Réussir ! C'est le rêve de la plupart des gens, mais ce n'est pas facile, n'est-ce pas ? L’orateur Has Arthur, nous encourage à travers cette émission "Kozio ahy". " Ne vous découragez pas trop vite, la récolte sera meilleure une autre fois", un message tiré du proverbe malgache " Indray mandeha ve no manta vary dia handevin-tsotrobe" sera expliqué.
Isika rehetra dia manantena fahombiazana, indraidray anefa dia misy zavatra tsy ampoizina miseho. Eo no mandalo ao an-tsaina ny hoe " Indray mandeha ve no manta vary dia handevin-tsotsobe". Izany hoe ilaina ilay fikirizana, i Has Arthur mpikabary no hanazava izany amintsika ato anaty fandaharana.
Tiantsoa Razafindrakoto, un jeune lycéen de 17 ans, est déjà un as de la robotique. Durant le confinement, chacun essaie de s'occuper comme il peut. Et pendant que certains se mettent aux fourneaux ou à jouer de la musique, il y a ceux comme Tiantsoa qui s'essaient à fabriquer des robots utiles dans la lutte contre la covid-19.
Le robot fabriqué par ce jeune homme est un distributeur automatique de gel désinfectant. Tout à fait ce qu'il faut dans le contexte actuel. « Voici un petit capteur, et lorsque le capteur perçoit la présence de la main, une petite pompe fait monter et sortir les quelques millilitres de gel. J’ai pris la liberté d’y ajouter d’autres fonctionnalités comme une petite lampe, un ventilateur et une petite veilleuse pour la nuit aussi », nous explique Tiantsoa.
Curieux et passionné de robotique
Pour concevoir son robot, Tiantsoa s'est mis à utiliser des objets recyclés. Étant passionné par la robotique et en classe de 1re C, au Lycée privée Saint Joseph Antsirabe, il n'a pas eu de mal à monter l'appareil. « Depuis mon enfance, j’ai toujours fait du bricolage et des petites inventions à la maison. Et depuis la classe de 6ème, je me suis tourné vers le monde de la robotique. Ce n’est pas facile parce que, d’une part, je suis autodidacte et je m’informe sur Internet, et d’autre part, il y a mes études en parallèle. Alors, il faut beaucoup de temps pour préparer quelque chose de ce genre », a-t-il ajouté.
Ce confinement donne à Tiantsoa le temps pour travailler encore plus sur son invention. Il a été sélectionné par STEM4Good Madagascar pour faire partie de l’équipe qui portera les couleurs de notre pays au prochain Mondial de la robotique, FIRST Flobal 2021.
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Le port de la canne a une signification particulière dans la culture Betsileo. Elle désigne l’honneur et le respect du sujet au niveau de la société, mais c’est aussi un objet de protection.
Manana ny hevitra fonosiny ny fitondrana tehina amin'ny foko Betsileo . Sokajiana ao anatin'ny fitafy na haingo ny Tehina, fiarovana ihany koa , fa indrindra mitondra ny haja sy voninahitra eny anivon'ny fiaraha-monina.
Ce 21 mai 2020, une pétition en ligne a été lancée pour demander l’arrêt immédiat des travaux de construction du colisée « Kianjan’ny Masoandro » au sein même du palais de la reine, dans la capitale. Un projet déjà annoncé par le gouvernement malgache au mois de janvier dernier, mais qui tout à coup, fait le buzz sur les réseaux sociaux par le biais des photos récemment prises sur le chantier.
Le Président de la République de Madagascar, Andry Rajoelina, s’est fixé comme objectif de restaurer complétement le Rova de Manjakamiadiana avant la célébration du 60ème anniversaire de l’indépendance.
Les travaux sont confiés, principalement, à la société française Colas, une entreprise plutôt reconnue pour son expertise dans les infrastructures routières que dans la restauration des monuments historiques. « Il faut que l’équipe qui travaille dessus soit composée d’architectes, d’historiens, d’archéologue, de géologue, etc. Une équipe pluridisciplinaire qui décide ensemble et surveille le respect du cahier des charges, au risque de dénaturer la valeur du patrimoine en question », explique Raphaël Edino Serro Tassou, historien.
Atteinte à la valeur universelle du patrimoine
« Dénaturer ». Tel est l’argument utilisé par ceux qui ont créé la pétition en ligne nommée « génocide culturel Anatirova». Dans ce document, ils soulignent que le Rova de Manjakamiadana est un haut lieu qui compose l’identité culturelle malgache. Selon eux, la construction de ce colisée n’est nullement justifiée et s’apparente à une forme de « mépris flagrant et institutionnalisé de notre culture ». L’UNESCO a déjà réagi, bien avant, à travers une lettre adressée à Yvette Sylla, leur ambassadeur à Madagascar, en février dernier. Cette entité a averti que les « travaux incluant la construction de bibliothèques, de salle d’archive et d’un colisée pourraient avoir un impact négatif sur la valeur universelle exceptionnelle de ce patrimoine et l’intégrité de la Haute Ville d’Antananarivo».
Rappelons que la Haute Ville d’Antananarivo, incluant le Palais de la Reine, attend de se faire inscrire sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO. Le projet de réhabilitation du palais royal par le gouvernement ferait-t-il obstacle ?
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"Si les chances de transmission de la Covid 19 par le livreur sont minces, un certain nombre de précautions peuvent aider à minimiser les risques et vous offrir la tranquillité d'esprit.
Des jeunes s’intéressent au concours de cover sur les chansons du groupe ABBA.
Tsingy de Bemaraha : une source de revenue pour la population locale.
Lutte contre la covid19 : L’OMS veut tester l’efficacité du Covid organics.
Madagascar, deux séismes en moins d’une semaine.
Tsy nahandry ny valin'ny fitiliana amin'ny coronavirus ry 'Zoto mianakavy fa nanohy ny dia-ny mianavaratra omaly.Â
Hatao tsena maharitra ny tsenan'ny tantsaha etsy amin'ny MPE Nanisana.
misedra vanim-potoana sarotra ihany koa ny teatra Malagasy amin'izao hamehana ara-pahasalamana izao.<>
Hatraiza no fetra azo hikasihana ireo vakoka raha te hanavao azy ?
Fianarantsoa : fampiofanana momba ny fampivoarana ny maha olona ny tanora.
Un tremblement de terre dans la soirée du 13 mai et un autre une semaine après : faut-il s’inquiéter ?
Il n’y a aucune inquiétude à se faire, d’après Andry Ramanantsoa, sismologue auprès de l’Institut et Observatoire Géophysique d’Antananarivo (IOGA). Les séismes sont fréquents à Madagascar, mais leur magnitude est faible. Le dernier tremblement de terre qui a secoué la capitale ne faisait que 4.8 sur l’échelle de Richter, unité de mesure des ondes sismiques. Son épicentre se situait entre 22km au sud-ouest d’Anjozorobe et 15 km au nord de Sadabe. Celui du 13 mai a été localisé à 154 km d’Antananarivo.
Il existe 28 zones sismiques à Madagascar et l’IOGA enregistre 4 à 6 séismes par jour dans ces zones, les plus connues étant celles près de la capitale, Ankaratra et Itasy. « Les zones sismiques sont les lieux où il y a fréquemment des séismes, et les séismes fréquents sont causés par la présence de failles à la surface », explique Andry Ramanantsoa.
Magnitude la plus élevée ?
Pour être plus clair, la terre est divisée en plusieurs morceaux en mouvement appelés des plaques et c’est la rencontre de ces plaques qui forment les failles. « Les failles sont formées de deux surfaces : une surface dure sur laquelle on peut marcher et une surface plus tendre en dessous. Plus l’activité du magma en dessous s’intensifie, moins les failles y résistent. C’est à ce moment qu’un tremblement de terre se produit », poursuit Andry Ramanantsoa.
Pour votre connaissance générale, la magnitude de séisme la plus élevée jamais enregistrée dans le monde est de 9,5 Richter. Cela a eu lieu en 1960 au Chili et a causé des milliers de mort. Pour le cas de Madagascar, le séisme le plus fort a été enregistré en 2017 avec une magnitude 5.9 Richter.
Les agriculteurs-paysans n’auront plus à attendre les diverses foires comme la foire de l’Elevage et de la Production Animale (Fepa) ou Fier Mada pour exposer leurs productions. Le marché des paysans sis dans les locaux du Malagasy Professionnels de l’Elevage (MPE) à Nanisana sera pérennisé. Depuis le 8 mai dernier, le marché est ouvert au public du lundi au samedi.
C’est le fruit d’une collaboration entre le MPE et le programme Prospérer (Programme de soutien aux pôles de microentreprises rurales et aux économies régionales) Analamanga. Vu l’état d’urgence sanitaire qui limite les circulations, les paysans ont eu du mal à transporter les productions dans les grandes villes. Les récoltes moisissent et les agriculteurs n’enregistrent que des pertes. Pour mieux les aider, MPE et Prosperer a collaboré. Au début, ils ont appuyé les agriculteurs au transport des récoltes jusqu’en ville.
Comment cela marche ?
D’après les informations fournies par l’agent commercial et animatrice de Prospérer, Sylvia Ramavoharisoa, sept districts de la région Analamanga contribuent à ce marché. Il s’agit, entre autres, des districts d’Avaradrano, d’Atsimondrano, de Manjakandriana, d’Anjozorobe et d’Andramasina. Les paysans de ces districts ont suivi des formations sur l’éducation financière, la culture entrepreneuriale et la modernisation du mode de production. Mais ce n’est pas tout. Toujours selon les explications de l’animatrice, à partir du moment où le marché a été pérennisé, les paysans se chargent eux-mêmes du transport des récoltes.
L’objectif de cette collaboration tripartite est de donner beaucoup de places aux paysans pour qu’ils puissent, quotidiennement, exposer et vendre les productions, et pour qu’ils puissent tisser des relations avec d’autres professionnels du secteur. Actuellement, Prospérer entend intégrer tous les agriculteurs-paysans qui participent à ce projet dans la coopérative des microentreprises rurales.
Alors qu’ils devaient encore attendre les résultats du test de dépistage du coronavirus, Zoto et sa famille ont plié bagage, hier matin. Ils ont chaleureusement été accueillis, en fin d’après-midi, par la population de Mahitsy, où ils se trouvent encore en ce moment.
« Il s’est levé le matin, a rassemblé ses affaires, a pris sa bicyclette et a décidé de partir » raconte celui qui les a hébergés, Hervé Barinjaka Milius. L’attente de 14 jours de plus a paru trop longue pour Randrianarison Maurice dit Zoto. Il ne trouvait plus son aise dans la vie citadine et a donc décidé de reprendre son chemin. Les internautes ont soutenu cette décision et encouragé Zoto. Plusieurs personnes l’ont même escorté. Zoto et sa famille ont ainsi parcouru une trentaine de kilomètres et ont atteint la ville de Mahitsy – sur la route vers Mahajanga. Quant aux résultats du test, Hervé Barinjaka Milius les tiendra au courant par téléphone.
La grande question maintenant, c’est de savoir s’ils pourront sortir de la région. En effet, les autorités maintiennent que seules les personnes qui ont une raison valable peuvent sortir de la capitale : enterrement, évacuation sanitaire, fonctionnaires publics envoyés en mission, etc. D’ailleurs, l’Agence des Transports Terrestres (ATT) affirme ne pas avoir accordé d’autorisation spéciale à cette famille. Le commandant du Groupement de la gendarmerie Analamanga souligne qu’il serait mieux pour cette famille de rester dans la région, du moins jusqu’à la sortie des résultats du test. Cela réduirait les éventuels risques de contamination, tant pour eux que pour les communautés des régions où ils passeront.
Il fait déjà froid et pendant l'hiver, la peau devient fragile. Il faut des soins adéquats pour qu'elle ne devienne pas sèche. Et en ce confinement, les anxiétés et les stresses peuvent se refléter à travers notre peau. Prenons donc le temps de prendre soins de nous et de notre peau.
Fikarakarana ny hoditra mandritra ny ririnina. Rehefa mangatsika ny andro dia marefo ny hoditra. Mihamaina izy ary mety ho vakivaky. Noho izany, mila fikarakarana manokana izy mandritra ny ririnina. Amin'izao fihibohana izao ihany koa dia hita taratra eny amin'ny hoditra ny fitaintainana sy ny rarintsaina. Manana fotoana betsaka isika izao ka aleo karakarana tsara ny vatana sy ny hoditra