Tsalotsalo na hoe tsetsotsetsoka. Fiteny avy ao Antsirabe, ilazana toetra na fihetsika mitsatsaingoka, mitsetsoka na ihany koa miteny zavatra tsy tokony notenenina. Mifandray amin’ilay feo hanononana azy ny “tsalotsalo” ka lasa misy heviny mahatsikaiky ihany koa. Hazavain’i Ony Donia, mpanoratra no sady mpampianatra mpikaroka.
"Tsalotsalo" fait référence au fait d'être pipelette. C’est un terme utilisé à Antsirabe. Il renvoie au caractère des jeunes qui ont la langue bien pendue ou qui font des commérages et partagent des informations privées, sans qu’on le leur demande. En lien avec sa prononciation, « Tsalotsalo » renferme également une connotation humoristique. L'auteur et enseignant chercheur Ony Donia nous l’explique dans Kozio ahy.
Tsy afaka niasa nanomboka ny volana aogositra 2020 ny Scanner izay fitaovana ahafahana mijery ny avokavoka na ny taova rehetra amin'ny vatana ao amin’ny hopitaly manarapenitra Andrainjato Fianarantsoa. Io hopitaly io anefa no mandray antanana ireo mararin’ny Covid19 ao amin’ny faritra Matsiatra Ambony. Manampy amin’ny famantarana ny aretina ny scanner, ahafahana mahita ny fiitaran’ny tsy fahatomombanan’ny avokavoka vokatrin’ny covid19 ary tsaratsara kokoa izy io raha oharina amin’ny radiographie tsotra raha ny fanazavan’ ny lehiben’ny sampandraharaha misahana ny areti-mifindra ao amin’ny hopitaly Tambohobe, Professeur Rakotoarivelo Rivo.
Le Scanner du Centre Hospitalier Andrainjato Fianarantsoa est hors service depuis août 2020. Pourtant, cet hôpital prend en charge les patients de COVID-19 de la région Haute Matsiatra. Le scanner aide au diagnostic de la COVID-19, il permet de détecter les problèmes respiratoires au niveau des poumons. Il permet aussi de détecter le développement l’insuffisance pulmonaire causée par le coronavirus et il est plus efficace par rapport à la radiographie, selon les explications du chef de service maladie infectieuse au CHU Tambohobe Fianarantsoa.
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Alors que l’exécutif a finalement donné son feu vert à la vaccination après plusieurs mois de tergiversation, Transparency International- Initiative Madagascar dévoile les résultats d’une enquête sur ce qu’en pensent les Malgaches.
« Environ 75 % des répondants approuvent l’introduction de vaccins contre la COVID-19 sur le territoire malgache et 76 % ont affirmé leur souhait de se faire vacciner », peut-on lire dans le communiqué de presse de Transparency International – Initiative Madagascar. Les Malgaches sont généralement favorables à la vaccination à en juger les résultats de cette enquête, réalisée dans les zones d’intervention du projet Aramaso de l’association, où 1.700 personnes âgées de plus de 18 ans ont été interrogées. Les sujets âgés de plus de 50 ans sont les plus favorables à la vaccination avec une proportion de 85 %. Par ailleurs, la majorité des répondants estiment que la vaccination doit être gratuite (96 %) et qu’elle ne doit pas être obligatoire (92 %).
Reprise des aides
Concernant la perception des mesures prises par l’Etat, 56 % des personnes interrogées les jugent suffisantes et adéquates. Les sondés qui se disent insatisfaits pointent notamment du doigt un manque de sensibilisation autour des variants et l’insuffisance du contrôle de l’application des mesures de la part du gouvernement. Soulignée lors de la précédente enquête publiée en novembre 2020, la transparence dans la gestion des fonds alloués à la COVID-19 laisse encore à désirer car seuls 23 % des répondants ont constaté une amélioration. Par ailleurs, 92 % avancent la reprise de la distribution des aides sociales.
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Face à la deuxième vague de COVID-19, qui paraît être plus forte que la précédente, la panique gagne la population. Chacun essaie de trouver des moyens de s’en protéger, les longues files devant les pharmacies, les officines de remèdes traditionnels ou les CSB en témoignent. Face à cet affolement, des business se créent, des spéculations se font… au prix de la vie des autres.
Il y a une année, au tout début de la pandémie, ce fut la flambée des prix des masques. En seulement quelques jours, le stock des pharmacies s’est épuisé, amassé par des revendeurs qui, face à la panique, n’avaient pas froid aux yeux de revendre une pièce à deux, voire trois fois son prix normal. Aujourd’hui, c’est au tour du remède ED1, des médicaments en pharmacies, mais aussi des bouteilles d’oxygène et des concentrateurs.
La queue dans les pharmacies
Depuis qu’il a été décrété que le protocole COVID-19 peut être acheté en pharmacie, les longues files n’en finissent pas. Par ailleurs, les familles de malades traités dans les CSB et les centres hospitaliers se plaignent de devoir payer des médicaments qui, normalement, devraient être entièrement gratuits. Face à cela, le conseil des ministres du 7 avril prévoit des mesures de suivi et de sanctions pour les responsables qui vendent les protocoles de traitement de la COVID-19, au niveau des centres de traitement.
« Le manque d’information, ou plutôt le manque de clarté dans les informations qu’on donne à la population est sans doute la raison de cela », souligne une jeune femme, qui a été au CSB II pour avoir les traitements de la COVID-19. « Je n’ai pas eu le traitement, on m’a demandé de passer d’abord par un test, pourtant la fatigue ne me permettait plus de faire le trajet. J’ai donc préféré passer par un médecin privé pour avoir l’ordonnance et acheter les médicaments en pharmacie », souligne-t-elle.
La course à l’ED1
Des témoignages de personnes qui l’ont utilisé, semblerait-il, ont largement influé sur la confiance qu’ont les Malgaches en ce dit remède miracle qu’est l’ED1. Les rumeurs sur une interdiction de vente et sur l’arrestation du professeur, qui en est l’auteur, ont également propulsé ce produit dans le top des remèdes à avoir pour vaincre la COVID-19.
Comme il est devenu plus difficile d’en trouver, des personnes sans scrupules ont profité de la situation pour basculer vers les contrefaçons, vendues parfois même à 30.000 ariary, à ceux qui ne savent différencier le vrai du faux. D’autre part, certains se sont procurés des quantités pour en revendre. Au départ vendu par ces soi-disant samaritains à 25.000 ariary soit 5.000 ariary de plus que le prix normal, le flacon se vend aujourd’hui à 40.000 ariary.
« C’est triste que même les personnes en qui on avait confiance peuvent profiter de notre faiblesse », soupire Lalaina, une jeune femme qui, après avoir passé commande auprès d’un ami et attendu 3 jours, a eu la mauvaise surprise d’un remboursement soudain parce que le prix aurait semble-t-il doublé. Par peur de contracter la COVID-19 en faisant la queue au milieu d’une foule incertaine, elle préfère débourser la somme.
Le marché grandissant des soins à domicile
D’une part, les centres de traitement affichent complet. Par ailleurs, certaines familles préfèrent être au chevet de leur malade et optent pour des soins à domicile. Une aubaine pour des paramédicaux qui proposent des consultations ou des soins à domicile. Selon les témoignages d’une personne qui souhaite préserver son anonymat, « Il faut compter dans les 30.000 ariary pour engager les services d’un paramédical qui travaille à son compte, et entre 40.000 et 50.000 ariary si ce dernier a été trouvé via une agence.
Même l’air se paie au prix fort
Si en temps normal, un concentrateur d’oxygène est loué entre 20.000 ariary et 40.000 ariary par jour, la pénurie a fait grimper ce prix jusqu’à 250.000 ariary. Un prestataire, qui loue des concentrateurs d’oxygène, témoigne de la forte demande. Ils reçoivent plus de 50 appels par jour pour louer des concentrateurs d’oxygène.
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L’hiver : une saison mal aimée et une période morose. Il rime souvent avec rhume, grippe, toux, accidents vasculaires, cheveux cassants, crevasses, et bien d’autres encore. Pourtant, il approche à grand pas et il faut bien l’accueillir dans la santé. Voici quelques astuces pour bien se préparer pour l’hiver :
Aérer la maison
Généralement, on ferme les fenêtres et les portes lorsque les températures commencent à baisser. Une tendance à éviter ! En effet, une pièce close favorise la nidation des microbes et bactéries. En aérant toutes les pièces de la maison, vous évitez une augmentation de l'humidité, l'apparition de moisissures, et champignons. Vous évacuez, en même temps, les allergènes et les mauvaises odeurs.
Stopper la malbouffe
Il est toujours conseillé d’adopter une alimentation saine afin de maintenir une bonne santé. La malbouffe perturbe les hormones, cause l’obésité, et augmente les risques d’accidents vasculaires. Or, la période hivernale favorise déjà les attaques cérébrales. Alors, à la place des boissons gazeuses, des snacks, et des fast-foods, optez pour des fruits et légumes. Leurs innombrables nutriments contribuent au bon fonctionnement de l’organisme et permet de prévenir diverses maladies.
Une cure de vitamine C est également à privilégier avant l’entrée en hiver afin de renforcer notre système immunitaire. C’est aussi un meilleur moyen pour lutter contre le coronavirus. Privilégiez les agrumes comme les citrons, les oranges, les fruits secs et les légumes du soleil comme les tomates et les poivrons.
Rester actif
30 minutes de marche, de jogging, ou d’exercices physiques permettent de régulariser le rythme cardiovasculaire. Si possible, faites de l’exercice tôt le matin avant toutes les tâches de la journée. Au bureau, prenez une pause toute les une heure et étirez-vous. Cela permet d’améliorer votre productivité et votre niveau de concentration.
Hydrater la peau
Le froid agresse la peau en ralentissant la circulation sanguine à la surface de votre peau. Cela entraîne une réduction de la production de sébum par les tissus cutanés et la peau s’assèche.
Protéger les cheveux
Afin de ne pas agresser le cuir chevelu, privilégiez les shampoings doux et les rinçages à l’eau tiède, voire froide. Limitez le lavage à une à deux fois par semaine. Aussi, éviter de sortir les cheveux mouillés pour limiter les casses. Comme la peau, les cheveux ont également besoin d’être hydratés.
Faites des masques hydratants et nourrissants à base d'huile d'argan, d’huile de coco et de jojoba. Et dernier point, choisissez des bonnets et des écharpes en laine.