COVID-19 : Tous ensemble face au virus

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Karine Manoa Linda

Karine Manoa Linda

L’impact de la COVID-19 sur l’économie est palpable. Outre le tourisme, plusieurs secteurs d’activités ont été touchés. L'Institut national de la statistique de Madagascar a mis des chiffres sur ces impacts.

Enfin une enquête d’envergure nationale sur l’impact de la pandémie sur l’économie. L'Institut national de la statistique de Madagascar (Instat), avec le soutien de la Banque mondiale, a mené deux rounds d'enquêtes sur les impacts de la COVID-19 sur les activités des entreprises à Madagascar. Le premier round a été effectué en plein confinement entre juin et juillet 2020 où 943 entreprises de deux secteurs ont participé. Le second a eu lieu entre décembre 2020 et février 2021 auprès de 1.994 entreprises de huit secteurs. Sur le front de l’emploi, pas de surprise. Les entreprises ont licencié un nombre important d’employés depuis le début de la pandémie. Elles ont perdu, en moyenne, un sixième de leurs salariés permanents jusqu’en octobre 2020. Les secteurs les plus touchés sont le transport/entreposage, le tourisme et le commerce, perdant respectivement 28%, 25% et 23% de leur main d’œuvre.

Pessimisme

L’Etat a mis en place des mesures de soutien aux entreprises mais force est de constater que dans les faits, seule une infime partie en a bénéficié. Durant le premier round, seuls 7.31% des répondants ont reçu ces aides. Les deux tiers des entreprises qui n’ont pas reçu de soutien pointent du doigt la diffusion d’informations. La proportion s’est toutefois améliorée au second round avec 37.24%. Les MPME (micros, petites et moyennes entreprises) sont les plus lésées avec, entre autres, seulement 2.07% au premier round pour les petites entreprises (entre 6 et 19 employés), un chiffre qui est passé à 46.67%, au deuxième round. Lors du second round, pratiquement la moitié des grandes entreprises (de plus de 100 employés) ont reçu un soutien contre un quart au premier round.

Même si la situation semble s’être améliorée cette année, les entreprises affichent toujours leur pessimisme pour la suite. L’incertitude sur l’évolution future de la pandémie plane sur la tête des chefs d’entreprise.

vendredi, 30 juillet 2021 11:36

Journal des régions du 30 juillet 2021

    • Mahajanga : fiofanana momba ny fitaizana sy fampianarana zaza manana fikorotanan-toetra na « autiste »
    • Mandritsara : miangona ao Bazarin-tsarety ny rano noho ny fanaganana fotodrafitr’asa ambony lakan-drano
    • Atsinanana : hiroso amin'ny famarotana etona carbone ny kaominina Sahaviavy-Fito sy ny kaominina Andekaleka
    • SAVA: olona 200 nanaraka fiofanana momba ny fampiasana ny nomerika
    • Analanjirofo : fandraisana ara-nomerika na « digitalisation » ny anaran'ireo tantsaha mpamboly lavanila
    • Atsimo Atsinanana : nihena ny vokatra kafe tany an-toerana noho ny tsy fandriam-pahalemana

  • Mahajanga : formation sur l’éducation des autistes pour les parents, familles et éducateurs auprès des écoles primaires
  • Mandritsara : les constructions au-dessus des canaux empêchent l’évacuation d’eau dans le marché de Bazarin-tsarety
  • Atsinanana : les communes de Sahaviavy-Fito et Andekaleka procèderont bientôt à la vente de crédit carbone
  • SAVA : la formation sur l’utilisation des technologies a regroupé plus de 200 participants
  • Analanjirofo : la direction régionale de l’agriculture procède à la digitalisation de la liste des cultivateurs de vanille
  • Atsimo Atsinanana : la récolte de café a lourdement diminué

Sur place, un médecin ou tout autre soignant vous posera quelques questions ou vous fera remplir par vous-même un questionnaire très simple, visant à vérifier que vous pouvez être vacciné normalement. Les questions en résumé sont les suivantes :

  • Avez-vous eu la COVID au cours des 3 derniers mois ?
  • Avez-vous été vacciné contre la grippe ces 3 dernières semaines ?
  • Souffrez-vous d’allergies graves ?
  • Avez-vous de la fièvre ou d’autres symptômes ?
  • Avez-vous été en contact avec un cas confirmé dans les 7 derniers jours ?
  • Etes-vous enceinte ?

Eventuellement, vous pourriez avoir besoin de remplir ou de signer une lettre d’engagement ou une décharge, si vous vous faites vacciner auprès d’une ambassade ou d’une autre entité.

 



Inona avy ary ireo fanontaniana apetrak’ireo mpiasan’ny fahasalamana rehefa eny amin’ny toerana fanaovam-baksiny ?

Amin’ny ankapobeny dia apetraka sy valiana ambava ireto fanontaniana ireto, fa mety hitranga koa anefa hoe omena taratasy fenoina ianao, efa misy ireo fanontaniana.

Ireto avy ary ireto fanontaniana angatahana valiny aminao alohan’ny hanaovana ny vaksiny :

  • Efa voan’ny COVID-19 ve ianao tato anatin’ny telo volana farany ?
  • Nanao vaksiny miaro amin’ny gripa ve ianao tato anatin’ny telo herinandro farany ?
  • Manana allergie ve ianao na manana aretina mitaiza ?
  • Mahatsapa soritraretina amin’ny tazo ve ianao na soritraretina tsy mahazatra amin’izao ?
  • Mety nifampikasoka tamina olona voamarina fa mitondra ny COVID19 ve ianao tato anatin’ny fito andro farany ?
  • Raha vehivavy, mitondra vohoka ve ianao ?

Mety misy fanontaniana hafa ihany koa nefa ankoatr’ireo voalaza ireo.

 


vendredi, 30 juillet 2021 07:59

Le droit des femmes allaitantes

A Madagascar, seules 5 entreprises mettent à disposition des femmes allaitantes, une salle d’allaitement, selon le ministère du Travail, de l’emploi, de la fonction publique et des lois sociales. Pourtant, le code du travail stipule que lorsqu’une femme active vient d’accoucher, elle bénéficie d’un congé de maternité soit d’une période de repos, à partir de la naissance de l’enfant jusqu’à ce qu’il ait 15 mois. De ce fait, lorsque la mère reprend le travail, comme elle doit allaiter, elle a droit à une heure par jour pour être en phase avec son enfant. Cependant, une femme enceinte a également le droit de quitter son emploi du jour au lendemain, sans préavis ni indemnité. Ranto Rasolonjanahary, avocat, nous en dit plus.

Selon Lili Olga Ramaromandray, fondatrice de l’Akany Felana Maitso, un centre qui recueille les orphelins, il est difficile de gérer un orphelinat. Animée par l’amour des enfants, elle a réussi à les rassembler dans ce qu’elle qualifie « sa maison » pour finir par être appelée « maman » par ces nombreux petits orphelins qui ont des origines toutes différentes.

 


Anisan’ny mampiferotraina ny vehivavy avy niteraka ny fiverenana miasa. Mampiasa saina azy ireo ny fomba ampinonoana ny zanany sy fikarakarana azy ao an-toeram-piasana, indrindra raha tsy misy toerana natokana anaovana izany. Kanefa raha ny lalàna mifehy ny asa, dia manana zo ny vehivavy, hanana adiny iray isan’andro anaovana izany, rehefa tafaverina miasa, raha ny filazan’ny mpahay lalàna, Rasolonjanahary Ranto. Tsy voatery hisy toerana voatokana anaovan’ny reny fampinonoana anefa.

Tsy mora ny mitantana akany sy mitaiza zaza kamboty, raha ny filazan’i Ramaromandray Lili Olga, izay nanangana sy mitantana ny Akany Felana Maitso. Tsy mpitaiza fotsiny hoy izy no iantsoana fa « neny » na dia tsy nisy navoakany aza izy ireo. Noho izany dia entitra izy anaty fitaizana azy ireo.

Pour ne pas laisser le jazz s’endormir, étant toujours en contexte de COVID-19, Sity Rakoto, jeune voix féminine figurant parmi les références dans le monde du jazz malgache et d’ailleurs, compte apporter sa vision de la liberté et d’expression de soi, via sa musique, en misant sur la modernité de la nouvelle génération. Elle donne rendez-vous à ses fans ce soir, au No Doze. Voici son portrait.

« Le jazz est un monde de liberté et d’expression ». C’est avec assurance que Sity Rakoto ou Rakotomanga Antsanirina Stellah l’affirme. « Ce soir, je jouerai au No Doze avec le Weaver Trio. Le répertoire sera varié mais avec une touche très moderne, à notre façon nouvelle génération », ajoute-t-elle. Elle entend partager, à travers « ses jeux », sa liberté, en musique.

Outre cela, un EP (extended play) est déjà en vue avec le Trio Ranaivosoa. « C’est un partage entre nous tant humainement que musicalement. Une compo à moi s’y trouvera et chacun donnera du sien dans ce projet », nous confie-t-elle.

Alors qu’en 2019, elle a approfondi les bases du jazz au sein de l’EIJ (Ecole d’improvisation Jazz) à Rouen, Sity Rakoto projette de partir à Tours, pour poursuivre ses études en chant-jazz, au sein d’un conservatoire, l’an prochain. Cela lui permettrait, selon elle, de « vivre sa musique ».

Partage

Ayant grandi avec un père bassiste et une mère chanteuse, sa passion pour le chant a pris forme à l’âge de 11 ans. Boostée sans relâche par sa mère, elle a également pris des cours de piano et commencé à multiplier les scènes au niveau des églises.

D’après elle, le partage fait grandir en même temps que les autres. « Ma vision de chanteuse reste sur le principe que quand qu’on est musicien, on ne devrait pas s’arrêter sur les techniques vocales mais aussi approfondir la musique en général. Transmettre cela me tient à cœur ». Pour vivre sa passion encore plus fort, elle donne des cours individuels de techniques vocales et de base d’harmonie. A ses yeux, les jeunes devraient se lancer tant qu’ils le sont, en soulignant qu’on ne cesse d’apprendre dans la vie. « Les jeunes aiment la liberté et s’exprimer, qu’est-ce qu’il y a de mieux que le jazz pour le faire ? »

Travaillant de près avec des musiciens, également connus dans le monde du jazz, sa première participation au Festival Madajazzcar remonte à 2017, aux côtés de Sanda Ranaivosoa quartet. Depuis, elle a travaillé avec plusieurs musiciens de renom, comme les Weaver Trio, Harty Andriambelo etc. « Je n’ai pas juste travaillé avec des musiciens dans ce domaine, je me suis surtout fait beaucoup d’amis », précise-t-elle.

Vivre sa passion

C’est lors de ses voyages à l’étranger que Sity Rakoto a eu une nouvelle vision de la musique. « C’est tout un métier et contrairement à ce qu’on pourrait le croire, il est tout à fait possible d’en vivre et surtout de vivre de sa passion ». La musique, « c’est devenu une véritable passion et j’ai pris goût à l’apprentissage du jazz en particulier ».

Elle ne pense pas se cantonner uniquement au jazz, même si elle apprécie particulièrement ce style.   Elle d’affirmer qu’« on a tant à apprendre et c’est pour cela que je pense qu’on n’a pas à se dire que je suis juste dans tel ou tel domaine/genre, pour le moment, on me voit beaucoup dans le jazz et j’aime ça donc j’apprends et je me découvre petit à petit ».

Pour cette jeune artiste, il ne faut pas se laisser freiner. En avril dernier, en plein confinement, la COVID-19 ne l’a pas empêchée de faire un live en direct avec le Trio Ranaivosoa, via Facebook. Elle de conclure que « les réseaux sociaux servent à partager et apprécier la musique ».

Linda Karine

C’est dans un bureau rempli de dossiers pour la passation que le président de la Commission nationale indépendante des droits de l’Homme, fraîchement élu, Seth Andriamarohasina a reçu le Studio Sifaka. Ce représentant de l’ordre des journalistes au sein de la commission rempile pour un second mandat mais cette fois en tant que président. Il se réjouit du rajeunissement du bureau. Interview.

Studio Sifaka : Pouvez-vous nous rappeler en quoi consiste la Commission nationale indépendante des droits de l’Homme (CNIDH) en quelques mots ?

Seth Andriamarohasina : En général, la mission de la CNIDH se focalise sur la promotion et la protection des droits de l’Homme. En ce sens, elle mène des plaidoyers pour la signature des conventions sur les droits de l’Homme. Elle émet également des propositions pour mettre à jour des lois qui peuvent entraver les droits de l’Homme. Il y a aussi la participation à la vulgarisation des droits de l’Homme en milieu scolaire entre autres. Sinon, l’organe peut être saisi en cas de non-respect des droits l’Homme. La CNIDH a été mise en place par la loi 2014/007 à laquelle s’ajoute la loi 2018/028 qui fait de l’organe un mécanisme national et indépendant de prévention de la torture. Avec cette dernière loi, la CNIDH a l’autorisation d’aller dans les lieux de privation de liberté pour s’enquérir des conditions de détention. 

Qui peut saisir la CNIDH ?

La CNIDH est un organe quasi-juridictionnel, dans le sens où elle n’émet pas de jugement, ne peut appréhender des personnes mais peut par contre mener ses propres investigations, faire des recommandations, des propositions et des interpellations. Les rapports sont envoyés au Parlement à la Primature et à la présidence. Tout le monde peut saisir la CNIDH sur ce qui touche les droits de l’Homme, du droit à l’égalité devant la justice à la protection sociale. La CNIDH peut également s’autosaisir dans le sens où si elle prend connaissance d’un fait, elle peut mener une enquête d’elle-même. C’est le cas d’Antsakabary.

Combien de cas la CNIDH a-t-elle traités jusqu’ici ?

Depuis 2016, la CNIDH a déjà traité plus de 500 cas. C’est dans le foncier que la commission a reçu le plus de plaintes. Ce concerne le droit de la propriété inscrit dans l’article 17 de la Déclaration universelle des droits de l’Homme. Il y a également les exécutions sommaires et les vindictes populaires, qui ramènent à la présomption d’innocence et au fait que nous avons abrogé la condamnation à mort en 2014. Il faut beaucoup de sensibilisation sur ce point mais pas seulement car il est également question de la proximité des forces de l’ordre. Sinon, il y a aussi quelques faits de corruption autour des forces de l’ordre.  

N’y a-t-il pas un risque de chevauchement des missions avec les autres organes déjà en place comme le Bianco ?

Non. Des lois et des décrets délimitent le champ d’action de chacun pour qu’il n’y ait pas empiètement. La CNIDH travaille avec les organes déjà en place comme le Bianco, le PAC, la Justice, la Police ou la Gendarmerie. Chaque organe est régi par un texte règlementaire. Pour le moment, nous n’avons pas encore eu de problèmes de ce genre. Mieux, il a une certaine complémentarité entre les différents organes.

Quelle sera la particularité de cette nouvelle présidence ?

Il y a tout d’abord un rajeunissement des membres du bureau. C’est une bonne chose car cela apporte une nouvelle dynamique aux actions de la CNIDH. Si les structures sur la protection des droits de l’Homme sont en place, notre défi sera de faire en sorte que le traitement des faits ait un impact réel sur les plaignants. Nous allons donc nous pencher sur l’efficacité des actions de la CNIDH. Sinon, la première tâche sera de constituer toute l’équipe dans la mesure où les représentants de la société civile qui travaillent dans le secteur des droits de l’Homme ne sont pas encore connus.


La CNIDH est composée de 11 commissaires : un de l’Ordre des journalistes, un de l’Ordre des avocats, un de l’Exécutif, un de l’Assemblée nationale, un du Sénat, deux des sociétés civiles travaillant dans les droits de l’Homme, un dans les droits de la femme, un dans les droits des enfants et un dans les droits des personnes vivant avec un handicap.  


Propos recueillis par Tolotra Andrianalizah

jeudi, 29 juillet 2021 12:35

Journal du 29 juillet 2021

  • Sehatrasa faharoa manondrana vokatra be indrindra mankany ivelany ny fanamboarana akanjo eto Madagasikara
  • Tokony ho antoko na vondrona politika ihany no afaka manolotra olona handray anjara amina fifidianana eto Madagasikara
  • Tsy mitombina ireo mponina ao Ambinanindrano noho ny tsy fahampian'ny mpitandro ny filaminana miasa any an-toerana
  • Mbola manan-danja ny fifampitondrana ara-drazana any amin’ny Zafimaniry na eo ary ny rafi-panjakana

Beaucoup de discussions se font aujourd’hui sur la nécessité de suspendre provisoirement les brevets sur les vaccins contre la COVID-19.

Il s’agit, en fait, de permettre aux industries pharmaceutiques et aux laboratoires du monde de fabriquer les vaccins, jusqu’ici, sous brevets. L’idée est de favoriser l’accès aux doses de vaccins, à tous, de façon égale et équitable.

Mais selon certains experts, cette solution ne résoudra pas totalement la distribution des vaccins dans le monde. Selon eux, peu de laboratoires disposent de l’infrastructure et de la technologie nécessaires pour produire des vaccins de type ARN messager. De plus, cela prendra également du temps pour transférer le savoir-faire.

Il ne faut pas non plus oublier un autre facteur : la levée des brevets sur les vaccins pourrait aboutir à une pénurie des matières premières. Néanmoins, la tendance va vers la suspension des brevets. Des discussions à ce sujet se poursuivent. 

 

Hevitra mety ve ny hanalana ny brevet amin’ireo vaksiny miaro amin’ny COVID-19 ?

Betsaka ny ady hevitra mandeha amin’izao amin’ny tokony hanalana ny brevet amin’ireo vaskiny miaro amn’ny COVID-19, mandritra ny fotoana voafetra.

Raha izay tokoa no mitranga dia samy afaka hanamboatra vaksiny avokoa ireo laboratoara samihafa eran’izao tontolo izao, ka samy hahazo anjara avokoa ny olona rehetra.

Saingy ny sasany amin’ireo manam-pahaizana dia mieritreritra fa tsy voatery hahomby izany. Vitsy ihany mantsy ireo laboratoara no manana ny teknolojia ilaina amin’ny fanamboarana ireo vaksiny, izay teknolojia tsy mitovy amin’ny teo aloha fa avo lenta kokoa. Mila fotoana ihany koa fampitana ny fahaiza-manao.

Ankoatr’izay, mety hisy fiatraikany amin’ny vidin’ny ny akora ampiasaina amin’ny vaksiny ihany koa ny fanalana ny brevet.

Na izany aza, dia hita fa mizotra mankany kokoa ny fanapahan-kevitr’ireo firenen-dehibe.

 

jeudi, 29 juillet 2021 11:04

Journal des régions du 29 juillet 2021

    • Mananara Avaratra : nahato ny adina aram-panatanjahan-tena Bakalorea noho ny fahafatesana mpiadina iray
    • Atsimo : fametrahana ny « Tranon’ampela » hahafahan’ireo vehivavy mifanakalo hevitra momba ny fandrindram-piterahana
    • Diana: nanangana rafitra fikaonan-doha sy fitantanana ny renirano Sambirano ny mponina ao amin’ny distrikan’Ambanja
    • Fianarantsoa: tokony hafindra toerana ireo razana milevina ao Ivory avaratra
    • Mahajanga : hakatona ny ilan’ny lalana eo amin’ny Boulevard Poincaré manakaiky ny tora-pasika

  • Mananara Nord: l’épreuve de gym au baccalauréat est suspendue suite au décès d’un candidat
  • Sud: mise en place des centres “Tranon’ampela” pour sensibiliser les femmes à l’utilisation du planning familial
  • Diana : mise en place du Comité de gestion du bassin versant de Sambirano
  • Fianarantsoa : la commune invite les habitants à déplacer les corps inhumés sur les terrains d’Ivory Avaratra
  • Mahajanga : fermeture de la moitié de la voie publique Boulevard Poincaré
mercredi, 28 juillet 2021 11:52

Journal du 28 juillet 2021

  • Iray volana eo ho eo mialoha ny fidiran’ny mpianatra, efa miakatra daholo ny vidin’ireo fitaovam-pianarana
  • Faritra Atsinanana : tsy mandalo fahatanorana intsony ny ankamaroan'ny tanora ao amin'ny kaominina Ambinanindrano
  • Antsohihy : mbola mahaliana ny tanora ny dihy nentim-paharazana
  • Fifamoivoizana CUA : sahirana amin’ny fampiharana ireo fanovana ireo mpampiasa lalana tamin’ny andro voalohany

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