COVID-19 : Tous ensemble face au virus

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Karine Manoa Linda

Karine Manoa Linda

  • Tanora miisa 25 voahofana ho teknisianina eo amin’ny fambolena sy ny fiompiana tao Analamalotra, Toamasina 2
  • Distrikan’Andapa : vita ny tohadrano ao Ambodisatrana
  • Efitrano miisa 6 vaovao tafatsangana ao Antanalava, distrikan'i Vohipeno

  • Analamalotra, Toamasina II : 25 jeunes formés pour devenir techniciens dans les activités agricoles
  • Andapa : le barrage hydroagricole d’Ambodisatrana est opérationnel
  • Antanalava Vohipeno : 06 nouvelles salles de soins ont été construites
  • Mahajanga : mitaraina ireo mpitatitra sy mpikarakara lanonana noho ny fiantraikan’ny fepetra ara-pahasalamana amin’ny fitadiavam-bolan’izy ireo
  • Toamasina : miakatra ny vidin’ny aro vava orona
  • Maroantsetra : haintrano goavana tao Rantabe nandoro sy nandrodana trano miisa valo

  • Mahajanga : les transporteurs et organisateurs événementiels se plaignent des conséquences des mesures sanitaires sur leurs revenus
  • Toamasina : le prix des masques en hausse
  • Maroantsera : incendie à Rantabe, huit maisons brûlées et démolies

Un faux négatif est un test PCR qui ne détecterait pas le virus alors qu’il est pourtant bien présent dans le corps de la personne testée. Selon les scientifiques, techniquement si vous êtes atteint du coronavirus dans le nez on le trouvera à 100 %. Le test PCR reste le moyen le plus fiable de détecter  une infection au coronavirus. Pourtant dans certains cas, il arrive parfois que le PCR ne détecte pas le virus alors que la personne est porteuse de ce dernier. En effet, un test peut passer à côté de la contamination dans deux cas. Le premier : si le prélèvement a été mal réalisé, par exemple si l’écouvillon n’a pas été enfoncé assez profondément dans les fosses nasales et qu’il n’extrait pas assez de cellule. Le deuxième : si la personne se fait dépister trop tôt ou trop tard.

Par exemple, avant l’apparition des premiers symptômes, seuls des résidus de la COVID-19 se trouvent dans vos fosses nasales, dans ce cas le test ne détectera pas forcément l’ADN du virus et le résultat du test PCR sera négatif, alors que deux jours plus tard des symptômes comme la toux et la fièvre apparaîtront et vous serez positif au même test.

Ce qu’il faut retenir, c’est que le PCR détecte au moment T si la personne est porteuse du virus ou non. On peut être négatif au moment du test et infecté quelques minutes plus tard. Il est donc important de faire le test PCR au moment où on a des symptômes.

À noter que le PCR reste le test le plus fiable à ce jour.



Inona  ilay atao hoe « faux négatif » amin’ny COVID-19?

Fitiliana PCR tsy mahita hoe voan’ ilay tsimokaretina ny olona izay mitondra ny coronavirus no atao hoe “faux négatif ». Araka ny filazan'ny mpahay siansa, ara-teknika raha misy coronavirus ao amin'ny orona dia tokony ho hita 100% izany.

Ny fitiliana PCR no fomba azo antoka indrindra hahitana ny otrikaretina Coronavirus. Kanefa indraindray tsy mahita ilay tsimokaretina amin’ny vatan’ny olona ny PCR. Roa no mety ho anton’izany: Voalohany raha ohatra ka tsy nanaraka ny fenitra ny fitiliana, ohatra hoe tsy natsofoka tsara tanaty lavakorona ilay écouvillon na ilay fitaovana fanaovana fitiliana iny ka tsy ampy ireo sela voarainy. Faharoa raha ohatra ka aloha na tara loatra no hanaovana ny fitiliana.

Ohatra, alohan'ny hisehoan'ireo soritr'aretina voalohany, ambiny kely amin’ny COVID-19 sisa no hita ao amin’ny lavan-korona, ka tsy voatery hahita ny ADN an’ilay tsimokaretina ny fitiliana, négatif araka izany no mety ho valiny. Kanefa roa andro aty aoriana, mety hiseho ny soritr'aretina toy ny kohaka sy ny fanaviana, ary ho hita amin’izay fa mitondra ny tsimokaretina raha manao io fitiliana io ihany.

Ny tsara ho fantatra dia misy fotoana voafaritra hahitan’ilay fitiliana fa mitondra na tsia ny tsimokaretina ilay olona. Mety tsy ho hita hoe mitondra ny tsimokaretina izy mandritra ilay fitiliana kanefa afaka miparitaka izany minitra vitsy aty aoriana. Zava-dehibe araka izany ny hanaovana ny fitiliana PCR amin’ny fotoana hisehoan’ireo soritr’aretina.

Marihina fa ny PCR aloha hatreto no fitiliana azo antoka indrindra.


mardi, 30 mars 2021 12:47

Journal du 30 mars 2021

  • COVID-19 : ny faritra Analamanga, Diana, Boeny, Atsinanana sy Analanjirofo no ahitana trangana coronavirus betsaka indrindra isanandro
  • Mausolée: tsangambaton’ireo mahery fo tamin’ny taona 1947
  • Ny fiaraha-monina no mamaritra ny atao hoe olo-manga
  • Nanamarika ireo tanora ny fahatsoran’i Taa Tense sy ny hafatra nampitany amin’ny hirany
  • Vohipeno : misy sahady ireo mpandraharaha sahy mividy vokatra lavanila maitso mialohan’ny fotoam-piotazana


  • Coronavirus : le nouveau variant en Inde pourrait être plus dangereux
  • Le degré de motivation des jeunes à commémorer le 29 mars
  • Qui sont les plus touchés par les troubles bipolaires ?
  • Schémas d’Aménagement Communal, un outil de développement socio-économique
  • COVID-19 : le digital comme moyen de survie des entreprises

Avec la remontée des nouveaux cas de contamination depuis début mars, la peur gagne la population. Les décoctions à base de ravintsara, gingembre et ail reviennent en force. Mais si certains ne jurent que par ces remèdes naturels pour se protéger, d’autres ne croient plus aux effets de ceux-ci.

En quelques semaines, le prix des bouquets de ravintsara ainsi que ceux des bouquets d’eucalyptus ou kininim-potsy ont grimpé. Il en est de même pour le gingembre, l’ail, le citron et d’autres produits qui servent principalement dans les décoctions anti-covid. Nombreux sont ceux qui ont totalement confiance en l’efficacité de ces remèdes de grands-mères. Mais ces décoctions suffisent-elles réellement pour se protéger contre la COVID-19 ?

Pour renforcer ses défenses immunitaires

« Je suis un traitement auprès d’un reflexothérapeute pour des problèmes de santé, et c’est ce dernier qui m’a conseillé de prendre une décoction à base de ravintsara, ail, miel et citron chaque matin », explique Mme Mialy. Ayant aujourd’hui la cinquantaine, elle a préféré prendre cette décoction depuis mars 2020, « cela permet de booster mon système immunitaire, m’a expliqué mon reflexo-thérapeute, et jusqu’à maintenant je me porte bien », souligne-t-elle.

Beaucoup font comme cette femme et utilisent les décoctions à base de plantes pour se protéger de la Covid-19. Depuis début mars 2021, le prix des ingrédients pour réaliser ces remèdes ont connu une hausse. « Par rapport à décembre, le prix d’un bouquet de ravintsara a doublé, de même pour l’eucalyptus », explique Jéremy, vendeur de plantes aromatiques.   

Certains restent cependant hésitants face à la réelle efficacité de ces solutions traditionnelles. C’est le cas de Tovo, qui préfère, selon lui, opter pour des médicaments dont les compléments de vitamines, calcium et autres. « Je préfère rester lucide et opter pour des produits qui ont prouvé leur efficacité », explique-t-il.

A conjuguer avec les mesures sanitaires et médicales

« Il ne s’agit point de se fier entièrement à ces remèdes naturels, mais plutôt d’utiliser des techniques d’aromathérapies qui peuvent aider à renforcer le système immunitaire », explique Mme Mialy. Pour elle, comme pour les membres de sa famille, ces décoctions et remèdes naturels ne suffisent pas à eux seuls. « En même temps, nous prenons garde à bien respecter les gestes barrières. Mais comme il faut que chacun travaille et suive ses études, cela nous permet d’être plus confiants », souligne-t-elle.

« Même les étrangers utilisent des plantes qui viennent de Madagascar en aromathérapie. Cela démontre à quel point nos plantes sont reconnues pour leurs vertus. Mais il faut savoir bien les utiliser pour en tirer les bénéfices », explique Rasamivelo Rémi Joséphin, tradi-thérapeute de la CNARP (Centre nationale de recherche pharmaceutique). Ce tradi-thérapeute souligne toutefois que même si ces remèdes naturels ont leur efficacité, il faut les conjuguer avec les remèdes conventionnels.

Dernier match. Dernière chance pour les Barea pour continuer à rêver. Plus le droit à l’erreur pour les hommes de Nicolas Dupuis qui ont fait pâle figure la semaine dernière, en Ethiopie.

L’équipe malgache a rendez-vous avec son destin cet après-midi, sur la pelouse synthétique de Barikadimy. Actuellement troisième du groupe à 7 points, les Barea doivent impérativement l’emporter sur le Niger. Un tout autre résultat qu’une victoire signifierait directement une élimination, mais là encore la qualification dépendrait du match entre la Côte d’Ivoire et l’Ethiopie, qui se jouera au même moment. Pour que Faneva Ima et consorts passent le tour des éliminatoires, il leur faudra que les Antilopes perdent face aux Eléphants. Handicapés par la raclée subie, il y a quelques jours, sur la pelouse de Bahir Dar, les Barea ne peuvent compter sur un nul entre les deux premiers du groupe, à moins d’étriquer le Niger avec une différence de 6 buts. Tout cela pour dire que les Malgaches n’ont plus leur sort entre leurs crampons. Quoi qu’il en soit, l’espoir est toujours de mise, dans la mesure où si la hiérarchie est respectée, les Ivoiriens devraient l’emporter face aux Ethiopiens. Lors de la conférence de presse d’avant match, le sélectionneur Nicolas Dupuis a indiqué que les Malgaches se doivent de gagner pour ne pas avoir de regret.

L’adversaire

Bien que bon dernier du groupe avec 3 points, le Niger entend sortir de la compétition la tête haute comme le souligne son sélectionneur, Jean Michel Cavalli. Il entend ainsi achever la campagne de son équipe par une victoire, d’autant plus que les Nigériens auront à cœur d’effacer l’affront subi à domicile où ils ont été écrasés par les mêmes Barea sur le score de 6-2. Nicolas Dupuis est conscient du piège que représente le match mais il pourra compter sur la présence Rayan Raveloson, de retour dans le groupe.

L’annonce du trajet du cortège funèbre de l’ancien président n’a pas manqué de réunir des gens tout le long. Didier Ratsiraka s’est vu offert un ultime bain de foule, avant d’être déposé au Mausolée, un 29 mars. Tout un symbole.

« Je me devais d’être ici. Je me devais de lui rendre un dernier hommage », lance une femme de 64 ans, qui attendait patiemment à la sortie du Palais d’Iavoloha, où s’est tenue la cérémonie d’adieu à l’ancien président. Comme la jeune République de Madagascar, elle aura pratiquement eu Didier Ratsiraka comme président durant près d’un tiers de sa vie, l’Amiral ayant été à la tête du pays pendant 23 ans. Une foule mêlant nostalgiques mais également des badauds a commencé à s’amasser sur le trajet du cortège annoncé par l’exécutif, la veille. Au passage de la voiture transportant le corps, chacun essayait d’apercevoir le cercueil à l’arrière d’un pickup de l’armée, entourée par six officiers de la marine, en tenue d’apparat, faisant signe de la main pour certains, lâchant un « au revoir » pour les autres. Une femme a même éclaté en sanglot parmi la foule au niveau de la bifurcation vers Ambohimiandra. « Il est parti ! Il est parti ! », crie-t-elle, après le passage de l’Amiral. 

Rombo !

Sur le By-pass, au niveau de la sortie vers Ankadimbahoaka, le député Paul Bert « Rossy » Rahasimanana, a organisé un petit comité d’accueil avec sa troupe de musiciens. « Andeha hody ny Amiraly e (L’Amiral va rentrer chez lui), Didier Ratsiraka ! », ont-ils notamment chanté sur une note de vakisôva. Soutien indéfectible de l’ancien président, notamment lors de la crise politique de 2001, Rossy a décidé de l’honorer à sa manière, avec « le peuple », une manière de rappeler la popularité d’antan de « Deba ». Cela a bien évidemment contrasté avec la solennité de la cérémonie, qui s’est tenue dans la cour d’honneur du Palais d’Iavoloha et au Mausolée. C’est un peu à l’image du personnage, militaire dégageant une certaine fermeté, aussi bien dans les gestes que dans le regard, mais avec une capacité à saisir et à haranguer la foule. On se rappelle notamment de son légendaire « Rombo ! ».

Le cortège est arrivé vers 15h45 à Avaratr’Ambohitsaina. La foule était encore plus compacte à l’extérieur du site. Seuls la famille et les officiels ont été autorisés à assister à l’événement. Des chants ont accompagné le cercueil de la voiture au portail du Mausolée. La cérémonie sur les lieux fut rapide, le temps de placer le corps dans le monument funéraire. Le président de la République Andry Rajoelina a, pour sa part, déposé une gerbe. Ainsi s’achève le périple de celui qu’on a surnommé Deba, homme politique incontournable de l’histoire du pays.

lundi, 29 mars 2021 12:33

Journal du 29 mars 2021

 

  • Toy ny ahoana ny fahafantaran’ny tanora ny filoha Didier Ratsiraka?
  • Fisaonam-pirenena : miankina tanteraka amin’ny fanapaha-kevitry ny fitondram-panjakana
  • 29 Martsa 1947 : fiandohan’ny tolona ho an’ny fahafahana nataon’ireo mahery fo, izay naharitra heritaona sy tapany
  • Manantena fandresena ireo mpankafy Barea amin’ny lalao rahampitso talata 30 martsa

 


  • Les vaccins Astrazeneca, Johnson&Johnson et Novavax en cours d’étude pour Madagascar
  • Les séquelles possibles du coronavirus
  • 29 mars 1947 : les jeunes y accordent peu d’importance
  • L’évolution de la production cinématographique autour du 29 mars 1947

lundi, 29 mars 2021 11:45

Sifflet du 29 mars 2021

- Ireo ao anatin’ny « club des supporters » ihany no mahazo manatrika ny lalaon’ny Barea, rahampitso 30 martsa, any Toamasina

- Barea : hanampy ny ekipam-pirenena i  Raveloson Rayan

- Ny maha samihafa ny « coupe » sy ny « championnat »

- Echec : handray anjara amin’ny fiadiana ny ho tompon-dakan’i Afrika en ligne i Madagasikara

 


- Seuls les clubs des supporters sont autorisés à assister au match des Barea à Toamasina

- Barea : Rayan Raveloson renforce l’équipe

- Les différences entre une coupe et un championnat

- Echec : Madagascar participe au championnat d’Afrique en ligne

lundi, 29 mars 2021 10:07

La peinture vitrail par Maraa

Maraa, une jeune artiste peintre malgache utilise le verre pour ses tableaux. Suivant le chemin de Natoa Rasolonjatovo, qui lui se spécialise dans la peinture à l’huile, Maraa approfondit la peinture vitrail et le thème de la spiritualité. Elle a nommé ses premières œuvres « l’introspection ». Le verre symbolise pour Maraa la transparence et la pureté à l’état physique. Selon elle, le verre reflète la découverte du soi intérieur.   


Maraa, tanora malagasy mampiasa ny fitaratra hanaovana hosodoko. Nanaraka ny dian'i Natoa Rasolonjatovo, saingy mampiavaka an’i  Maraa manokana ny loko ampiasainy ary ny lohahevitra mahakasika ny fanahy kokoa izay voiziny. « Introspection » no lohahevitra noraisainy voalohany amin’ireo sangan’asany. Maneho ny fangaharaharana sy ny fahadiovana ny fitaratra hoy i Maraa. Ahitana taratra ny ao anaty manokana. 

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