Rafitra iray ahafan’ny olom-pirenena rehetra mandray anjara sy mandray andraikitra amin’ny fampandrosoana eny ifotony ny SLC, « Structure Locale de Concertation » na Rafitra Ifotony Fikaonandoha. Tsara handraisan’ny tanora anjara eny anivon’ireny rafitra, izay misy isaky ny kaomina ireny, indrisy anefa fa mbola maro ny tanora no tsy mahalala ny fisiany. Mitondra fanazavana misimisy kokoa mahakasika azy ireny Patrick Randiamisata, tompon’andraikitra ara teknika misahana ny famakafakana sy ny fikarohana eo anivon’ny MSIS Tatao.
Les Structures Locales de Concertation ou SCL sont des structures établies au niveau communal dont l’objectif est de permettre aux citoyens de prendre part au développement local. Les jeunes ont également leur place au niveau de ces structures. Malheureusement, peu connaissent encore l’existence et les possibilités d’intégrer ces structures locales de concertation. Patrick Randriamisata, responsable des recherches et analyses au niveau de la Société Civile MSIS Tatao apporte plus d’explications en ce qui concerne ces structures.
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Au premier, au deuxième ou au troisième degré, les brûlures se soignent différemment. En cas de brûlure du premier et deuxième degré, c'est à dire des plaies plus ou moins superficielles, il est conseillé de passer la partie brûlée directement sous de l'eau tiède pendant 20 à 30 minutes, en fonction de l'origine de la brûlure (eau, produits chimiques, matériaux chauffants). Passer du dentifrice, de l'urine ou autre chose sur la brûlure est déconseillé par le docteur Lee Raoelinavalona. Selon lui, cela pourrait aggraver la plaie.Â
Misy sokajy maromaro ny fahamaizana : sokajy voalohany sy faharoa raha toa ka ny hoditra ihany no voakasika ary sokajy fahatelo kosa raha may hatrany anatiny. Tsy azo atao ny manisy "dentifrice" na amany eo amin'ny faritra may raha ny voalazan'ny dokotera Raoelinavalona Lee satria vao maika mety hahasarotra ny fery. Ny tsara dia lemana amin’ny rano matimaty mandritra ny 20 hatramin’ny 30 minitra arakaraky ny antony nahamay ilay faritra (rano, akora simika, fitaovana mahamay).
Extérioriser ses sentiments n’est pas facile qu’on soit adulte, adolescent ou enfant. En effet, gérer ses émotions peut être difficile, tout comme avouer sa tristesse, son désarroi, ses peurs etc. et expliquer, en détail, les circonstances malheureuses ayant conduit à cet état, à un autre que soi, peut être impensable voire impossible pour certains. Pour y remédier, certains psychologues, comme Hoby Andriamiharimanana, recommandent le mandala, dans certains cas, pour aider les personnes en détresse à extérioriser leurs sentiments, via des dessins ou du coloriage ou encore de la peinture.
Les patients dissociés, particulièrement (ceux qui sont déconnectés de leurs émotions, pensées et d'eux-mêmes) éprouvent davantage de difficultés à reconnaître et exprimer leurs ressentis. Cependant, hors de ce contexte, dans le quotidien, beaucoup refusent de partager ce qu’ils ressentent réellement et plongent certaines personnes parfois dans un état de dépression.
Pour aider les personnes en détresse, dans ses thérapies, la psychologue Hoby Andriamiharimanana propose de composer son propre mandala pour se détendre, évacuer le stress mais aussi pour exprimer librement ses sentiments. Notons que le mandala est aussi un outil pour travailler l'attention et la concentration.
Symboliser des émotions
Le mandala, développé développé à partir de 1875 par le médecin, psychologue et psychiatre, Carl Gustave Jung, permet de mieux connaître son « moi intérieur » et de représenter de façon symbolique ses émotions. Partant de figures géométriques et souvent d’un cercle concentrique principal, nommé point central, le mandala peut être étiré jusqu’à satisfaction du dessinateur, pour ensuite être agrémenté de formes et de couleurs, selon les envies de son géniteur. Les dessins en découlant sont, de base, assimilés à l’univers et à ce qu’il représente d’une part, tout comme d’autre part, ils peuvent dévoiler l’état d’esprit du moment de celui qui les compose. En général, les dessins aboutissent à une fleur ornementée, selon l’inspiration de son créateur.
Des coups de pinceau pour aller mieux
Le dessin d’un mandala est une chose, le remplissage de couleurs en est une autre. Pour être en passe de guérir son être intérieur et de mettre de l’ordre dans son conscient comme dans son inconscient, sans parler, la psychologie appelle à laisser le sujet concerné à avoir le libre-arbitre dans le choix de la grandeur des traits, des formes et aussi des couleurs. Selon la psychologue Hoby Andriamiharimanana, le mandala s'inscrit dans l'art thérapie.
Interprétations
Chaque psychologue a sa technique pour accompagner la personne dans son mal être et cela peut se faire à travers les dessins de patients en traitement.
Cependant, la continuité des lignes, la grosseur des figures, les couleurs qui dépassent hors d’un cadre ne constituent pas de critères pour analyser la gravité d’un cas car seuls la libre expression et le bien-être du patient comptent. L’objectif est atteint, si après un travail sur mandala, le patient se sent moins stressé ou encore plus léger, comme vidé d’un poids. Pour terminer, elle ajoute que, dans tous les cas, malgré que cela soit complémentaire, « dessiner un mandala et le remplir de couleurs est une étape pouvant aider à aller mieux mais ne peut pas se substituer à une séance de thérapie avec un psychologue ».
Linda Karine
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Les relents du régionalisme sont toujours palpables dans la société malgache. Un moyen de faire évoluer les mentalités est le voyage. Voyager, même dans le pays, est pourtant un luxe que peu de Malgaches peuvent se permettre.
« Voyager est fatal aux préjugés, à l’intolérance et à l’étroitesse d’esprit », disait l’écrivain Mark Twain. Le chercheur anthropologue Zinaha Raharinirina est du même avis. « Lorsqu’on ne voyage pas, on ne découvre pas ce qui se fait chez les autres », lance-t-il. L’universitaire de poursuivre que l’absence de voyage favorise l’ethnocentrisme, avec la pensée que seuls ses mœurs comptent, ajoutant que le côté insulaire des Malgaches favorise cette mentalité. Il fait, par ailleurs, remarquer que les Malgaches voyagent de moins en moins essentiellement, faute de moyens. « Le coût de la vie fait qu’on est moins enclin à voyager. D’un autre côté, les parents sont également plus protecteurs qu’avant. On va de moins en moins à la campagne et peu de parents veulent que leurs enfants aillent en voyage d’étude », explique-t-il. Zinaha Raharinirina avance pourtant qu’il est important de voyager dès l’enfance. « Dans ce sens, les vacances sont particulièrement utiles. Il est difficile de casser les préjugés une fois à l’âge adulte », indique-t-il.
Echanges
Grâce à son travail, le photographe Iako Randrianarivelo fait partie de ces Malgaches qui ont la chance de voyager souvent dans le pays pour son travail. « C’est très instructif. J’ai découvert que ce qui est vrai chez moi ne l’est pas forcément dans une autre région », lance-t-il, en précisant l’importance des échanges durant les voyages. « Cela ne sert à rien de s’enfermer à l’hôtel. Discuter avec les gens favorise la compréhension mutuelle », ajoute-t-il. Les échanges ne se font pourtant pas systématiquement durant les voyages, souligne Zinaha Raharinirina, qui prend exemple sur certains Tananariviens qui restent entre eux une fois à Mahajanga ou à Toamasina, endroits de villégiature privilégiés des habitants de la capitale.
Tolotra Andrianalizah
Premièrement, les recherches sur le coronavirus ont commencé depuis 2002. A l’époque, des scientifiques et des experts avaient déjà pour objectif de créer un vaccin. Les fruits de leurs recherches ont grandement facilité la tâche aujourd’hui.
Deuxièmement, la disponibilité des ressources financières revêt une importance capitale. Presque tous les gouvernements du monde entier ont débloqué des millions pour soutenir les recherches de vaccins.
Et enfin, les essais cliniques ont été réalisés plus rapidement. Des milliers de volontaires se sont présentés à chaque phase du développement d’un vaccin. Cela a très vite enrichi la base de données et les observations scientifiques.
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Ahoana ny nahafahana namorona vaksiny miaro amin’ny vaksiny COVID-19 tao anatin’ny fotoana fohy ?
Voalohany, efa nisy valimpikarohana niaingana tao. Ny teny hoe coronavirus mantsy dia efa niforona tany amin’ny taona 2002. Tamin’izany dia efa nanomboka nitady vaksiny ireo manampahaizana, ka ny asan’izy ireny ihany no notohizana taty aoriana.
Faharoa, Saika ny ankamaroan’ireo firenena lehibe sy fikambanana iraisampirenena dia samy nanome vola aman-tapitrisany avokoa, mba hanohanana ny fikarohana vaksiny.
Ary farany, haingana kokoa ny fotoana nanaovana ny andrama. Maro be ireo olona manerantany no nanolo-tena sy nanaiky atao andrana amin’ny vaksiny. Vetivety noho izany dia voaangona ireo isa nilain’ireo manampahaizana nahafahany namoaka ny vaksiny. Â
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