Betioky Antsimo : 20 jeunes ont reçu une formation en BTP et construction.
Nosy Be : Retrait des voitures stationnant sur les trottoirs le 20 septembre et nettoyage des rues par la mairie le 21 septembre.
Antsohihy : Appel aux jeunes déscolarisés à suivre une formation qualifiante en artisanat, élevage et en agriculture par la direction régionale de l'enseignement technique et de la formation professionnelle.
Akon'ny fanadinana BEPC tao Antsiranana, Nosy Be sy Antsirabe.
Tanora 20 tany Betioky Atsimo no nahazo fiofanana momba ny tao-trano.
Nosy Be : Nalan'ny kaominina ambonivohitra ireo fiara mijanona teny amin'ny lalana omaly ary nosasana ny arabe.
Antsohihy : Miantso ireo tanora tsy mianatra intsony na tsy afa-manohy fianarana ny talem-paritry ny fampianarana teknika sy fanofanana arak'asa mba hanaraka fiofanana ho matihanina amin'ny asa tanana isan-karazany, ny fambolena sy ny fiompiana.
Madagascar n’a jamais connu de guerre comme certains pays d’Afrique subsaharienne malgré la menace du tribalisme souvent brandie, surtout à chaque crise politique. Ces quelques personnalités expliquent les raisons de cette situation selon leurs points de vue respectifs.
Pour le tangalamena Patrick Zakariasy, les questions de tribalisme sont purement politiques. « Lorsqu’on sort du cercle de la politique politicienne, on ne parle pas de tribalisme », lance-t-il. Le général à la retraite Désiré Ramakavelo est du même avis. « Il n’y a pas d’ethnies en guerre à Madagascar. Ce sont des personnes qui veulent des places qui nourrissent ce mythe », indique-t-il, en ajoutant que le tribalisme est un héritage des colons qui ont cultivé cela dans la tête des Malgaches.
Ne niant pas le fait que la politique véhicule souvent cette menace, le sénateur Alex Beranto lance que les politiciens qui en font leur cheval de bataille sont faibles. « Le tribalisme est l’arme des faibles », assène-t-il. Il estime toutefois que le développement dans le pays doit être équilibré. Le sénateur est aussi d’avis que l’équilibre doit se refléter dans le gouvernement. « Dire cela ne signifie pas être tribaliste », tempère-t-il toutefois. Quoi qu’il en soit, cet élu pense que Madagascar est à l’abri des guerres tribales car les Malgaches, d’après lui, sont de nature à toujours chercher le consensus. « Je ne pense pas qu’une guerre puisse éclater dans le pays », affirme-t-il. Patrick Zakariasy est du même avis en soulignant que tout se règle par les pourparlers à Madagascar.
Non-sens
Quoi qu’il en soit, même si Madagascar n’a pas connu de guerre, le pays ne cesse de sombrer dans la pauvreté. Dans les discussions, il n’est pas rare d’entendre des personnes qui pensent que l’île a besoin d’une « bonne guerre » pour se réveiller. Un non-sens pour le général Désiré Ramakavelo. « Les gens qui disent cela n’ont pas idée à quel point une guerre peut être terrible, souligne-t-il. C’est vrai qu’il y a l’exemple du Rwanda, mais pensez-vous que les Malgaches vont suivre la même trajectoire ? » Pour lui, le fléau du pays est la corruption. Une corruption qui, selon lui, gangrène la société.
Le 21 septembre est marqué par la journée internationale de la paix. Le thème cette année, c’est « façonner la paix ensemble ». Spécialement cette célébration est marquée par la bataille contre l’ennemi commun : le coronavirus. En mars dernier, le secrétaire général des Nations Unies, António Guterres a rappelé que « la furie avec laquelle s’abat le virus montre bien que se faire la guerre est une folie ».
La journée internationale de la paix est lancée pour assurer une non-violence et une trêve d'au moins 24 heures. Mais l’esprit du thème « façonner la paix ensemble » n’implique pas seulement les pays en guerre mais engage tout un chacun et notamment les jeunes. Dans un pays où il n’y a pas de guerre comme à Madagascar, les jeunes ont le devoir de s’impliquer dans la mise en place d’une solidarité dans tous les secteurs dans lesquels ils sont présents, selon Olivier Kambala, conseiller en développement et paix du Système des Nations-Unies.
Il faut aussi noter que cette journée internationale est consacrée à favoriser le dialogue et l’expression de tous, notamment des jeunes. Le fait de s’exprimer à travers différents canaux est un rôle important joué par les jeunes dans la mise en place d’une paix durable selon Brice Bussière, coordonnateur du Secrétariat technique du Fonds pour la consolidation de la paix à Madagascar.
La mise en place d’une paix durable tout en limitant ses expressions
Depuis quelques mois à Madagascar, il y a eu des arrestations pour diffusions de fake news,  diffamations, insultes et même pour troubles à l’ordre public sur le réseau social Facebook. Même si les jeunes sont appelés à s’exprimer afin de bâtir une paix durable, il faut le faire dans le respect et se rappeler que la liberté d’expression connaît des limites.
En fait, la liberté d’expression est un droit fondamental défini par la Déclaration universelle des droits de l'Homme de 1948. Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression. Mais ce n’est pas un droit absolu surtout lorsqu’il s’agit de protéger des intérêts fondamentaux, indique Olivier Kambala. Il rappelle qu’il ne faut pas utiliser la liberté d’expression pour diffuser de fausses nouvelles.
Cette année l’ONU célèbre son 75ème anniversaire et dans le cadre de cette célébration, le thème porte sur l’écoute et l’apprentissage. Des millions de personnes sont invitées à s’exprimer afin de bâtir un avenir pouvant se conjuguer avec une paix durable.
Les frustrations liées à la pauvreté incitent les parents à se ruer sur leurs enfants pour soulager leur stress quotidien, qu’il s’agisse de violence physique, psychologique ou émotionnelle. Dans le dernier cas, le traumatisme et les conséquences sur l’enfant pourraient être durables.
Quelles sont les différentes formes de violences émotionnelles ?
On qualifie de violence émotionnelle tout ce qui atteint, de près ou de loin, l’estime de soi chez un enfant. En principe, il s’agit de mots ou de gestes offensifs. Cela peut être des insultes dévalorisantes ou des comparatifs par rapport aux enfants des autres. « La violence émotionnelle est mille fois pire que la violence physique » indique la psychologue Holitiana Rajaonarivony. Elle d’affirmer que « la violence émotionnelle a des conséquences dévastatrices et destructrices d’un point de vue psychologique. Il en va même de la personnalité de l’enfant car ce dernier risque de perdre tout repère le concernant, sans compter les difficultés qu’il aura à se projeter dans le futur ».
Comment reconnaître un enfant victime de violence émotionnelle ?
Solofo Razafiarisoa, conseillère pédagogique dessine les traits distinctifs d’un enfant qui subit des violences émotionnelles. « Dans l’environnement scolaire, un enfant victime de violence émotionnel présente deux principaux caractères ». D’abord, il est renfermé, antisocial et a du mal à s’intégrer. De plus, il est violent envers les autres enfants et insolent envers son enseignant. Or, d’après les statistiques de l’UNICEF en 2018, 80% des enfants malgaches sont victimes de violence émotionnelle.
Dans les deux cas, les responsables pédagogiques se concertent immédiatement et convoquent les parents de l’enfant concerné afin d’éviter que les violences émotionnelles qu’il subit dans son environnement familial n’affectent ni ses performances ni ses résultats scolaires, souligne toujours cette conseillère pédagogique.
Les nouvelles mesures pour les 15 prochains jours d’état d’urgence sanitaire.
Les astuces pour aider les étudiants à passer les examens.
Evénementiel : reprise des réservations et des célébrations de mariage post-covid19 en cours.
Antsirabe Photographer : un workshop sur les techniques d’éclairage.
Comment faire aimer l’école à un enfant entrant en maternelle ?
Ireo fepetra vaovao noraisina ho an’ny 15 andro manaraka.
Nampihena ny tsy fandriam-pahalemana tany amin’ ny distrikan’ i Betroka ny fampiofanana nomena ireo tanora.
Famaritanan’ ny tanoran’I Fianarantsoa ny atao hoe fandriamapahalemana?
Inona avy ireo karazana herisetra ara-pihetsempo mihatra amin’ny ankizy ?
La création d’emplois et les formations contribuent à la consolidation de la paix et la population de district de Betroka l’a compris, on écoute les explications du délégué de la communication et de la culture dans le district de Betroka, Fulgence Razafy, . Les entreprises sociales ont elles aussi des rôles à jouer dans le maintien de la paix. Mandresy Randriamiharisoa, directeur général de Nutri’zaza, nous fait part de leur succès dans Ketrika sy Kandra. Chaque citoyen a un rôle à jouer dans la consolidation et le maintien de la paix.
Anisan’ny miady amin’ny tsy fandriampahalemana sy ny fanamafisan’orina ny filaminana ny famoronana sy ny fanomezana asa ho an’ny tanora ary tena nahatsapa izany ny mponina any Betroka, araka ny fanazavan’i Razafy Fulgence, delegen’ny serasera sy ny kolontsaina any amin’ny distrikan’i Betroka. Manana anjara asa lehibe eo amin’ny fitandroana ny filamanana ihany koa ny orin’asa sosialy, i Randriamiharisoa Mandresy, talen’ny Nutri’zaza no hilalaza amintsika mahakasika izay orin’asa izay.
« Bombage » est un terme spécifique utilisé par les jeunes de Tamatave. Un objet ou un matériel est qualifié « Bombage » quand il est de mauvaise qualité. Florent Ulrick Raharinirina, membre de HERO, une association des jeunes de Tamatave qui œuvre pour le développement local, donne plus d’explications.
Fitenin-jatovo ao Toamasina ny « bombage ». Rehefa tojo zavatra ratsy na nahazo fitaovana ratsy dia atao hoe bombage ilay izy. Manome fanazavana momba izay i Raharinirina Florent Ulrick, mpikambana ao amin’ny fikambanan’ny tanora ao Toamasina, miasa hoan’ny fampandrosoana ifotony na Hery hoentina handravana ny olan’ny sarambabem-bahoaka (HERO).
« Telle personne a été mise au violon après avoir été ou prise en flagrant délit », voilà une expression que nous entendons très souvent à Madagascar. Cette expression remonte pourtant au 13e siècle et n’est plus utilisée dans le système judiciaire actuel. Le « violon » désignait à l’époque une prison provisoire proche d’un poste de police. Harnelle Rakotobe, juriste, nous explique ce que cela veut dire dans le contexte actuel.
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Studio Sifaka : Pouvez-vous nous expliquer ce que cela implique d’être « mis au violon » de nos jours ?
Harnelle Rakotobe : Même si l’expression « Mettre au violon » est très utilisée par la population ou même par les policiers, elle n’existe pas dans les textes et règlementation en vigueur. C’est plutôt l’équivalent de « mise en garde à vue » ou le fait de retenir une personne dans une cellule d’un poste de police ou d’un poste avancé de la gendarmerie.
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Pour quelles raisons une personne pourrait-elle être mise en garde à vue ?
Il y a trois possibilités. Soit la personne a été prise en flagrant délit (pour vol, escroquerie, corruption, etc.), soit c’est pour ne pas s’être munie de papiers d’identité lors d’une sortie nocturne, ou encore pour avoir désobéi aux consignes des autorités (refus du port du masque, par exemple).
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Quel est l’objectif de la mise en garde à vue d’une personne ?
Tout d’abord, c’est pour mettre fin au délit. Mais cela permet aussi d’enquêter sur la personne et de s’assurer qu’elle comparaîtra devant le tribunal. C’est aussi pour éviter que la personne fasse pression sur la victime ou d’éventuels témoins ou encore qu’elle communique avec des complices.
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Quelle est la différence entre la mise en garde à vue et les autres formes de détention ?
Eh bien, la garde à vue est la première étape des autres formes de détention. Mais elle est facultative. Ensuite, il y a l’endroit : la personne est détenue au poste de police ou de la gendarmerie et non dans une maison de correction ou dans une prison. Enfin, la durée de la détention est limitée : 48 heures à quatre jours maximum avec l’accord des responsables du tribunal.
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Et quels sont les aboutissements possibles à la fin de la garde à vue ?
Si c’est pour avoir désobéi à une consigne des autorités, la personne est relâchée au bout des 48 heures. Sinon cela dépend de l’enquête : s’il s’avère que la personne est innocente, elle est relâchée. Dans le cas contraire, elle est déférée au parquet. Ce sera alors au procureur de décider si elle doit être relâchée, mise en liberté provisoire ou sous mandat de dépôt. Â
Vous devenez un cas contact de la covid-19, si vous avez partagé le même lieu de vie qu'un cas confirmé ou probable. Il en est de même si vous avez eu un contact direct avec un cas, en face à face, à moins d'1 mètre, quelle que soit la durée.
C’est aussi le cas si vous partagez un espace confiné, comme un bureau, une chambre, un véhicule, pendant au moins 15 minutes avec un cas ou si vous êtes resté en face à face avec un cas durant plusieurs épisodes de toux ou d'éternuements.
Plus précisément, un cas contact, c'est une personne qui n'a pas respecté les mesures de protection sanitaires efficaces.
En revanche, des personnes croisées dans l'espace public de manière fugace, comme dans la rue, ne sont pas considérées comme des personnes-contacts à risques.
Inona tsara moa izany hoe tranga azo avy amin'ny fifampikasohana izany ?
Raha niaraka tamina olona voamarina fa misy tsimokaretina coronavirus ianao na ahiana, tanatina toerana iray, na nifanerasera mivantana taminy, izany hoe nifanatrika taminy amin'ny halavirana latsaky ny 1 metatra, na hafiriana na hafiriana.
Na koa, niaraka taminy tao anatina toerana mihiboka iray, ohatra hoe birao na efitrano na fiara, nandritra ny 15 minitra fara fahakeliny na nijanona nanoloana azy nandritra ny fotoana nihevonany na nikohafany, lasa tranga azo tamin'ny fifampikasohana ianao izay !
Ny marimarina kokoa, olona tsy nanaja ireo fepetra fiarovana ny fahasalamana no mety iharan'ny hoe tranga azo avy amin'ny fifampikasohana.
Tsy azo lazaina ho olona mpamindra sy ahiana hamindra anefa ireo olona ireo raha mifanena aminao fotsiny eny an-dalambe.
La journée internationale de la paix revêt une célébration particulière cette année, marquée par la pandémie de covid-19. A cette occasion, le secrétaire général (SG) des Nations Unies, António Guterres, lance un appel dans l’esprit du thème choisi qui est : « Façonnons la paix ensemble ».
En fait, le SG a réitéré son message de mars à l’endroit des belligérants du monde pour qu’ils déposent les armes et Å“uvrent pour l’harmonie. « Alors que la pandémie de covid-19 continue de provoquer des ravages à travers le monde, cet appel est plus important que jamais », affirme António Guterres, rappelant l’ennemi commun auquel toutes les Nations doivent faire face. « Un virus mortel qui provoque d’indicibles souffrances, détruit les moyens de subsistance, contribue aux tensions internationales et exacerbe les menaces préexistantes redoutables qui pèsent sur la paix et la sécurité ».Â
75ème session
Dans l’esprit du thème choisi cette année, l’Organisation des Nations Unies invite le public à prendre part à une conversation menée à l’échelle mondiale sur les moyens de façonner l’avenir et la paix. António Guterres souligne que, malgré la distanciation physique, les peuples doivent rester unis pour la paix. La 75ème session de l’Assemblée générale se tient d’ailleurs actuellement à New York sous le signe du virtuel, selon les normes covidiennes. Il est possible de suivre les séances sur le site gadebate.un.org. « Ensemble, je sais que nous pouvons et que nous allons construire un monde plus juste, plus durable et plus équitable », conclut le secrétaire général.
21 septembre, date à laquelle on célèbre et on marque, tous les ans, la journée internationale de la paix. Il s’agit tout simplement de renforcer et de rappeler les idéaux relatifs à l’instauration de la paix dans le monde et au sein de toutes les nations. Cette année 2020, cette journée est particulièrement mémorable tenant compte des troubles causées par la crise sanitaire. Les jeunes accordent une très rare importance à la paix, notamment dans les pays en voie de développement comme le nôtre où réussir sa vie et faire face à la pauvreté est la principale préoccupation de tous.
21 septambra, andro iraisam-pirenena ho an’ny fandriam-pahalemana. Marihina maneran-tany izy io mba hanamfisana sy hampahatsiavana ireo hevi-dehibe mifandraika amin’ny fampandriam-pahalemana eo anivon’ny firenen-drehetra. Somary miavaka izy io amin’ity taona 2020 ity noho ireo disadisa sy olana nateraky ny krizy ara-pahasalamana lehibe vokatry ny valan’aretina Covid 19. Tsikaritra fa tsy dia manan-danja firy amin’ny tanora ihany koa ny fampandriam-pahalemana indrindra aty amin’ny firenena an-dalam-pandrosoana toa an’i Madagasikara satria mibahan-toerana loatra ny ady amin’ny fahantrana.
La « paix » est, par définition, l’absence de conflits. Ainsi, il n’y a pas forcément besoin de guerre pour parler de promotion paix. A Madagascar par exemple, il n’y a ni guerre civile ni conflits apparents avec des pays voisins ou autres. Mais les conflits sociaux, eux, existent bel et bien. A quoi ressemble alors l’activisme pour la consolidation de la paix à Madagascar ? Voici quelques exemples.
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Un meilleur environnement socio-économique pour une vie plus paisible
« La paix est une condition indispensable pour l’épanouissement de chaque individu », affirme Ranto Andrianarison, Chief executive officer de l’ONG Youth First. Pour cette organisation qui œuvre pour la sécurité des jeunes sur la toile, militer pour la paix, c’est non seulement lutter contre toutes les formes de violence en ligne mais aussi aider et permettre à leurs cibles de se construire un meilleur futur loin de la précarité socio-économique. « Nous protégeons les jeunes des dangers sur internet d’un côté, mais nous renforçons également leurs savoirs et compétences pour qu’ils puissent s’épanouir et vivre en paix, de l’autre », explique Ranto.
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Non à la discrimination, oui à la diversité !
De son côté, Hajaniaina Rafanomezantsoa, fondateur de You Free Madagascar indique que la discrimination est le pire ennemi de la paix à Madagascar. Les conflits socio-culturels ne sautent pas aux yeux mais sont encore plus toxiques. Comme le dit le proverbe italien « la paix simulée nuit plus que la guerre ouverte ». Nous n’en discutons pas beaucoup au sein de la société, mais la population malgache a du mal à accepter la diversité, affirme Hajaniaina Rafanomezantsoa. Que ce soit d’ordre religieux, ethnique, de couleur de peau, etc. Chaque peuple a tendance à repousser ceux qui sont différents de lui. Ainsi, You Free Madagascar lutte pour que la diversité soit reconnue comme une richesse plutôt qu’une source de conflits.