fiatraikany any amin’ny asa fiveloman’ireo tantsaha any amin’ny faritra atsimo andrefana ny aratsin’ny lalàna

  • Vers la nécessité de mettre en place des mesures d’accompagnement pour la reprise des vols internationaux à Nosy-Be
  • Réhabilitation des infrastructures pour faire face aux catastrophes naturelles dans le district d’Ambilobe
  • Le mauvais état des routes impacte sur les activités des agriculteurs de la région Sud-ouest

Le Parlement des jeunes n’est pas uniquement une opportunité pour eux de s’exprimer, c’est aussi le moyen de prendre part aux décisions politiques. La mise en place de cette plateforme dans les pays francophones a débuté en 1999, lors du sommet de la francophonie de Monctole. L’élection pour faire partie du parlement des jeunes consiste à voter 46 jeunes, hommes et femmes, issus des 23 régions de Madagascar. Chaque association de jeunes officiellement inscrite auprès du ministère de la jeunesse et du sport représente une voix dans l’élection. Les membres du Parlement des jeunes auront un mandat de quatre ans.


Rafitra iray hanomezana feo ny tanora mikasika ny hetahetany ny antenimieran’ny tanora. Tany amin’ny taona 1999, fivorian’ireo firenena mampiasa teny frantsay natao tany Monctole no nanapahana ny fananganana azy io. Ny fifidianana ny antenimieran’ny tanora dia hifantenana tanora 46 isa lahy sy vavy eo anivon’ny faritra 23 manerana ny Nosy. Ny fikambanana tanora mijoro ara-dalàna no hiatrika izany ka ny fikambanana iray dia manana vato iray. Hiasa mandritra ny 4 taona ny antenimieran’ny tanora izay hitondra ny feon’ny tanora any amin’ny Solombavam-bahoaka sy hitondra ny hetaheta rehetra eny anivon’ny Governemanta.

La page Facebook « Jirama Actus » ne fait mention que de coupures, au plus grand dam des usagers, notamment de ceux qui découvrent les coupures intempestives d’approvisionnement d’eau. La Jirama annonce dans la foulée une augmentation de 40.000 m3 de la capacité de production de Mandroseza.

Les files de bidons jaunes s’allongent de plus en plus dans les quartiers de la capitale, au niveau des bornes fontaines. Les coupures de l’approvisionnement, dues à des réparations au niveau de Mandroseza, ont causé une ruée vers les bornes qui n’arrivent plus à suivre. Cela a eu pour effet de ternir encore un peu plus l’image de la Jirama auprès des usagers qui s’en donnent à cœur à joie sur les réseaux sociaux pour fustiger la compagnie.

La raison de l’intensification des coupures de cette semaine était le remplacement d’éléments du système de filtrage d’eau à Mandroseza. La compagnie annonce que les travaux y afférents sont terminés. Toujours dans l’optique d’améliorer l’approvisionnement de la capitale, la Jirama annonce l’installation d’un nouvel équipement de pompage ce samedi. Cela s’accompagnera d’une nouvelle coupure toute la journée. Les usagers sont prévenus mais ne décolèrent pas pour autant.

Encore plus de 29.000 m3 à trouver

En réalité, l’approvisionnement en eau d’Antananarivo et ses environs est un défi permanent pour la Jirama. Si les besoins en eau de la capitale sont évalués à 300.000 m3 par jour, la capacité de la compagnie n’est que de 230.000 m3. La Jirama a annoncé ce jour l’opérationnalisation de 40.000 m3 supplémentaire. A cela s’ajoute l’installation de huit unités de traitement d’eau conteneurisée de 100 m3 chacune. Malgré ces efforts, il reste toujours à combler un gap de 29.200 m3 par jour. Lorsqu’il était encore ministre de l’Energie de l’eau et des hydrocarbures, Vonjy Andriamanga avait indiqué que le problème d’approvisionnement d’eau à Antananarivo était encore plus problématique que celui de l’électricité entre la vétusté des infrastructures et la détérioration de l’environnement. C’était en 2019. Ce qui se passe actuellement lui donne raison, d’autant plus que le problème environnemental persiste avec les feux de brousse qui redouble d’ardeur.

Tolotra Andrianalizah

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