À l’origine, la durée de conservation des flacons du vaccin Pfizer était de 6 mois, à une température comprise entre – 60°C et – 90°C. Mais elle a été prolongée de trois mois, sous recommandation de l’agence européenne du médicament en septembre 2021. Il peut donc se conserver jusqu’à 9 mois actuellement.
Pour Moderna, le flacon non ouvert peut être conservé au réfrigérateur entre 2 et 8 °C, à l'abri de la lumière, pendant 30 jours au maximum. Mais pour assurer une conservation jusqu’à six mois, la température doit être maintenue à -20°C, selon le fabricant.
Quant à l’AstraZeneca, il peut être conservé, transporté et manipulé pendant au moins six mois, avec une température comprise entre 2 et 8 °C. Et enfin, le vaccin Janssen peut rester stable pendant deux ans à -20 °C et au moins trois mois entre 2 et 8 °C, affirme le fabricant.
Et pour tous ces vaccins, une fois le flacon ouvert, il doit être utilisé dans les 6 prochaines heures.
Covid-19 : hafiriana no azo tahirizina ireo vaksiny miady amin’ny covid-19 ?
Tamin’ny voalohany, enim-bolana no fotoana fitahirizana ny vaksiny Pfizer ao anaty maripana eo anelanelan’ny 60°C sy 90°C ambanin’ny 0. Nampitomboina 3 volana iofe-potoana io taorian’ny sosokevitra nomen'ny Agence Européene du Médicament tamin’ny septambra 2021. Izany hoe mety ampiasaina hatramin'ny 9 volana izany izy amin’izao fotoana izao.
Ho an’ny Moderna, azo tahirizina anaty vata fampangatsiahana, tsy hitan’ny hazavana, eo anelanelan’ny 2 sy 8°C ny tavoahangy kely misy ny vaksiny, mandritra ny 30 andro fara fahabetsany.
Ny Astra Zeneca indray, azo tahirizina sy afindrafindra toerana ao anatin’ny enim-bolana fara fahakeliny, ao anatin'ny maripana 2 hatramin’ny 8°C hatrany.
Ny vaksiny Jenssen kosa dia azo tahirizana hatramin’ny 2 taona anatin’ny maripana 20°c latsaky ny 0 - ary 3 volana fara fahakeliny ao anaty maripana anelanelan’ny 2 sy 8°C hoy ireo mpanamboatra azy.
Ho an’ireto vaksiny rehetra ireto anefa, rehefa nisokatra ny tavoahangy nisy azy dia tsy maintsy ampiasaina ao anatin’ny 6 ora aorian’ny nanokafana ny fitoerany izy.
Le jus de canne à sucre dans les rues d’Analakely se vend à 500 ariary le verre. Rodin, un des vendeurs, s’est procuré sa machine de seconde main chez un ancien propriétaire, à un prix plus raisonnable que dans les magasins Karana, dit-il. Certains vendeurs louent le matériel à 4000 ariary la journée et font une dépense supplémentaire pour acheter les autres ingrédients comme le citron ou gingembre. Ils s’approvisionnent en canne à sucre du côté de Alakamisy Fenoarivo ou Imerintsiatosika. Selon les saisons, ils peuvent gagner entre 15 000ariary à 30 000 ariary dans la journée.
La pâtisserie en ligne prend progressivement sa place grâce à l’existence des groupes de partage de bons plans culinaires sur les réseaux sociaux. Un business rentable, selon Maradonna qui s’est lancé dans ce milieu depuis 2020. Il reçoit au minimum deux commandes par jour et voit son chiffre d’affaires doubler pendant le weekend et en période de fête. De son côté, les boutiques de pâtisserie ne chôment pas non plus grâce à une fidèle clientèle qui s’est construite. La hausse du prix des ingrédients reste le plus gros défi des entrepreneurs dans ce domaine.
Asa tsy mbola betsaka mpanao nefa efa nisy ampolo taonany ny fivarotana ranona fary mandehandeha. Misy milina manokana ipotserana ny fary, tsy mbola vita eto an-toerana izy io fa vidina eny amin’ny tsenam-barotra karà na. Ny an’i Rodin kosa, izay mpivarotra ranona fary nanaovanay fanadihadiana, dia novidiany tamina teratany vahiny iray nanao ity asa ity teto amintsika. Raha eto Antananarivo, dia eny Analakely no tena ahitana mpivarotra ranona fary. Any alakamisy Fenoarivo na Imerintsiatosika izy ireo no maka fary rehefa ririnina. Atao sakafon’omby ny faikam-pary avy eo na ariana. 500 Ar no amarotan’izy ireo ny iray vera, izay ahazoany manodidina ny 15000 Ar isanandro eo. Manasitrana kohaka sy manamafy ny hery fiarovana ny fary.
Rehefa andro fety no betsaka mpanjifa ny mofomamy. Misy ireo mahalany tanteraka ny entana amidiny rehefa andavanandro, fa ao koa ireo tsy mahalafo firy noho ny tsy fahafaha-mividin’ny mpanjifa. Miaka-bidy koa ireo akora hanamboarana mofomamy, ka voatery mampiaka-bidy ny mpivarotra, hoy I Fidy sy Mami, mitantana toeram-pivarotana mofomamy. Raha ny mpivarotra mofomamy amin’ny tambazotra indray na ilay atao hoe en ligne, dia mandray kaomandy roa isanandro eo i Maradonna, izay tafaresaka taminay. Mitombo avo roa heny izany rehefa faran’ny herinandro. Ho arahantsika ato anaty fandaharana ketrika sy kandra ny mahakasika izay.
PASCOMA ou l'Office National de Prévention des Accidents Scolaires est responsable de l'assurance des accidents scolaires à Madagascar. La cotisation annuelle est de 200 ariary par élève. Selon Razafinandrasana Florina, responsable de l'assurance scolaire chez CISCO Anatananarivo Renivohitra, toutes les écoles publiques devraient souscrire à ce service, dès le préscolaire au lycée. Les écoles privées, en revanche, ont libre choix de s’adresser à la compagnie d’assurance qui lui convient. Selon le responsable, PASCOMA assure les élèves au moment où ils quittent leur maison pour rejoindre l’école, pendant toutes les activités scolaires et pendant les sorties scolaires, telles les classes vertes. Dans le cas d'un accident à l'école, le responsable de l'école doit aviser la compagnie d'assurance. Celle-ci rembourse ensuite les frais de médicaux et la prise en charge de l’élève, avancés soit par les parents soit par l’école elle-même.
Ny PASCOMA na Office Nationale de la Prévention des Accidents Scolaire no miandraikitra ny fiantohana ny loza mitranga any an-tsekoly eto Madagasikara. 200 ariary isan-taona no latsakemboka aloan’ny mpianatra tsirairay amin’izany. Araka ny fanazavana nomen’ny tompon’andraikitra ho an’ny fiantohana ho an’ny sekoly ao amin’ny CISCO Antananarivo Renivohitra, Razafinandrasana Florina, tsy maintsy manao fiantohana ny loza mitranga any an-tsekoly ireo sekolim-panjakana rehetra, ny mpianatra madinika hatramin’ny lisea. Manan-tsafidy kosa ireo sekoly tsy miankina amin’izay trano fiantohana hatoniny. Araka ny fanazavany ity tompon’andraikitra ity hatrany, miantoka ireo ankizy vao miala any an-tranony hatrany am-pianarana, mandritra ireo taranja rehetra atao ao am-pianarana ny PASCOMA. Izany dia atao mandritra ny taom-pianarana iray manontolo. Toy izany ihany koa rehefa mivoaka manao kilasy maitso. Tsy maintsy mampahafantatra ireo mpianatra rehetra misoratra aminy ny sekoly sy mandoa ny latsakemboka mba hahazoany izany fiantohana izany. Raha sanatria misy loza mitranga noho izany any an-tsekoly dia tsy maintsy mampandre ny trano fiantohana ny tompon’andraikitry ny sekoly. Afaka mitsabo ny ray aman-dreny na ny sekoly. Alefa any amin’ny trano fiantohana ny atotan-taratasy avy eo dia miverina ny vola.
Enième constat du marasme économique à Madagascar, cette fois de la part de l’économiste en chef de la Banque mondiale pour la zone Afrique Albert Zeufack. Il appelle à un consensus pour la croissance.
En visite à Madagascar, l’économiste en chef de la Banque mondiale pour la zone Afrique Albert Zeufack a conclu une journée marathon par une conférence-débat à la chambre de commerce et d’industrie d’Antananarivo en début de soirée hier. Il s’est exprimé devant un parterre d’intellectuels – essentiellement des économistes – et d’opérateurs économiques, livrant un constat implacable de la situation qui prévaut dans le pays. La pauvreté à Madagascar stagne alors que dans les autres pays africains, elle régresse, indique-t-il. Si le taux de pauvreté moyen dans la zone subsaharienne est de 40%, il se situe encore à plus de 70% dans la Grande île. Pour lui, la principale cause est la faiblesse de la croissance dans le pays avec une moyenne de 2% au cours des soixante dernières années contre une croissance démographique de 3%.
Consensus pour la croissance
Albert Zeufack est d’avis que les Malgaches doivent prendre conscience de cette réalité et de refuser la pauvreté. « La situation de Madagascar est sérieuse », lance-t-il sur un ton plus grave. Il appelle ainsi à « un consensus pour la croissance » car elle ne peut être qu’endogène pour permettre un réel développement. Il souligne par ailleurs que si on ne peut pas nier les impacts récents de la COVID-19, ce qui se passe à Madagascar est plus structurel. Il indique que le développement est un processus conditionné par des « réformes soutenus et profonds ». Dans ce sens, il a annoncé que la Banque mondiale est en train de faire un diagnostic de l’appui que l’institution propose au pays dans le but juste de le rendre plus efficace. Un document allant dans ce sens devrait être publié d’ici le mois du juin selon une source auprès du bureau pays.
Tolotra Andrianalizah
Une étude récente a été réalisée, entre le 26 août 2021 et le 22 janvier 2022, pour déterminer la durabilité de la protection après trois doses de vaccins. Il est important de souligner qu’elle a été faite dans les services d’urgences de 14 centres médicaux américains dans 10 Etats différents.
Résultat : la protection conférée par la 3e dose serait plus élevée que celle obtenue avec deux doses de vaccin, contre les formes symptomatiques et graves du Covid-19. L’efficacité est de 87% contre les visites aux urgences et 91% contre l’hospitalisation dans les deux mois qui suivent l’injection, rapporte le magazine Futura.
Quatre mois après la dose de rappel, l’immunité baisse à 66% et 78% respectivement. On estime que le taux d’efficacité serait nettement supérieur chez les personnes asymptomatiques ou avec des symptômes légers.
Covid-19 : maharitra hafiriana ny hery fiarovana omen’ny fatra fanampiny amin’ny vaksiny ?
Nisy fikarohana natao teo anelanelan’ny 26 aogositra 2021 sy 22 janoary 2022 hijerena ny faharetan’ny fiarovana aorian’ny fanaovana fatra fahatelo amin’ny vaksiny. Marihina fa natao tao amin’ny sampana vonjimaika miisa 14 tamina ivon-toeram-potsaboana manerana firenena 10 tao Etazonia izy ity.
Vokany : ambony kokoa ny taham-piarovana omen’ny fatra faha-3, manoloana ny tranga atahorana amin’ny Covid-19, miohatra ny fatra 2 voalohany. Araka ny nambaran’ny gazetiboky Futura , dia 91% sy 87% ny tahan’ny fiarovana entiny amin’ny fampidirina hopitaly sy fampidirina ao amin’ny sampana vonjimaika, 2 volana taorian’ny fanindromana.
Efa-bolana aty aorian’ny fatra fanampiny, midina ho 66% sy 78% avy ny taham-piarovana amin’ireo tranga atahorana roa ireo, izay nanaovana fikarohana. Heverina fa ambony kokoa izany taha izany any amin’ny olona tsy misy soritraretina na maneho soritraretina maivana.
Studio Sifaka invite les jeunes de moins de 35ans à rejoindre le club d’auditeurs « Fans Club Studio Sifaka » dans les 22 régions couvertes par le réseau de radios partenaires. L’inscription se fait auprès de la station radio qui diffuse le programme Feon’ny Tanora Maroloko dans chaque localité, jusqu’au 6 mars 2022. Les jeunes membres vont se regrouper régulièrement, pour écouter ensemble et discuter du contenu des programmes du Studio Sifaka, explique le coordinateur de partenariat au Studio Sifaka, Dinarisolo Sylvain.
Miroso amin’ny fananganana ny Fans Club ny Studio Sifaka hanasana ireo tanora latsaky ny 35 taona. Tanjona ny hanatonana bebe kokoa ny mpihaino indrindra fa ny tanora mba ahafahana mamantatra ny fomba fijeriny mikasika ireo fandaharana vokarina. Hitondra ny heviny amin’ny hanatsarana ny fandaharana ihany koa izy ireo. Afaka mirotsaka amin’izany avokoa ny tanora avy amin’ny Faritra 22 izay handrenesana ny fandaharan’ny « Feon’ny Tanora Maroloko ». Ny talata 22 Febroary ka hatramin’ny 06 martsa 2022 no ahafahana misoratra anarana amin’izany, araka ny fampahafantarana ataon’i Dinarisolo Sylvain, mpandrindra ny fiaraha-miasa eo anivon’ny Studio SIFAKA.
Les décorations florales à effet naturel font leur retour dans le milieu évènementiel. Elles peuvent être conservées et réutilisées à souhait, contrairement aux fleurs naturelles. Toutefois les matières premières pour leur fabrication sont encore à importer. Deux femmes travaillant dans le domaine de la décoration nous dirons un peu plus sur ce métier.
Le lapin géant des Flandres est une race importée, mais qui est en train de se répandre à Madagascar. Cet animal domestique venant de Belgique peut atteindre les 10 kg, avec de longues oreilles d’à peu près 20 cm. Il peut vivre sans difficulté avec d’autres espèces. Son prix élevé est dû à sa spécificité et à son alimentation de grande quantité. Écoutons un de ses éleveurs dans cette émission.
Ny fanaingoana amin’ny alalan’ny voninkazo miendrika natoraly na fleurs à effet naturel dia sehatr’asa niroborobo vao tsy ela. Noho izy azo tehirizana fotoana lava no tena mahasarika ny mpanjifa aminy, na olontsotra na tompon-danonana samihafa. Tsy mbola vita eto an-toerana kosa ny akora fototra hanamboarana azy, fa manafatra ireo mpivarotra, na koa mividy.
Mora mitombo taranaka ny bitro ary mora amidy koa. Ny fiompiana ireny bitro lehibe ireny dia tsy dia miavaka amin’ny fiompiana bitro toy ny efa fahita mahazatra, nefa kosa lafo izy noho ny sakafo manatombo izay hoaniny, ary indrindra noho izy karazana manokana. Avy any Belgique izao ohatra ny lapin géant des flandres, ary efa manomboka miparitaka izy io eto amintsika. Mpiompy bitro lehibe iray no andeha henointsika.