COVID-19 : Tous ensemble face au virus

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Karine Manoa Linda

Karine Manoa Linda

Il est encore rare, dans la société malgache, de voir des jeunes adultes décider d’habiter seul et quitter le cocon familial. Très souvent, le motif de départ de la maison familiale reste l’engagement conjugal ou le mariage. Et encore, certains jeunes couples choisissent, ou sont obligés, de rester avec les parents, pour de nombreuses raisons. Randrianarisoa Dinah, jeune fille de 25 ans qui a décidé de s’installer en province, définit l’indépendance comme la capacité de disposer des ressources suffisantes pour gérer sa vie. Pour Raoeliarijao, éducateur, l’autonomisation est encore plus importante. Il la définit comme la capacité de prendre ses décisions toute seule et pouvoir tout assumer pleinement, sans rendre compte à personne. A ses yeux, les parents ont le devoir d’apprendre à leurs enfants comment devenir indépendants et autonomes. 


Raha ao amin’ny fiaraha-monina malagasy, mbola azo lazaina hoe vitsy ny tanora no sahy manapa-kevitra hiala amin’ny tokatranon’ny ray amandreny ary hipetraka irery. Matetika dia rehefa amin’ny fotoana hanambadiana no anaovana izay safidy izay. Ary mbola misy ary ireo misafidy na voatery mijanona ao amin’ny tokantranon’ny ray amandreny ihany na dia efa manambady, nohon’ny antony samihafa. Randrianarisoa Dinah, 25 taona, mpitovo, dia nahita asa tany amin’ny faritra ka lasa nipetraka irery any. Ho azy, ny atao hoe tanora mahaleo tena dia tanora efa afaka mihary sy mitantana ny fandaniana rehetra ilainy amin’ny fiainana fa tsy miankin-doha amin’ny ray amandreny intsony. Etsy andaniny, manampy ny mpanabe Raoeliarijao fa ny tanora mahaleo tena dia sahy mandray fanapahan-kevitra irery momban’ny fiainany ary mahay mandanjalanja izay mety ho vokatr’izany. Misy adidin’ny ray amandreny lehibe ny fitaizana ny zanany ho tonga amin’izany.

Les éventuels effets secondaires du vaccin Janssen sont bénins et semblent être similaires à ceux des autres vaccins : douleurs sur le point d’injection, maux de tête, fatigue et douleurs musculaires, fièvre. Justement, la fièvre concerne environ 9% des individus et peut survenir dans les 24h à 48h suivant l’injection. Toutefois, dans 99% des cas, elle n’est pas accompagnée d’une hausse de température. À part ça, un cas de réaction allergique grave, observé en Afrique du Sud, a été signalé jusqu’ici.

Une étude récente, faite par l’Agence Européenne des Médicaments, a quand même rapporté deux nouveaux effets secondaires du vaccin Janssen. Il s’agit de vertiges et des bourdonnements dans les oreilles, juste après avoir reçu le vaccin, mais cela ne dure pas.

Dans tous les cas, les scientifiques sont confiants : le vaccin Janssen est efficace contre les nouvelles mutations du coronavirus, notamment contre le variant Delta.


Inona no mety vokadratsin’ny fanaovana vaksiny Janssen ?

Tsy dia samihafa amin’ireo vokadratsy mety hita any amin’ny vaksiny hafa ihany ny an”ny vaksiny Janssen, izay tsy misy atahorana anefa. Toy ny hoe fanaintainana eo amin’ny toerana nanaovana ny tsindrona, aretin’andoha, harerahana mandalo na tazo. 9% an’ireo olona natao vaksiny no nahitana tazo, saingy ny 98% amin’izy ireo dia tsy nisy fiakarana maripana tamin’ny vatany ary afaka izany ao anatin’ny 24 ora na 48 ora. Ankoatr’izay, nisy trangana tsy fahazakana vaksiny na allergie iray niseho tany Afrika atsimo.

Nisy vokadratsy vaovao ihany koa, nambaran’ny l’Agence Européenne des Médicaments, toy ny hoe fanina na mahatsapa fahatsetsen’ny sofina rehefa vita ny vaksiny, fa tsy maharitra anefa izany. 

Na izany aza dia manamafy ireo manampahaizana fa mahomby hatrany ny vaksiny Janssen amin’ireo endrika vaovaon’ny coronavirus, indrindra ny variant Delta.


La méthode du calendrier est une méthode de contraception qui consiste à identifier la date d’ovulation afin d’empêcher l’union d’un ovocyte avec un spermatozoïde. Elle est efficace pour les femmes ayant un cycle régulier.

La puberté précoce est l’apparition des caractères sexuels secondaires plus tôt que prévu chez les enfants moins de 8 ans chez les filles et moins de 9 ans chez les garçons, explique Ndriana Andriamahadison, premier responsable du réseau SDSR. Face à cette situation, l’enfant pourrait ressentir un problème d’estime de soi et être mal à l’aise dans son corps, selon la psychologue Koloina Andrianilaina. Les parents et les spécialistes devront alors l’accompagner psychologiquement vers l’acceptation de son corps. 

 



Fomba fanabeazana aizana natoraly ny fanisàna andro. Ny tanjona dia ny hamantatra ny andro mahalonaka ny vehivavy mba hahafahana mamaritra ny fotoana hanaovana na tsia ny firaisana ara-nofo.

Ny fahamaotiana aloha loatra na ny « puberté précoce » dia fipoiran’ireo singa mamaritra ny fahamaotiana mialohan’ny 8 taona hoan’ny vehivavy ary taona ho an’ny lehilahy. Mety mitarika tsy fahatokisan-tena sy fahamenarana hoan’ilay zaza ny miaina io fahamaotiana aloha loatra io hoy ny psykology Dr Koloina Andrianilaina. Tokony hanampy azy hanaiky sy hahazo aina ao anatin’ny vatany ireo ray aman-dreniny sy ny matianina mba hahafahany miatrika izany.

mercredi, 18 août 2021 06:26

Les jeunes et la gouvernance

« Mise en place d’une paix durable, les jeunes en sont les piliers ». Telle est la devise du projet OBS Mada qui est un observatoire des jeunes citoyens engagés pour une gouvernance plus inclusive, efficace et apaisée. En effet, ce projet mis en œuvre par l’ONG MSIS Tatao, le PNUD et le ministère de la jeunesse et des sports vise à inciter les jeunes malgaches à prendre leurs responsabilités dans la mise en place d’une paix durable. La conseillère en gouvernance au sein du PNUD, Anna Cichocka, explique que la participation citoyenne des jeunes est une condition nécessaire pour une bonne gouvernance efficiente à Madagascar. Comme les jeunes sont en plus grand nombre dans le pays, ils doivent participer à la gouvernance pour que les politiques publiques reflètent leurs besoins.


« Fampanjakana ny filaminana, omena sehatra handraisana andraikitra isika tanora ». Izay no tarigetran’ny OBS Mada, tetikasa iray mamporisika ny tanora ho sahy hirotsaka hanaramaso ny fitantanana ny firenena mba hampandray anjara ny rehetra, hahomby ary hilamina. Ny MSIS Tatao, sy ny firenena mikambana ary ny ministeran’ny tanora sy ny fanatanjahantena no manatanteraka azy. Tanjona amin’izany ny hampandray andraikitra ireo tanora Malagasy amin’ny fametrahana ny fandriampahalemana maharitra. Manazava ny mpanolotsaina momba ny fitantanana eo anivon’ny PNUD, Anna Cichocka, fa fepetra ilaina hahatongavana amin’ny fanjakana tsara tantana ny fandraisan’ny tanora andraikitra amin’ny fiainam-pirenena. Ny tanora mantsy no maro an’isa ka ilaina ny fandraisan’izy ireo anjara amin’ny fitantanana mba ho hita taratra any anaty politika fampandrosoana ny filàn’izy ireo.

mardi, 17 août 2021 11:36

Journal du 17 août 2021

  • Miandry fanatsarana avy amin’ny governemanta vaovao ny tanora
  • OBS–Mada: fampandraisana andraikitra ny tanora amin’ny fametrahana fandriampahalemana maharitra eo amin’ny faritra misy azy
  • Asa fitadiavam-bola: mila fantatra mazava ny orinasa ampiasaina vola
  • Doctoriales 2021: entina hampahafantarana ny daholobe ireo vokam-pikarohana ataon’ireo mpianatra manomana doctorat

Les financements pour les recherches à Madagascar sont dérisoires au regard du budget alloué au ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique. Le pays est encore loin de l’objectif de l’Union africaine qui a fixé à 1% du PIB les dépenses en Recherche et Développement.

La mention « recherche scientifique » dans la dénomination du ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique semble être un bien grand mot au vu du financement destiné à la recherche à Madagascar. « Normalement, il devrait y avoir un budget pour la recherche, mais actuellement, l’argent alloué à l’université n’est utilisé que pour le fonctionnement », déplore le directeur de la recherche à l’Université d’Antananarivo, la professeure Lalarivelo Ravaomanarivo.

Le cas de Madagascar est symptomatique de ce qui se passe en Afrique, notamment dans la région subsaharienne. D’après les chiffres de l’Unesco, les pays d'Afrique subsaharienne ne consacrent que 0,5 % du PIB à la recherche et au développement, un pourcentage qui s’élève à 3% dans les pays occidentaux. Selon les données les plus récentes de la Banque mondiale, Madagascar a consacré 0.02% de son PIB à la recherche en 2014. L’Union africaine s’est pourtant fixé l’objectif d’augmenter les dépenses en recherche et développement à 1% à l’horizon 2025.

Utile

La tendance n’a pas changé au regard de la loi de finances où le fonds alloué au ministère de tutelle reste dérisoire. L’engouement pour les fruits des recherches malgaches, l’année dernière, sur fond de pandémie ne s’est donc pas traduit par une hausse substantielle de budget. Il y a eu pourtant euphorie autour des plantes médicinales, qui ont mis sur le devant de la scène les chercheurs malgaches. L’année dernière, toujours en pleine crise sanitaire, des jeunes ont présenté un respirateur non-invasif et au salon FIER-Mada, les visiteurs ont pu découvrir des innovations en matière d’équipements de cuisson.

La professeure Lalarivelo Ravaomanarivo est convaincue de l’utilité des découvertes scientifiques. Elle souligne qu’il y a actuellement un début de valorisation des résultats de recherches. Elle qualifie ainsi de reconnaissance le fait que l’Office national de nutrition utilise une farine infantile découverte par des chercheurs malgaches. « Il y a aussi les recherches sur le moringa. Avant on ignorait les résultats des recherches », souligne-t-elle. Elle martèle toutefois que le financement est réellement problématique. « Avant il y avait un projet dénommé FADES qui permettait de financer des recherches. On a besoin d’initiatives comme cela », ajoute-t-elle. Le FADES ou Fonds d'appui au développement de l'enseignement supérieur a permis de soutenir 45 projets de recherche appliquée et 13 projets d’études et recherches dans le domaine social et de l’éducation entre autres peut-on lire dans le document « Stratégie nationale de la recherche scientifique à Madagascar », mai 2013.

Salon de la recherche

Actuellement, les recherches s’orientent plus vers l’employabilité des jeunes, selon Lalarivelo Ravaomanarivo. « L’objectif actuel est que les jeunes puissent mettre à profit les résultats de leurs recherches. C’est pour cela que les étudiants ont dans leur cursus des matières transversales comme la gestion de projet ou l’entrepreneuriat », indique-t-elle. C’est dans ce sens que l’Université d’Antananarivo organise du 22 au 24 septembre le Salon de la recherche au service de l’économie et de l’emploi qui en est actuellement. C’est une occasion pour les chercheurs de montrer les fruits de leur travail. Cette 6ème édition sera virtuelle compte tenu des contraintes sanitaires.

Tolotra Andrianalizah

mardi, 17 août 2021 10:08

Journal des régions du 17 août 2021

  • Boeny : miha mivoatra ny lalam-pihariana trondron-dranomamy
  • Mahajanga : manararaotra ny vanim-potoana maha be olona ireo mpivarotra hanenjehana ny fatiantoka nandritra ny fihibohana
  • Toliara : tafapetraka ny Pôle emploi des jeunes tamin’ny alalan’ny fikambanana Marozatovo
  • Vakisiny COVID-19 fatra faharoa : efa misokatra ny fisoratana anarana any amin’ny faritra 

  • Région Boeny : vers un développement de la filière piscicole
  • Mahajanga : les marchands profitent de la saison touristique pour combler le manque à gagner durant la pandémie
  • Toliara : mise en place du Pôle emploi des jeunes grâce à l’association Marozatovo
  • Vaccin COVID-19 2e dose : ouverture des inscriptions dans les régions

L’apprentissage de la langue japonaise est essentiel pour les personnes qui souhaitent poursuivre leurs études au Japon. A Madagascar, cela peut aussi permettre aux jeunes de s’ouvrir à de nouvelles cultures, selon Dihasina, professeur de langue japonaise et fondateur du Kakehashi club. Apprendre les bases est l’étape la plus difficile, selon Fenohasina Prisca Antsanantenaina, mais l’apprentissage se fait petit à petit et avec patience. Elle nous partage son expérience, lors de sa participation au concours de discours de langue japonaise auquel elle a eu la première place.


Ireo olona maniry hanohy fianarana any Japana no tena mianatra ny teny japone amin’ny ankapobeny. Ho an’ny eto Madagasikara manokana dia ahafan’ny tanora misokatra amin’ny kolontsaina hafa ihany koa izany hoy i Dihasina, mpampianatra teny japone sy mpamorona ny klioba Kakehashi. Mianatra manoratra sy ny fototra no tena sarotra, hoy i Antsanantenaina Fenohasina Prisca, saingy rehefa vita io dingana io dia mora kokoa ny manaraka. Mizara amintsika ny niainany ny fifaninana lahateny tamin’ny teny japone izay nahazoany ny laharana voalohany izy. 

Il faut savoir déjà que l’immunité offerte par un vaccin contre la COVID-19 commence à agir 12 à 15 jours après l’injection. En même temps, l’efficacité du vaccin est réduite de moitié, s’il s’agit d’une première injection. Il est donc possible d’être positif au coronavirus entre temps.

Si c’est le cas, il faudra patienter trois à six mois après l’infection avant de recevoir une deuxième dose de vaccin, selon les recommandations de la Haute Autorité de la Santé. Toujours selon les experts, pas besoin de refaire les deux doses de vaccin à nouveau, la seconde dose à elle seule suffit.

Le Conseil d’orientation de la stratégie vaccinale, de son côté, émet un autre avis. Si l’infection est survenue plus de 15 jours après l’injection de la première dose, il n’est pas nécessaire de se faire injecter une seconde dose de vaccin. Selon eux, l’organisme considère cette infection comme une stimulation équivalente à une seconde dose.


Inona no tokony atao raha voamarina fa mitondra ny tsimokaretina COVID-19 taorian’ny nanaovana vaksiny fatra voalohany ?

Tsara ho fantatra aloha fa 12 na 15 andro aorian’ny nanaovana vaksiny vao manomboka hita ny asan’ny vaksiny ao amin’ny vatantsika. Ankoatr’izay dia mbola ambany ary mihena any amin’ny antsasany ny fiarovana entin’ny vaksiny raha toa ka mbola ny fatra voalohany ihany no vita. Noho izany dia mety ho voan’ny COVID-19 tokoa ny olona iray na efa vita vaksiny fatra voalohany aza.

Raha izay no mitranga dia mila miandry telo hatramin’ny enimbolana izy vao azo atao vaksiny fatra faharoa indray, raha ny voalazan’ny Haute Autorité de Santé. Tsy ilaina ihany koa ny mamerina manao azy roa, fa fatra iray ihany dia ampy.

Ny Conseil d’orientation de la stratégie vaccinale indray dia manana hevitra hafa. Raha taorian’ny 15 andro nanaovana vaksiny fatra voalohany hoy izy no nisehoan’ny aretina, dia tsy voatery manao fatra faharoa intsony ilay olona. Efa raisin’ny vatana ho toy ny fatra faharoa amin’ny vaksiny mantsy izany. Saingy ny fiarovana tsara indrindra aloha dia ny mamita ireo fatra vaksiny feno.


Décrié sur plusieurs sujets, l’exécutif se devait de réagir. C’est chose faite avec le remaniement. Comme la population, le Président de la République attend beaucoup des nouveaux venus, notamment de ceux qui ont hérité des patates chaudes.

 « On ne change pas une équipe qui gagne », dit-on. L’inverse est aussi valable. Embourbé dans plusieurs dossiers touchant directement la population, l’exécutif a dû apporter des ajustements dans l’équipe gouvernementale. 22 nouveaux ministres ont ainsi été nommés pour aborder la deuxième partie du mandat d’Andry Rajoelina. Dire que la tâche qui attend les nouveaux venus n’est pas facile est un euphémisme. L’allocution du Président de la République, lors de la présentation de la nouvelle équipe de Christian Ntsay, s’apparente plus à un coup de pression qu’un discours de bienvenue. Andry Rajoelina a été clair quant aux attentes par rapport à ce gouvernement qu’il qualifie d’« actions » : des résultats rapides et concerts pour le bien-être de la population.

Du concret

Si avec ces nominations, l’exécutif s’accorde un moment de répit, ce ne sera pas le cas de certains nouveaux ministres qui ne jouiront pas de l’habituelle période de grâce avec en tête celui de l’Industrialisation, du commerce et de la consommation, Edgard Razafindravahy. Ses premières semaines seront scrutées avec l’épineuse question de la hausse continue des prix des produits de premières nécessités. Lors de sa dernière intervention télévisée, le Président de la République a donné le ton, en s’attaquant à l’inertie sur ce sujet, laissant des indications sur l’éviction de l’ancienne titulaire. Autre problème récurrent, les déboires de la Jirama. Andry Ramaroson, qui a hérité de l’Energie et des hydrocarbures, devra faire rapidement ses preuves. Bien que les ministres aient signé un contrat-programme-résultat, les résultats de leurs prochaines décisions impactent directement la population. Comme l’a martelé Andry Rajoelina dimanche, les ministres sont là pour apporter des solutions concrètes.     

Tolotra Andrianalizah

lundi, 16 août 2021 12:03

Journal des régions du 16 août 2021

    • Ambato-Boeny : miha-mivoatra ny seha-pihariana lojy na « Black-eyes »
    • Toliara : miha mipaka amin’ny vahoaka ny vokatry ny fisian’ny Brigade Féminine de Proximité
    • Amoron’i Mania : nanatanteraka fivoriana niaraka tamin’ny mpanao mozika ao amin’ny distrikan’Ambositra ny avy ao amin’ny DRCC Amoron’i Mania
    • Mahajanga : tafapetraka amin’ny fomba ofisialy ny Projet d’Intérêt National Prioritaire, hanome asa sy hampiditra ny tanora anatin’ny sehatra matihanina

  • Ambato-Boeny : la filière « black-eyes » est en plein essor
  • Toliara : la population commence à s’imprégner de l’existence de la BFP
  • Amoron’i Mania : la DRCC a fédéré les musiciens originaires du district d’Ambositra
  • Mahajanga : lancement officiel du Projet d’Intérêt National Prioritaire
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