Afaka mangataka famatsiam-bola amin’ny ratsamangaikan’ny ministeran’ny fambolena sy ny fiompiana ireo tantsaha maniry ny ahazo izany. Tsy maintsy fiofanana na fotodrafitr’asa na fitaovana hanatsarana ny fambolena sy ny fiompiana anefa no angatahina raha ny fanazavan’ny talen’ny tahirimbola ho an’ny fampandrosoana ny fambolena sy ny fiompinana ary ny jono na ny FDA faritra Ihorombe, Hamed Moinjee. Ka ho an’ireo mikasa ny hanao izany, ilaina miaraka amin’ny taratasy fangatahina ny statut na sata ifampifehezan’ilay fikambanana tantsaha. Eo ihany koa ny isan’ny mpikambana ary ny mikasika izay zavatra angatahina. Ny 95 isan-jaton’ny vola no iatohan’ny FDA raha fiofahana ny angatahina ary 90 isan-jato kosa raha fitaovana na fotodrafitrasa. Tsy averina ireo vola ireo. Marihina fa maharitra 1 ka hatramin’ny 3 volana ny famaliana ny fangatahina.
Toute association d’agriculteurs et de paysans peut effectuer une demande de financements auprès du ministère de l'agriculture et de l'élevage. Cependant, de réels besoins en termes de formation, d’infrastructures et d'équipements sont nécessaires pour améliorer les secteurs de l'agriculture, de l'élevage et de la pêche, selon Hamed Moinjee, directeur du Fonds de développement agricole (FDA) de Ihorombe. Pour les associations d’agriculteurs intéressées, le statut ou les règles qui régissent la structure demanderesse sont requis avec le formulaire de demande. Le dossier doit également inclure le nombre des membres ainsi que les détails du projet. Le FDA assure 95% du montant si le projet concerne une formation sur l’agriculture, l’élevage ou la pêche. Côté équipements ou infrastructures, la subvention sera allouée à hauteur de 90%. Notez qu'il faut un à trois mois au ministère pour répondre à une demande.
Pour le commun des mortels, les disciplines chirurgicales forcent toujours le respect quelque part. La neurochirurgie encore plus. Madagascar compte actuellement 14 neurochirurgiens. L’un d’entre eux, le Dr Rivo Rafidimalala, travaillant au CHU Morafeno, à Toamasina nous parle de ce métier qu’il exerce par vocation.
Studio Sifaka : Au total, il faut combien d’années d’études pour être neurochirurgien ?
Dr Rivo Rafidimalala : Il faut 13 ans d’études au total, dont 8 ans de médecine générale et 5 ans de spécialisation.
Quel est votre parcours ?
J’étais à la Faculté de Médecine d’Antananarivo puis j’ai poursuivi à la faculté de médecine de Paris Descartes.
Lorsqu’on réussit au concours d’interne qualifiant, y-a-t-il de l’argent à payer pour pouvoir continuer la formation ?
Non, il n’y a rien à payer. Au contraire, après le concours on perçoit mensuellement un présalaire.
Avez-vous toujours voulu être neurochirurgien ou est-ce que cela vous-est venu au fil du temps ?
Au fond de moi, quand j’ai commencé la médecine, je voulais être neurochirurgien. Mais quand j’ai su qu’il n’y avait qu’un poste tous les 4 ans, je ne pensais pas que cela allait tomber sur mon tour. En tout cas, j’ai toujours voulu devenir chirurgien.
Quelles qualités faut-il pour être neurochirurgien ?
Je dirais, être calme et méticuleux et avoir beaucoup de sang-froid. Mais comme on le dit si bien, « un bon chirurgien est un bon médecin qui sait opérer ».
Est-ce que le nombre de neurochirurgiens à Madagascar est suffisant ?
Non, le nombre de neurochirurgiens à Madagascar est faible. Au total nous sommes 14 dont 3 professeurs. Mais, il y en a 9 en cours de spécialisation.
Quel âge a le plus jeune ?
Le plus jeune a 30 ans. Je suis le second plus jeune de l’effectif. J’en ai 33.
Combien d’interventions faites-vous par semaine en moyenne ?
En général, quand le scanner était encore opérationnel sur Tamatave, on faisait 2 à 3 interventions chirurgicales.
Comment avez-vous vécu votre première intervention ?
Stressante ! Très stressante. C’était à l’âge de 24 ans en 2012. Mais en chirurgie, on vous donne la main petit-à-petit. Au début, on s’occupe de la fermeture, puis après de l’ouverture et ainsi de suite en commençant par les pathologies dites « de routine ». Mais jusqu'à maintenant, je stresse toujours avant une intervention chirurgicale.
Avez-vous une routine qui vous est propre avant une intervention ?
Pas spécialement. En tout cas je prie avant d’entrer dans le bloc et même pendant l’opération. Cela m’aide beaucoup à me calmer et me donne plus d’assurance.
Comment vivez-vous les moments d’échec ? Est-ce que dans votre formation, on vous apprend à surmonter des interventions qui se passent mal ?
C’est très difficile. Il y a beaucoup de remise en question. Durant la formation, on nous apprend surtout à bien expliquer aux patients le « tenant et aboutissant » de toute intervention chirurgicale. En effet, « il n’y a jamais d’intervention chirurgicale sans risque et il n’y a pas de petite intervention chirurgicale ».
Qu’est-ce que vous aimez dans votre métier ?
Je suis avant tout médecin. J’aime sauver des vies. C’est une vocation pour moi.
Propos recueillis par Tolotra Andrianalizah
89 lavitrisa ny tavoahangy plastika vokarina eran-tany, ary 10 taonina isan- tsegondra ny vokatra plastika vokarina manerana an’izao tontolo izao. Misy amin’izy ireny no mivadika fako. Mbola misy ny afaka averina ampiasaina sy azo ahodina. Ho an’iI Razily, mpanangona sachet, dia fidiram-bola ho azy ny fisian’izy ireny. Izay azahoany 60.000 ariary isan-kerinandro. Anisan’ireo fidiram-bola ihany koa ny fanangonana tavoahangy efa avy nampiasaina. Manodidina ny ariary zato eo ny iray amin’izy ireny raha toa ka mbola tsara kalitao.
89 milliards de bouteilles plastiques sont produites dans le monde, à raison de 10 tonnes par seconde. Il y a ceux qui deviennent des déchets et d’autres qui sont recyclés et réutilisés. Pour Razily, collecteur de sachets, son activité consiste à collecter des sachets déjà utilisés. Cela lui rapporte jusqu'à 60.000 ariary par semaine. Pour les bouteilles en plastiques, cela lui fait gagner aux alentours de 100 ariary l'unité, suivant la qualité du produit.
Le mot « zisitoara » est généralement utilisé par les jeunes. Sa signification peut varier selon la phrase ou encore le sujet ou encore le contexte. Pour le chanteur Samoela, il vient du mot composé “petites histoires”. Dans son titre « fitia zisitoara », littéralement traduit par « amour zisitoara », ce mot résume les épreuves rencontrées par les couples soit les hauts et les bas. En outre, ce terme indique également les beaux-parleurs, selon l’orateur Santatra Rabefihavanana.
Amin’ny ankapobeny, ny hoe « zisitoara » dia teny fampiasan’ny tanora eny amin’ny andavanandrom-piainana. Mety hiova araka ny fehezanteny na ny sehatra resahana ny heviny. Avy amin’ny teny vahiny hoe “petites histoires” no nangalàna azy fa nohagasiana raha ny fanazavan’i Samoela, mpihira. Tao amin’ilay hirany hoe “fitia zisitoara”, mamaritra ireo sedra rehetra nolalovan’ny mpifankatia no tena dikany. Ankoatra izay, entina hiantsoana ireo olona tsy maty am-bavany ihany koa io teny io hoy i Santatra Rabefihavanana, mpikabary.
Tsy mirantiranty fahatany eny amin’ireo tsena maro isan-karazany ny elo be vita amin’ny lamba sy hazo. Misy miketrika azy io mihitsy, izay manamboatra azy ireny. Ka na ampanofaina izany na amidy avy hatrany. Tao anatin’ny folo taona mahery no nanaovan-dRazily fanamboarana elo be vita tanana. Tsy mitsahatra ny mitombo ireo mpampanofa izany. Ka manodidina ny 500 ariary isan’andro ny hofan’ny elo iray. Ankoatr’izay ihany koa, anisan’ireo asa tanana mifaninana amin’ireo vokatra avy any ivelany ny fanamboarana akanjo vita amin’ny ba. Na eo aza ny friperie, tsy mitsahatra ny mikaroka zava-baovao hatrany i Marie, mpandraharaha madinika manao ity asa tanana vita amin’ny ba ity.
Les parasols en bois ne s'étalent pas par hasard sur le marché d’Analakely ou Andravoahangy. Il y a des gens qui investissent, opèrent et construisent dans ce secteur. Ils les mettent en location journalière ou les vendent. Razily travaille en tant que fabricant et réparateur de parasols artisanaux depuis une dizaine d'années. Selon lui, les locataires ne cessent d'augmenter et le tarif est aux alentours de 500 ariary la journée.
À part cela, le métier de tricoteur est toujours d’actu de nos jours. Même s'il y a autant de friperies, Marie, entrepreneuse dans la tricoterie, ne cesse d'élaborer et de proposer de nouveaux designs pour ses produits en tricot.
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