La dissolution à l’eau du gel hydro alcoolique réduit son efficacité.
Doodle art : Quand le « gribouillage » devient de l’art.
Miel : attention au surdosage !
Tout savoir sur La non-assistance à personne en danger dans le contexte actuel.
Manao taratasy hosoka ny zotra nasionaly sasantsasany hahafahany mitatitra olona.
zara raha misy mividy sy manangona ny vokatr'ireo mpanjono madinika.
fampianarana kabary anaty fihibohana, amin'ny alalan'ny kapila mangirana, okony dorana ny aron-tava avy nampiasaina.
Mety ho lasa tsy manan-kialofana ireo olona very asa
Cela fait une semaine que Randrianarison Maurice dit Zoto et sa famille sont arrivés dans la capitale. Il s’agit de la famille qui fait le tour de Madagascar à pied ou à vélo. Elle espérait reprendre la route aussitôt. Mais les mesures de restrictions sanitaires l’empêchent de poursuivre son périple.
 Vendredi dernier, tous les membres de cette famille ont passé le test de dépistage du coronavirus.  Ils espéraient avoir les résultats au bout de trois jours, mais jusqu’à maintenant toujours pas de réponse. Par mesure de précaution, les autorités ont affirmé hier qu’ils devraient encore attendre deux semaines. En effet, il reste plusieurs tests à effectuer avant de reprendre le voyage. Par ailleurs, ses aventuriers ne sont pas encore sûrs de pouvoir sortir de la ville même s’ils sont testés négatifs à la covid-19. La circulation des personnes en dehors d’Antananarivo est toujours interdite et aucun traitement de faveur n’a été accordé.
Pour l’heure, la famille essaie de s’adapter à la vie citadine. « Au début, ils appréciaient bien leur séjour ici. Mais maintenant il faut dire que la route et les montagnes leur manquent », explique celui qui les héberge, Hervé Barinjaka Milius. Les Tananariviens ont également été touchés par l’histoire de cette famille. Ils ont pu collecter jusqu’à 1 245 000 Ariary de dons en s’organisant sur Facebook. Dans les régions, plusieurs personnes veulent aussi aider. Certains proposent déjà d’héberger la famille s’ils venaient à passer dans leur ville. A noter qu’après la capitale, Zoto et sa famille ont planifié de se diriger vers Mahajanga. Reste à savoir quand est-ce que cela sera possible !
Doodle est un mot anglais, qui, traduit en français, signifie gribouillage. En effet, le Doodle est une forme d’art inspirée de gribouillages et de formes géométriques. C'est une technique de dessin qui n’a pas vraiment de règles de base. « C’est dessiner au hasard des formes et des personnages et ensuite remplir toute une feuille pour que cela se rapproche du monde de l’art », explique Mat Li, dessinateur malgache, adepte du doodle. Si dans la poésie on a ce que l’on appelle l’écriture automatique, dans le domaine de l’art, on a le doodle qui est l’équivalent du dessin automatique.
Exposer ses oeuvres dans une galerie
Mat Li était photographe avant de s’intéresser au dessin et c’est dans le doodle art qu’il s’est retrouvé. « C’est à partir de cette forme que je peux m’exprimer, que je peux faire mes dessins sans réfléchir, c’est-à -dire que ce n’est pas trop casse-tête et en même temps, cela soigne l’esprit ». Il puise ses inspirations dans le pop art et le street art, mais ses œuvres sont généralement un mélange de symboles et de formes géométriques.
Sa dernière exposition en ligne est intitulée « Composition of everything » : un ensemble de peintures, de dessins et de textes. La première publication date du 10 mai sur sa page Facebook Mat Li Art and Doodles. Chaque jour, quelques tableaux sont rajoutés aux précédents. Son objectif est qu’au terme de ce confinement, ses œuvres soient exposées dans une vraie galerie d’art.
Selon une étude de l'UNESCO réalisée en 2017, 30% des diplômés en sciences, technologie, ingénierie et mathématiques à Madagascar sont des femmes. Ces dernières ont créé le réseau Ikala STEM, il y a 4 ans. A l'occasion de cet anniversaire, Ikala organise un concours.
Dans une vidéo de 3 minutes en malgache, en français ou en anglais, les participants devront présenter une à trois scientifiques qui les inspirent et expliquer pourquoi elles sont exceptionnelles. Cela peut être dans le domaine des sciences naturelles, de la chimie, des énergies renouvelables, de l'architecture ou encore de l'intelligence artificielle.
La créativité avant tout
Selon un membre du réseau, Koloina Rasolofoniaina, l'objectif de ce concours est avant tout de « faire connaitre, un peu plus, le domaine de la science au public et le promouvoir auprès des jeunes. Cela permet également de valoriser les œuvres et les compétences des femmes scientifiques qui sont souvent oubliées. »
Pour participer, il suffit d'enregistrer la vidéo et de la publier sur votre page Facebook avant le 27 mai 2020 en mentionnant le hashtag #ikalastem4thbirthday. Les organisatrices encouragent la créativité. C'est d'ailleurs un des critères de sélection avec la pertinence du contenu et le vote des internautes. Les vidéos peuvent donc contenir de la danse, du poème ou du slam.
 Les trois meilleures vidéos de ce concours seront récompensées.
Gérer à bon escient le budget du ménage est loin d’être une mince affaire, en temps normal et surtout en temps de crise (sanitaire ou financière). Faire des épargnes, dépenser intelligemment et non dispendieusement, c’est un véritable casse-tête surtout quand l’inflation bat son plein.
Dans cette lutte contre le coronavirus, l’Etat a appuyé les familles les plus vulnérables financièrement à travers le programme « Tosika Fameno ». Après avoir franchi toutes les étapes, elles récupèrent les 100 000 Ariary auprès des services des postes. Mais une fois en poche, que va devenir cette somme ?
C’est l’essence de la formation sur l’éducation financière et l’épargne, dispensée par le Programme des Nations Unies pour le Développement (Pnud) et la Commune urbaine d’Antananarivo (CUA) qui a débuté le 12 mai. Dans ce cadre, 34 formateurs sont déployés dans les six arrondissements de la capitale.
Quid du contenu ?
Selon les explications de Felambolana, une des formatrices, le but est vraiment d’éduquer les gens à bien gérer les budgets, qu’il s’agisse des 100 000 Ariary, ou des budgets à venir. « Il ne s’agit pas d’une formation en comptabilité, mais plutôt d’une formation en budgétisation. C’est-à -dire, maîtriser, écrire et enregistrer les opérations de dépenses et de ressources effectuées », a souligné Felambola. Mais ce n’est pas tout. « Nous inculquons aux bénéficiaires que l’épargne n’est pas le reste des dépenses réalisées, mais la première des priorités dès que l’on reçoit une somme », poursuit-elle.
La formation – qui s’est traduite en éducation et sensibilisation en même temps – dure 15 minutes par groupe de 30 à 50 personnes. Les échanges sont priorisés.
Dans certains fokontany, les bénéficiaires ont déjà pu récupérer les 100 000 Ariary avant la formation. Dans d’autres, ils suivent d’abord la formation et récupèrent la somme après. Â
En cette période d’hiver, la diminution des précipitations favorise les feux de brousse. Ce phénomène est plus ou moins maîtrisé dans la commune d’Antanetibe Mahazaza, district d’Ambohidratrimo. Ceci dit, les autorités locales ont, tout de même, mis en place un comité spécial de lutte contre les feux de brousse le week-end dernier.
Les activités de ce tout nouveau comité vont légèrement au-delà de la lutte contre les feux de brousse, explique le maire de la commune, Rakotonomenjanahary Louis Firmin. En effet, il n’y a plus vraiment de feux de brousse à Antanetibe Mahazaza depuis 2008, affirme-t-il. Les cas d’incendies forestiers qui s’y produisent sont généralement des accidents et non des incendies criminels et volontaires. Le comité s’oriente donc un peu plus vers la surveillance des forêts et le suivi des campagnes de reboisement. Ils sensibilisent également la population à mieux prendre soin des forêts et de l’environnement en général.
114 personnes issues de tous les fokontany de la commune ont été mobilisées pour former ce comité. Ils ont tous bénéficié d’une formation de deux jours avant que le comité ne soit opérationnel. À noter que ce comité n’a pas pu être formé en une seule vague en raison des mesures de prévention contre la propagation du coronavirus (interdiction de réunir plus 50 personnes). D’ailleurs, questionné à ce sujet, le maire explique que « la vie ne doit pas s’arrêter même si la priorité du pays est de lutter contre la covid-19 ». Le comité ne peut pas attendre la disparition du virus pour agir. Cependant, toutes ses activités se feront dans le respect des mesures sanitaires.
Le comité de lutte contre les feux de brousse est une structure légale chargée d’appuyer les agents forestiers dans la lutte contre les incendies dans les villages et fokontany. Il a également pour mission d’éduquer les citoyens aux bons réflexes pour protéger les forêts selon le maire de la commune rurale d’Antanetibe Mahazaza dans le district d’Ambohidratrimo.
Miantoka ny fiadiana amin’ny doro tanety sy ny tavy, manentana ny isam-batan’olona handray andraikitra sy hiaro ny tontolo iainana ary manara-maso ireo zanakazo novolena. Ireo no anjara andraikitry ny komity miady amin’ny doro tanety raha ny nambaran’ny ben’ny tanà na avy ao amin’ny kaominina Antanetibe Mahazaza, distrikan’Ambohidratrimo.
Hygiène menstruelle : Les adolescents manquent d’information.
Plan de relance économique post covid19, l'agriculture est le premier secteur à prioriser.
IkalaSTEM : un concours pour faire découvrir les femmes scientifiques.
Confinement : La vente des appareils électroménagers en hausse.
Nomena fampianarana momba ny fitantanam-bola sy fanaovana tahiry ireo fianakaviana rehetra nahazo tosika fameno.
COvid19 sy kolikoly : Zava-dehibe ny fanajana ny zon’ olombelona ao anatin’ izao  hamehana ara-pahasalamana izao.
Manana komity manokana misahana ny ady amin’ny dorotanety ny Kaominina Antanetibe Mahazaza.
Baolina kitra : Mitohy ny fitiliana tanora hanamafy ny Barea ataon'ny mpanazatra Nicolas Dupuis sy ny federasiona.
Aucune recherche ne prouve que la présence de la nicotine dans le tabac puisse protéger de la Covid19 selon le Dr. Dina Josseline Rakotoarivelo de l'office national de la lutte antitabac. Si cette substance s'avère être un remède ou une prévention ce ne sera pas à travers une cigarette ou le tabac à chiquer qu'on va l'introduire mais par des médicaments testés.
Voaaro kokoa ve sa marefo kokoa manoloana ny Covid-19 ny mpifoka sigara, vokatry ny nicotine ? Nilaza ny avy ao amin'ny birao Nasionaly amin'ny ady atao amin'ny fifohana sigara fa tsy mbola nisy porofo siantifika milaza izany. Ary raha misy aza izany dia tsy amin'ny alalan'ny sigara izany no ampidirina fa amin'ny alalan'ny fanafody izay efa vita andrana.
La région Analanjirofo est une destination touristique incontournable à Madagascar. Allant de Fénérive-Est jusqu’à Sainte Marie, elle possède des réserves forestières comme Tampolo et des sites balnéaires comme celui d’Antsiraka qui se trouve en face de Sainte-Marie. Pourtant, de nombreuses plages de cette région sont couvertes de déchets en plastiques. Près de 800 kg de déchets plastiques, dont des bouteilles, ont envahi les principales villes de la région Analanjirofo, en 2019, selon le ministère de l’Environnement et du Développement Durable.
La situation est alarmante. Non seulement cela a un impact sur le tourisme mais elle représente surtout un danger pour l’environnement naturel de la région et pour ses habitants.
Du plastique dans nos assiettes ?
Selon un jeune activiste du Réseau Climat Océan Indien, Billy Melkiad, le plastique met 100 ans à se décomposer. Et, sans en être conscient, ces déchets plastiques peuvent arriver dans notre assiette. Les micro-plastiques se transforment en nano plastiques et pourraient pénétrer dans les organes humains à travers ce qu’on mange.
Ces raisons ont poussé le ministère de tutelle et les autorités locales à sensibiliser la population de cette région à ne pas jeter leurs déchets dans la mer. De plus, ils les incitent à utiliser des bouteilles en verre et des sacs en papier ou en tissu. Un projet de recycler ces plastiques est en cours d’études et il sera en collaboration avec des entreprises à Toamasina pour les recycler. L’idée, c’est de valoriser les déchets plastiques et de créer des emplois pour la population locale.