COVID-19 : Tous ensemble face au virus

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Karine Manoa Linda

Karine Manoa Linda

mardi, 23 mars 2021 12:00

Journal du 23 mars 2021

- Variant Sud-Africain : les jeunes sont plus infectés

- Nettoyage digital : les jeunes entreprises de Diego s’y mettent

- La bipolarité, un trouble mental à ne pas prendre à la légère

- Plaidoyer artistique : sensibiliser grâce à l’art


- 22 mars : ny tena zava-niseho nandritra ny fizarana vatsim-pianarana teny Ankatso

- Mikatona mandritry ny 15 andro ny seranan-tsambo sy ny zotram-piaramanidina any Nosy Be

- Miparitaka ny fivarotana fanafody tsy ara-dalana any Antalaha

- Barea : maro ireo misafidy hanaraka ny lalao ao an-trano noho ny mbola fisian’ny coronavirus


Na « aoriana » na « ao aoriana » dia samy fampiasa avokoa ireo teny ireo, saingy samy manana ny heviny. Araka ny fanazavan’ny mpampianatra malagasy dia ampiasaina hanondroana fotoana ny « aoriana ». Ohatra : aorian’ny fivoriana ny fiaraha-misakafon’ny mpiaramiasa. Ny « ao aoriana » indray dia milaza toerana. Ohatra : milahatra ao aorian’ny vehivavy ny lehilahy.


« Aoriana » et « ao aoriana » semblent avoir les mêmes prononciations mais n’ont pas les mêmes significations. Le mot « aoriana » est utilisé pour décrire un moment donné, explique un professeur de malgache, Haritiana Laska. « Ao aoriana », par contre désigne un lieu. 

Ny tôkatôka dia laha-bolana Betsimisaraka entina hanehoana ireo andavanandron’ny mponina. Natao hanentanana ny mpiara-belona amin’ny zavatra tokony hovaina eo amin’ny fiaraha-monina ihany koa. Raha ny fanazavan’ny mpanoratra sady filoha lefitry ny fikambanan’ny mpanakanto ao Toamasina, Soloniaina Tafita Johnny, dia rehefa vory vahoaka, na an-kafaliana, na an-karatsiana, no tena fanaovana ny tôkatôka. 

Mikasika ny zava-kanto avy any amin’ny faritra izay ihany dia misy ny tarika Belongo avy any Toliara no mivohy ny gadona avy any an-toerana. Ny mampiavaka azy dia ny fanafangaroany izany amin’ny gadona vahiny toy ny rock sy ny funk. 


Le « tôkatôka » est une poésie Betsimisaraka utilisée pour illustrer le quotidien de la société. Il a également été créé pour sensibiliser les citoyens sur la réalité de la société. Le tôkatôka se pratique généralement lors des rassemblements, selon les explications de l’écrivain et vice-président de l’association des artistes de Tamatave, Soloniaina Tafita Johnny.

Concernant la culture dans les autres régions de Madagascar, le groupe Belongo figure parmi les artistes natifs de Tuléar, ayant choisi le genre musical traditionnel de la région. La particularité de ce groupe c’est l’association de la musique du Sud avec du rock et du funk.

Olana ara-pitenenana ny fiakanakahana. Maro ny antony mety mahatonga azy io : mety ho olana avy amin’ny fofo-tarazo, vokatry ny tranga nandona saina be loatra na ny fananana fihetseham-po be loatra. Indraindray hiomehezan’ny olona sy voahilikilika izy ireo noho izay kilema izay. Azo hahitsy  soa aman-tsara anefa izay fiakanakahana izay amin’ny alalan’ireo fampiharana maromaro na amin’ny fanatonana mpitsabo manam-pahaizana manokana momba ny fikorontanan’ny fitenenana. 

Ny bonibony, ny tazomoka, ny toxoplasmose. Isan’ireo aretina mahazo ny reny bevohoka mety hitarika ny olana ara-tsofina ny zaza ireo. Tsy mbola manana ny teknolojia ahafahana mamantatra ny harenin’ny zaza dieny mbola any am-bohoka isika saingy kosa efa manana ny teknolojia ahafahana mitsapa ny harenin’ilay zaza rehefa teraka hoy i Dr Théodore Randrianarisoa, mpitsabo manam-pahaizana manokana momba ny sofina


La génétique, un choc émotionnel ou l’hyperémotivité peuvent être à  l’origine du bégaiement ou du trouble de la parole.  A cause de ce dysfonctionnement, les bègues sont souvent victimes de moqueries ou d’exclusion dans la société où ils vivent. Le bégaiement peut néanmoins être corrigé à travers l’appui d’un professionnel avec un orthophoniste, par exemple. 

La rubéole, le paludisme et la toxoplasmose font partie de la longue liste de maladies touchant une femme enceinte. Les conséquences ne sont pas moindres car cela peut entraîner la surdité de l’enfant qu’elle porte. Nous n’avons pas encore la technologie capable de détecter la surdité d’un enfant lorsqu’il est encore dans le ventre de sa mère.  Par contre, nous avons déjà les matériels qui peuvent tester l’ouïe de l’enfant, dès qu’il voit le jour.

Coordonnateur du Festival d’art urbain pour le compte de La Teinturerie, Tahiry Ratsimba Razanamampandry connu sous le nom de scène « X-Tah » parle de la place de l’art en général et de l’art urbain en particulier à Madagascar. 

Studio Sifaka : Qu’est-ce que l’art urbain ?

X-tah : Pour moi, il y a deux sortes d’art urbain. Il y a celui en tant que culture urbaine et l’art qu’on emmène en ville. La culture urbaine, c’est la danse hip hop, le ragga, le punk, les graffitis, les sports de glisse, … tout ce qui est street art. Puis, il y a l’art en milieu urbain. Tu peux jouer des choses traditionnelles venant du fin fond de Tanà par exemple et dès que tu te produis en ville, c’est assimilé à de l’art urbain.

Qu’est-ce que vous avez mis en avant dans le Festival d’art urbain ?

On a mis en avant les deux parce que, déjà, on véhicule la culture urbaine avec tous les ingrédients du street art, mais on a aussi fait jouer des gens qui font du kabary par exemple et le kabary, ce n’est pas la culture urbaine comme les occidentaux la définissent. Il y a aussi l’art contemporain par exemple. Judith Manantenasoa qui est célèbre dans le milieu de la danse contemporaine a ébloui plus d’un, partout où elle s’est produite durant le festival.

La culture urbaine, où est-ce qu’on en est actuellement ?

Je ne peux pas dire qu’il s’agit de l’évolution en général, mais je peux parler du hip hop, qui est devenu un élément culturel entièrement malgache. Il fait partie intégrante de la culture des jeunes malgaches. C’est ancré dans la vie des jeunes. Sinon, on a aussi des gars qui excellent très bien dans les sports extrêmes comme les Traceurs Gasy ou encore Samy Andria avec son vélo. Je pense que la culture urbaine fait maintenant partie du paysage artistique et culturel des jeunes malgaches. Même s’il n’y a pas beaucoup d’activités qui servent de plateforme pour ces jeunes-là, ces artistes-là, ils vont faire évoluer les choses à leur manière. A chaque évènement, il y a toujours des gars de la culture urbaine qui participent. Il y a une forte demande de ces artistes-là. Mais malheureusement, il n’y a pas beaucoup de plateformes.

N’y a-t-il pas une déconstruction de ce qui a été fait au début justement par rapport à cette forte demande comme vous dites ? Je parle notamment de la musique rap.

Je ne pense pas. L’art c’est comme l’Homme. Ça évolue au fil du temps, la manière de faire, la manière de l’exprimer, la manière de le montrer. Ça a toujours évolué. Ce n’est plus comme dans les années 90. Il y a une grande différence. Le rap des années 90 est différent du rap des années 2000 et ainsi de suite jusqu’en 2020. Ça tourne autour de 30 ans minimum. Même si le rap, le hip hop ou la musique de la culture urbaine ne sont pas aussi tendances qu’avant, ils conservent toujours leur force et il y a toujours des gens qui aiment ça.

Est-ce que l’art en général a sa place en général à Madagascar ?

Pourquoi l’art n’a pas encore sa place à Madagascar ? Parce que l’art ne fait pas vivre son homme. C’est tout simple et c’est malheureux. C’est le pays. On ne peut pas vivre de l’art à Madagascar parce que déjà, on n’a pas d’école d’art. On a une école de musique mais ce n’est pas aussi connue que ça. En ce moment, le ministère ( de la communication et de la culture, ndlr) essaie d’y remédier avec le statut des artistes, en construisant des infrastructures liées à la culture. C’est en bonne voie, par contre la valorisation de l’art et de l’artiste laisse à désirer. Ce n’est pas suffisant, c’est peu par rapport à ce qui se fait à l’île Maurice ou en Afrique du sud. Ils sont à côté de nous mais ils sont déjà loin, très loin. Un pays qui ne valorise pas sa culture, c’est un pays incomplet, c’est malheureux mais c’est comme ça. Même dans la musique qui est la forme d’art la plus répandue, ce n’est pas évident. J’espère que ça va changer d’ici quelques années.

A part le divertissement, qu’est-ce que l’art peut apporter au pays ?

Je suis du même avis que les gens qui disent que l’art et la culture peuvent être un levier de développement pour un pays, parce que la culture peut être  source de revenu. La culture nous apporte aussi beaucoup d’originalité par rapport aux îles qui nous entourent. Il y a également le tourisme. Par ailleurs, on peut aussi organiser plusieurs festivals et valoriser les artistes par la même occasion. L’éducation peut également passer à travers l’art. Tout ça peut constituer une force pour un pays pour se démarquer.

Le problème n’est pas aussi dans le fait que le Malgache ne consomme pas de l’art ?

C’est un autre problème. Le Malgache lambda ne consomme que de la musique. C’est en ce sens que je parle d’éducation artistique. Comme il n’y a pas d’école d’art à Madagascar, à travers le festival, nous éduquons les gens directement dans la rue. On passe les messages. On donne accès directement aux artistes. De cette façon, les gens se cultivent petit à petit surtout sur ce qui est beau. C’est l’éducation du beau.

Un petit bilan du Festival d’art urbain ?

Nous en sommes à la septième édition. Avec la résidence artistique qu’on a organisée, c’est 15 jours d’activités en amont. Puis, il y a eu une semaine de restitution dans plusieurs quartiers de Tanà ville. Le bilan ? On est satisfait. Pas à 100%, on apprend tous les jours. Ce n’est pas encore au point, mais on essaie. Par rapport à ce qu’on a déjà fait, il y a une évolution palpable de notre part au niveau de l’organisation pour l’implication des artistes, les œuvres et surtout la cohésion. Cette année, c’était vraiment au top sur ce point.  

Et pour l’accueil du public ?

Le public a répondu massivement présent à chaque fois qu’on performait dans des quartiers où il y a beaucoup d’habitants. A Ampandrana, Analamahitsy, à Antaninarenina, à chaque fois il y avait des gens de tout âge. Concrètement, il y a des gens qui se sont intéressés à l’association, par exemple en voyant les graffitis à Anlamahitsy ou à Ambohipotsy. Des gens ont demandé comment on peut devenir membre, comment on peut apprendre, … Sinon, la danse contemporaine a fait sensation. Il y a aussi les fresques murales qui font toujours mouche.

mardi, 23 mars 2021 08:48

Revue de presse du 23 mars 2021

  • Coronavirus : Majunga et Nosy Be isolés
  • Université Ankatso : non-respect des gestes barrières lors de la distribution des bourses
  • Election des nouveaux membres auprès de la Haute Cour Constitutionnelle

 


  • Coronavirus : mitoka-monina i Mahajanga sy Nosy Be
  • Oniversite Ankatso: nitangorona ireo mpianatra nandritra ny fizaràna vatsim-pianarana
  • Fifidianana ireo mpikambana vaovao ho eo anivon’ny fitsarana avo momba ny lalam-panorenana
    • Majunga : les mesures restrictives pour lutter la propagation du coronavirus
    • Tamatave : arrivée de 2.500 tonnes de riz en provenance de l’Inde le 22 mars dernier
    • Farafangana : les travaux de reconstruction de la station de production d’eau sont achevés
    • Tuléar : les femmes se tournent vers la culture de légumes

  • Mahajanga : ireo fepetra manokana hisorohana ny fiparitahan’ny coronavirus
  • Toamasina: tonga ny 22 martsa ireo vary 2.500 taonina avy any Inde
  • Farafangana : vita ny fanavaozana ny milina mampiakatra sy manadio rano any an-toerana
  • Toliara: hamboly sy hamokatra legioma ireo vehivavy any atsimo

Vehivavy 23.500 isan-taona no voatily fa tratran’ny homamiadan’ny nono eto Madagasikara araka ny tarehimarika avy amin’ny ministeran’ny fahasalamam-bahoaka ny taona 2019 lasa teo. Raha vao maheno ny olona iray fa tratry ny homamiadan’ny nono dia matahotra ary mihevitra fa ho faty tsy ho ela. Toy  izany no niainan’ity olona iray ity ny niatrehany izany aretina izany. Ny olona hafa iray kosa dia nisafidy ny hiatrika izany ary ny ho matanjan-tsaina hatrany manoloana ity aretina ity.

Antony lehibe mahatonga io aretina io hoy ny mpitsabo Rakotoarivo Toky ny resaka tarazo sy ny tsy fahaizana misakafo ary ny fisian’ny tavy be loatra eo amin’ny vatana. Raha ny fitsaboana kosa dia miankina amin’ny fandidiana sy ny chimiothérapie ary ny radiotéhrapie. Raha tsy te ho voan’ity homamiadana ity dia tsara kokoa ny manana fahazaram-piainana tsara ara-tsakafo sy manao fanatanjahantena hoy ity mpitsabo ity. Raha toa ka efa nisy fianakaviana efa voan’ny homamiadan’ny nono dia mila manao fitiliana mialoha hisorohana izany.


En 2019, 23 500 femmes ont été atteintes du cancer du sein à Madagascar, selon les chiffres publiés par le ministère de la Santé publique. Nous allons entendre ici deux témoignages de malades atteints de ce cancer. L’une a été dévastée, à l’entente de cette nouvelle, et se préparait déjà à la mort, l’autre s’est fortifiée mentalement et n’a pas baissé les bras face à cette maladie. Les principales causes de la maladie sont la génétique, la mauvaise alimentation et l'obésité, explique l’oncologue, Toky Rakotoarivo. Ce type de cancer peut être traité  par la chirurgie, la chimiothérapie et la radiothérapie. Une bonne hygiène de vie, de bonnes habitudes alimentaires, des exercices physiques sont conseillés pour l’éviter. 

Se faire dépister le plus tôt possible est également recommandé si un parent proche est atteint de cette maladie afin de diagnostiquer d’éventuels signes de cancer.

Miady hevitra momba ny hakana mpanampy i Saotra sy i Bako rehefa nisy SMS tonga. Tsy mety mijery ilay izy i Bako sao fandrahonana avy amin’i Romain sy Rondro no hita ao. Mitady hivadika tsy hanampy azy ireo manko i Stan. Nalain’i Saotra an-keriny ilay finday ary nojereny ilay hafatra izay fanapaham-pihavanana avy amin’i Rondro. Tsy taitra i Bako maheno an’i Saotra mamaky ilay hafatra. Miresaka momba ilay afera izy mianaka avy eo ary milaza i Bako fa tsy nanaiky nanao kolikoly ny zandary fa hampiakatra ny raharaha any amin’ny fitsarana. Tsy misy fantatr’i Stanislas moa ny momba io fanondranana hazo sarobidy io ary mamporisika i Bako sy i Saotra ny hilazàny ny marina.

 


Bako reçoit un SMS en plein milieu de sa discussion avec Saotra. Bako ne veut pas le consulter, elle sait déjà que c’est un message de menace de la part de Romain et de Rondro. Saotra attrape le téléphone des mains de sa mère et lit le message. Rondro veut couper les ponts avec eux. Bako n’a pas de réaction face à cette information. Elle parle de l’affaire avec son fils et lui raconte que la gendarmerie n’a pas accepté leur pot de vin et veulent traîner l’affaire devant les tribunaux. Stanislas n’est au courant de rien alors Bako et Saotra lui conseillent de juste dire la vérité.

42%n’ny ankizy latsaky ny 5 taona no tratran’ny tsy fanjarihan-tsakafo eto Madagasikara ny taona 2018 raha ny tarehimarika farany navoakan’ny Multiple Iindicator Cluster Survey na MICS. Ahitana izany avokoa ny faritra rehetra manerana ny nosy. « Misafidifidy hanina ny zanako, izay angamba no nahatonga azy ho tsy ampy sakafo. Ny ahiazany be loatra no nanaitra ny dokotera nitsabo ary ka nilazana fa tsy ampy sakafo io zanako io » hoy ny fitantaran’ny renim-pianakaviana iray tojo io olana io. Ny tsy fahaizana misakafo no tena mahatonga ny tsy fahampian-tsakafo matetika araka ny fanazavan’ny eo anivon’ny fitaleavam-paritry ny fahasalamam-bahoaka DIANA. Ho an’ny mpitsabo, Ginah Rasoanaivo, dia ny tsy fihinana sakafo ara-kalitao sy ampy tsara no antony voalohany mahatonga io tranga io. Eo ihany koa ny aretina mety mahazo ilay zaza  sy ny tsy fahatomombanana eo amin’ny taova fandevonan-kanina. Mikasika ny fisehony indray dia mihamahia ilay zaza. Raha ny fitsaboana kosa dia tsy misy hafa tsy ny fanomezana vitamine sy antibiotiques. Eo ihany koa ny fanomezana fanampin-tsakafo be otrik’aina sy proteina ho an’ilay zaza. 


En 2018, 42% des enfants de moins de 5 ans souffrent de malnutrition à Madagascar, selon les derniers chiffres publiés par l'enquête en grappes à indicateurs multiples ou MICS.  Toutes les régions de l'Île sont concernées. « Ma fille est très sélective lorsqu’il s’agit de nourriture, c’est peut-être la raison pour laquelle elle est mal nourrie. Sa maigreur excessive a alarmé le médecin, c’est pour cela qu’il nous a dit qu’elle est atteinte de malnutrition » témoigne une mère qui avait un enfant atteint de ce problème de santé. Selon la direction régionale de la santé publique de la DIANA, l’inexistence d’une alimentation de qualité est la principale cause de la malnutrition. Les principales causes sont le manque de qualité et de quantité de nourritures ainsi que les maladies que l'enfant peut contracter, explique le docteur Ginah Rasoanaivo.

Les anomalies du système digestif figurent également parmi les principales causes. Concernant les symptômes, la maigreur excessive peut être la première manifestation. Quant au traitement, donner des vitamines, des antibiotiques et des compléments alimentaires nutritifs et protéinés sont les plus recommandés.

lundi, 22 mars 2021 12:56

Bakashialy

Bakashialy, voambolana nampiasan’ny mpanakanto Big Jim Dah tao anaty hirany mitondra ny lohateny hoe laborosy. Manondro olona avy any ambanivohitra ity tenin-jatovo avy ao amin’ny faritra Boeny ity. Mihitatra ny fomba fampiasan’ny tanora azy ankehitriny. Entina hilazana na handatsana olona tsy mahara-baovao na tsy maharaka ny zava-misy izy ankehitriny.


« Bakashialy » est de l’argot utilisé par les jeunes de la région Boeny surtout ceux de Majungapour désigner une personne qui vit en zone rurale. Cependant, de nos jours, les jeunes l’utilisent pour décrire une personne qui n’est pas à la page des informations.

lundi, 22 mars 2021 12:49

Sifflet du 22 mars 2021

 

  • Fifanitsanana CAN : efa tonga ao Ethiopie ireo mpilalaon’ny Barea hiatrika ny lalao andiany faha 5
  • Tompondakan’ny Afrika -Hand ball : miantso ireo tovovavy Malagasy, mpilalao Handball ny federasiona Malagasy misahana ny Hand ball hanatevina ny ekipam-pirenena
  • Madagascar Challenger Series : tanteraka ny 20 sy 21 Martsa teo ny andiany faha 3 ao anatin’ny fifaninana nasionaly Teqball
  • Orange proleague: nandresy ny CS-Disciples FC Vakinankaratra ny Ajesaia Bongolova tamin’ny isa 2 noho 1

 


  • Eliminatoire CAN: les joueurs de l’équipe nationale Barea sont arrivés en Ethiopie
  • Championnat d'Afrique des Nations : la fédération malgache de Hand ball fait appel aux jeunes joueuses de Hand ball pour étoffer l’équipe nationale
  • Madagascar Challenger Series: le troisième round de la compétition nationale de Teqball s’est déroulé du 20 au 21 Mars
  • Orange proleague: l’Ajeasaia Bongolava a remporté le match face au CS-Disciples FC, 2-1
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