Tonga ao amin’ny Biraon’i Stanislas i Tsizehena. Noho ny fahatsapany fiovana tsara eo amin’ny fihetsiky ny ben’ny tanàna dia vonona hiaraka hiasa aminy ny mpanohitra, ho fampandrosoana ny kaominina. Nifampiresaka mikasika ny hampandrosona ny kaominina teo izy roa lahy. Velom-panantenana i Stanislas, fa mba fanarenana tena izy an’Andranofady no hifanoloran’ny rehetra tanana. Misokatra ho an’ny rehetra ny varavaran’ny ben’ny tanàna.
Tsizehena arrive au bureau de Stanislas. En voyant le changement positif dans le comportement du maire, l'opposition est prête à travailler avec lui, pour le développement de la commune. Ils ont échangé sur les prochains plans de développement socio-économique. Stanislas espère que tout le monde s'associera à la véritable restauration d'Andranofady. Les portes du maire sont ouvertes à tous.
Tube datant de 2018 ayant figuré dans le top 5 des charts musicaux malgaches, « Tsy Hitambarako » a, sans doute, été l’un des titres qui ont propulsé Boy Black au-devant de la scène musicale. Trois ans après sa sortie, le titre a été plagié par un chanteur marocain du nom de Hicham Idelcaid.
Si habituellement ce sont des artistes malgaches qui se font calomnier par le public pour des questions de plagiat, cette fois-ci c’est un artiste malgache qui s’est fait plagié. Intitulée « Ntya Lya », la copie presque imparfaite de la chanson de Boy Black, a fait son apparition sur YouTube en janvier 2021. Ce sont des internautes malgaches qui ont signalé la vidéo, ce qui a alerté également les membres du Label Makua Entertainment.
Les artistes peuvent porter plainte
Selon le directeur de l’office malgache du droit d’auteur ou OMDA, Haja Ranjarivo, « les artistes et les producteurs peuvent porter plainte contre le plagiaire, que ce dernier soit Malgache ou étranger ». C’est par la suite au niveau du tribunal de prendre en charge l’affaire. Dans le cas présent, selon ce directeur de l’office malgache du droit d’auteur ou OMDA, « il n’existe aucun tribunal international spécialisé dans cette affaire ». « C’est ainsi au niveau du pays de résidence du plagiaire que doit être déposée la plainte », rajoute-t-il. Ainsi, comme le plagiaire Hicham Idelcaid est résident belge, c’est en Belgique que devrait être déposée la plainte, pour ce cas.
En outre, si le label Makua Entertainment veut engager les procédures, l’OMDA peut leur délivrer une attestation certifiant que l’œuvre est bel et bien enregistrée au nom de l’artiste et du Label. Cette attestation servira de pièce justificative pour étayer le dossier de plainte de l’artiste.
Le Label n’entend pas engager des procédures
« Nous n’avons pas encore pris de décision quant à ce qui est de poursuivre ou non le plagiaire en justice », a indiqué Shyn, le boss du label Makua Entertainment. Pour le moment, selon lui, le label s’est juste cantonné à signaler ladite vidéo, qui depuis sa sortie a fait près d’un million de vues. Quoi qu’il en soit, la vidéo est encore restée en ligne jusqu’à maintenant.
En tout cas, le point positif de l’histoire est que l’artiste malgache semblerait avoir été victime de son succès, et ce, à l’international.
Noel Razafilahy, 75 ans le 25 décembre 2020, figure parmi les journalistes fidèles à l’ancien président, Didier Ratsiraka, de son vivant. Chroniqueur à la plume particulièrement précise dans les colonnes de La Gazette de la Grande île, il partage, dans ces quelques lignes, la nature de ses relations avec l’Amiral.
Studio Sifaka : Depuis quand connaissez-vous l’Amiral ?
Noel Razafilahy : Le connaître, c’est trop de prétention de ma part. Je l’ai vu comme tout le monde dans les années 70, quand il était dans le gouvernement Ramanantsoa. Avant cela, je n’en avais jamais entendu parler.
Depuis quand l’avez-vous fréquenté alors ?
Je le voyais de temps en temps dans les conférences de presse depuis 1975, mais nous nous sommes rapprochés professionnellement du temps où il était président de la République et du temps où je travaillais à Madagascar Matin. Au cours d’un reportage, j’ai fait un article sur la cimenterie d’Ibity et j’ai dévoilé quelques anomalies de gestion dans mes publications. Très fâché, le président m’a convoqué à son palais. Il était question de la gestion d’Ibity, qui était plus ou moins traficotée par deux étrangers, un prince africain et un vazaha. Il m’a demandé si j’avais des preuves et si je pouvais les lui montrer. Je lui ai répondu que je ne m’attendais pas à la question et que je n’ai pas les preuves sur moi. « Publiez-les dans le prochain numéro et je les verrai », a-t-il dit. J’ai fait comme il a dit puis il m’a convoqué à nouveau pour me dire qu’il était content d’avoir vu ce que j’ai écrit. C’était à partir de là que j’ai vraiment connu le président Ratsiraka. J’ai travaillé dans son journal lorsque Madagascar Matin a fermé. C’est à partir de là que je l'ai beaucoup côtoyé, en 1989-1990.
Comment qualifierez-vous la relation que vous aviez avec le président Ratsiraka ?
C’était une relation de journaliste à un personnage important de la République. Ce serait me vanter d’affirmer que je l’ai fréquenté comme un proche. Je n’étais pas un proche. J’étais un journaliste qu’il fréquentait souvent.
Vous avez mis votre plume à son service. Que lui trouviez-vous au président ?
Dire que j’ai mis ma plume à son service, c’est peut-être exagéré. J’ai tout juste fait mon travail de journaliste tout en étant dans la stricte objectivité. Je lui disais ce qui n’allait pas et je lui disais ce qui allait.
En tant que président, quelle qualité lui trouvez-vous ?
Beaucoup de qualités, surtout en tant qu’homme d’Etat. Il était vraiment ce que l’on attendait d’un homme d’Etat. C’était quelqu’un de très cultivé sur le plan politique et sur le plan intellectuel, sur un fond de nationalisme pratique. Sa formation militaire dans la marine lui avait inculqué ce sens de l’honneur et du patriotisme, auquel les militaires étaient soumis, en tant que servitude. Il a toujours voulu servir sa patrie. Je peux dire ça parce qu’en 1973, au moment de la négociation de l’accord de coopération, contre l’avis du général Ramanantsoa, il a exigé que la base de Diego revienne aux Malgaches. C’est ce genre de rigueur et de patriotisme qu’on peut admirer chez lui.
Et si vous devez lui trouver un défaut, ce serait quoi ?
Comme tout grand homme, Ratsiraka avait ses défauts. La seule chose que je peux lui reprocher, c’est d’être trop clément envers son entourage et ses collaborateurs. Même devant un collaborateur qui faisait mal son boulot, il se contentait juste de le réprimander mais pas jusqu’à imposer une sanction.
Pourtant, on disait souvent de lui qu’il était très sévère …
La sévérité se mesure en ce sens qu’il ne laisse pas passer les fautes commises par son entourage. Il ne ferme pas les yeux là-dessus, mais de par son caractère, il a toujours eu l’amabilité d’absoudre ces gens-là et de leur donner la chance de se ressaisir. Prenons par exemple, paix à son âme, un de ses ministres, à qui il a donné un portefeuille important. Ce dernier a littéralement comploté contre lui. Il en a tout juste pris connaissance. En réponse, il a dit qu’il ne pouvait pas le mettre hors du gouvernement. Ce serait le pousser dans les bras de l’opposition. Il l’a gardé jusqu’à ce que le régime tombe. Prenons un autre cas. Un de ses premiers ministres, appelé en principe à être sa relève, s’est mis aussi à faire partie des gens qui avaient comploté contre lui. Quand on en a parlé, il a juste dit : « il est trop pressé. Il ne faut pas l’attaquer dans votre émission. Attendez. Laissez-le faire. Il va se casser la gueule tout seul ». C’est le genre de Ratsiraka.
Comment est-ce de parler à l’Amiral ?
La première fois que je l’ai vu, j’ai tremblé. Quand il m’a convoqué pour cette histoire d’Ibity, j’avais tremblé parce que tout ce qu’on racontait sur lui était vraiment impressionnant, alors pour un petit journaliste, on ne peut s’empêcher de trembler. Mais au fil de la conversation, je me suis ressaisi et j’ai compris que c’était quelqu’un avec qui on pouvait avoir une discussion.
Comment est-ce de se faire remonter les bretelles par Ratsiraka ?
Quand il le fait, il le fait durement. J’étais là lorsqu’il a sermonné un responsable. C’était la seule fois. Il a eu des mots très durs envers ce dernier. Il ne l’a pas insulté, mais il lui a mis les points sur les « i ». Il s’est vraiment fâché.
Comment avez-vous appris son décès ?
J’ai appris d’abord qu’il était malade. J’ai contacté sa fille Annick qui a dit, « oui c’est vrai, il est à l’hôpital pour une petite grippe mais ce n’est pas grave ». Je ne m’attendais pas à ce que ça finisse mal comme ça. Un bon matin de dimanche, voilà qu’une dame qui voulait le rencontrer et dont j’ai organisé l’entrevue avec le président, me téléphone et me dit, « est-ce que vous êtes au courant que le président est mort ? » Là j’étais surpris mais j’étais obligé de m’y faire comme tout le monde. Il doit un jour mourir.
Sur le coup, qu’est-ce que cela vous a fait ?
Sans tomber dans la mièvrerie, je n’ai pas pu m’empêcher de verser une larme. Parce que sur le plan personnel, il a fait beaucoup pour moi, pour ma famille. Par exemple, quand ma femme était décédée, sans que je ne lui demande quoi que ce soit, il m’a aidé pour l’enterrement. Ce sont des choses qui ne s’oublient pas. Ça vous lie à quelqu’un.
Ratsiraka a paru éternel, ne serait-ce que par rapport à sa dernière intervention télévisée. Cela vous fait quoi de parler de lui au passé ?
Moi-même je ne m’attendais pas à ce qu’il meure à cet âge-là. Je croyais qu’il avait encore beaucoup d’années devant lui, mais quand j’ai entendu les gens parler de sa dernière émission sur TV Plus, beaucoup avaient l’impression qu’il était en train de faire ses adieux. Ça m’a étonné, mais là, j’ai revu l’émission, et j’ai compris pourquoi les gens avaient cette impression. Le monsieur parlait comme s’il allait quitter le peuple malgache. Il a dit qu’avant sa mort il aimerait que l’on sache les vérités que les malgaches doivent connaître.
Quand est-ce que vous lui avez parlé pour la dernière fois ?
C’était une semaine après le nouvel an. Je suis venu à son bureau pour lui souhaiter mes vœux de bonne année. On a fait quelques échanges. Il était comme d’habitude, il parlait. Il m’avait demandé « quelles sont les nouvelles ? ». « C’est le traintrain quotidien. Tout le monde veut devenir premier ministre, ou ministre », lui ai-je dit. Il a rigolé. Malgré son âge, il avait toujours cette vivacité d’esprit. Il n’était vraiment pas le vieillard sénile qu’on disait. Le plus impressionnant chez lui, c’est qu’on dirait que l’âge n’avait pas d’emprise sur lui. Sur le physique peut-être, mais côté intellectuel, il a toujours été le même.
Quel héritage pensez-vous que Ratsiraka a laissé à Madagascar ?
Quand il disait en chanson en imitant Edith Piaf « Non rien de rien, non je regrette rien », je peux vous garantir qu’il a laissé beaucoup d’héritages à Madagascar, sur le plan du savoir en général, je parle de l’enseignement et tout, mais aussi du pouvoir en mettant en place les fokontany. Il a aussi aidé beaucoup de jeunes à devenir entrepreneurs, à avoir une meilleure situation que leurs parents. Je peux dire qu’il a laissé un énorme héritage à Madagascar. Malheureusement, ses détracteurs n’arrêtent pas de dire qu’il n’a rien fait pour le pays. Il y en a même qui disent qu’il a détruit le pays. Mais c’est selon.
Cela vous fait quoi justement d’entendre les détracteurs de Ratsiraka, dans la mesure où il a été assez clivant comme personnage ?
Ceux qui le critiquent n’ont peut-être pas tort parce qu’ils ne connaissent qu’un seul volet de l’existence du président Ratsiraka. Mais pour ceux qui l’ont connu, qui l’ont fréquenté, c’est difficile de faire des critiques, disons, très dures envers lui. Parce que dans sa mort, il emporte dans sa tombe beaucoup de vérités, qu’il n’a pas tenu à dire, des choses qu’il a gardées pour lui. S’il avait tout dit, il serait difficile pour ses détracteurs de continuer de le dénigrer. Et là, je me souviens d’un de ces propos qu’il aimait répéter : « on peut cracher sur ma tombe, mais on ne peut cracher sur ce que j’ai réalisé ». Ça se résume à ça. Les gens qui le critiquent peuvent méditer là-dessus.
Est-ce que cela lui arrivait de sourire parce qu’il dégageait souvent cette image sévère ?
Je l’ai vu sourire durant les tournées en rencontrant la foule. C’est là que je l’ai vu sourire plusieurs fois. Je l’accompagnais souvent lors des campagnes électorales et les visites dans les provinces. Ce n’était pas un sourire forcé mais plutôt des sourires qui venaient du cœur, parce qu’il était content de parler aux gens, de leurs vécus. Il souriait à ces gens-là.
Et au Palais ?
Au Palais, je ne l’ai jamais vu sourire. J’y allais souvent mais je ne l’ai jamais vu sourire. Il avait cet air austère parce qu’il avait cette habitude d’être scotché à ses responsabilités.
Vous étiez habillé en rouge durant les funérailles. C’est assez atypique à Madagascar. Une signification particulière ?
J’ai mis une chemise rouge et un pantalon noir. C’est l’uniforme des membres du MFM. Comme je vous ai dit, j’ai commencé comme caricaturiste dans le journal du MFM Ndao ! J’ai toujours suivi le parcours politique au sein du MFM. Dans le temps, j’étais dans le MFM de Manandafy. Je n’ai jamais été membre de l’Arema. Mais j’étais plus proche de Monja Jaona et par la suite, plus proche de Ratsiraka, sans me brouiller pour autant avec Manandafy. J’étais toujours un pro-MFM, le président l’a su mais m’a accepté que je sois parmi les Ratsirakistes. C’était en souvenir des relations de Manadafy et de Ratsiraka.
Durant sa carrière politique, il a eu pas mal d’adversaires. A-t-il eu de l’animosité envers eux ?
Je ne peux pas affirmer s’il avait de l’animosité pour eux ou pas. Prenons le cas du pasteur Andriamanjato, qui avait beaucoup fait pour le renverser sur la place du 13 mai. Quand le pasteur était président de l’Assemblée nationale, il a eu une relation que je qualifierais de très institutionnelle avec lui, mais sans animosité. Le pasteur s’est même déplacé pour lui proposer Ny Hasina, son fils, comme ministre. Il l’a fait. Il en est de même pour Lila Ratsifandrihamanana. Il m’a même dit, « je dois les prendre. On ne peut pas gouverner tout seul ce pays ».
Et par rapport à Albert Zafy ?
Ils ont étudié ensemble en France dans le temps. La politique étant ce qu’elle est, il se trouvait qu’il s’est brouillé avec Zafy en 1991 mais il n’en a pas fait un drame. Il a toujours eu des contacts avec Zafy pour diverses raisons. Je ne l’ai pas vu bouder ou s’éloigner de Zafy. Au fond de lui, peut-être qu’il en voulait à Zafy mais il n’a jamais voulu montrer ça publiquement.
Et le dernier en date, Marc Ravalomanana ?
Là, je peux vous dire que ce qu’il m’a confié est très dur. Il y avait un officier qui lui a reproché d’avoir embrasséRavalomanana, dans certaines occasions, après l’histoire de Dakar. Cet officier-là m’a chargé de lui dire que ses amis et lui étaient déçus que le président agisse de la sorte avec Ravalomanana, c’est-à-dire l’embrasser et avoir des contacts avec lui. Et voici ce qu’il m’a dit : « dites à ces officiers que moi, je fais de la politique et quand on fait de la politique on ne peut pas haïr des gens. Mais pour le mal qu’on m’a fait – sans nommer Ravalomanana – je suis du genre qui dit ceci : pour les gen,s la vengeance est un plat qui se mange froid. Mais pour moi, la vengeance est un plat qui se mange congelé ». A vous de prendre ça comme vous voulez.
Noel Razafilahy était caricaturiste et coursier au journal MFM Ndao en 1973 quand Manandafy était en prison. Après une formation à l’institut de promotion sociale, il est devenu pigiste chez Madagascar Matin. En 1976, Latimer Rangers l’a embauché dans le journal L’Eclair jusqu’en 1982. Il a également travaillé pour La Croix. Après un stage aux Etats-Unis, il intègre le Journal de Madagascar du président Ratsiraka vers la fin des années 80, pour ensuite être chroniqueur dans la Radio Tsioka Vao. Après, il est passé par le Times de Madagascar puis par La Nation. Il est actuellement à La Gazette de la Grande île.
Propos recueillis par Tolotra Andrianalizah
Avoir un chien chez soi est devenu une passion pour les cynophiles, reléguée au même rang que les besoins de sécurité pour d’autres. Pourtant, pour garder son chien en bonne santé et surtout s’assurer qu’il soit apte à protéger la maison en cas d’attaque, il faut savoir bien l’élever.
Bien avant de décider d’adopter un chien, qu'il soit de race ou non, plusieurs paramètres sont à passer à la loupe, à savoir : la nourriture, les vaccins, le vermifuge, le dressage, etc. Quoi qu’il en soit, il est tout à fait possible d’élever son chien, en réduisant au maximum les dépenses.
#1 Nourriture : du fait-maison pour son chien
Nombreux sont ceux qui s’imaginent que pour bien nourrir son chien, il faut dépenser des milliers d’ariary en protéines ou croquettes. Il n’en est rien, car il est tout à fait possible de le faire avec des recettes faites-maison. L’enjeu est de répondre proprement aux besoins de l’organisme de l’animal.
Ce qu’il faut y intégrer ?
Quelle ration pour quel chien ?
Vous avez sans doute déjà entendu parler de la règle des tiers, pas en photographie, mais dans le cadre de la nourriture pour chien. Il s’agit du dosage des ingrédients pour la nourriture des chiens. Pour un bon équilibre, l’idéal est d’y mettre un tiers d’aliments riche en protéines, un tiers de légumes, et un tiers de céréales ou notamment du riz.
Pour ce qui est de la ration, l’idéal est d’avoir environ 30 g de nourriture par kilo, soit 180 g pour un chien pesant 6 kg, 450 g pour 15 kg, 900 g pour 30 kg…
#2 Apprendre soi-même à dresser son chien
Quand le maitre dresse son chien lui-même, il se donne l’opportunité de communiquer et de comprendre son chien. Cela permet de construire une forte relation entre le chien et son maître, qui peut se baser sur une confiance mutuelle. En plus de l’économie d’argent, cela permet d’avoir un meilleur contrôle du chien en toute situation.
Est-ce facile ?
Apprendre soi-même à dresser son chien n’est pas chose facile, plus encore, ça prend du temps. Mais tout cela en vaut toutefois la peine, si le maître est un passionné. Plus encore, le fait de s’amuser avec son chien est considéré comme un antistress efficace.
Ce vaccin a été développé par un laboratoire Americano-allemand. C’est l’un des tout premiers vaccins qui a été approuvé et distribué dans plusieurs pays européens et aux États-Unis. C’est également le vaccin qui a été le plus rapidement développé. Cela a pris 10 mois. Ce sérum utilise les nouvelles technologies, celle de l’ARN messager. Sachez que comme tous les types de vaccin ARN, ils peuvent être produits très facilement et donc en grande quantité.
Le Pfizer/BioNTech nécessite deux injections et serait efficace à 91,3%, six mois après la seconde injection. Le laboratoire a affirmé, ce 1er avril, que son vaccin conservait une efficacité très élevée contre le variant sud-africain du coronavirus, citant des conclusions d’essais cliniques menés en Afrique de Sud. Par ailleurs, Selon les résultats d’un essai clinique annoncé le 31 mars 2021, ce vaccin serait efficace à 100% chez les adolescents âgés de 12 à 15 ans.
Au départ le vaccin Pfizer/BioNTech devait être conservé entre -20 et -80 degrés, mais l’agence américaine des médicaments vient d’autoriser le stockage de ce sérum à des températures de congélation entre -25 et -15 degrés.
Inona no fantatra momba ilay vaksiny Pfizer/BioNTech?
Novolavolain'ny ivontoeram-pikarohana allemana sy amerikana iray ity vaksiny ity. Anisan'ireo vaksiny nankatoavina voalohany ary nozaraina tamina firenena maromaro tao Europa sy Etazonia. Vaksiny nanaovana fikarohana sy fanatsarana aingana indrindra. Ary Naharitra 10 volana izany. Teknolojia vaovao no ampiasaina amin’ilay serum, dia ilay mpitondra hafatra ARN na ARN messager. Toy ny karazana vaksiny ARN rehetra, mora vokarina izy ary betsaka ny fatra azo noho izany.
Tsindrona roa no atao amin’ny pfizer / biontech, 91.3% ny taham-pahombiazana, enim-bolana aorian'ny tsindrona faharoa. Nanamafy ity ivontoeram-pikarohana ity ny 1 aprily fa ambony ny taham-pahombiazany manoloana ilay coronavirus amin’ny endriny vaovao avy ao Afrika atsimo, raha nitanisa ireo tsoahan-kevitra taorian’ny andrana natao Afrika Atsimo ihany. Ankoatr'izay, araka ny valin'ny andrana izay nampahafantarina ny 31 martsa 2021, mahatratra 100% ny taham-pahombiazan’ity vaksiny ity ho an’ny adolantsento 12 ka hatramin'ny 15 taona.
Raha tokony hotehirizina amin’ny maripana -20 ka hatramin’ny -80 degre ny vaksiny Pfizer / Biontech tamin’ny voalohany, vao avy nanome alalana ny fitahirizana ity serum ity amin'ny mari-pana -25 ka hatramin’ny -15 dégré ny agence américaine des médicaments.
Miandry an’I Valitera eo an-tokotaniny i Rabiry sy i Besoa ary i Zanety. Nandeha ny resaka nandritra izany fa nirahan’ny ben’ny tanàna hitety ny olona hakana ny heviny momba izay hetahetany hanatsarana ny fitantanana eo anivon’ny kaominina iI Valitera. Mikasa ny hanakaiky voahoaka i Stanislas raha ny nambaran’izy ireo taorin’ilay fanambarana nataony tamin’ny haino aman-jery. Samy nitondra soson-kevitra amin’ny fanatsarana ny fitantanana ny kaominina teo izy telo mianadahy.
Rabiry, Besoa et Zanety attendent Valitera dans sa cour. Besoa explique que Valitera a été envoyé par le maire pour recueillir les idées des habitants afin d’améliorer l’administration de la commune. Stanislas prévoit de se rapprocher de la population, ont-ils affirmé, après les diverses formations tenues par les médias. Tous les trois ont fait des suggestions et apportent leur point du vue sur l’amélioration du mode de gouvernance de la commune.
A différencier du charbon que nous utilisons pour cuisiner, le charbon actif est certes un dérivé du charbon de bois, mais aura été traité pour être activé. Quoi qu’il en soit, cet actif, aujourd’hui très prisé dans le monde de la cosmétique, présente de nombreux atouts sur la santé.
Au moins une fois dans notre vie, nous avons tous eu à manger ces pilules de couleurs noires qui calment la diarrhée ou les troubles dus à une intoxication alimentaire. Ces pilules sont faites à base de charbon actif, tout comme les nouveaux dentifrices qui aident à blanchir les dents ou les « black masks » qui détoxifient la peau du visage. Le charbon actif a de nombreuses vertus !
Un actif filtrant ultra efficace
Le charbon actif est utilisé tant pour purifier l’air ambiant d’une pièce que pour purifier l’eau. Grâce à ses propriétés, notamment sa forte capacité d’absorption, cet actif aide à éliminer les polluants, les allergènes, les bactéries, les mauvaises odeurs mais aussi les substances chimiques.
- Pour purifier l’air d’une pièce par exemple, il est possible de verser une ou deux cuillerées de charbon actif dans une pochette en lin ou en coton avec de fines trames. Il conviendrait d’éviter un tissu qui sent la lessive ou aussi de l’eau de javel, car le charbon actif absorbera également l’odeur et ne sera pas plus efficace pour purifier l’air de la maison.
- Pour avoir de l’eau pure, il suffit de fabriquer un filtre simple avec une pochette en ligne propre contenant du charbon actif. Une fois que l’eau sera passée par le charbon, elle en ressortira plus pure.
- Pour les ballonnements et les gaz intestinaux, une addition de 500 mg de charbon actif dans 350 ml d’eau sera efficace. Pour que le mélange soit plus doux à la langue, on peut utiliser du jus de fruit « non acide » à la place de l’eau, comme du jus de carotte ou du jus de tomate.
A différencier du charbon ordinaire
Bien que le charbon actif provienne du charbon de bois, ce dernier ne peut en aucun cas remplacer le charbon actif. Le charbon de bois n’a pas les mêmes capacités d’absorption que le charbon actif. Le charbon actif est un charbon de bois dur, qui a été traité pour augmenter la surface des particules de carbone, pour créer des pores. Ainsi, il est capable d’absorber plus de toxines, d’impuretés et de gaz.
Les établissements et les parents dans la capitale, région la plus touchée par la COVID-19, se préparent déjà à un durcissement des mesures au-delà des 15 jours de suspension des cours, décrétée par l’exécutif.
Les vacances de Pâques arrivent à point nommé. La décision de l’exécutif de prolonger les vacances d’une semaine est la première mesure prise en direction des établissements scolaires depuis le début de la deuxième vague. Ainsi, au lieu de durer une semaine, ces vacances se prolongeront sur 15 jours supplémentaires. Un soulagement pour de nombreux parents. « Je n’ai pas attendu le conseil des ministres pour ne pas envoyer ma fille à l’école, lance Magalie, mère d’une petite fille en grande section. Elle est restée à la maison depuis hier. J’ai vraiment peur pour sa santé ». Cette crainte, elle la partage avec Clark, un père de trois enfants en primaire. « Bien sûr que j’ai peur. Mes enfants sont encore allés à l’école aujourd’hui. Je ne sais pas s’ils vont devoir encore y aller demain », indique-t-il.
Baisse de niveau
Une source auprès du ministère de la Santé précise que cette mesure concerne tous les établissements, publics ou privés. La directrice d’un établissement scolaire privé d’Antananarivo confirme le prolongement des vacances pour ses élèves. Ainsi, si la rentrée était prévue le 12 avril, elle aura lieu le 19. Elle fait savoir, par ailleurs, que l’école prévoit déjà de prendre des dispositifs par rapport à cela. Ainsi, dès la deuxième semaine des vacances, les parents sont invités à chercher les cours et les devoirs à l’école ou à les télécharger sur Google Classroom, un dispositif déjà utilisé l’année dernière. Sinon, elle indique que si le gouvernement autorisait les cours le 19 avril, l’établissement a d’ores et déjà décidé de faire des demi-classes. « Nous allons diviser les élèves en deux groupes qui vont venir en classe en alternance. Nous avons déjà mis en place ce système l’année dernière », explique-t-elle.
Malgré l’envoi des cours, la directrice note un impact assez conséquent sur le niveau des élèves. « Oui c’est palpable. Un nombre élevé d’enfants en difficulté a été noté à la rentrée. Ils ont dû suivre des cours de soutien ». Clark confirme qu’il est plus dur pour les parents d’encadrer leurs enfants. « Je trouve qu’ils apprennent mieux à l’école, mais on se prépare déjà à reprendre les cours à la maison ».
Né dans la filiale belge du laboratoire pharmaceutique américain Johnson & Johnson, ce vaccin est réputé comme étant efficace à seulement 66% contre les formes modérées de la COVID-19, mais à 85% efficace contre les formes graves du virus.
C’est un vaccin dit classique (Vecteur Viral), comme l’AstraZeneca (Grande Bretagne) ou encore Sputnik V (Russie) qui entraîne le système immunitaire à reconnaître le virus. Son atout principal ? Il est le seul vaccin à être injecté en une seule dose. Il peut être conservé entre 2 et 8 degrés, donc dans un réfrigérateur classique. Bien évidement comme tous les vaccins existants sur le marché actuel, le Johnson & Johnson aide à lutter contre les formes graves du Coronavirus et donc à baisser le taux de mortalité, mais en aucun cas il n’empêcherait la transmission du virus.
Le 29 mars dernier, le géant pharmaceutique américain a annoncé que 400 millions de doses de son vaccin sont prévus d’être livrés aux pays de l’Union africaine.
Inona ny fantatra momba ilay vaksiny Johnson & Johnson?
Teraka tao amina orinasa belge iray, zanaky ny ivontoeram-pikahorana momba ny fanafody any Amerika antsoina hoe Johnson sy Johnson, ity vaksiny ity. Voalaza fa 66% monja ny taham-pahombiazany manoloana ireo tranga tsy dia atahorana amin’ny COVID-19, 85% kosa izany manoloana ny tranga atahorana.
Toy ny vaksiny rehetra ihany izy na hoe vecteur viral, toy ny AstraZeneca (avy ao Grande Bretagne) ou na ihany koa ny Sputnik V (Russie), izay mitarika ny vantana hamantatra ilay tsimokaretina.
Inona kosa anefa ny tena tombony ?
Tsindrona tokana no atao, ary izy irery ihany no vaksiny toy izany. Azo tehirizina amin’ny maripana 2 ka hatramin’ny 8 degre, izany hoe anaty vata fampangatsiahana mahazatra antsika ireny. Mazava ho azy, toy ny vaksiny misy ankehitriny, manampy amin’ny fiadiana amin’ny tranga atahorana amin’ny coronavirus ny Johnson & Johnson. Noho izany, mampihena betsaka ny tahan'ny fahafatesana izy fa tsy manakana kosa ny fifindran’ny tsimokaretina.
Tamin'ny 29 martsa, nanambara ilay orinasa lehibe mpamokatra azy fa 400 tapitrisa eo ny fatran'ny vaksiny vinavinaina ho alefa any amin'ny firaisamben’ny firenena Afrikana.