Mianoka a 11 ans. Elle a participé au concours K-pop Lockdown Contest organisé par l’ambassade de la République de la Corée à Madagascar avec la complicité de sa mère. Focus sur cette jeune passionnée de culture sud-coréenne.
C’était une évidence pour Mianoka de participer au Kpop Lockdown Contest. Elle a commencé à s’intéresser au K-pop à l’âge de 9 ans. « J’ai découvert le Kpop avec les BTS », indique Mianoka. Sa mère se rappelle qu’elle s’y est vraiment mise après avoir vu un concert en direct de ce boys band coréen au Cinepax. « Elles ont un groupe à l’école avec ses camarades de classe », lance sa mère. Cette dernière avoue avoir été « larguée » au départ avec le K-pop. Elle a pu compter sur sa fille pour lui expliquer que c’est un genre de musique à part entière. « Je me rappelle qu’elle m’avait dit que le Gangnam Style sur lequel on a dansé est du K-pop », raconte sa complice amusée.
Autodidacte
Ce qui a attiré Mianoka avec le K-pop au départ, c’était les chorégraphies. Mais cela a évolué au fil du temps. « Il y a aussi une culture de groupe que j’aime bien. Puis c’est cool de découvrir un pays à travers sa musique », déclare la fillette, qui s’est mise à apprendre la langue en autodidacte sous les yeux impressionnés de sa mère. « J’ai vu qu'elle ne s'était pas arrêtée à la musique mais s'est ouverte à la culture, la nourriture, la langue … C'est surtout ce dernier point qui m'a impressionné et je la pousse dans ce sens », souligne la mère.
L’ambassade de la République de la Corée indique que plus de 700 personnes ont participé au concours jusqu’à la clôture de la présélection le 3 août dernier. « Dans le but de casser la routine créée par le confinement et afin d'encourager les k-pop lovers en ces temps difficiles, on a organisé cette compétition en ligne », affirme l’ambassade, avec le message que la première étape pour combattre le coronavirus est de rester à la maison. D'où les hashtag liés à  l'évènement #FightCovid19 et #MijanonaoAntrano.
Clientélisme, abus, … les chefs de fokotany sont la cible privilégiée des critiques depuis le début de la distribution des aides sociales publiques. Ils sont pourtant incontournables dans le processus.
« C’est vraiment difficile en ce moment », lance le chef du fokontany d’Andravoahangy ouest, Ndretsa Rabeson. Sentiment partagé dans le fokontany d’Ankaditapaka : « Depuis que le Président de la République a déclaré que tout le monde jouira des aides, les gens ne veulent rien savoir, indique un membre de ce bureau. Ce qui n’est pas précisé c’est que le nombre des bénéficiaires est limité ». D’après cette responsable, seule la moitié des ménages dans son fokontany pourrait bénéficier des aides du programme Sosialim-bahoaka.
La commune urbaine d’Antananarivo a expliqué dans les médias qu’il revient aux fokontany d’établir la liste des bénéficiaires sur la base de leur vulnérabilité en faisant en sorte que ceux qui ont déjà reçu le Tosika Fameno ne figurent plus dans le recensement. « La ville d’Antananarivo compte 320.000 ménages vulnérables. Environ 100.000 ont reçu le Tosika Fameno et 40.000 le Vatsy Tsinjo sous forme de bon d’achat. Le Sosialim-bahoaka vise 200.000 ménages », a souligné un émissaire de la commune urbaine d’Antananarivo sur le plateau d’un journal.
Liste additive
« Nous avons la lourde tâche de dire qui sera ou ne sera pas dans la liste. Pourtant tout le monde se dit vulnérable actuellement car beaucoup ont perdu leur travail », se plaint la membre du fokontany d’Ankaditapaka. La situation est moins délicate pour Ndretsa Rabeson avec un quota de 430 bénéficiaires pour 580 ménages. « Les plus démunis ont été les premiers à être inscrits sur la liste. Nous savons, au sein du fokontany, qui sont les familles qui sont vraiment dans le besoin », précise-t-il. D’après les responsables de ces fokontany, les autorités leur ont indiqué qu’une autre vague est à prévoir pour ceux qui n’ont pas figuré dans la liste.
Bon nombre de personnes se ruent aujourd’hui sur l’automédication depuis la publication d’une liste de médicaments pouvant servir dans le traitement de la covid-19. Pourtant, tant pour les autres maladies que pour la covid-19, les risques liés à l’automédication sont énormes. Dans le cas de la pandémie qui sévit actuellement, outre le niveau de toxicité des médicaments, on parle même du risque que la personne développe une résistance aux traitements prescrits.Â
C’est quoi la résistance au traitement ?
A l’heure actuelle, la résistance au traitement constitue une des plus grandes menaces dans cette lutte contre le coronavirus. En effet, face à la recrudescence des cas de contamination, nombreuses personnes prennent tout de suite des médicaments dès que le moindre symptôme se présente. Pourtant, le Dr Manitra Rakotoarivony insiste sur l’importance de consulter un médecin. Selon lui, « il est plus qu’important de toujours consulter un médecin avant de prendre n’importe quel médicament ». Seul un médecin reste apte à juger si le patient peut prendre ou non tel ou tel médicament, que ce soit à titre préventif ou pour un soin curatif.
« Il faut savoir que parmi les effets secondaires d’un médicament, il y a également la résistance à celui-ci. C’est surtout dû au fait que le médicament en question ait été utilisé à tort, ce qui implique que son efficacité contre les bactéries ou le virus en lui-même devient moindre », indique-t-il. C’est d’ailleurs une des raisons pour laquelle les médecins et le personnel de la santé répètent souvent que les antibiotiques ne sont pas systématiques pour toutes les maladies. A terme, dans le cas de la covid-19, la résistance au traitement pourrait même induire à une mutation du virus.
La prescription des médicaments se base sur de nombreux critères
La liste de médicaments utilisés dans le traitement des malades de la covid-19 a été publiée sur la page officielle du CTC 19. Face à cela, le Dr Manitra Rakotoarivony rappelle que plusieurs critères sont à prendre en compte dans la prescription des médicaments, et encore plus dans le cadre du traitement de la covid-19.
« Rien ne prouve qu’un traitement qui a fonctionné sur une personne peut également fonctionner sur une autre », martèle ce médecin. Il faut également souligner que les médicaments sont en eux-mêmes des poisons, et ont ainsi un niveau de toxicité qu’il faut prendre en compte. « C’est dans ce sens que les médecins jouissent de ce qu’on appelle la libre prescription, et se basent sur les antécédents et l’état du patient pour prescrire un traitement », souligne-t-il. En effet, deux personnes du même âge et ayant le même poids peuvent ne pas avoir les mêmes réactions face à un médicament.
Le chocolat est excellent pour la mémoire en plus d’être un anti-stress et un antidépresseur. Manger trop de chocolat peut entraîner la constipation, et des allergies à ceux qui ont le foie fragile, selon l’explication du Docteur Rachel Razanajoary.
Les fruits de mer, les fruits et légumes, les légumineuses, le sésame, les abats, le chocolat, les produits laitiers constituent de bons boosters de mémoire. Pour avoir des résultats efficaces, ils devraient être pris pendant la préparation des examens ou tout au long de la vie, affirme Fanjaharitiana Ramanantsoa, mais pas uniquement au moment des épreuves.
Marobe ireo voka-tsoa azo avy amin’ny fihinanana sokola : mampitombo ny fitadidiana, manampy ny olona mba tsy ho tratran’ny fahaketrahana ara-tsaina, ary miaro amin’ny rarin-tsaina.....Mampitohana ihany koa nefa ny fihinanana azy be loatra ary miteraka loza ho an’izay tsy mahazaka sy ireo manana aretin’aty, araka ny fanazavan’i dokotera Rachel Razanajoary.
Tsy ny sokolà ihany no manampy amin’ny fitadidiana, fa misy koa ny hazan-dranomasina, voankazo sy legioma, voamaina, taovan-kena, vokatra avy amin’ny ronono, sesame, sns. Tokony amin’ny fotoana hanomanana ny fanadinana na mandritra ny androm-piainana mihitsy no hihinanana an’ireo sakafo ireo araka ny fanazavan’i Ramanatsoa Fanjaharitiana. Mahatsara ny fitadidiana ny fihinanana fanfody mampitombo fitadidiana fa saingy mety hisy banga izany raha tsy mandray azy io avy eo.
Durant ce confinement, les enfants restent scotchés aux écrans. Pourtant, selon les spécialistes en éducation, ils nuisent au développement du cerveau des enfants. Les enfants de moins de deux ans ne doivent en aucun cas être en contact avec les écrans, si la durée de consultation devrait être limitée à deux heures par jour pour les enfants de deux à cinq ans. En pratique, les parents ont du mal à adopter cette méthode. Est-ce qu'on doit vraiment limiter le contact des enfants de moins de 6 ans avec les écrans ? Tefy Ratrimoarivony, père de famille et Sehenoarinjaka Ranarivelo, mère de famille répondent à la question.
Manimba ny fivelaran'ny sain'ny ankizy, hoy ireo mpanabe, ny fijanonana maharitra manoloana ny fahitalavitra, ny finday, ny solosaina sns. Tokony tsy hifanerasera amin'ny efijery mihitsy ny zaza latsaky ny 2 taona ary ferana ho adiny 2 isanandro ihany izany ho an'ny zaza 2 taona ka hatramin'ny 5 taona. Misy ireo mahavita mampihatra izany fa maro ihany koa ireo mahita fa sarotra izany. Tokony ho ferana tokoa ary ve ny fifandraisan'ny ankizy amin'ny efijery rehefa latsaky ny 6 taona ? Mamaly izay fanontaniana izay Ratrimoarivony Tefy, raim-pianakaviana sy Ranarivelo Sehenoarinjaka, renim-pianakaviana.
Falling Walls Lab, le gagnant national connu demain.
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Fikafika hanampiana ny tanora hitia ny taranja matematika.
A chacun sa manière de profiter de son temps de pause pendant ce reconfinement. Il y en a qui profitent pour regarder des séries ou encore faire un peu de sport mais la lecture est aussi recommandée par les psychologues. Pourtant lorsqu’on a discuté avec quelques jeunes, ce n’est pas une activité qui les intéresse pendant le confinement. Quel est le rapport entre la lecture et la covid-19 ? Les réponses avec Hoby Andriamiharimanana, psychologue et Hobiana Andrianimerina, écrivain.
Samy manana ny fialamboly tiany ny tsirairay amin’izao fihibohana izao. Ao ny mijery fahitalavitra. Ao ihany koa ny manao fanatanjahatena. Fa isan’ny fialamboly atoron’ny psikology ihany koa ny famakiana boky. Rehefa nanontany tanora anefa izahay dia tsy nampazoto azy ireo ny hamaky boky amin’izao vanim-potoana izao. Inona tokoa no hifandraisan’ny tsy fahazotoana mamaky boky amin’ny covid-19 ? mamaly izany i Hoby Andriamiharimanana, psikology sy Hobiana Andrianimerina, mpanoratra.
Le fait de porter le masque pendant que nous sommes en activité peut nous faire transpirer sous cet accessoire. Les petits frottements sont susceptibles de provoquer des petites irritations cutanées.  Sous le nez, autour de la bouche ou encore sur le menton sont les zones du visage les plus concernées. Bien évident les réactions sont différentes d'une personne à une autre. Avec le masque notre peau respire moins bien. N'hésitez pas à l'hydrater, elle vous en remerciera !
Manimba hoditra ve ny fanaovana arovava ?
Mahatsemboka ny manao arotava rehefa sady manao ny asa aman-draharaha amin'ny andavanandro. Mety hitarika hirifiry ny kasokasoka kely ateraky ny arovava amin'ny hoditra. Faritra eo amin'ny tava voakasika indrindra amin'izany ny eo ambanin'ny orona, manodidina ny vava na eo amin'ny saoka. Mety tsy hitovy aloha ny fiantriakany eo amin'ny tsirairay. Tsy afaka miaina tsara ny hoditra rehefa manao arotava. Aza misalasala ny manamandina ny hodi-tavanao, hitanao fa ho faly amin'izany izy.
Dès qu’il est question de mode de vie écologique, beaucoup pensent aux conditions de vie rurale sans électricité ni confort urbain. Pourtant, il est tout à fait possible de vivre en ville tout en adoptant ce concept.
Vivre de manière écologique, par définition, c’est adopter un mode de vie qui limite les impacts néfastes sur l’environnement. Il s’agit tout autant de réduire la consommation énergétique, mais aussi les déchets et, en particulier, ceux qui ont un fort impact négatif sur l’environnement comme les sacs en plastique. Aujourd’hui, à Antananarivo, des jeunes se sont lancé le défi d’adopter ce mode de vie respectant l’environnement. Un objectif déjà quasi atteint !
Comment vivre écologiquement en ville ?
Pour Jay Ralitera, jeune environnementaliste et activiste climatique, il est tout à fait possible d’adopter un mode de vie écologique, tout en habitant en ville. « Pour de nombreuses personnes, dès qu’il est question d’écologie ou de mode de vie écologique, il est toujours question de style de vie en campagne ». Pourtant, il est possible d’avoir le nécessaire et de vivre convenablement en adoptant des gestes écologiques.
A travers « Le terrier », une collocation écologique en plein centre-ville, Jay et ses colocataires veulent amplifier le message et encourager les autres en donnant l’exemple du mode de vie « urbain et écologique ». « L’idée de notre projet, c’est avant tout d’adopter des gestes écologiques au quotidien en commençant chez nous, mais aussi de transmettre cette habitude aux autres. Ainsi, nous essayons, par exemple, d’éviter les gaspillages inutiles, mais aussi de réduire nos déchets, notamment ceux qui ne sont pas biodégradables. »
Réduire ses dépenses
Concrètement, pour en arriver à ce stade, les colocataires du « Terrier » ont adapté leurs habitudes quotidiennes : réduction de la consommation d’énergie, de déchets (en évitant les produits transformés et stockés dans des boites non biodégradables), meilleure gestion des déchets (la plupart des déchets sont utilisés comme compost dans leur jardin) …
A partir de ces actions, il devient possible de réduire largement les dépenses mensuelles d’un foyer. Pour Le Terrier, par exemple, « au fil des mois, nous évaluons notre consommation électrique et essayons de déceler qu’est ce qui consomme beaucoup trop. Nous essayons, par la suite, de trouver une meilleure alternative. » Le réfrigérateur figure notamment parmi les matériels les plus énergivores dans un foyer. Pourtant, de nombreuses alternatives existent pour conserver les aliments.
Non. Mis à part que les deux soient apparus presque au même moment, ceci est une coïncidence. Presque tous les pays du monde recensent des cas de Covid-19, alors que la plupart n'ont pas encore la 5G. C'est d'ailleurs ce que l'OMS rappelle sur son site.
D'où vient alors cette idée ? Eh bien, c'est à cause d'une vidéo affirmant que le virus se propage par les ondes et les réseaux mobiles que la rumeur est sortie. Cette vidéo qui est le fruit d'une théorie du complot a été visionnée des centaines de milliers de fois.
Misy ifandraisany ve ny 5G sy ny valanaretina coronavirus ?Â
Tsia, fa saika nifandraika ny fotoana nimpoiran'izy ireo. Fifandrifin-javatra fotsiny izany. Ahitana ny aretina COVID-19 manerana firenena maro eran'izao tontolo izao nefa ny sasany tsy misy 5G. Izany mihitsy no ampatsiahivin'ny fikambanana iraisam-pirenena misahana ny fahasalamana ao amin'ny tranon-kalan'izy ireo.
Avy aiza ary izany hevitra izany ? Horonantsary iray nilaza fa miparitraka amin'ny alalan'ny onja sy ny tambajotram-pifandraisana ny tsimokaretina. Niparitaka avy eo ny tsaho. Efa voajery in-jato amby arivo io horonantsary io izay vokatry ny « théorie du complot ».
Lumière bleue : Méfiez-vous de vos écrans.
Télétravail en coworking : une solution envisageable en ce temps de confinement.
Serment d’hippocrate : Le serment d’Hippocrate, c’est quoi ?
Banque photo : Madagascar dispose actuellement d’une banque d’images.
Mizotra ao anatin'ny fanajana ireo fepetra fisorohana ny coronavirus ny fanadinana ara-panatanjahantena BEPC.
Volana aogositra : Vitsy ireo mamonjy mpanety.
Partage FB : Fampiasana sarin’olona any amin’ny tambazotra serasera tsy ahazoana alalana, melohin’ny lalà na.
Roller : fialam-boly miha mahazo vahana amin'izao fialan-tsasatra izao any Toamasina.