COVID-19 : Tous ensemble face au virus

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Karine Manoa Linda

Karine Manoa Linda

Il est bel et bien possible de combiner médecine moderne et médecine traditionnelle. En effet, certains tradipraticiens font même partie de comités de pilotage de lutte contre certaines maladies comme la poliomyélite ou le paludisme, des structures mises en place par les entités officielles décentralisées en termes de santé publique. Nous vous invitons à suivre un reportage de Tsiory et Rojo pour en savoir plus. 


 

Azo atao tsara ny mampiaraka sy mampahomby miaraka ny fitsaboana moderna sy ny fitsaboana nentim-paharazana. Ireo mpitsabo amin’ireo tobim-pahasalamana eny ifotony dia mahatsapa sy manaiky fa hatokisan’ny mponina sy akaiky ny fon’izy ireo kokoa ireo mpitsabo nentim-paharazana. Miezaka araka izany izy ireo miaraha-miasa amin’izy ireny. Ireo mpitsabo nentim-paharazana ihany koa dia efa mandefa ireo olona tsaboina eny amin’ny hopitaly rehefa hita fa ilaina izany. 

La “gréviculture” est l’un des nouveaux mots du dictionnaire Larousse édition 2021. Ce terme signifie culture de la grève. Dans le contexte actuel à Madagascar, des manifestations ont lieu dans plusieurs régions. Selon l’histoire, cette culture date de la colonisation. Plus précisément en 1930, lors de la création des syndicats. A cette époque, les travailleurs s’attroupaient pour exiger leurs droits : la réglementation des horaires de travail et du salaire. 

Le mot “gréviculture” peut se traduire en malgache par « rotaka ». Ce terme est utilisé dans la société malgache pour dire qu’il y a une manifestation violente. Ce mot n’a pas été inventé par les académiciens mais par la société. En principe, pour qu’un mot entre dans le dictionnaire malgache, il faut qu’il soit compréhensible par tout le monde. Des tests sont établis par les membres de l’académie malgache avant de le publier, explique l’académicienne Oliva Ramavonirina. L’insertion d’un nouveau mot dans le dictionnaire malgache prend 3 à 4 ans.  


Ny kolotsain’ny fitokonana na « gréviculture » dia iray amin'ireo teny vaovao ao amin'ny rakibolana Larousse 2021. Tsy zava-baovao eto Madagasikra izany ary  raha ny zava-misy amin’izao fotoana no jerena dia maro ireo faritra ahitana karazana fihetsehana. Arakin’ny tantara dia tany amin’ny fanjanahanteny no niandohan’izany teto aminstika. Ny taona 1930 raha ny marina kokoa nandritra ny fiforonan’ny syndicat an’ny mpiasa.. Tamin'izany fotoana izany dia ny mpiasa no tena nitaky ny zony. Izany hoe, ny fandrindrana ny ora fiasana sy ny fandoavana karama.

Mikasika ny famoronana ny teny hoe « grévikulture », azo adika amin'ny teny malagasy hoe "rotaka" izy io. Io teny io dia nampiasain’ny fiarahamonina malagasy. Izay midika hoe misy fihetsiketsehana ahitana fifandonana. Tsy ny akademisiana no namorona an'io teny io fa ny fiarahamonina. Amin’ny ankapobeny dia teny azon’ny fiarahamonina no ampidirina ao anatin’ny rakibolana. Izany hoe na teny avy amin’ny fiarahamonina na teny noforononina fa vita sedra teny amin’ny fiarahamonina hoy ny akademisiana Ramavonirina Oliva. Ny fampidirana teny vaovao ao amin'ny rakibolana malagasy dia maharitra 3 ka hatramin'ny 4 taona.

lundi, 01 mars 2021 09:01

Sady mandoro no mamay

Au départ, “sady mandoro no mamay” était un terme utilisé par les chanteurs de “hira gasy” ou les chants traditionnels des hauts plateaux. De nos jours, l’expression est devenue courante sur les réseaux sociaux, notamment sur Facebook. Les jeunes la reprennent lorsqu’ils veulent défier ou snober quelqu’un, le but étant de se faire passer pour un expérimenté dans tous les domaines.


Tany am-boalohany, teny fampiasan’ny mpanao hira gasy ny hoe “sady mandoro no mamay”. Lasa fampiasan’ny tanora izy io taty aoriana fa indrindra amin’ny tambazotran-tserasera Facebook. Teny anehoana fifaninanana sy fanindriana ny hafa izy io. Tanjona amin’izany ny haneho ihany koa fa ampy traikefa amin’ny sehatra rehetra ilay olona miteny azy. 

Nombreux candidats réduisent aujourd’hui l’utilité de la lettre de motivation à une simple formalité ou à un dossier complémentaire pour que la candidature soit validée par le recruteur. Pourtant, loin d’être une simple case obligatoire, cette lettre a son importance.

Comme la concurrence devient de plus en plus rude sur le marché de l’emploi, les recruteurs peuvent recevoir jusqu’à une centaine, voire un millier de dossiers de candidature en seulement un mois. De fait, c’est vrai que le temps de lire les dossiers de candidature un à un est assez limité. Vue sous cet angle, l’utilité de la lettre de motivation reste floue. Pourtant, il est plus que primordial de savoir bien rédiger cette lettre, qui outre le fait de présenter la motivation, permet de se démarquer des autres candidats.

De la motivation face aux enjeux

Une lettre de motivation devrait en somme comporter deux grandes parties, dont celle qui parlera de la motivation du candidat à intégrer le poste à pourvoir. Mais pour pouvoir bien présenter cela, il faut savoir parler de l’enjeu du poste. L’idée est de démontrer que le candidat a bel et bien capté les enjeux et les problématiques que l’entreprise rencontre. En d’autres termes, il faudra convaincre le recruteur que, face à ces enjeux, le candidat est « LA » solution.

Mais tout, cela doit également se faire tout en parlant de la motivation du candidat à intégrer le poste. Pour faire simple, l’idée est de dire par exemple « Je sais que vous avez besoin d’une personne qui peut occuper ce poste, et en plus du fait que ai-je possède les compétences exigées, je suis tout aussi motivé par le fait d’occuper ce poste ».

Présenter sa personnalité et adhérer aux valeurs de l’entreprise

L’idée principale d’une lettre de motivation est d’humaniser le CV. En d’autres termes, elle permet de mettre des mots sur les non-dits dans le CV. Si ce dernier vise à souligner vos compétences, la lettre de motivation le complète en ajoutant des précisions sur votre personnalité. Mais cette lettre permet tout aussi bien de présenter au recruteur que votre personnalité répond bel et bien aux valeurs de l’entreprise.

Sachez que les recruteurs recherchent toujours des personnes capables de s’adapter et surtout de s’intégrer à une culture d’entreprise. L’idée est ainsi de démontrer sur quelques lignes de la candidature que le candidat a bien conscience des valeurs que porte l’entreprise et défend aussi ces mêmes valeurs.


Dans tous les cas, il faut toujours se rappeler que la Lettre de Motivation qui peut impressionner est celle qui est captivante. Pour arriver à ce résultat, l’idéal est de faire une lettre de motivation courte, dynamique et claire. L’idée est de retenir au maximum l’attention de celui qui lira la lettre de motivation pour qu’il ressente le besoin d’en savoir plus, ce qui aboutira à un rendez-vous pour un entretien d’embauche.


Tous les vendredis, le Studio Sifaka donne la parole aux jeunes. Aujourd’hui, Kanto Maneva et Gerd, deux étudiants en 4ème année en communication s’expriment sur actualités qui ont marqué cette semaine :

  • Les grèves des universitaires dans presque toute la Grande Île.
  • Les mères qui abandonnent leurs enfants.
  • L’origine de l’astronaute Farah Alibay.

Isaky iny zoma, manome sehatra ireo tanora hiady hevitra ny Studio Sifaka. Androany, maneho hevitra momba ireo vaovao nisongadina nandritra ity herinandro ity i Kanto Maneva sy i Gerd, mpianatra serasera taona fahaefatra. Ireto avy ary izany : 

  • Ny fitokonan’ireo mpianatry ny anjerimanontolo, saika manerana ny Nosy.
  • Ireo reny manary na mivarotra ny zanany.
  • Ny fihavian’i Farah Alibay.
vendredi, 26 février 2021 13:45

Les taxis-moto s’organisent … en attendant

Les taxis-motos persistent et signent. Ils insistent sur le maintien de leur activité et s’organisent dans l’optique d’une prochaine formalisation. La Commune urbaine d’Antananarivo ne l’entend pas de cette oreille.

Les tractations des taxis-motos se poursuivent dans l’optique d’une formalisation de leur activité dans la capitale. Une association de taxis-motos qui affirme compter 2.500 membres dans la région Analamanga, 1.800 sur la zone Antananarivo, se veut être un interlocuteur pour trouver un terrain d’entente avec la magistrature de la ville.

…pour l’employabilité des jeunes

Après une sortie reboisement le weekend dernier, l’association multiplie les appels du guidon pour obtenir le sésame des rues d’Antananarivo. Leur président, Tsiritiana, se dit confiant sur leur sort. « On peut imaginer une évolution prochaine de la situation », lance-t-il, en indiquant que l’association s’est ralliée à un mouvement appelé ASTAFIM (Asan’ny tanora antokin’ny fampandrosoana ifotony eto Madagasasikara), qui œuvre pour l’employabilité des jeunes. « C’est ce mouvement qui parle au nom des taxis-motos car ce sont essentiellement des jeunes qui travaillent dans le secteur », indique Tsiritiana. Pour montrer leur bonne volonté, l’association prévoit de distribuer des autocollants à leur membre. « L’idée est de responsabiliser et d’identifier les conducteurs de taxis-motos », conclut-il.

Des forces de l’ordre plus tolérants ?

Un conducteur de taxi-moto indique être prêt à payer des impôts pour pouvoir exercer en toute légalité. « Pour moi, c’est un métier à part entière. Avec les quatre ou cinq clients qui me font confiance, en moyenne par jour, je gagne assez pour vivre », indique-t-il. Il souligne que des propositions sont avancées pour professionnaliser l’activité. « Il y a, par exemple, les motos utilisées. Il est possible que les 2-temps ne soient pas acceptés. C’est pour cela que j’ai investi dans un 4-temps », ajoute-t-il. Motif d’espoir pour les taxis-motos, une tolérance qu’ils perçoivent de la part des forces de l’ordre. « Ces derniers jours, nous avons l’impression qu’ils sont moins sur nous », fait remarquer un autre conducteur de taxi-moto.

Clandestinité

La Commune urbaine d’Antananarivo (CUA), de son côté, reste sur sa position. « Il n’est pas question d’une formalisation prochaine des taxis-motos. C’est techniquement impossible », lance un membre du cabinet du maire, qui ajoute que l’autorisation d’un moyen de transport ressort de la compétence de la CUA. « Les taxis-motos ne remplissent pas les critères pour être considérés comme moyens de transport public, rien que pour la sécurité des passagers », poursuit-il. Il précise que les forces de l’ordre et les agents de la commune continuent de verbaliser les taxis-motos. Il explique la « tolérance » à leur égard, qui peut être perçue aujourd’hui, face à la conjoncture actuelle. « Avec les manifestations et tout, on a peut-être un peu lâché du lest, mais jamais la CUA ne cautionnera les taxis-motos », assène le membre du cabinet, qui en remet une couche. « Ils peuvent utiliser des autocollants, cela ne veut rien dire. Ils restent dans la clandestinité ».

Fondée en 2017 par les frères Kasay, l’entreprise Jirogasy ou littéralement « lumière malgache », est la toute première dans son genre à Madagascar à disposer d’une ligne de production et d’un bureau d’études pour produire localement des générateurs solaires. Retour sur le succès story de cette startup.

Jirogasy, c’est l’histoire de deux frères, nés d’une mère française et d’un père éleveur de zébu d’Antsalova, vivant encore jusqu’à maintenant à Antsalova. Même en étant nés loin d’ici, les deux frères ont nourri l’espoir de pouvoir un jour apporter leur pierre à l’édifice dans le développement de leur deuxième patrie.

La fierté d’une entreprise entièrement malgache

Né en France d’une mère bretonne et d’un père malgache, Yann Kasay a décidé de s’installer à Madagascar en 2015, alors qu’il avait 32 ans, après des études à l’université de Washburn et une première expérience en cabinet-conseil dans une startup en France. En 2017, avec son frère Lauric, Yann décide de monter son entreprise « Jirogasy », avec l’objectif de créer des produits pour les Malgaches. Aujourd’hui, l’entreprise a déjà produit des kits solaires « Jirogasy », mais aussi des ordinateurs fonctionnant à l’énergie solaire « Jirodesk » à destination des Malgaches vivants dans des zones enclavées.

Un objectif : contribuer à l’essor de la Grande Île

« Jirogasy est quelque part pour moi le moyen de montrer aux autres que même si on vient de partout, il est tout à fait possible de revenir à ses origines et de contribuer au développement de son pays en faisant quelque chose », souligne Yan Kassay.

Avec l’objectif d’apporter leur soutien pour le développement de Madagascar, l’entreprise des frères Kasay cible surtout les étudiants. « Pour nous, ce qui est le plus important, c’est que nos produits servent au développement du pays. C’est en ce sens que nos premiers bénéficiaires sont les lycées situés en brousse », explique Yann Kasay. L’idée est, selon lui, d’arriver à réduire l’inégalité entre les étudiants dans les grandes villes qui ont accès à des ordinateurs, et ceux dans les localités enclavées qui peinent à en trouver et qui n’ont pas l’électricité pour alimenter les machines. « C’est notre fierté de pouvoir à la fois contribuer à l’essor de l’industrie locale et de pouvoir également apporter des produits facilitant le quotidien des Malgaches », souligne Yann Kasay.

vendredi, 26 février 2021 13:19

Journal des régions du 26 février 2021

  • Toliara : nifandona noho ny tsy fitovian-kevitra ny samy mpianatry ny oniversiten’I Maninday omaly 25 febroary
  • Toamasina : natomboka omaly 25 febroary ny fanaovana digitalisation na fampiasana karatra nomerika ho an’ireo mpianatra ao Barikadimy
  • Ihorombe : nahazo trano fitahirizam-bokatra ireo tantsaha avy amin’ny fikambanana antsoina hoe « Anjarasoa »

 


  • Toliara : les étudiants de l'université de Maninday se sont affrontés pour une raison de désaccord hier 25 février
  • Toamasina : la digitalisation ou l'utilisation de cartes numériques pour les étudiants de Barikadimy a commencé hier 25 février
  • Ihorombe : les agriculteurs de l’association "Anjarasoa" ont bénéficié d’un grenier commun

vendredi, 26 février 2021 13:11

Revue de presse du 26 février 2021

    • Notokanana omaly 25 febroary ny tsenan'i Behoririka 
    • Niakatra kely ny tahan’ny fanondranana Lavanille avy eto Madagasikara
    • Niantso mpilalao enina avy eto an-toerana hanatevina ny barean’ny Madagasikara i Nicolas Dupuis

  • Le marché de Behoririka a été inauguré le 25 février
  • Le taux d’exportation de vanille à Madagascar a connu une légère hausse
  • Nicolas Dupuis a fait appel à six joueurs locaux pour le compte des Barea de Madagascar
vendredi, 26 février 2021 12:56

Journal du 26 février 2021

- Marketing de réseau : tsy voatery ho fisolokiana

- Antsiranana : “tsy ny asa ho an’ny tanora no tsy misy fa vitsy ny tanora no mahafeno ny fepetra takian’ny tsenan’ny asa”

- Casques bleus: hirahina hametraka fandriampahalemana any amin’ny firenena izay hanirahana azy ireo

- Anjakan’ny tsifanjarian-tsakafo mitarazoka i Bongolava hatramin’izao na dia faritra mpamokatra aza

-600 : handraisana ireo fitarainan’ny mpanjifa eo amin’ny sehatry ny fifandraisan-davitra


- Vaccins contre le coronavirus : comment distinguer les effets secondaires des réponses immunitaires ?

- Les résultats des tests d’orientation professionnelle peuvent-ils déterminer le parcours définitif d’un candidat ?

- Recrutement vers le Canada : attention aux arnaques

- Le festival Cri de Femme : pour la non-violence envers des femmes

- Antsiranana : une expo-vente pour rehausser la valeur de l’art urbain de la ville


Nitarika dihy nandritra ilay lanonana nokarakarain’ny kaominina ao amin’ny hotely vanilla I Saotra. Tapitra ny hira voalohany ary nanasa an’i  Nomena handihy rock izy taorian’izany. Nifampianatra sy nifandoka teo izy roa avy eo.


Saotra a animé la danse lors de l'événement organisé par la commune à l'hôtel Vanilla. La première chanson s'est terminée. Il a ensuite invité Nomena à une danse de rock. Saotra a flatté Nomena durant la danse.

En sport, l’échauffement est une étape obligatoire de l'entraînement. Il consiste à préparer le corps, les organes et le mental. L’importance de cette préparation est de réduire les risques de blessures. Le médecin, Tsihory Andriamanalina, responsable médical de la fédération malgache de football, explique qu’en général, il y a 3 phases à suivre pour un échauffement idéal. Premièrement, il y a la préparation cardio-pulmonaire à travers des petites courses à pied. Vient ensuite la préparation des articulations. Et enfin, l’échauffement des muscles. Cependant, les mouvements utilisés pendant la 3ème phase peuvent varier selon la discipline sportive. Il n’y a pas que l’échauffement qui garantit la bonne performance d’un joueur. Un athlète doit être en forme, agile et dynamique au moment des préparations et des compétitions. D’ailleurs, c’est l’une des raisons pour laquelle certains athlètes optent pour la prise de fortifiants. Cependant, certains éléments de ces médicaments sont interdits par les fédérations internationales et sont considérés comme un dopage. Le médecin Ny Aina Randriamiarisoa explique que si un élément contenant du Narcotique, du cannabinoïde, de la morphine, des corticoïdes et du salbutamol sont trouvés dans les tests anti-dopage des athlètes, ils seront sanctionnés. Il faut noter que les tests anti-dopage sont inopinés.


Ny fanafanam-batana dia dingana tsy maintsy arahina rehefa manazatra tena. Natao hanomanana ny vatana, ny taova ary ny saina izany. Ny mahazava-dehibe  azy dia misoroka ny faharatrana rehetra eny amin’ny vatana. Manazava ny mpitsabo avy ao amin’ny federasiona malagasy ny baolina kitra, Andriamanalina Tsihory fa amin'ny ankapobeny misy dingana 3 tsy maintsy atao rehefa manafana vatana. Voalohany, manomana ny fo sy taova-pisefoana amin’ny alalan’ny hazakazaka madinika. Avy eo ny fanomanana ny tonon-taolana sy ny vanin-taolana. Ary farany, manafana ny hozatra. Marihina fa ny fihetsika ampiasaina mandritra ny dingana fahatelo dia miovaova arakaraky ny taranja atao.

Tsy ny fiomanana mialoha ihany no manome antoka ny fahombiazan'ny mpilalao iray. Ny atleta dia tsy maintsy salama ary mavitrika mandritra ny fiomanana sy ny fifaninanana. Ka izay no isan’ny mahatoga ny mpilalao sasany mihinana fanafody mampatanjaka. Fantaro anefa fa misy singa voararan’ny lalàna mifehy ny fanatajahantena ny fihinana azy hoy ny mpitsabo Randriamiarisoa Ny Aina, filohan’ny fikambanan’ny mpitsabo mpanao fanatajahantena. Raha toa ka ahitana Narcotique, cannabinoÏde, morphine, corticoïdes ary salbutamol ny atileta iray dia voasazy avy hatrany. Marihina fa tampoka ny fitilina atao azy ireo.

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