La moustiquaire est imbibée de produits anti-moustiques pour garantir son efficacité. Sa durée de vie peut atteindre jusqu’à 3 ans d’utilisation. Avant de l’installer, il faut d’abord la suspendre dans un endroit frais afin d’éliminer les particules poudreuses. Selon les explications du docteur Bezara Lucien, médecin à Antsiranana II, ces particules poudreuses peuvent provoquer des allergies ou des éternuements. La moustiquaire peut également se salir, à cause de la poussière notamment. Il est donc conseillé de la laver tous les 3 mois avec du savon solide non-parfumé, ensuite la faire sécher à l’air libre et loin des rayons du soleil.
La diminution des défenses immunitaires sont à l’origine des maladies hématologiques. Celles-ci sont caractérisées par l’empoisonnement du sang qui n’est pas toujours visible de l’extérieur. D’après le docteur Ntoezara Alain, médecin biologiste, seule une analyse en laboratoire peut déterminer la présence ou non d’une maladie hématologique.
Misy fanafody miaro amin’ny moka ireo lay fampiasantsika sasany. Raha tiana haharitra mandritra ny 3 taona izany ody moka izany, hahantona any amin’ny toerana mangatsiatsiaka aloha ilay lay vao ampiasaina. Nanazava ny dokotera Bezara Lucien avy ao Antsiranana II fa hanalana ireo ambina vovoka fanafody natao tamin’ilay lay no anton’izany, izay mety hitarika tsy fahazakana. Sasana amin’ny savony tsotra in-dray mandeha isan-telo volana kosa izy rehefa hanadio azy, ary atapy amin’ny toerana mangatsiaka tsy hitan’ny masoandro loatra.
Raha ny rà na lio maloto kosa no resahina, nanazava ny dokotera Ntoezara Alain, manampahaizana manokana momba ny biolojia, fa mety hihena ny hery fiarovana hita ao amin’ny rà na ahitana aretin’ny rà hafa ilay olona maloto rà. Amin’ny alalan’ny fanaovana fitiliana any amin’ny laboratoara ihany hahafahana mahafantatra izany.
Covid-19 : misoroka amin’ny fitomboan’ny tranga vaovao ny faritra Alaotra-Mangoro sy Atsinanana.
Vokatry ny orambe nifanesy : aiza avy ireo lalam-pirenena tapaka ?
Vakoka maneran-tany an’ny Unesco : tafiditra ao anaty lisitra koa ny fiangonan’Ambodifotatra ao Sainte Marie.
Taom-pamokarana 2021-2022: tokan-trano 50 000 any Atsimo no nomen’ny FAO masom-boly.
Covid-19 : l’Alaotra-Mangoro et l’Antsinanana anticipent la hausse des nouveaux cas.
Fortes pluies : le topo des routes nationales coupées.
Patrimoine Mondial de l’Unesco: l’église Ambodifotatra à Sainte Marie en lisse.
Saison agricole dans le Sud : le FAO distribute des semences à 50 000 foyers.
Alors que la pénurie d’eau s’intensifie à Antananarivo pour toucher de nouveaux quartiers, les porteurs d’eau sont plus que jamais sollicités. Qui sont ces hommes et femmes aux bidons jaunes ?
Dimanche aux environs de 20 heures. Lova, 37 ans, arpente les ruelles du quartier d’Anjanahary pour récupérer les bidons jaunes vides. Sur son chariot de bois, plus d’une cinquantaine de ces bidons sont soigneusement empilés. Il tire son attelage jusqu’à la borne fontaine d’Ambatomainty, le quartier voisin. Il y attendra que la borne s’ouvre. Vers 1 heure du matin. « Je serai pratiquement le premier. Nous sommes entre quatre et cinq à être là à l’ouverture du robinet », indique Lova. Lova, un enfant du quartier, a choisi depuis quelques années de se mettre au service des familles qui n’ont pas l’eau courante chez eux. Bien qu’il ait trouvé un travail comme agent de sécurité, il continue d’apporter de l’eau chez ses clients durant ses jours de off. « Je viens juste de rentrer du boulot. Une fois que mes bidons sont remplis, je vais les distribuer au petit matin, vers 5 heures », explique-t-il. Agent de sécurité et porteur d’eau. Les semaines de Lova sont rythmées par ces jours de off. « Généralement, je fais porteur d’eau trois fois par semaine. Des fois je suis tenté de faire plus mais mon organisme n’arriverait pas à suivre ». Avec les problèmes d’approvisionnement en eau de la Jirama, de nouvelles familles sollicitent ses services. Lova préfère cependant limiter ne nombre de ses clients. Pour ne pas se perdre dans l’amas de bidon, il ne se sépare jamais d’un marqueur pour indiquer le nom des propriétaires.
Horaires
Comme Lova, « Ra-Martin » est également porteur d’eau à Anjanahary à la différence qu’il a pratiquement le double de son âge, 66 ans. Ra-Martin, de son côté, ne récupère pas systématiquement les bidons jaunes. Il en a plusieurs dizaines qu’il remplit au niveau des bornes fontaines. Il est passé maitre dans le transvasement de l’eau de bidon jaune à bidon jaune. « Pas question de laisser mes bidons chez des gens car je ne pourrais pas les remplir à l’heure de l’ouverture des bornes », lance-t-il. Il faut savoir que les bornes fontaines ne sont pas ouvertes tout au long de la journée. Il y a des heures où elles sont fermées. La journée de Ra-Martin est ainsi rythmée par les horaires des bornes fontaines. « Je me couche vers 20 heures et je me réveille à 2 heures pour remplir les bidons. Je distribue l’eau durant la matinée avant de recharger ». Bien que Ra-Martin affiche un excellent état de santé, le poids des années commencent à se faire ressentir. Il y a encore un an, il pouvait porter deux bidons accrochés à son porte-seaux sur les épaules. Aujourd’hui, il pousse ses bidons sur sa brouette.
Avec les déboires de la Jirama, de nouvelles personnes se sont improvisées porteur d’eau dans le quartier. « Koné », une mère de famille dans la trentaine, fait partie de ces « opportunistes » de l’eau. Proposant généralement ses services pour la lessive, le ménage, le ramassage des gamins à l’école, elle a ajouté une corde à son arc : porteuse d’eau. Elle a en effet l’avantage d’habiter entre deux bornes fontaines. Remplissant les bidons la nuit, elle les distribue le matin. Néanmoins, certains nouveaux porteurs d’eau ont profité de la détresse des familles qui avaient l’habitude d’avoir l’eau courante pour les taxer au prix fort. 1500 ariary le bidon qui coute 500 ariary en temps normal. Ra-Martin a maintenu son prix malgré la crise de l’eau. Il a indiqué qu’au-delà du travail, il adore rendre service à ses clients dont certains ont jusqu’à son numéro de téléphone.
Tolotra Andrianalizah
Un cybercafé, qu’on a interviewé à Ambohipo, possède plusieurs offres tels que : partage de connexion, photocopie et impression, vente de gadgets informatiques, conception carterie, etc. Selon le propriétaire, cette activité est rentable si la clientèle est bien étudiée au préalable. La recette journalière s’élève jusqu’à 300 000 Ariary par jours dont 6 millions Ariary par mois minimum. Le propriétaire a investi 30 millions Ariary pour créer sa petite entreprise en 2014. La photocopie et impression rapportent le plus grand profit dans toute l’activité. Le Gérant de ce Cybercafé n’a pas suivi de formation spécialisée ni de formation en informatique mais il s’est débrouillé petit à petit.
Seha-pihariana mahavelona ny fanaovana Cybercafe izay nanaovana fanadihadiana eny Ambohipo. 6 tapitrisa Ariary no vola nananganan’izy ireo izany tamin’ny taona 2014. Maro ny tolotra hita toy ny fivarotana connexion, fanaovana saisie sy fanontana taratasy fanasana ary ny varotra kojakoja informatika sy ny sisa. Manodidina ny 300 000 Ariary isan’andro no vola miditra amin’izy ireo ka ny iray hetsy amin’izay no tombony. Ny mpianatra no mpanjifa voalohany ka ny « Photocopie » sy ny "impression » no mampidi-bola be indrindra. Tsy nianatra io asa io ny mpitantana fa nampiana-tena rehefa tao anatin’ilay asa.
Somary mafy ny taona voalohany ary tena sarotiny amin’ny resaka fanajana ny fitsipika mifehy araka ny fanazavana omen’i Mbolatiana, mpianatra taona voalohany ao amin’ny Tantara sy Jeografia. Ho an’i Tolotra kosa, mpianatra taona fahatelo ao amin’ny Tantara sy Jeografia ihany, nisafidy ny hianatra tao amin’ny ENS izy satria te hanao mpampianatra sady nitady fampianaran-kasa taorian’ny bakalorea.
« Les cours sont un peu rudes en première année et l’établissement est très ferme concernant la discipline», explique Mbolatiana, une étudiante en Histoire-Géographie à l’ENS. Quant à Tolotra, 3ème année en histoire-géographie, il a voulu suivre une formation professionnalisant après son baccalauréat. D’un côté, son rêve est de devenir enseignant. Il a choisi l’ENS pour cela.
Miteraka fikorontanana eo amin’ny fandevonan-kanina ny fiovan’ireo karazan-tsakafo ho hanina, indrindra mandritra ny fety. Tsy ny fiovan’ny karzan-tsakafo ihany no mahatonga ny fikorontanan’ny lalan-kanina ao anatintsika ao fa eo ihany koa ny fiovan’ny lera fisakafoana ohatra. Mety hiteraka olana eo amin’ny andavan’andron’ny olona iray anefa izany. Tokony hoe mijanona amin’ny ora mahazatra izany ny oran’ny fisakafoana mba tsy hisian’izay fikorontanana izay. Araka ny nambaran’ny dokotera Rabenjanahary Tovo, vao miditra ao am-bava dia efa manomboka izay fandevonana sakafo izay.
Le changement de régime alimentaire, notamment pendant les fêtes, peut entraîner des troubles digestifs. Le changement fréquent d’heure du repas provoque également ces troubles. Cela peut cause de vrais problèmes dans la vie quotidienne. Les heures de repas doivent être maintenues aux mêmes heures. Selon le Dr Tovo Rabenjanahary, la digestion commence dans la cavité buccale.
Selon la loi organique 2012-05 portant sur les élections à Madagascar, la révision des listes électorales débute chaque 1er décembre et se termine le 15 avril. Cette liste est disponible auprès de chaque fokontany. Une responsable auprès du fokontany d’Ambohitsorohitra et d’Ambatonakanga ambany nous explique leur stratégie afin d’inciter les citoyens à s’y inscrire.
Araky ny lalàna fehizoro laharana 2012-05 mifehy ny fifidianana ao amin’ny adininy faha 26, misokatra ny 1 desambra 2021 ary mifarana ny 15 aprily 2022 ny fandraisana sy fanavaozana ny lisi-pifidianana eto Madagasikara amin’ny taom-piasana 2021-2022. Manazava ireo olana hita tamin’ireo lisi-pifidianana teo aloha, ny endriky ny fanavaozana ny lisi-pifidianana sy ny taha-pahavitrian’ny mponina ny tompon’andraikitra eo anivon ‘ny fokontanin’ Ambohitsorohitra sy Ambatonakanga ambany.
Au lieu de percevoir 12 mois de salaire, certains employés d’entreprise reçoivent un 13ème mois de salaire à la fin de l’année. Ce salaire en plus est calculé en fonction de l’augmentation des chiffres d’affaires de l’entreprise durant toute l’année. Contrairement aux entreprises privées, les entreprises publiques ne perçoivent pas de 13ème mois car leurs salaires sont préalablement calculés et inscrits dans la loi de finance en début d’année, explique Patrick Randriamisata, économiste.
Fanaon’ny orinasa tsy miankina sasany rehefa faran’ny taona tahaka izao ny manome « 13ème mois» hoan’ny mpiasa. Isan’ny fepetra hahafahana manome izany ny fiakaran’ny tombony azon’ny orinasa nandritra ny taona iray. Matetika, tsy misitraka izany « 13ème mois » izany ireo mpiasam-panjakana satria efa voarakitra mialoha anaty ny lalàna mifehy ny tetibolam-panjakana ny karaman’izy ireo. Raha hisitraka izany izy ireo dia tsy maintsy soratana anaty ny lalàna mifehy ny tetibolam-panjakana izany, hoy ny mpahay toe-karena, Randriamisata Patrick.
Le rapport des travaux effectués, par rapport aux promesses annoncés lors des propagandes et les projets présidentiels, auprès des électeurs figure parmi la redevabilité que devront faire les élus. La transparence sur l’utilisation des fonds publics est également impérative dans la mise en place d’un Etat démocratique. Les élus peuvent également faire des bilans fin d’année afin d’évaluer l’atteinte des objectifs fixés et les projets à achever. Normalement une commission pour chaque département ou chaque projet est en charge de cette évaluation, selon les explications de Betsara Jean Kinnear, Coordinateur de la KMFCNOE de la Région Antsinanana.
Tamberina andraikitra ataon’ny olom-boafidy ny fanaovana tatitra
Tafiditra ao anatin’ny fampanjakana ny demokrasia ny fanaovan’ny olom-boafidy tatitra amin’ny vahoaka ny asa vitany mitaha amin’ny fampanantenana tamin’ny propagandy sy ny tetikasa. Tamberin’andraikitra ataon’ny mpitondra ihany ny fanaovana tatitra satria izy no nametrahan’ny vahoaka fitokisana ka mila mampahafantatra ny vahoaka ny asa vita sy ny vola lany tamin’izany. Afaka manao tombana ihany koa izy hamantarana ny asa vita sy ny mbola tratrarina. Misy ny komisiona miandraikitra ny tombana isaky ny sehatra iasaina ary ny tanjona napetraka sy ny tanjona tratra tao anatin’izany no mari-drefy hamantarana ny fahombiazan’ny mpitondra, araka ny fanazavan’i Betsara Jean Kinnear, mpandrindra ny KMFCNOE Faritra Antsinanana.
D’après les explications du coordinateur régional du KMF/CNOE, Betsara Jean Kinnear, le Premier Ministre est le chef du gouvernement, viennent ensuite les ministres et les autres fonctions rattachées auprès de la primature. De ce fait, un Secrétaire d’Etat, s’il est rattaché au Premier Ministre, est un membre du gouvernement au même rang qu’un ministre. Un vice-ministre est hiérarchiquement inférieur au ministre. Un ministre d’Etat se différencie du ministre par la portée honorifique de son titre. En effet, il peut être attribué à une personne influente ou à un chef de parti politique. Mais, il se trouve au même rang qu’un ministre.
Arakin’ny fanazavan’ny mpandrindram-mparitry ny KMF-CNOE, Betsara Jean Kinnear dia ny Praiminisitra no lehibe ny governemanta. Raha eo ambany fiadidian’ny Praiminisitra ny Secreteram-panjakana dia mitovy laharam-boninahitra amin’ny minisitra ihany. Mety hisahana andraikitra eo anivon’ny ministera koa anefa ny sekreteram-mpanjakana ary eo ambany fiahian’ny minisitra izy amin’izay. Ny vice-ministe kosa dia olona misahana andraikitra iray eo anivon’ny ministera. Eo ambany fiadidian’ny minisitra izany ny vice-ministre.
Vitsy an’isa ireo tanora no tena misehatra sy mahalala ny asa sy fihariana misokatra eo @ sehatrin’ny angovo sy ny fampanana rano. Noho izany indrindra no nanatanterahina ny hetsika “école d’été” teo an’ivon’ny oniversiten’I Fianarantsoa iarahany amin’ny AUF sy ny association Fianara Lab izy ity. Nomena fiofanana mahakasika ny PV solaire na angovo azo havaozina miainga avy amin’ny hazavan’ny masoandro ihany koa ireo izay nandray anjara tamin’ny hetsika. Nisy ihany koa ny fifaninana nandraisan’ireo tanora anjara miompana amin’izay resaka fampanana rano sy fampiasana angovo izay. Ny mpianatry ny oniversiten’I Fianarantsoa moa no tena niantefan’ity hetsika ity.
Peu de jeunes sont actifs et conscients des emplois et des moyens de subsistance ouverts dans les secteurs de l'énergie et de l'eau. C'est pourquoi l'école d'été de Fianarantsoa a été organisé. Il s'agit d'une initiative de l'Université de Fianarantsoa en collaboration avec l'AUF et l'association Fianara Lab. Les participants à l'événement ont également reçu une formation sur l'énergie solaire photovoltaïque ou l'énergie renouvelable à partir de la lumière solaire. Il y avait aussi des concours adressé aux jeunes qui se focalize l'utilisation de l'eau et de l'énergie. Les étudiants de l'Université de Fianarantsoa ont été la cible principale de cet événement.