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« L’éducation devance l’école », dit un proverbe maghrébin. L’initiative des responsables du magazine pour enfants Karne Magadascar veut en être un exemple à travers l’atelier démokratian’ny ankizy ou démocratie des enfants.
Initier les jeunes enfants à la vie et à la responsabilité citoyenne, mais de manière plus ludique et participative, tel est l’objectif des responsables du magazine Karne Madagascar, à travers l’atelier « Demokrasian’ny ankizy ». Deuxième atelier du genre, depuis l’existence du magazine, celui-ci conforte encore la motivation des organisatrices. Leur but, parvenir à faire passer auprès des jeunes participants, ce qu’est la démocratie et les responsabilités citoyennes.
La démocratie expliquée de manières ludiques et participatives
« Dans ses activités et à travers le magazine, Karne Madagascar voudrait essayer d’ouvrir un peu plus l’horizon culturel des enfants à des domaines plus élargis », explique Fanilo Mihamina, une des fondatrices du magazine. Pour leur deuxième atelier, les organisatrices ont comme thème la démocratie, dans l’idée d’enseigner à des jeunes de 7 à 14 ans ce qu’est la démocratie. « Nous avons déjà eu un premier atelier qui portait sur la loi auparavant. Et cette fois, nous avons opté pour la démocratie dans l’optique de tendre vers une éducation civile et citoyenne des enfants, mais de manière ludique », souligne-t-elle.
« Nous nous basons à la fois sur des exemples simples et concrets, comme ce qui se passe à la maison ou à l’école. Mais il y a également de petites simulations de vote et des séances de partage », indique Fanilo. Ainsi, dans une ambiance enjouée et amusante, les enfants découvrent réellement ce qu’est la démocratie à travers « la voix du peuple ».
Une initiative à encourager
Pour les activistes dans le domaine, il s’agit d’une belle initiative qui devrait être encouragée. Inciter les jeunes à se tourner un peu plus vers les responsabilités civiques et citoyennes, c’est également les inciter à prendre part à la vie de la nation. « Auparavant, cela figurait déjà dans le programme scolaire, notamment dans le cadre du programme d’éducation civique. Mais au fil du temps, cela a quelque peu perdu son importance », indique Hery Rason de la société civile. Pourtant, selon lui, « apprendre aux enfants ce qu’est la démocratie ou ce que sont les responsabilités en tant que bon citoyen, leur permettra de les inciter par la suite à prendre part aux élections, à suivre les informations, à décortiquer ces informations et à les mâcher pour en tirer les vraies informations ».
« Un des grands piliers pour forger des citoyens, c’est d’inculquer dès l’enfance les valeurs, la définition et la base même de ce qu’est la démocratie. C’est d’ailleurs, en ce sens que nous œuvrons à sensibiliser les jeunes à s’intéresser et à prendre plus part à la vie citoyenne et à exercer leur droit de citoyens, car c’est la base même du développement » , souligne Ranto Andrianarison de Youth First.
En général, quand les malgaches qualifient quelqu’un de « jomaka », c’est pour désigner des voyous ou des délinquants. Pourtant, « jomaka » désigne surtout les personnes plus agressives, que la normale selon Tsy Avahana, enseignant en de langue malgache et orateur. Ceci dit, comme le sens des mots évolue avec le temps et que « jomaka » n’est pas inscrit dans le dictionnaire malgache, sa signification n’est pas figée.
Amin’ny ankapobeny rehefa ataon’ny manodidina hoe « jomaka » ny olona iray dia entina hilazàna ny toetra toy ny hoe jiolahimboto izany. Ny tena hevitr’io teny io anefa hoy Tsy Avahana, mpampianatra teny malagasy sady mpikabary, dia hoe olona mahery setra mihoatra noho ny hafa. Mivoatra miaraka amin’ny fiaraha-monina anefa ny teny, ny hoe « jomaka » rahateo dia tsy tafiditra ao anaty rakibolana ka mety miova ihany koa ny heviny.
Chaque année, nombre de jeunes bacheliers et universitaires désirent continuer leurs études à l’étranger et se lancent à la recherche de bourses extérieures. Si certains se plaignent quant à la difficulté d’accéder ou de trouver les offres de bourses au niveau des institutions publiques, d’autres – faute de préparation – se voient recalés. Pour faire le point sur cela, l'équipe du Studio Sifaka s’est entretenue avec la directrice par intérim de la direction nationale des bourses extérieures, le Dr Josa Augustina Jaonary.
Studio Sifaka : Certains jeunes se plaignent de ne pas connaître l’existence d’offres de bourses extérieures, qui sont pourtant publiées par voie d’affichage auprès du bureau de la Conabex. Mis à part ces affichages quels sont les autres moyens utilisés pour faire connaître ces offres aujourd’hui ?
Dr Josa Augustina Jaonary : C’est vrai que nombreux sont ceux qui pensent que pour trouver les offres de bourses extérieures disponibles, il faut aller au bureau de la Conabex. Ce n’est pas totalement faux, mais ce n’est pas la seule option parce que les offres sont aussi publiées par voie d’affichage au niveau des six universités sur le territoire national. Toutefois, c’est vrai que pour certains étudiants, qui sont éloignés des universités dans les régions, avoir accès à ces affichages est assez difficile. C’est d’ailleurs pour y remédier que nous sommes dans la mise en place d’un site web. Comme la majorité des jeunes utilisent aujourd’hui des Smartphones et ont accès à internet, cela devrait leur permettre d’être au courant des offres de bourses extérieures qui passent au niveau du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique.
Pour ce qui est de la sélection des dossiers, comment est-ce que ça se passe concrètement avant la validation du dossier d’un candidat ?
Il faut savoir que les dossiers déposés auprès du bureau de la Conabex vont passer par deux étapes de sélection. La première est la présélection au niveau de ce qu’on appelle Conabex ou commission des bourses extérieures. Plusieurs instances y sont représentées, à savoir les représentants des six universités, du ministère de la Fonction publique, du ministère de l’Éducation nationale, du ministère de l’Enseignement supérieur, du ministère des Finances et du ministère des Affaires étrangères. Cette commission fait une présélection des dossiers en se basant sur de nombreux critères qui sont établis par l’université qui propose les bourses et le choix des candidats qui postulent. Après présélection, les dossiers passeront auprès des universités d’accueil, et celles-ci font la sélection finale.
Qu’est-ce que les bacheliers doivent faire s’ils veulent tenter leur chance en vue d’une bourse extérieure ?
Les étudiants peuvent, à tout moment, déposer leurs dossiers de candidatures pour des bourses extérieures auprès du bureau de la Conabex. Ces dossiers seront traités une fois les offres publiées. Et cela n’exclue pas la possibilité de déposer des dossiers quand les offres sont lancées. Cependant, il faut déjà remplir plusieurs critères pour augmenter ses chances. C’est d’ailleurs l’erreur que font souvent les candidats, ils n’ont pas de connaissances linguistiques et postulent pourtant pour des bourses d’universités anglophones ou en Chine ou en Russie. C’est logique que leur candidature soit sans suite.
Obtenir une bourse pour étudier à l’étranger n’est pas une mince affaire, cela nécessite une préparation minutieuse. Aujourd’hui, de nombreux étudiants qui ont bénéficié de bourses extérieures restent bloqués à Madagascar vu le contexte sanitaire. Les frontières sont fermées, que ce soit ici que dans les pays d’accueil. Pour certains, les cours ont déjà commencé, mais à distance. Nombre de ces étudiants ont du mal à suivre les cours à cause du coût de la connexion.
Mifanakalo hevitra eny an-tsena momba ilay hetsiky ny kaominina I Mahefa sy I Tsizehana. Samy tsy faly izy ireo satria samy mpanohitra. Mihevitra ny hanakorontana I Mahefa ary hitaona an’I Tsizehana fa tsy nety ity farany. Tsy rariny ny hataon’ny kaominina fa na dia izany aza tsy misy tombotsoa azo avy amin’ny korontana. Etsy an-daniny nefa, mila mandray andraikitra ny olom-pirenena manoloana ny fampandrosoana ny kaominina. Nanakihana hatramin’ny farany ilay hetsiky ny kaominina anefa izy roa lahy.
Au marché, Mahefa et Tsizehana discutent de l’évènement de la commune. Les deux n’adhèrent pas au mouvement vu qu’ils sont plutôt dans le camp de l’opposition. Mahefa pense perturber l’évènement et incite Tsizehana à faire pareil mais ce dernier refuse. Même si les actions de la commune envers les citoyens ne sont pas justes, ce n’est pas une raison pour jouer les perturbateurs. D’un côté, ils sont conscients du fait que les citoyens ont le devoir d’aider au développement de la commune. Malgré tout, les deux critiquent l’évènement.
Ny « maison d’hôte » dia trano fonenana iray ahitana efitra dimy ary hampanofaina amin’ireo vahiny na ireo mpanjifa. Raha mihoatra ny efitra dimy kosa dia efa azo lazaina hoe hotely. Amin’ny maha «maison d’hôte» azy ihany koa dia tsy maintsy miara-mipetraka amin’ilay mpanjifa ao ilay tompon-trano. Mampiavaka ny « maison d’hôte » ny fisian’ny fifandraisana akaiky kokoa sy ny fahatsapana toy ny hoe any antrano ihany.
Ravinala 1 hatramin’ny Ravinala 3 ary kintana 1 hatramin’ny kintana 5 ny fomba fanasokajiana hotely. Lazaina hoe Ravinala ny hotely iray raha folo farafahabetsany ny isan’ny efitra ao anatiny. Raha mihoatra izay kosa dia efa kintana no hanasokajiana azy. Isan’ny singa mila jerena rehefa hametraka ireo fanasokajiana ireo ny kalitaon’ny tolotra, ny diploman’ireo mpiasa miasa, ny habehin’ny lalan-tsara, ny efitra, ny fandriana eny na ny servieta aza. Manazava misimisy kokoa i Nisa Rakotondravohitra, mpampiofana eo anivon’ny Institut National de l’hôtellerie et du tourisme.
Une maison d’hôte est une habitation aménagée pour que des clients puissent y séjourner. Le concept veut que le propriétaire de la maison habite avec ses clients ou ses hôtes. Une maison d’hôte ne doit contenir que 5 chambres maximum. Plus de cela, il sera classifié comme étant un hôtel. Selon Harifidy Rajohnson, gérant d’une maison d’hôte en centre-ville d’Antananarivo, créer et gérer une maison d’hôte serait plus rentable.
Les hôtels à Madagascar sont classifiés de 1 à 3 Ravinala et de 1 à 5 étoiles. Les hôtels de classe Ravinala disposent de 10 chambres au maximum. Au-dessus de cela, la classification passe aux systèmes d’étoiles. Pour obtenir les classifications, il faut suivre les critères imposés pour chaque étoile. Prendre en compte, par exemple, la qualité des services, les diplômes du personnel de l’hôtel, la surface des chambres, des lits et même des serviettes. Plus d’explications avec Nisa Rakotondravohitra, formateur auprès de l’Institut National de l’hôtellerie et du tourisme.
Les invités à la cérémonie qui a eu lieu à la Résidence du Japon à l’occasion de l’anniversaire de l’Empereur du Japon Naruhito ont pu découvrir le mochi, un gâteau traditionnel fait à base de riz gluant.
Lorsqu’on parle de cuisine japonaise, on pense immédiatement au sushi, au tempura ou encore au wasabi. L’ambassadeur du Japon Higuchi Yoshihiro a fait découvrir à ses convives ce 23 février, le mochi, un gâteau traditionnel fait à partir de riz gluant.
Atelier de mochi
Durant la cérémonie, l’ambassade a invité quelques convives à la préparation du mochi. Pour faire cette pâtisserie, on fait cuire du riz gluant à la vapeur. Celui-ci est ensuite rincé et battu à chaud jusqu’à obtenir une pâte gluante. La préparation sera pilée dans un instrument traditionnel appelé « usu » pour devenir une pâte blanche. C’est à partir de cette pâte que l’on confectionne de petites boules, qu’on peut manger avec de la sauce, ou rembourrer d’une pâte de haricot rouge, par exemple. Les invités à la résidence ont goûté entre autres à du mochi avec de la poudre de soja sucré. Il est à noter que le mochi se fait avec une variété précise de riz, le mochigome, un riz gluant à grain court.
D’après un membre japonais du personnel de l’ambassade, le mochi est surtout consommé durant la fête du nouvel an. Sa préparation constitue un rite festif. Les Japonais se réunissent ainsi pour piler le riz avec le « usu ».
Fête nationale
La cérémonie s’est tenue à l’occasion de la fête nationale du Japon qui est célébrée le jour de l’anniversaire de l’Empereur régnant, donc l’anniversaire de Naruhito, né le 23 février 1960. Il est le 126ème empereur du Japon suite à l’abdication de son père Akihito le 1er mai 2019. Son couronnement a eu lieu le 22 octobre 2019.
- Vita ny lalana mirefy 157 km ao amin’ny faritra bongolava
- Toamasina : nanaiky ny hiverina hianatra sy hampitsahatra ny fitokonana nataony ireo mpianatra ao Barikadimy
- Namoaka mpianatra mpikabary andiany voalohany sy nandrafitra birao ny fikambanan’ny mpikabary Malagasy na FI MPI MA ny tany Ihosy
- La route de 157 km de long dans la région de Bongolava a été réhabilitée
- Toamasina:les étudiants de Barikadimy ont accepté de reprendre les cours et de mettre fin à la grève
- Une branche de l'Association malgache des orateurs ou FI MPI MA à Ihosy a été mise en place le week end dernier