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À l’heure actuelle, aucune étude scientifique ni essai clinique ne peut confirmer avec certitude que le remède traditionnel Ed1 est efficace contre la COVID-19, même si certaines personnes ont déjà témoigné sur les réseaux sociaux.
En effet, il reste encore des questions sans réponse autour de ce remède. Il n’existe pas d’informations fiables sur la composition exacte de l’Ed1, la teneur en principes actifs, comment il agit dans l’organisme et quels peuvent en être les effets secondaires.
On ne sait également pas si l’utilisation de ce produit peut constituer des risques pour les sujets diabétiques ou qui souffrent d’hypertension.
Et attention, il existe aujourd’hui des produits contrefaits de l’Ed1 vendus sur le marché et sur les réseaux sociaux. Toujours est-il qu’on ignore l’origine des produits, la qualité des composants utilisés et aussi les conditions de conservation.
Restez prudent et informez-vous bien avant de prendre vos décisions !
Mahomby amin'ny COVID-19 tokoa ve ilay fanafody nentim-paharazana Ed1?
Mbola tsy misy fandalinana siantifika na andrana afaka manamarina aloha hatreto fa mandaitra amin'ny COVID-19 ny fanafody nentim-paharazana Ed1, na dia efa nisy aza ireo olona nijoro vavolombelona tamin'ny tambajotra sosialy.
Mbola misy tokoa ireo fanontaniana tsy voavaly manodidina an'io fanafody io. Tsy misy fahalalana azo antoka mikasika ny singa mandrafitra azy, ny fatran’ny akora, ny fomba fiasany amin’ny vatana ary ny mety ho vokany.
Tsy fantatra ihany koa raha mety hisy fiantraikany amin’ny olona voan'ny diabeta na manana tosidra ambony ny fampiasana an'io vokatra io.
Mila mitandrina ihany koa satria misy ireo vokatra Ed1 sandoka amidy eny an-tsena sy amin'ny tambajotra sosialy. Ary tsy fantatra ny niandohan'izy ireny, ny kalitaon'ny singa ao anatiny ary koa ny ny fomba nitahirizana azy.
Mitandrema hatrany ary alalino tsara alohan'ny handraisana fanapahan-kevitra!
Alors que la COVID-19 ne semble pas fléchir ces derniers jours, la question de la reprise des cours la semaine prochaine est sur toutes les lèvres chez les parents et les enseignants.
Le prolongement des vacances de Pâques annoncé par le président de la République prendra fin le 16 avril. Sauf nouvelle déclaration, les enfants devraient reprendre le chemin de l’école, le lundi 19 avril prochain. L’évolution des chiffres de la COVID-19 laissent cependant perplexe, notamment dans la région de la capitale, épicentre de la deuxième vague. Les jours se suivent et se ressemblent avec leurs lots de nouveaux cas et de morts. « Il est difficile pour les tout-petits de respecter les gestes barrières. Il y a de fortes chances qu’ils ramènent le virus chez eux », soulève un père de famille sur Facebook. A l’image de ce dernier, les parents se posent des questions sur ce qui adviendra la semaine prochaine.
A distance
Dans certaines écoles privées, les cours ont commencé à être dispensés à distance, depuis le début de la semaine. « Nous utilisons Google Classroom pour envoyer les leçons et les devoirs. Pour les parents qui n’ont pas accès à internet, nous les invitons à récupérer les documents à l’école », explique la directrice d’un établissement de la capitale. Pour les établissements publics, la situation est plus délicate. « Le recours à des polycopies est inéluctable. Le problème, c’est que l’école ne pourra pas les payer jusqu’à la fin de l’année », lance la directrice d’une EPP, dans un quartier défavorisé d’Antananarivo. En cas de suspension des cours en présentiel, elle envisage de rencontrer les parents pour leur en parler. Elle s’attend d’ores et déjà à des discussions tendues, dans la mesure où les parents n’ont pas forcément les moyens pour des dépenses supplémentaires.
Crise des apprentissage
Officiellement, le ministère de l’Education nationale a mis en place un protocole pédagogique en cas d’impossibilité de tenir les cours en présentiel. Un livret d’auto-apprentissage est notamment prévu pour que les élèves puissent poursuivre l’éducation à domicile. La directrice de l’EPP indique en avoir notamment entendu parler par des collègues mais elle affirme ne pas avoir en avoir vu les couleurs pour le moment. Par ailleurs, le protocole souligne l’obligation de respecter les mesures sanitaires dont la distanciation de un mètre. Notre interlocutrice regrette que cela soit impossible dans son établissement où une classe accueille jusqu’à 70 élèves. « Nous avons trois enfants par table-banc au lieu de deux », précise-t-elle. Elle prévoit ainsi de diviser les classes par deux, dès la semaine prochaine, pour avoir moins d’élèves par classe, un dispositif prévu dans le protocole.
La Banque mondiale indique que la fermeture des établissements l’année dernière a eu des conséquences sur l’éducation dans le monde. L’institution parle de la pire crise des apprentissages depuis un siècle. En avril 2020, 94% des élèves de la planète, soit 1.6 milliards d’enfant ne sont pas allés à l’école. La Banque souligne notamment le non accès au matériel pédagogique adapté à l’enseignement à distance pour des catégories d’élèves.
En mars, le président de la République a annoncé l’existence d’un variant sud-africain de la COVID-19 sur le territoire malgache. A l’heure actuelle, selon une source auprès du Laboratoire d’Analyses Médicales Malagasy, nous ne disposons pas encore de test pour le détecter.
« Il faut des réactifs particuliers pour détecter ledit variant sud-africain », souligne une source auprès du LA2M, en mars dernier. Le laboratoire avait déjà passé commande pour ces réactifs le même mois mais jusqu’à aujourd’hui Madagascar n’en dispose pas encore. Dans tous les cas, le test PCR utilisé jusqu’à maintenant permet de savoir si un sujet est porteur du virus de la COVID-19 ou non. Mais un point reste pourtant à soulever, le variant sud-africain semble toucher non seulement l’organe respiratoire mais aussi d’autres parties du corps, ce qui le rend plus mortel.
Bien plus qu’une atteinte respiratoire
Selon les propos du cardiologue, Rakotoarimanana Solofonirina (dans la presse africaine), « le covid n’est pas essentiellement une atteinte respiratoire, mais une maladie vasculaire et systémique, attaquant le cœur et les vaisseaux du corps humains ». Selon les observations de ce spécialiste, le virus a surtout atteint le cœur, dans la majorité des cas.
Pour lui, le traitement de ce variant nécessite, outre le recours à l’oxygène en cas d’insuffisance respiratoire, des traitements plus spécifiques suivant l’organe qui est touché. Mais l’absence de test permettant de détecter à l’avance cette souche n’est-elle pas un blocage majeur afin de préconiser un protocole de traitement adapté ?
Pas de nouvelle, bonne nouvelle ?
Après l’annonce du chef de l’Etat en mars, par rapport à ce variant Sud-Africain, aucune communication n’a été faite quant à l’évolution de celui-ci sur le territoire national. Pour rappel, ce sont des immigrés clandestins qui auraient apporté ce variant sur le territoire national, en débarquant clandestinement sur la côte ouest de l’île. Depuis, la partie ouest de l’île a été confinée.
La COVID-19 s’attaque principalement au système respiratoire. La dégradation au niveau des poumons d’un patient peut s’afficher à travers un scanner. Après guérison, cet organe respiratoire peur se régénérer, mais cela dépend de plusieurs paramètres.
L’atteinte est dite « minime » quand seulement 10 % des poumons sont attaqués. Entre 11 et 25%, c’est modéré. Les dégâts deviennent importants entre 25 et 50% et l’atteinte commence à être sévère à partir de 50%. On arrive au stade critique lorsqu’elle est supérieure à 75%.
Age du patient
Selon le docteur Waidel Fabien, la régénération des poumons dépend de l’âge de la personne. Pour la COVID-19, les séquelles sont plus importantes chez les personnes âgées. Une fois atteinte, les poumons ne fonctionneront plus normalement. « Chez les jeunes, les poumons peuvent se régénérer mais les lésions peuvent perdurer si la personne s’est adonnée au tabac ou si elle est atteinte d’une maladie pulmonaire comme l’asthme ou la bronchite», soutient-il.
Forme grave de la COVID-19
Retrouver le bon fonctionnement de ses poumons est aussi difficile après une forme sévère de la COVID-19. En effet, les lésions se cicatrisent mais ces derniers vont réduire la capacité de la personne à respirer normalement. « La dégradation des poumons peut aussi s’aggraver si la personne est restée trop longtemps dans le stade de réanimation car un déséquilibre ou un excès dans la pression et le taux d’oxygène administré, peuvent endommager les voies respiratoires. » ajoute le docteur Waidel Fabien. La régénération peut se faire facilement si le poumon n’est atteint qu’à 30%.
Exercices de respiration
Les cellules pulmonaires peuvent se régénérer si le sujet concerné fait recours à de la rééducation respiratoire comme la kinésithérapie. Cela peut prendre entre 4 semaines à 4 mois. Selon le kinésithérapeute, Laza Rakotondrasoa, faire des exercices respiratoires peut aider à rétablir les poumons. Cela consiste à travailler l’inspiration et l’expiration. Par exemple, durant l’inspiration, on ouvre sa cage thoracique en inspirant à fond puis on expire lentement, soit avec le nez, soit avec la bouche, de manière à vider ses poumons. Une séance de 3 à 4 mn tous les matins peut suffire. Il existe différents exercices respiratoires mais cela doit se faire en fonction de la capacité de la personne.
Huiles essentielles, sport et alimentation
Les huiles essentielles aident aussi à assainir et nettoyer les poumons. Cela peut se faire par inhalation, par voie orale ou par application externe. Mais il y a quand même des précautions à prendre.
Faire du sport comme le Yoga renforce aussi les organes respiratoires. Enfin, il faut adopter une alimentation saine comme la consommation les fruits, les légumes, l’oignon, le gingembre ; il ne faut pas oublier les antioxydants comme le curcuma et surtout boire beaucoup d’eau. Cela aide à tonifier et à débarrasser le corps des toxines. Mais il faut demander toujours un avis médical par rapport à l’état de santé (grossesse, allergie, diabète etc….)
Ces régimes peuvent aider à la guérison mais permettent aussi d’éviter d’autres maladies.
Selon le docteur Waidel Fabien, la régénération des poumons dépend aussi de la durée de l’addiction de la personne au tabac. Si la personne a fumé du tabac durant 10 ans, ses poumons seront totalement rétablis 15 ans après s’être libéré du tabac.
Depuis le 5 avril, les nombres de cas de contamination dans la région Analamanga ne cessent de grimper (49 cas recensés le 4 avril et 369 cas recensés le 11 avril). Il semblerait que les mesures prises la veille du week-end pascal n’aient pas permis d’endiguer la propagation du virus. Un confinement serait-il la solution pour Antananarivo ?
Est-ce le résultat des dépassements dans de nombreuses zones de la capitale en date du lundi de Pâques, ou des grosses foules en quête du fameux ED1 ? Nul ne sait. Mais ce qui est sûr, c’est qu’il faudrait des mesures plus strictes pour casser la chaîne de transmission. Pourtant, nombreux sont ceux qui craignent le retour vers le confinement.
Antananarivo, foyer de la contamination
Si dans d’autres régions, les cas de contamination n’ont pas dépassé la trentaine, voire moins d’une vingtaine pour la majorité, ce n’est pas le cas d’Analamanga. En une semaine, dans la capitale de la Grande Île, les chiffres ont connu une forte hausse, allant jusqu’à 439 cas de contamination, en date du jeudi 8 avril et cela malgré les mesures annoncées, par le Président de la République le 3 avril dernier.
Si une partie de la population est consciente de l’enjeu et du danger qu’est la COVID-19, d’autres restent encore au stade de « la maladie des riches ». Pour preuve, 2 jours à peine après l’appel à la responsabilité de chacun que le Président a lancé, Alanakely, Anosy et Tsimbazaza ont été bondé de monde, le lundi pascal. Est-ce la raison de cette hausse ? Quoi qu’il en soit, la capitale est, à ce jour, le foyer de la contamination. Reste à savoir quelles mesures découleront du conseil des ministres qui devrait avoir lieu ce mercredi.
Reconfinement ou non ?
Les avis restent quelque peu mitigés quant à un reconfinement ou non. « Pour ma part, je préfèrerais réellement qu’on revienne au confinement. C’est sans doute la seule manière de maîtriser ou du moins de limiter la transmission du virus », explique une mère de famille, qui réitère ses craintes et pense ne pas envoyer ses enfants en classe, même si les écoles rouvriront.
Pourtant, du côté des transporteurs nationaux, comme ceux du côté d’Ankadimbahoaka, la grève a déjà commencé. Un ultimatum a même déjà été lancé pour que l’Etat rouvre les frontières. « Nous sommes prêts à nous conformer aux mesures que l’Etat mettra en place, aussi strictes soient-elles. Et nous espérons que notre appel sera écouté », souligne Henri, responsable auprès d’une coopérative de transport zone nationale.
En tout cas, à l’heure actuelle, tous se posent des questions sur ce que sera la décision du gouvernement. Mis à part le conseil des ministres de ce mercredi, il faudra également attendre la prise de parole du Président, qui devrait s’adresser à la nation, samedi qui vient. En tout cas, ce qui est plus ou moins sûr, c’est que l’état d’urgence sanitaire devrait être reconduit, au moins sur les 2 prochaines semaines.
La production de vaccin sur le continent est soulevée lors d’un sommet de l’Union Africaine de deux jours qui a débuté lundi 12 avril.
L’Afrique est en marge de la vaccination contre la COVID-19 avec des Africains qui ne représentent que 2% de la population vaccinée dans le monde à ce jour (Chiffres OMS). Voilà le constat sans appel des responsables africains réunis en visioconférence depuis lundi pour la possibilité d’une production de vaccin contre la COVID-19 sur le sol africain. Ce sommet de l’Union africaine a pour objectif de formuler des recommandations à cet effet. En ce sens, le président en exercice de l’instance africaine, le président de la République Démocratique du Congo, Félix Tshisekedi, estime que le continent doit mettre en place au moins six centres de production. Plusieurs pays africains ont entamé leur campagne de vaccination. Pour l’heure, l’essentiel des doses sont fournies par l’initiative Covax, qui prévoit de couvrir 20% de la population africaine d’ici la fin de l’année.
Les premières productions africaines
Quoi qu’il en soit, des pays ont déjà pris les devants à l’image de l’Afrique du Sud qui va produire plus de 200 millions de dose dans le cadre d’un accord avec Johnson & Johnson. C’est également le cas du Rwanda qui est en pourparlers avec Moderna et Pfizer/Biontech. Pour sa part, le président sénégalais, Macky Sall, a annoncé que son pays produira ses premières doses en 2022.
Venant de s’engager sur la voie de la vaccination, la situation est encore floue pour Madagascar. Si le président de la République a annoncé que le pays a choisi deux vaccins, on ne sait toujours pas desquels il s’agit.
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Le « plaidoyer artistique » est un moyen à travers lequel l’art est utilisé pour sensibiliser. Dina Mitia Rabearivelo, artiste plasticienne, nous parle de la façon dont elle transforme les déchets en art, que ce soit avec de la peinture, à l’aide de la couture ou bien au moyen de sculpture. C’est pour mieux toucher le public par ses émotions. D’un autre côté, les jeunes de l’association Plum’art Madagascar utilisent l’art pour leur développement personnel, pour trouver leur voie et ainsi mieux s’épanouir.
Azo atao fitaovana hanentanana sy hanintonana ny olona ny zava-kanto. Manazava amintsika i Rabearivelo Dina Mitia, mpanao sary sy hoso-doko, ny hamadihany ireo fako tsy ilaina intsony ho zava-kanto amin’ny alalan’ny hoso-doko, na zaitra, na sarivongana. Fomba iray natao hanatrarana ny fihetseham-pon’ny olona izay anaty fanentanana izany. Etsy an-daniny, mampiasa ny zava-kanto ho fampivoarana ny maha izy azy ny tena ireo tanora ao amin’ny fikambanana Plum’art Madagascar. Mba ahitany izay lalana tokony halehany sy hivelaran’ny sainy sy ny fanahiny ny zava-kanto.
Non, ce sont des fibres textiles inoffensifs. Lorsque le masque chirurgical est posé sur un bol contenant de l’eau bouillie pendant une certaine durée, sous l’effet de la vapeur chaude, on peut voir sur celui-ci l’apparition de petits fils noirs microscopiques, qui ressemblent à des vers. Mais en vrai, ils n’ont rien à voir avec des parasites.
Selon une biologiste de l’Académie tchèque des sciences, ces fibres peuvent tout à fait provenir des vêtements, des tapis ou même de l’usine de production dudit masque. Elles sont aussi très légères, par conséquent, facilement transportées par la vapeur chaude qui remonte vers le masque. C’est ce qui donne l’impression qu’elles bougent.
Enfin, sachez qu’il est recommandé de toujours acheter les masques chirurgicaux auprès des pharmacies pour s’assurer de leur fiabilité.
Mety ho ratsy ho an’ny fahasalamana ve ireo kofehy kely mainty hita amin’ny aro vava orona fampiasa eny amin’ny “hopitaly” ireny?
Tsia, tsy misy ahiana ny amin’ireo kofehy kely vita amin’ny lamba ireo. Rehefa apetraka ambonin’ny lovia misy rano mangotraka mandritra ny fotoana voafetra mantsy ilay aro vava orona, vokatr’ilay entona mafana, misy karazana kofehy kely mainty hita eo aminy, izay mitovy amin'ny kankana. Raha ny tena izy, tsy misy ifandraisany amin'ny katsentsitra na parasite izy ireny.
Raha ny filazan'ny mpikaroka momba ny zavamanan’aina iray avy ao amin’ny Akademia Tchèque momba ny siansa, azo avy amin'ny akanjo, karipetra na ihany koa avy any amin’ilay orinasa nanamboarana ilay aro vava orona ireo kofehy ireo. Maivana izy, noho izany, mora entin'ilay entona mafana. Io no mahatonga azy ireo toa mihetsika.
Na izany aza, tsara foana ny mividy ireny aro vava orona fampiasa eny amin’ny hopitaly ireny eny amin’ny fivarotam-panafody mba hahazoana antoka tsara amin’ny fiasany.