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- Mihoatra ny 2 alina ny mpiasam-panjakana mbola ilain’ny ministeran’ny Fanabeazana
- « Foire économique des 23 régions » : mahazo sehatra ireo tanora mpandraharaha
- Faritra SAVA: mihena ny fahefa-mividin’ny mponina ao Sambava
- Opération Bokiko : hetsika mampahafantatra ny zon’olombelona amin’ny alalan’ny literatiora any Sambava ho an’ny tanora
- Arivonimamo: ahiana ho miverina indray ny Fièvre de la vallée du Rift mpahazo ny omby
- Toamasina: ny fametrahana ny fizakan-tenan’ny vehivavy ho mari-toerana no entina miady amin’ny herisetra
- « Parlement des jeunes » : manomboka ny fisoratana anarana ho an’ireo tanora maniry hisolo tena ny faritra misy azy
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- Operation Bokiko : des sensibilisations sur les droits humains à travers la littérature à Sambava
- Arivonimamo : les éleveurs doutent du retour de la « Fièvre de la vallée du rift »Â
- Toamasina : vers la priorisation de l’autonomisation des femmes pour lutter contre les VBG
- L’inscription à l’intégration au « Parlement des jeunes » est ouverte pour les jeunes qui veulent représenter leur propre région
Notre corps, à travers nos glandes sudoripares, se met à produire de la sueur en grande quantité durant les saisons chaudes. Pour éviter la déshydratation, il est nécessaire de compenser ces pertes en eau. Selon le docteur Vololoniriana Marie Thérèse, la déshydratation peut se transformer en une maladie grave si l’on n’y prête pas attention. Toutefois, ces symptômes sont facilement identifiables. Le docteur Faniry Ramanambohitra, pour sa part, insiste sur les bonnes habitudes à  avoir pour prévenir la déshydratation. Le docteur Tsimaholy Zafizara Eric rappelle que l’eau doit être propre et non infectée. Il propose des astuces pour stocker de l’eau chez soi. D’autant plus qu’à Madagascar, actuellement, la pénurie d’eau oblige à avoir une réserve d'eau.
Mamoaka rano betsaka ny vatana rehefa ao anaty vanim-potoana fiakaran’ny maripana toy izao isika. Miteraka ilay aretina hoe deshydratation na « tsy fahampian-drano » nefa izany raha tsy ampy ny fampidirana rano amin’ny vatantsika. Toro-hevitra tsotsotra amin’izay fomba fisotroana rano izay no ho resahin’i docteur Ramanambohitra Faniry.
Rano madio hatrany anefa no tokony ho sotrointsika ka ireo fomba fitahirizana rano fisotro tsotra sy azo antoka ho an’ny fahasalamana, azo atao tsara any an-trano, no entin’i Docteur Tsimaholy Zafizara Eric. Misy fambara vitsivitsy azo hamantarana avy hatrany eny amin’ny vatana fa tsy ampy rano ny olona iray hoy ny mpitsabo, Volonirina Marie Thérèse, ka tokony mahay mihaino ny vatany ny olona tsirairay.
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Namakia, tanà na iray mamokatra ao amin’ny faritra Boeny. Distrikan’i Mitsinjo, Kaomina Matsakabanja no misy azy. Miampita eo Katsepy ary miala 75 km, lalantany eo no misy azy. Fa azo handehanana antsambo ihany koa. Malaza amin’ny famokarana siramamy, roma, fambolena vary, fanjonoana hazandrano, drakaka sns izy. Manana seranantsambo izy ary maro ireo vokatra taterina hamatsiana an’i Mahajanga sy ny faritra hafa eto Madagasikara. Olana kosa anefa hoy ny mponina avy any, izay hisoloan’i Adan Marcelin tena, ny fahasarotan’ny lalana. Mbola eo ihany koa ny filana amin’ny fampivoarana ny fianarana sy fiofanana ho an’ny tanora ao antoerana. Miresaka mikasika ireo vato mampiavaka ny faritra Boeny ihany koa ny Ketrika sy Kandra.
Namakia est un village productif situé dans la région Boeny. Il fait partie du district de Mitsinjo, commune de Matsakabanja. Une fois arrivé à Katsepy, une route secondaire de 75 km mène au village de Namakia. Mais il est aussi possible de naviguer en bateau. Namakia est connu pour la production de sucre, de rhum, de ses rizières, de ses activités de pêche, de crabes, etc. Elle possède un port et de nombreux produits y sont transportés pour approvisionner Mahajanga ainsi que d’autres régions. Mais les habitants, représentés par Adan Marcelin, affirment que l’état des routes constitue un blocage. Il est également nécessaire d'améliorer l'éducation et la formation des jeunes locaux. Dans cette émission Ketrika sy Kandra, nous parlons également des pierres qui caractérisent la région de Boeny.
Depuis mi-octobre, une hausse du niveau de pollution de l’air a été observée à Madagascar, notamment dans les environs de la capitale. Pour Antananarivo, le taux de concentration des particules fines PM 2.5 a franchi le seuil fixé par l’OMS, durant la première semaine du mois de novembre 2021. On a l’habitude de dénoncer des effets de la pollution atmosphérique sur l’appareil respiratoire mais, cette dernière peut toute aussi bien affecter la peau. La dermatologue, Sendrasoa Fandresena Harilala, déplore d’ailleurs l’augmentation des cas de patients atteints de la gale durant ces dernières semaines. Toutefois, des mesures préventives sont envisageables pour protéger la peau contre la pollution de l’air. Le médecin Ravalonandrasana Haja Rivonirina propose, par exemple, d’éviter le port des vêtements sombres qui peuvent stocker les microbes. De son côté, la docteure Volonirina Marie Thérèse se penche sur l’importance de prendre l’habitude de se laver quotidiennement.
Niakatra ny tahan’ny fahalotoan’ny rivotra teto Madagasikara indrindra ny teto andrenivohitra, hatramin’ny tabatapaky ny volana oktobra iny. Nahatratra avo efatra heny amin’ny fenitra napetrakin’ny sampandraharahan’ny firenena mikambana misahana ny fahasalamana izany fahalotoan’ny rivotra izany ny herinandro voalohany tamin’ity volana novambra ity. Raha aretin’ny fitaovam-pisefoana no vokadratsin’ny fahalotoan’ny rivotra voalaza matetika, efa hita amin’izao fa misy fiantraikany amin’ny hoditra ihany koa izany. Ny mpitsabo hoditra, Sendrasoa Fandresena Harilala izao dia milaza fa nahitana nirongatra ny aretin-koditra lagaly tato ato izay. Azo atao ny miaro ny hoditra amin’ny loto ateraky ny rivotra, mety hoe amin’ny fomba fitafy izany fa mety fahazarana mikarakara ny hoditra ihany koa hoy ny mpitsabo Ravalonandrasana Haja Rivonirina. Eo ihany ny fidiovana matetika sy ny fisotroana rano betsaka hoy ny mpitsabo Volonirina Marie Thérèse.
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Pour parler de démocratie aux enfants, il faut tout d’abord leur faire comprendre la définition de ce qu’est la démocratie. Selon la fondatrice de la start-up Karné et auteure du magazine « mon karné d’exploration », Ravaka Tahirimihamina, les enfants se réfèrent à la manifestation de rues quand on leur parle de démocratie. D’un côté, il faut également leur parler avec un langage que ces enfants comprennent. L’interaction est très importante également.
Mila hampahafantarina ireo ankizy aloha ny famaritana izany hoe demokrasia izany rehefa miresaka io lohahevitra io aminy. Araka ny nambaran’i Tahirimihamina Ravaka, mpanorina ny start-up Karné, nahatsikaritra izy ireo nandritra ny nananganany ny gazety boky « mon karné d’exploration » fa fidinana an-dalambe no ahafantaran’ny ankizy an’izany hoe demokrasia izany. Etsy an-daniny, mila fiteny tsotra sy mazava ary mora takatry ny ankizy rehefa miresaka izany aminy. Ary ny fifanakalozana dia tena zava-dehibe ihany koa.
5 jours pour éplucher le projet de loi de finances initiales (PLFI 2022). C’est le timing dont disposeront les parlementaires pour s’informer sur la teneur du document, avant de procéder au vote, prévu se tenir le 23 novembre prochain.
C’est ce jour, que la ministre de l’Economie et des finances, Rindra Hasimbelo Rabarinirinarison, présentera le PLFI 2022 aux députés, à Tsimbazaza, si le document complet a été mis à disposition du public, sur le site web du Ministère de l’Economie et des finances, hier.
Selon une source qui souhaite préserver son anonymat, « le projet de loi avait été remis au bureau permanent de la Chambre basse, le 29 octobre dernier », pourtant selon l’article 204 du règlement intérieur de l’assemblée nationale, « la deuxième session consacrée principalement à l’adoption de la Loi des Finances le troisième Mardi d’octobre », soit le 19 octobre.
« Les documents complétifs, à savoir les annexes, sont arrivés beaucoup plus tard. Cela ne reflète pas réellement le désir de se conformer aux bonnes pratiques internationales et éloigne de la bonne gouvernance, car pour une transparence efficiente, le PLF aurait dû être déposé en fin octobre, dernier délai. La redevabilité envers les citoyens et le droit à l’information sont malmenés », s’indigne notre source.
En effet, la lecture du programme du gouvernement par rapport à l’utilisation de l’argent public nécessite du temps. Selon l’article 92 de la Constitution, 30 jours sont accordés aux députés et 15 aux sénateurs, à la limite, pour examiner le texte.
Par ailleurs, prendre des décisions concernant les mouvements financiers de l’Etat n’est pas une mince affaire car les prélèvements à effectuer auprès des contribuables et les emprunts faits aux créanciers, ou les montants accordés par les partenaires techniques et financiers, nécessitent une répartition méticuleuse et transparente des recettes fiscales et douanières entre les institutions et les ministères étatiques.
