Ny fisie, ny sary, ny hira, ny hafatra izay tahirizintsika anaty finday, solosaina sns kanefa tsy ilaintsika no atao hoe “déchet numérique”. Mameno ny tahiry anaty izy ireny no sady manimba ilay fitaovana ampiasaina. Eo ihany koa ny fandaniana angovo satria rehefa mitahiry azy ireny isika dia miasa ny “cloud’ na ny “data center”, ivon-toerana mandrindra ny fivezivezana sy fitahirizina ireny fisie ireny. Miasa tsy tapaka ny aterineto sy ny jiro amin'izany, ka mampitombo ny CO2 mandoto ny tontolo iainana. Ilaina araka izany hoy ny avy ao amin’ny Let’s do it Madagascar ny manokana andro sy fotoana hamafana ireo izay tsy ilaina intsony anaty mailaka, solosaina sns. Henoy ato anatin’ny Hono ho aho ny fanazavan’i Ornel.
Les fichiers, images, musiques, messages que nous stockons dans nos téléphones, ordinateurs mais que nous n’utilisons pas sont considérés comme des déchets numériques. Ils remplissent le stockage interne et endommagent le matériel. On dépense aussi beaucoup d’énergie car lorsque nous les stockons, ils sont placés dans le cloud ou le data center. C’est un centre qui gère la mobilité en ligne et le stockage de ces fichiers. Internet et l'électricité y sont activfs en permanence, augmentant le CO2 émis et polluant l'environnement. Selon Let's do it Madagascar, il est important de consacrer du temps pour supprimer et filtrer les fichiers qui ne nous sont plus indispensables, que ce soit dans les mails, les ordinateurs, etc. Écoutez Ornella Assimini, la présidente de l'association Let’s do it Madagascar, dans Hono ho aho.
Fitaovana fanatsorana volo amin’ny alalan’ny entona ny Steam pod. Manalefaka ny fiantraikan’ny hafanana amin’ilay volo io entona io ary miaro ilay volo tsy ho tapatapaka. Na izany aza tsy tsara ny mampiasa azy miverimberina loatra satria mety hanimba volo ihany hoy i Rakotoniaina Njara Nantenaina, mpikarakara tao-volo matihanina.
Maro ireo vehivavy izay misintona volo irery ao an-trano rehefa manana ny fitaovana ahafahana manao izany. Maro anefa ny zavatra tsara ho fantatra rehefa hoe hisintona volo izany ka tokony hitandremana sao hanimba azy. Manazava izany ato anatin’ny fandaharana Santénakà i Razafindrakoto Ninie, mpikarakara matihanina ny tao-volo sy tarehy.
Le steampod est un fer à lisser à vapeur. Son atout, c’est de protéger les cheveux à travers cette fonctionnalité car la vapeur réduit réduit les effets néfastes de la chaleur sur les cheveux. Néanmoins, comme tout appareil chauffant pour les cheveux, il est conseillé de ne pas l’utiliser trop fréquemment, au risque de détruire le cuir chevelu.
Nombreuses sont les femmes et jeunes filles qui choisissent de lisser leur cheveux elles-mêmes à la maison. Les différentes responsabilités ou tâches à faire ne leur laissent pas le temps d’aller dans un salon de coiffure. Pourtant, il y a plusieurs informations et techniques à connaître et à apprendre avant de lisser ses cheveux soi-même. Razafindrakoto Ninie, coiffeuse professionnelle et esthéticienne, nous donne quelques conseils.
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Les œuvres littéraires malgaches sont uniques en leur genre. Dans Sandrify, en compagnie de très jeunes écrivains malgaches, nous allons tenter de comprendre comment ils choisissent les genres littéraires et les figures de style dans leurs œuvres. Ils soutiennent, par exemple, que vers ou poésies n’impliquent pas nécessairement la présence de rimes mais essentiellement de tons. Par ailleurs, ces écrivains expliquent également que l’art oratoire, le fameux « kabary » ne s’enseigne pas.
Kanto ny asa soratra malagasy. Mety ho boky, mety ho tononkalo, mety ho tantara sy ny maro hafa izay asa soratra izay. Fa inona tokoa moa izany ny antony hilazana foana hoe kanto ny asa soratra malagasy ? Singa voalohany mahakanto azy ny hainteny sy haiteny ary singa faharoa ny sarinteny. Ka mikasika ireo indrindra ary dia hazavain’ny mpanoratra tononkalo ato anatin’ny fandarahana sandrify ohatra fa tsy araka ny fiheveran’ny maro azy, tsy voatery misy rima avokoa ny tononkalo rehetra.
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Samy nilahatra vary mora teo amin’ny fokontany i Zanety sy Velotody ary i Rabiry, ka tafaresaka momba ilay raharaha fanondranana hazo sarobidy antsokosoko. I Zanety etsy andaniny liana tokoa amin’io vaovao io satria aminy dia tokony mahafantatra ny vaovao miseho eo amin’ny kaomina ny fokonolona. I Velotody etsy ankilany, sosotra satria aminy dia manome ohatra ratsy hoan’ny olona tarihiny ny ben’ny tanàna. Manazava Rabiry fa na i Romain na i Stanislas dia tsy ho afa-miala ary efa hiakatra fitsarana ny raharaha. Saika hanao kolikoly ny zandary i Romain, ka izay no nahatezitra azy ireo.
Jeanette, Velotody et Rabiry se croisent en faisant la queue pour acheter le riz proposé à prix bas au Fokontany. Le sujet concernant l’exportation illicite de bois précieux est au cœur de leur discussion. Jeanette indique qu’en bonne citoyene, elle se tient au courant de tous les détails sur cette affaire. Pour Velotody, ce qui est accablant, c’est le fait que le maire donne le mauvais exemple alors qu’il devrait pourtant servir de modèle. Pour Rabiry, le maire et Romain vont tomber car l’affaire va désormais passer au niveau du tribunal. Romain espérait corrompre les gendarmes, mais ces derniers ont été choqués par ce geste.
C’est pratiquement une finale que Madagascar va jouer dans la course à la qualification dans le groupe K. La défaite est interdite si les Barea veulent avoir leur destin en main lors de la dernière journée. Leur adversaire du jour, l’Ethiopie, sort d’une victoire convaincante en amical sur la pelouse du stade de Bahir Dar face au Malawi, il y a une semaine.
Quoi de mieux pour préparer un match charnière qu’une victoire. Les Ethiopiens ont fait le plein de confiance la semaine dernière en s’imposant sur le score de 4-0 face au Malawi sur la même pelouse où ils vont recevoir les Barea demain, à Bahir Dar. Lors de la précédente journée, en novembre, ils avaient déjà étriqué le Niger, 3-0. De plus, ils restent invaincus à domicile dans ces qualifications en battant même la grande Côte d’Ivoire.
Cohésion
Absent pour la rencontre, le capitaine malgache, Abel Anicet Andrianantenaina, est conscient de la tâche qui attend ses coéquipiers en Ethiopie, en se rappelant notamment d’un match frustrant à l’aller. « Cette équipe éthiopienne nous a vraiment frustrés à Madagascar. Ce n'était pas un match facile pour nous », indique-t-il, au micro de la BBC. Un match remporté 1-0 par les hommes de Nicolas Dupuis sur un but de Rayan Raveloson. « Nous avons vu de quoi ils étaient capables à Madagascar et nous nous attendons donc à ce que ce soit encore plus difficile. Mais l'état d'esprit sera la clé et si nous sommes unis, je pense que nous pouvons le faire », ajoute le capitaine des Barea. C’est justement sur cette cohésion que le sélectionneur malgache mise pour permettre à Madagascar d’accéder, une deuxième fois, à la phase finale de la Coupe d’Afrique des Nations après la grande première de 2019. C’est en ce sens qu’il a notamment rappelé le néo retraité Faneva Ima Andriatsima, ancien capitaine emblématique de l’équipe.
L’équation est simple pour Madagascar :ramener au moins un point de Bahir Dar. Ce serait une victoire qui qualifierait directement les Barea avant la dernière journée. Aucune indication n’a, pour le moment, filtré sur la composition du onze de départ de Dupuis.
Le système éducatif en vigueur chez les scouts malgaches, plus précisément les Tily, fait référence à la persévérance et à l’obstination de la fourmi, petit insecte social qui n’abandonne jamais et qui est autonome. C’est dans cette culture d’initiative que l’édifice « tranombitsika » alias « fourmilière » a vu le jour. Il s’agit d’un domaine propre aux jeunes scouts malgaches et dont la plupart des travaux de finitions ont été accomplis par les jeunes louveteaux. Un exemple concret : la peinture des empreintes des enfants membres via un projet appelé « Dian-tanana » sur l’ensemble d’une des structures du domaine Tranombitsika.
Ny vontoatin’ny kolontsaina voizin’ny seha-panabeazana Skoto dia mitovy amin’ny ny an’ny vitsika. Beazina hikolokolo hatrany ny sehatra hitoerany sy hitomboany ary hivelomany toy ny vitsika ireo ankizy beazina eo anivon’ny Tily. Porofon’izany dia tsy nakana mpandoko na mpanao zaridaina matihanina ny tranombitsika eny Antsahamarofoza na ny tranon’ny Tily eto Madagasikara. Maneho izany ny ohatra nentin’ireo tanora mpikambana tamin’ny alalan’ny fametrahana ny dian-tanan’ireo ankizy beazina tamin’ny fandokoana fotodrafitr’asa iray eto anivon’ny tranombitsika sy fambolen’izy ireo hazo no fikolokoana ireo ala manodidina.
Nous avons déjà parlé de l’expression malgache « Ny tany nahavokisana tsy hipetrahana/hijanonana ela », littéralement traduit par « on ne reste pas longtemps là où on a mangé » dans une précédente émission. Selon l’orateur Barao Mikajy, l’expression correcte est plutôt « Ny tany nahavokisana, ny tsihy no hipetrahana/hijanonana ela », cette fois traduite par « après y avoir mangé, on reste sur la natte». D’après lui, cette expression a pris son sens au sein des familles qui ont pris l’habitude de continuer la discussion après un repas. Aujourd’hui, l’écrivain, enseignant chercheur et membre de l’Akademia Malagasy, Nalisoa Ravalitera nous donne une autre version. Pour lui, l’expression vient plutôt des dahalo ou voleurs de zébus. En fuite après un vol, ces derniers s’arrêtent brièvement pour manger, mais repartent immédiatement aussitôt qu’ils sont rassasiés, d’où le sens de « on ne reste pas longtemps là où on a mangé ».
Efa nisy fotoana niresahana ny fomba fiteny hoe « Ny tany nahavokisana tsy hipetrahana/hijanonana ela » tamin’ny fandaharana teo aloha. Hoy ny mpikabary Barao Mikajy tamin’izay hoe « Ny tany nahavokisana, ny tsihy no hipetrahana/hijanonana ela » no fehezanteny marina. Natao hanohizana korana hoy izy io fa tsy hangatahan-dalana. Mitondra fanazavana hafa kosa anio ny mpanoratra, Nalisoa Ravalitera, izay sady mpampianatra mpikaroka no mpikambana ao amin’ny Akademia Malagasy. Raha ny fanazavany dia avy amin’ny dahalo no niavian’io fomba fiteny io. Rehefa avy mangalatra omby ireo ka mandositra dia misy fotoana mijanona misakafo, mihinana amin’ireo omby nangalarina. Rehefa avy nisakafo anefa dia tsy maintsy miainga haingana indray manohy ny fitsoahana. Natao hangatahan-dalana izany io fomba fiteny io ho azy.
A l’heure où la deuxième vague de COVID-19 fait rage sur l’île, à Tuléar des étudiants du campus universitaire de Maninday à Tuléar présentent des symptômes qui se rapprochent plus ou moins à des cas de grippe.
Avec l’apparition du nouveau variant et la hausse de nouveau cas à Madagascar, la peur de la COVID-19 regagne la population. Au campus universitaire de Maninday à Tuléar, certains étudiants ont même peur d’aller consulter les médecins. Pourtant, selon nos sources, une vague de grippe sévère frappe aujourd’hui de nombreux étudiants du campus. « J’ai été moi-même victime de cette grippe sévère, et jusqu’à maintenant je continue à prendre des médicaments », explique Bosqué, un étudiant qui vit au campus de Maninday, sans toutefois avoir consulté un médecin. La fièvre, estime-t-il, a été assez sévère qu’il est resté cloué au lit pour quelques jours.
Pourtant, par peur de la COVID-19, les étudiants qui souffrent de cette forme de grippe optent pour l’automédication ou pour des consultations auprès de médecins privés. « Nous avons surtout peur qu’il ne nous arrive aussi ce qui s’est passé au campus d’Antsiranana et de finir par être confinés ici au campus », souligne Bosqué. De fait, pour son cas, il est passé par une personne qui revend des médicaments. (Pour rappel, en décembre 2020, après que des étudiants aient été testé positifs à la COVID-19, tout le campus a été confiné et les étudiants interdits de circulation pendant un peu plus de trois semaines).
Le président de l’université, le Dr Razafiharison Andriamanantena indique, quant à lui, qu’il n’a pas eu vent de cela et que tout va pour le mieux au campus Maninday.
Et le service de médecine préventive ?
Comme tout campus universitaire, celui de Tuléar dispose également d’un service de médecine préventive. Pourtant, passer par ce service est vu, pour certains étudiants, comme une perte de temps. La raison en est simple, explique Christophe, un étudiant qui a également été malade. « Les étudiants préfèrent ne plus passer par ce service, parce qu’ils ne nous donnent qu’une ordonnance et nous devons aller acheter les médicaments à l’extérieur. Nous préférons ainsi payer directement un médecin privé pour avoir à la fois la consultation et les médicaments », indique-t-il.
Selon nos sources, le problème au niveau de ce service relèverait du fait qu’il ne dispose que de 6 % des droits d’inscription des étudiants comme budget de fonctionnement pour toute la durée de l’année universitaire. Nous n’avons cependant pas eu la version des faits de la part des responsables de ce service. Les bureaux de la médecine préventive sont fermés hier et aujourd’hui 23 mars 2021.
La vannerie a longtemps été l’accumulation d’un savoir-faire féminin malgache. La technique était d’abord réservée aux objets purement utilitaires comme les nattes, les vans à riz, les sacs, les paniers et les chapeaux. Elle s’est ensuite développée au profit d’objets plus décoratifs comme les rideaux, les cadres, les sets de table. Toutes les plantes fibreuses ont été utilisées à cet effet, bambous, roseaux, palmes, feuilles et écorces de certains arbres. Dans le Sud de la région Analamanga, précisément à Amboasary dans la commune de Behenjy, les principales fibres utilisées sont le sisal et le raphia. Les femmes d’Amboasary se focalisent surtout sur la fabrication de paniers, de sacs à main, de chapeaux et certains objets de décoration ainsi que des tapis.
Asa efa lova ny fikirakirana rofia sy tady ho an’ny ankamaroan’ireo vehivavy monina ao Amboasary, kaominina Behenjy. Hafarana avy any Antananarivo ny akora fototra ampiasaina ary amidy eo amoron’ny lalam-pirenena faha fito ny famoronana vita avy eo. Tsy nianatra manokana an’ity asa ity ireo vehivavy ao Amboasary fa nijery ny fanaon’ireo teo aloha raha ny fanazavana.