Fonds Malgache Formation Professionnelle : Une nouvelle forme de financements à l'horizon.
La culture de l’inspiration moderne dans la conception d’un habitat.
Congé de paternité : quel est le rôle du père durant ce laps de temps ?
Réinsertion sociale des mineurs en détention : comment s’y prendre ?
Travailler dans le métier du téléphone rose non pas par choix et par obligation.
Mitaky fankatoavana avy amin’ny FIFA sy ny CAF ireo kianja handraisana lalao baolina kitra iraisam-pirenena.
Mahavoasazy ny fanodinkodinana olona hivaro-tena.
Fandraharahana : Ny sokajin’orinasa tokony ho safidiana hoan’ireo izay vao hanorina.
Ny tanora malagasy sy ny famakiana boky gasy.
Fiankinan-doha amin’ny tononandro, misy fiantraikany eo amin’ny fiainan’ny olona.
Les Malgaches commencent à s’intéresser en profondeur à la chose publique. Les récentes péripéties autour de la gestion de l’épidémie l’attestent.
« C’est un droit d’être informé », lance la secrétaire exécutive du Collectif des citoyens et des organisations citoyennes (CCOC), Hony Radert. « Personnellement, je trouve que les gens commencent à s’intéresser à la chose publique et qu’ils s’aperçoivent qu’ils n’ont pas accès à toutes les informations ». Hery Rason, un des fondateurs du Mouvement pour l'intégrité des élections et des leaders (MIEL), confirme cet intérêt. « La preuve, c’est le nombre des réactions suite à ce qui s’est passé dernièrement au Centre de commandement opérationnel covid-19. Les gens n’en ont pas forcément conscience mais cela montre qu’ils ont soif d’informations ».
Hony Radert attire l’attention sur des renseignements qui sont utiles mais que les gens ne connaissent pas ou connaissent mal. « Il y a, par exemple, une structure qui permet aux parents d’élèves de faire des plaidoyers pour améliorer les conditions des élèves mais que beaucoup ne connaissent pas », précise-t-elle.
Devoir
Pour sa part Christina Dina, ambassadrice de l’Education à la citoyenneté mondiale rappelle que s’informer est aussi un devoir citoyen. Elle déplore toutefois le caractère biaisé des informations dans les médias traditionnels. « Les gens s’intéressent aux infos mais cela dépend de quelles infos il s’agit. Ce qu’ils entendent à la radio et à la télé est souvent trop politisé. Cela a pour effet de désintéresser le public à certains pans de la vie de la nation ». En ce sens, Hery Rason attire l’attention sur la nécessité de la participation dans la vie politique. « C’est faux de dire que la politique est mauvaise car tout est politique. Il s’agit de se positionner par rapport à des sujets comme l’éducation et non par rapport à des personnalités », souligne le fondateur de MIEL qui promeut justement la participation des jeunes à la vie politique.
Recouper et vérifier les informations ont toujours été un chemin de croix pour les journalistes. C’est d’autant plus difficile en cette période d’urgence sanitaire où l’information tient une place importante.
« Une information sélective ne permet pas aux citoyens de prendre des décisions qui s’imposent », lance le président de l’Ordre des journalistes de Madagascar (OJM), Gérard Rakotonirina. « Je ne comprends pas pourquoi on ne donne pas les infos. C’est un droit citoyen », renchérit-il, en soulignant que lorsque les informations ne sont ni vérifiées, ni recoupées, cela favorise les rumeurs. Le journaliste, Velo Ghislain, confirme ce côté hermétique des sources officielles en cette période de covid-19. « Au cours des 6 derniers mois, je n’ai pu avoir le président du centre de commandant opérationnel que 2 ou 3 fois », fait-il savoir. Pourtant, d’après lui, personne n’ose s’exprimer dès qu’il s’agit de l’épidémie. « Mes interlocuteurs me disent souvent qu’ils ne peuvent pas parler ou qu’il leur faut d’abord une autorisation de leurs supérieurs. Et lorsqu’ils daignent répondre, j’ai droit à des réponses bateau. On a rarement des détails qui intéressent vraiment le public », ajoute-t-il.
Loi sur l’accès à l’information
Miangaly Ralitera, une journaliste qui traite des faits de société, donc en première ligne dans cette épidémie se plaint également de cette situation. « « Il nous est expressément interdit de parler à la presse ». J’entends souvent cela lorsque je fais des reportages dans des centres de santé ou des écoles publiques », indique-t-elle en ajoutant que pour avoir des informations hors de la communication officielle, il lui faut approcher des personnes avec qui elle a des affinités. « Mais c’est souvent sous couvert d’anonymat », précise-t-elle, en insistant sur les difficultés du recoupement des informations reçues au niveau des supérieurs. Rado Randriamampandry, journaliste économique, pointe du doigt le côté carriériste dans l’administration. « Je recueille des informations des gens proches des dossiers qui veulent jouer la transparence. Mais il est difficile de faire parler les cadres », lance-t-il.
Pour Gérard Rakotonirina, la loi sur l’accès à l’information devrait être une priorité. « C’est une question de redevabilité à l’égard des citoyens », conclut-il. La loi est encore actuellement au stade d’avant-projet de loi.
Les bijoux en pierre naturelle sont actuellement très prisés sur les réseaux sociaux, dont la plupart sont made in Madagascar. Certaines de ces pierres naturelles ont des vertus thérapeutiques qui permettent de réduire le stress ou encore de régulariser le flux sanguin.
La plupart des gens achètent des bijoux en pierre naturelle pour leur beauté, sans forcément connaître leurs vertus thérapeutiques. Les pierres émettraient naturellement des résonances et des vibrations qui peuvent agir sur le corps humain, en référence à la lithothérapie. « C’est quelque chose qui se rapproche un peu de l’aromathérapie. Les pierres sont dotées de composants chimiques qui agissent sur l’organisme », explique la responsable de Thylane Design, gemmologue et créatrice de bijoux en pierres naturelles. Ses créations ne sont pas destinées à la lithothérapie. Néanmoins, elle affirme que la forme donnée aux pierres n’affecte en aucun cas les vertus thérapeutiques qu’elles pourraient renfermer.
Vertus thérapeutiques : Du plan physique au plan moral
On peut trouver, sur internet, toute une liste de pierres naturelles avec les bienfaits qu’elles apportent au corps humain. Les vertus peuvent aller de « la réduction du stress » à « la régularisation du flux sanguin » en fonction de la pierre utilisée. « La lithothérapie a aussi une dimension spirituelle qui fait appel aux différentes énergies et donc pourraient éventuellement « attirer la richesse » ou encore « supprimer les ondes négatives » qui entourent la personne », selon Thylane Design. « Il faut y croire pour que cela fonctionne, parce que plus notre esprit s’apaise, plus la force vibratoire des pierres pourra agir sur nous », témoigne Landitiana, qui porte sur elle un bracelet orné d’Amethyste depuis près d’un an, une pierre réputée pour ses vertus apaisantes. Selon elle, cette pierre l’a aidée à diminuer le stress lié à ses études.
Les médecins affirment, de leur côté, que cette forme de thérapie ne peut en aucun cas remplacer de vrais traitements en cas de dépression ou de stress chronique. Elle peut toutefois être utilisée en soin complémentaire.
Les éleveurs commencent à s’orienter vers l’utilisation de la provende naturelle dans leurs fermes à Diego-Suarez. On peut trouver sur place une partie des matières premières pour l’élaboration de provende, mais il y a ceux qui sont importés de la capitale, c'est le cas de « concentré » par exemple. Voulant s’investir dans le secteur élevage, en particulier, des poulets améliorés, Jean Narcisse s’occupe lui-même de la préparation de provende afin de nourrir sa bassecour.
Manomboka mamokatra ny sakafom-biby natoraly ireo mpiompy eto Antsiranana, indrindra ireo miompy akoho gasy hatsaraina. Ny fanaraha-maso ny sakafo sy fahasalamana ary ny toerana atorian’ireo akoho ireo no antoky ny fitomboany araka ny tokony ho izy hoy Jean Narcisse, mpiompy akoho gasy hatsaraina eto Antsiranana.
Matsiatra Ambony: Une cérémonie d’inauguration de la nouvelle bibliothèque, organisée par l’association Fitarikandro Ambalavao a eu lieu le 1er septembre.
Diana : Le CRCO a décidé de ne pas faire payer les tickets de location d’emplacements aux marchands du marché à Bazarikely et de celui de la friperie à Tanambao IV, durant ce mois de septembre.
Atsimo Andrefana : Les matériels sanitaires pour la lutte contre la covid-19 sont arrivés dans le service de la santé publique du district de Betioky Atsimo et d’Ampanihy Ouest durant la fin de la semaine dernière.
Melaky : Les sujets d’examen du CEPE pour les CISCO de Morafenobe et d’Ambatomainty sont déjà arrivés le 1er septembre. Ceux du CISCO de Maintirano et d’Antsalova sont prévus d’arriver ce jour.
Matsiatra Ambony : Nahazo toeram-pamakiam-boky vaovao ny ao Ambohijafy Andrefana Ambalavao ka ireo ankizy sy tanora sahirana no tena tarihina ho liana amin’izany.
Diana : Nanapa-kevitra ny CRCO any an-toerana fa tsy ampandoavina haban-tsena ireo mpivarotra ao Bazarikely sy ao amin’ny tsenan’ny friperia ao Tanambao IV mandritra ny volana Septambra .
Atsimo Andrefana : Efa tonga any amin’ny sampan-draharaha misahana ny fahasalamam-bahoaka ao amin’ny distrikan’ny Betioky Atsimo sy Ampanihy andrefana ny faran’ny herinandro teo ireo fitaovana entina hiadiana amin’ny valanaretina coronavirus.
Melaky: Efa tonga omaly ny laza adina CEPE ho an’ny CISCO Morafenobe sy Ambatomainty. Ho tonga androany ihany koa ny an’ny CISCO Maintirano sy Antsalova.
Alliance française de d’Antsiranana : Les examens du DELF et du DALF sont maintenus en dépit du confinement partiel .
Féminisation des noms de métiers : quels sont les enjeux ?
L’IFM lance le Biblio’drive.
Le crowdfunding, une piste de financement ouverte pour les nouveaux projets.
Les effets du voyage sur le développement de l’enfant.
Ny fahitan’ireo mpianatra nanala CEPE ny laza adina.
Fiantraikan’ny covid 19 eo amin’ny toe-karena : miandrandra fanafohanana ara-ketra ho an’ny taona 2021 ireo mpandraharaha amin’ny sehatra tsy miankina.
Mpitsara maromaro nivondrona mba hampahafantatra ny lalàna fototra ho an’ny olom-pirenena.
Ny fifampitaizana eo anivon’ny fiaraha-monina no mahatonga ny tanora sahirana rehefa manoratra amin’ny teny gasy.
Bilaogy natokana ho an’ny fanabeazana sy ny asa tanana.
« La clef de la réussite, ce sont les relations » est une phrase que l’on entend souvent. Mais qu’entend-on exactement par « relations » ? Des représentations positives tournant autour de ce référent pourraient, en effet, faire pencher la balance pour certains, alors que pour d’autres cela pourrait être vu comme une forme de népotisme ou de favoritisme. Pour ce débat, nous avons invité Mialy Sombiniaina Rakotondrasoa, responsable en communication au sein de YMCA Madagascar et Andry Ramilijaona, directeur de la bonne gouvernance et de la lutte contre la corruption au sein de la commune urbaine d’Antananarivo.
« Tsy tafavoaka hono raha tsy mahafantatra olona » izay no re matetika eny amin’ny sehatry ny asa eny. Mety ho fiangarana, na kitranoantrano no andikan’ny sasany an’izay fa mety midika fotsiny ihany koa izay hoe « fahalalana olona » izay ho fivelarana eo amin’ny tontolon’ny asa. Rakotondrasoa Mialy Sombiniaina, tompon’andraikitry ny serasera eo anivon’ny YMCA Madagascar sy Ramilijaona Andry, tale ny tsara tantana sy ny ady amin’ny kolikoly no hiady hevitra ato anatin’ny Ndao Hilaoeky.
La perception du scoutisme diffère selon les opinions. Certains avis lui confèrent une connotation positive, d’autres la considèrent plus comme un concept éducationnel plutôt péjoratif. Le stéréotype d’ « éducation exclusivement chrétienne » que la société donne au scoutisme alimente davantage les débats concernant ce mouvement. Comment définir précisément le scoutisme et pour quelles raisons certains parents s’y opposent ?
Seha-panabeazana kristianina. Izay no hahafantaran’ny fiaraha-monina ny skoto eto Madagasikara. Raha tena zohina anefa, mivelatra kokoa ny tena famaritana ny « skoto ». Mizarazara ny hevitra mikasika ny skoto, ao ireo mahita fa tsara ho an’ny tanora io fikambanana io ary ao koa ireo manohitra izany.
Un examen officiel de fait pour ces écoliers de la capitale. Le soulagement s’est lu sur les visages à la sortie des centres d’examens, aussi bien des parents que des enfants.
Star. Tsanta, 11 ans était la star de sa famille aujourd’hui. En plus de son père, de sa mère et de son petit-frère, ses grands-parents paternels, une tante, un oncle et deux cousins sont venus la chercher à la sortie du collège Saint-François Xavier. « Je suis heureuse de les voir ici », lance-t-elle. La petite fille de 11 ans a vécu une journée assez intense ce mardi 1er septembre 2020. Une journée qui a commencé à 5h10. Comme pour plus de 29.000 écoliers de la circonscription scolaire d’Antananarivo, Tsanta a passé le premier examen officiel de sa vie.
Loin des péripéties autour de l’organisation de cet examen à cause de la covid-19, elle s’est préparée minutieusement à ce rendez-vous. Cela ne l’a pas empêchée d’avoir le trac ce matin, à la vue du centre. « J’ai eu la nausée avant d’entrer dans la cour », raconte-t-elle. Sa mère qui l’a accompagnée à l’intérieur indique qu’elle s’est calmée à la vue de visages familiers. « Des camarades de sa classe étaient dans le même centre. Lorsque je suis venue lui apporter son déjeuner à midi, elle était apaisée ».
Vacances
Pour ce qui est qui est des épreuves, Tsanta préfère afficher la prudence. « C’était abordable mais j’ai eu du mal avec le tantara sy fanabeazana ary fampivelarana ny maha olo-mendrika », indique-t-elle.
Rado et Ntsoa, deux cousins tous deux âgés de 10 ans se veulent plus confiants. « C’était facile, en général. Le problème était peut-être un peu difficile », selon Rado. Les deux garçons ont passé leur CEPE au CEG Antanimena. Pour sa part Ntsoa a déjà la tête en vacances. « Nous irons à la campagne », déclare-t-il.
Le ministère de l’Education nationale indique que 96% des inscrits ont répondu présents. Une école privée a fait savoir que des parents ont préféré ne pas envoyer leurs enfants par peur du coronavirus. La correction des copies débutera immédiatement fait savoir le ministère qui annonce des résultats après une semaine.
Au même titre que l’alcool et le tabac, les nouvelles technologies représentent également aujourd’hui une autre forme d’addiction qui concerne surtout les jeunes. La Digital Détox est un moyen permettant de s’en défaire petit à petit.
Effets néfastes des écrans de smartphones sur les yeux, impacts des fréquences hertziennes sur la santé… ; il existe de nombreux problèmes liés à l’utilisation excessive de la nouvelle technologie, dont l’addiction. « L’addiction à la technologie vient surtout du fait que les avancées offrent de nombreuses possibilités et deviennent une partie intégrante du quotidien », explique Holitiana Rajaonarivony, psychologue clinicienne. C’est notamment le cas avec les smartphones, les tablettes ou encore les ordinateurs. Aujourd’hui, il existe une solution pour se défaire petit à petit de cette addiction : la Digital Détox.
Se déconnecter du monde digital
Le concept de la Digital Détox existe déjà depuis un bon moment dans d’autres pays, mais il est encore peu connu à Madagascar. Selon Anja Andriantsiresy, responsable auprès de la Ferme d’Ambohimanga, « À Madagascar, peu de personnes aujourd’hui connaissent et se préoccupent de ce qu’est l’addiction au smartphone ou à la technologie ». De fait, peu connaissent ce qu’est la Digital Détox et surtout quelle est son utilité et son importance. « L’idée est née du besoin ou plutôt de la prise de conscience des utilisateurs de smartphones et surtout de la “génération connectée”, quant à leur addiction », explique Anja Andriantsiresy.
Étymologiquement, la digital détox est une thérapie pour se détoxifier de tout ce qui est digital. « Il s’agit d’une retraite de déconnexion et surtout, dans le cas de celle proposée à la ferme d’Ambohimanga, une retraite pour se reconnecter avec soi-même et avec la nature », poursuit Anja Randriantsiresy. Le but est d’aider les personnes à se défaire de leur addiction à la technologie, notamment au smartphone. « Les personnes qui viennent participer à ces séances sont généralement celles qui sentent que leur addiction commence à grandir et veulent changer cela », explique-t-il.
Se reconnecter avec soi-même et avec la nature
« Pour ma part, un week-end digital détox m’a permis de complètement me déconnecter le temps de deux jours », explique un participant, qui a préféré garder son anonymat. Selon Anja Andriantsiresy, « les participants sont principalement des personnes qui ressentent le besoin de se défaire de leur addiction. Dès leur arrivée chez nous, les participants sont invités à déposer leur smartphone dans une boîte et à ne plus y toucher pendant le reste du séjour »
Mais un week-end digital détox, dans le cas de la Ferme d’Ambohimanga, permet aussi de se connecter avec soi-même et avec la nature. « Notre principale activité tourne autour de la Permaculture et nous proposons aux participants des activités qui s’y rattachent », explique le responsable. A la place du temps passé à être connecté, plusieurs activités sont proposées dont des séances de méditation, des séances de yoga, des ateliers de jardinage ou des ateliers en permaculture.
L’exception culturelle est une branche du droit international qui consiste à promouvoir et à protéger les œuvres artistiques nationales face à la propagation et à l’écoulement des œuvres internationales. D’une manière générale, les œuvres audiovisuelles ne sont pas considérées de la même façon que les autres marchandises sur le marché ou qui font objet d’échanges.
Vers 1945, les accords généraux sur les tarifs douaniers et le commerce (GATT) ont été signés, instaurant la liberté d’échanges. Mais ces accords ont prévu des clauses de sauvegarde, en l’occurrence, le droit d’un pays de hausser les droits de douanes sur les produits audiovisuels étrangers. Ces clauses de sauvegarde n’ont pas plu aux Etats Unis d’autant plus qu’à cette époque, le cinéma américain a connu un essor fulgurant. Mais la plupart des pays européens se sont rassemblés pour protéger les œuvres européennes. D’où la naissance de l’exception culturelle, aujourd’hui garantie par l’Unesco.
Selon Mampiray Solofoniaina de Musichall Madagascar, il faut que Madagascar considère cette pratique pour promouvoir les produits audiovisuels de nos artistes. De surcroît, ce système crée des revenus à ces derniers.
Sur ce point, Planeta Koltoraly offre divers programmes de formation musicale, adaptés aux besoins et aux habitudes des élèves musiciens, selon les explications de Silo Andrianandraina, artiste et parmi les formateurs. Planeta Koltoraly propose actuellement des cours en salle à Antananarivo et à Antsirabe, mais les formations sont également disponibles en ligne.
Ny « exception culturelle » dia lalàna iraisam-pirenena napetraka mba hiarovana sy hampiroboroboana ny zava-kanto ao anatina firenena iray. Ao anatin’izany dia omena lanja ny zava-kanto eto an-toerana ka tsy ampitoviana tantana amin’ireo entana ara-barotra isan-karazany hita eny an-tsena. Ara-tantara, dia nentina hiarovana ny sinema frantsay manoloana ny fitobaky ny sinema amerikanina izy io tany amin’ny taona 1945 tany ho any. Taty aoriana dia nitarina tao Eoropa ary amin’izao efa tohanan’ny Unesco izany.
Mamporisika ny fampiharana azy io eto Madagasikara i Mampiray Solofoniaina avy ao amin’ny Musichall Madagascar, satria ankoatra ny fiarovana ny zava-kanto malagasy, dia mampiditra vola ho an’ny mpanakanto ihany koa izany.
Eo amin’izay indrindra dia mampianatra mozika sy zava-kanto ny Planeta Koltoraly izay hita eto Antananarivo sy any Antsirabe. Anisan’ny mampiavaka azy ny fampanarahana ny fampianarana araka ny hetahetan’ilay mpianatra hoy i Andrianandraina Silo.