COVID-19 : Tous ensemble face au virus

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Karine Manoa Linda

Karine Manoa Linda

Le temps c’est de l’argent dit-on. Le cocktail Embouteillage-boulot-dodo est le pain quotidien des citadins notamment à Antananarivo. Des gens ont flairé le filon et ont proposé aux habitants de nouveaux services.

Garde-malade

En surfant sur Facebook, il est possible de trouver un service impensable pour un Malgache où le sens de la famille est très ancré : garder un proche malade à l’hôpital. A partir de 18.000 ariary, on propose, en effet, sur ce réseau social, une personne pour garder un malade à l’hôpital ou à domicile, de jour comme de nuit. Avec le travail et le traintrain quotidien, il est tout bonnement impossible pour certains d’assurer ce « adidy » (responsabilité) envers un proche, d’autant plus que le garde-malade est indispensable dans les hôpitaux publics.

Les courses

Autres tâches du quotidien, les courses. Des services sont apparus durant le confinement pour faire les courses à la place de leurs clients. Visiblement, les offres tiennent toujours avec les embouteillages. Un service de livraison à scooter a ajouté cette option parmi ses propositions. Une liste de courses, un appel et le tour est joué. Le service a l’avantage de pouvoir se rendre dans les marchés de la capitale pour des produits frais et bon marché.

La paperasse

Faire la queue pour des formalités administratives est un cauchemar pour les tananariviens. Il est possible de perdre toute une journée pour faire de la paperasse à cause des longues files d’attente devant les guichets. Un service sur Facebook, débute en proposant de faire des certifications de document au niveau des mairies. A New York, une application propose aux clients de faire carrément la queue à leur place. Une idée à Madagascar, quand on sait, par exemple, que les contribuables font la queue à partir de 5 heures du matin au Tribunal à Anosy pour avoir un casier judiciaire …

mardi, 16 février 2021 11:23

Les rôles de l’APIPA

Les inondations deviennent le lot quotidien des habitants des « bas quartiers » de la capitale pendant la saison de pluie. Et pour cause, les canaux d’évacuations sont bouchés à 90%. Les habitants de ces quartiers saisissent souvent l’APIPA qui est n’est pourtant pas du tout en charge du nettoyage des canaux secondaires et tertiaires mais uniquement des canaux primaires. Ecoutez les explications du Directeur Général de l’APIPA, Ranto Rakotonjahary, dans Hono ho aho.


Rehefa fotoam-pahavaratra tahaka izao dia matetika dibo-drano ireo faritra iva eto an-drenivohitra. Ireo tatatra sy lakan-drano tsentsina no antony mahatonga izany. Manana andraikitra manoloana ireny ny APIPA.

En équipe ou individuellement, on éprouve tous le besoin d’être efficace dans ce que l’on fait, surtout dans notre  notre domaine d’activité professionnelle. Mais gagner en efficacité implique l’alliance d’un minimum de moyens, d’un maximum de performance en un minimum de temps. Voici quelques astuces recueillies auprès de Jean Luc Ramamonjiarisoa, CEO des Fonds Malgache de Formation Professionnelle et également formateur.

Organisez vos tâches

Le voyage vers la performance commence toujours par un plan stratégique de ses objectifs et pour les atteindre, il est plus que nécessaire d’être ordonné. Il est important d’organiser les tâches journalières en les classant par ordre de priorité. Attention, pas plus de deux à trois priorités réalisables par jour. Ensuite, pour plus d’efficacité, n’oubliez pas de limiter vos tâches dans le temps, c’est-à-dire de vous imposer un deadline et d’estimer le temps que vous allez passer sur chacune de vos tâches. De plus, il faut effectuer une tâche à la fois avant de passer à une autre. Pour ce faire, metre de l’ordre dans votre espace de travail doit être une priorité. En vous posant les questions suivantes, il vous sera plus facile d’y parvenir : Que dois-je faire ? Comment je vais le faire ? A quelle heure ? Par quel moyen ? De qui aurais-je besoin pour le faire ?

Communiquez avec votre entourage

Si vous avez des problèmes, parlez-en toute de suite et surtout proposez des solutions. Le fait de garder vos problèmes pour vous pourrait impacter sur la productivité de votre équipe et sur votre efficacité. Discuter de ce qui ne va pas, trouver une solution ensemble permet d’aller de l’avant. Souvenez-vous que l’indicateur d’efficacité d’une équipe réside en sa capacité à avancer et en sa force de communication. N’ayez également pas peur de déléguer ce qui peut être délégué car la surcharge de travail est contreproductive.

Adoptez une bonne hygiène de vie

Il est difficile d’être efficace si on n’adopte pas une bonne hygiène de vie. Premièrement, qui dort bien a de meilleures performances au travail !  Le fait de se reposer suffisamment permet d’éviter de somnoler au travail et de perdre en efficacité.

Maîtrisez votre domaine et soyez toujours prêt à apprendre

Dans une perpétuelle recherche de performance et de productivité, la valeur ajoutée d’un travailleur réside en sa soif de connaissances et de son désir d’apprendre systématiquement. Maîtriser son domaine ne veut pas dire ne pas ne pas être intouchable, mais c’est surtout se servir de ses points à améliorer pour les transformer en levier de dépassement et de développement de soi.

Faites une pause de temps en temps

Eh oui, il est nécessaire de lever le nez de vos écrans de temps en temps. Il y a des moments où vous sentez que vous ne fonctionnez plus du tout, que vous n’arrivez plus à assurer certaines tâches correctement. Dans ces cas de figure,  sortez prendre l’air et faites le vide dans votre tête pour pouvoir repartir du bon pied. Une bonne bouffée d’air frais pourrait vous aider à mieux attaquer par la suite.

Les clés de l’efficacité professionnelles se résument par être intelligent : « contextuellement, émotionnellement, et professionnellement », selon Jean Luc Ramamonjiarisoa.

Réchauffement planétaire, pollution des océans ou des forêts, changement climatique… Chacun peut agir à son niveau. Réduire notre impact sur la planète, il est possible d’y arriver en changeant notre mode de vie et en réduisant les déchets non biodégradables du quotidien.

Bouteilles et sachets en plastiques, verres à jeter, pailles en plastiques ou encore cotons tiges, ce sont autant de déchets que nous produisons au quotidien. Pourtant, ces produits figurent parmi les plus polluants de l’environnement, et il est tout à fait possible de les remplacer. Voici une liste de 7 objets du quotidien qui peuvent être facilement remplacés par des alternatives plus écologiques.

  • Les bouteilles en plastique

C’est, sans nul doute l’élément dont on peut facilement se passer au quotidien. Tout le monde a besoin de boire de l’eau, mais il est possible de se passer des bouteilles en plastique en ayant recours aux gourdes en verres incassables, par exemple. Cet accessoire est d’ailleurs devenu très en vogue ces dernières années. Il est cependant important de les rincer à chaque utilisation pour éviter les bactéries.

  • Le coton-tige

Bien qu’ils ne soient pas des incontournables du quotidien, ces petits bâtonnets ouatés figurent souvent parmi les déchets plastiques produits par les ménages. Il est cependant possible de remplacer le coton-tige par un « essuie-tout » ou par des alternatives écolos biodégradables comme le cure-oreille japonais.

  • Les gobelets en plastique

Après une petite fête entre amis, en famille ou encore entre collègues au bureau, les gobelets en plastiques remplissent souvent les bacs à ordure. Plusieurs alternatives existent pourtant, comme les verres en plastique réutilisable, les mugs qu’on peut laisser au bureau ou encore les gobelets en carton.

  • Le film alimentaire

Il y a un reste du dîner d’hier soir à mettre au frigo, des pommes à garder au frais, des légumes… ; le premier réflexe est de prendre du papier film pour les emballer. Pourtant, il existe aujourd’hui des barquettes en plastique modéré, ou mieux encore en verre, par exemple, sous différentes tailles et formes qui peuvent aider à garder ces restes au réfrigérateur pour ainsi éviter d’utiliser du film alimentaire. L'idée, c'est d'avoir des barquette réutilisables pour ne pas avoir à les jeter après un seul usage.

  • La paille en plastique

À l’instar des bouteilles en plastiques ou des mugs plastiques, les pailles en plastiques jetables figurent parmi les déchets plastiques qui font des ravages dans la nature. Pourtant, il existe des alternatives plus écologiques, voire naturelles, pour éviter de passer par les pailles jetables. Bien que ce soit encore peu exploité à Madagascar, les pailles écologiques existent déjà.  

  • Les sacs en plastique

Le décret proscrivant la commercialisation et l’utilisation de ces objets est entré en vigueur depuis 2017, mais ils existent encore sur le marché jusqu’à maintenant. La meilleure solution serait donc de changer les habitudes de consommation et de ne plus y recourir. Les possibilités sont nombreuses : sacs en tissus, paniers en vannerie, tote bags…

  • Les serviettes hygiéniques jetables

Au même titre que les couches-culottes pour bébés, les tampons et serviettes hygiéniques jetables sont des déchets qui polluent la planète et se dégradent difficilement. Il existe pourtant différentes alternatives plus écologiques et pourtant pratiques et faciles à utiliser pour ne plus utiliser les serviettes jetables. La coupe et les culottes menstruelles en font partie.

mardi, 16 février 2021 07:11

La neo soul ou la soul modernisée

Fondé en 2009, le groupe OloBlaky a toujours nagé dans un style musicale mélangeant  le rythme traditionnel malgache avec du roots, du beats ou du tribal. OloBlaky signifie littéralement « Homme noir ». Leurs textes racontent plusieurs aspects de la vie quotidienne des malgaches. Ils donnent également quelques messages de développement personnel et d’amour de la patrie. Cette année, le groupe prévoit de tourner quelques clips vidéo et faire un bilan sur les productions déjà faites.

Le neo soul est un genre musical dérivé de la soul. Par rapport à la soul, le rythme est plus irrégulier. Le mineur 9, c’est l’accord la plus utilisée dans la musique neo soul. Dans les chœurs, on y sent la présence du reggae. Selon Rado Manantsoa, chanteur, la neo soul n’est pas encore très populaire à Madagascar. Il n’y pas de scène dédiée à  cette musique à part les cabarets en soirées. 


Niforona tamin’ny taona 2009 ny tarika OloBlaky. Manao mozika an-dalambe izy ireo ary manafangaro ny gadona malagasy amina roots, beats ary tribal. Lalina sy mety ho saro-takarina indraindray ny tonon’ireo hirany saingy mitantara ireo zava-misy eny amin’ny fiaraha-monina. Isan’ny mibahana anaty tonon-kiran’izy ireo ihany koa ny fitiavan-tanindrazana. Mikasa hanodina sy hamoaka raki-tsary maromaro izy ireo amin’ity taona ity ary hanao jeri-todika ny hira sy ny kanto rehetra efa vita hatrizay.

Gadona iray avy amin’ny « soul » ihany ny « neo soul ».  Manana figadona tsy mitovy kosa anefa ity farany raha mitaha amin’ilay voalohany. Ny Mineur 9 no firindram-peo tena miasa ao anatiny. Isan’ny mampiavaka azy ihany koa ny fahenoana « reggae » any anatin’ny redon-kira. Tsy mbola malaza sy miparitaka tsara eto Madagasikara ny Neosoul. Tsy misy ny sehatra ahafahana mivoy an’io mozika io ankoatry ny eny amin’ny cabaret amin’ny alina.

Beaucoup de jeunes couples sont aujourd’hui réticents au fait d’organiser une cérémonie de mariage. Ils préfèrent s’arrêter au mariage traditionnel et civil. Généralement, ils font ce choix pour des raisons financières. Certains n’ont pas les moyens d’organiser l’événement, d’autres préfèrent investir leur argent dans des projets en commun. De plus, les rituels de mariage tendent aujourd’hui à se conformer à la disposition suivante : tête de cortège, buffet, photographe, décoration, orateurs, etc. Pourtant, la plupart de ces rituels peuvent-être secondaires selon les invités de Ndao Hilaoeky : Jessica Ramamonjisoa, une jeune femme qui ne veut pas organiser une cérémonie de mariage et MC Lafatra, orateur de cérémonies.


Maro amin’ireo mpifankatia amin’izao fotoana izao no tsy rototra intsony hiroso amin’ny mariazy fa vodiondry sy soratra dia vita. Misy koa ireo nanao mariazy ihany saingy tsy nanao fanasam-be. Antony ara-bola matetika no hanaovana izany. Eo ny hoe tsy fananana, fa eo koa ny safidy hoe aleo manangona mba hananganana trano na orinasa kely toy izay handany izay voahangona ao anatin’ny andro iray. Ny lanonam-panambadiana rahateo manaraka ny toetrandro ka mahabe ny fandaniana : fiara, sakafo, mpakasary, sakafo, haingo, mpikabary, sns. Maro amin’izany anefa no azo hajanona ary azo hahena ihany koa ny isan’ny olona hasaina hoy ny vahinin’ny Ndao Hilaoeky, Ramamonjisoa Jessica sy ny mpikabary am-panambadiana, MC Lafatra.

En général, avant de publier un livre, il faut d’abord le corriger et l’illustrer. L’auteur devra faire appel à des correcteurs, des illustrateurs ou tout simplement à une maison d’édition professionnelle capable d’assurer toutes ces tâches. Selon Oubeidillah Dhoimiri, jeune auteur de roman jeunesse francophone, il n’y a pas de maison d’édition à Madagascar. Il n’y a que des libraires. Il est alors difficile pour un écrivain francophone de trouver une maison d’édition professionnelle pouvant publier ses œuvres. Pourtant, les nouvelles générations d’écrivains et d’auteurs sont pour la plupart des francophones. D’où l’intérêt de mettre en place des maisons d’éditions professionnelles.


Amin’ny ankapobeny, mila mandalo fitsarana sy fanatsarana endrika ny boky iray raha tian’ny mpanoratra iray havoaka.  Afaka manatona trano fanontana boky izy hanao ireo asa ireo saingy tsy mahavita ireo asa ireo ny trano fanontana boky eto Madagasikara. Indrindra raha famoahana boky amin’ny teny frantsay no resahina. Misy amin’ireo tanora mpanoratra vao misandratra anefa no manoratra amin’ny teny frantsay. Antony tokony hametrahana sy hananganana trano fanontana matihanina afaka manao ireo asa tandrify azy ireo.

Avec la crise COVID-19, nombreux sont ceux qui ont perdu leur poste ou qui ont dû chercher un nouvel emploi. Afin de mettre toutes les chances de votre côté, il existe des astuces toutes simples, mais dont on n’a pas forcément conscience, pour trouver facilement et rapidement un emploi.

Voici 7 points pour parvenir à mieux se faire repérer par les recruteurs et avoir l’opportunité de passer un test d’embauche.

  1. Postuler moins mais mieux

C’est souvent l’erreur que beaucoup commettent sans pour autant s’en rendre compte : harceler les recruteurs avec des CV qui ne correspondent même pas au poste. Pourtant, ce n’est pas la meilleure solution pour se faire repérer. L’idéal, pour trouver le poste adapté, serait de choisir la bonne entreprise, la bonne offre d’emploi et de travailler son dossier.  

  1. Un CV léger mais concret

Travailler son curriculum vitae, c’est la première et surtout la plus importante des étapes pour capter l’attention des recruteurs. À l’heure où les CV numériques font rage, il est important de connaître et de mettre en évidence les points essentiels sur votre candidature pour un dossier convaincant aux yeux du recruteur avec un séduisant curriculum vitae, dès le premier regard.

  1. Des mots clés pour son CV

Pourquoi des mots-clés ? Pour faciliter la recherche des recruteurs dans les banques de CV numériques en ligne. Il en est de même pour les dossiers que l’on envoie par voie électronique en réponse à des offres d’emploi. Il faut se rappeler que plusieurs centaines d’autres candidats postulent également pour le même poste. Aussi, il faut penser à mettre une étiquette facilement lisible sur son CV.

  1. Travailler la lettre de motivation

Certes, internet permet de trouver facilement des modèles de lettres de motivation standards, mais ils ne sont pas forcément attirants aux des recruteurs. Aussi, pour se démarquer, l’idéal serait de faire une lettre de motivation dans les règles de l’art. Pour sortir du lot des centaines de candidats qui sont en lice pour le même poste, la lettre de motivation peut faire effet.

  1. Un suivi de vos candidatures

Quand on envoie des dossiers sans pour autant bien choisir, c’est normal d’oublier ou de ne pas savoir quel recruteur ou quelle entreprise rappelle. Pourtant, montrer son hésitation en décrochant l’appel du recruteur est un manque de professionnalisme dans le suivi des candidatures. Assurer un suivi des candidatures permet de savoir quand il faut relancer et s’il est nécessaire de relancer ou non.  Comment ? par exemple, faites un tableau Excel dans lequel vous mettrez toutes les informations de vos envois de candidatures ( Nom de l’entreprise, personne à contacter, date d’envoi, date de suivi…)

  1. Relancer le recruteur

Nombreux se disent que relancer un recruteur est une mauvaise idée et relèverait surtout d’un manque de politesse, voire d’une forme de harcèlement. Pourtant, c’est une astuce simple qui permet de repasser en haut de la pile de dossiers. En règle générale, il faut attendre 2 ou trois semaines après l’envoi de la candidature pour relancer le recruteur. Cela permet de démontrer sa motivation et son intérêt pour le poste. 

  1. Un mail de remerciements après l’entretien

Cela peut être autant une marque de politesse qu’une preuve de motivation. Il arrive généralement que le recruteur demande des compléments de dossiers (références, documents administratifs…). En envoyant ces dossiers, il est possible de profiter de cette occasion pour remercier le recruteur et de démontrer encore une fois son intérêt pour le poste ou la mission en question. Le mail de remerciement peut aussi être une excuse pour apporter un complément d’information sur une de vos expérience et qui serait en lien avec le post.  Toutefois, il est impératif de le faire de manière subtile.

Mitondra ireo peta-drindrina misy fanentanana ny olom-pirenena handoa hetra i Besoa no mifanena amin’i Rabiry.  Manahy ity farany fa hisy handrovitra indray ireo peta-drindrina ireo. Mbola sahirana amin’ny fitadiavam-bola hoy izy ny mponina ka tsy hisahirana handoa hetra. Mampatsiahy azy I Besoa fa adidin’ny olom-pirenena ny mandoa hetra ka tokony hahatsapa tena ny tsirairay hanefa izany ary fampahatsiahivana fotsiny ihany ireo peta-drindrina ireo.  


Besoa sort du bureau du maire avec des affiches de sensibilisation concernant le paiement des impôts. Il rencontre Rabiry sur son chemin. Ce dernier pense que les affiches sont inutiles car les habitants n’y feront pas attention. Ils sont encore occupés à chercher de quoi se nourrir et ne penseront pas à payer les impôts. Besoa lui rappelle qu’en tant que citoyens responsables, il faut régler ses impôts et que ces affiches ne sont là qu’à titre de rappel.

lundi, 15 février 2021 14:27

Sifflet du 15 février 2021

  • Orange Pro league : Adema et Ilakaka en tête de classement dans la conférence Sud et Five et COSFAP dans la conférence Nord
  • Handisport : Aurélie Faravavy, en bonne position pour représenter Madagascar aux jeux paralympiques de 2021 au Japon
  • Qualifiers Afrobasket 2021 : l’équipe malgache en pleine préparation en Tunisie depuis ce weekend

 


  • Orange Pro League : ny Adema sy ny Ilakaka izao no lohalaharana ao amin’ny vondrona B ary Five sy COSFAP kosa ao amin’ny Vondrona A
  • Handisport : isan’ireo tsara toerana mety hisolo tena an’I Madagasikara mandritra ny lalao paralympiques 2021 any Japon Aurélie Faravavy
  • Qualifiers Afrobasket 2021: ao anatin’ny fiomanana tanteraka ny ekipa Malagasy nanomboka ny faran’ny herinandro teo
lundi, 15 février 2021 13:32

Journal du 15 février 2021

    • Fampihenana ny IRSA ho an’ny mikarama latsaky ny 600.000 ariary : mikendry ny fanatsarana ny fahefa-mividy
    • Mbola tsy midina ny vidin’ny menaka fahandro « en vrac » eny amin’ny mpivarotra sasany
    • Rafim-pitatanambola vaovao mipetraka eny anivon’ny vondrom-bahoaka itsinjaram-pahefana
    • Tokona handoa zon’ny mpamorona ihany koa ireo toeram-pisakafoanana sy fiara fitaterana mandefa hira
    • Fandrindram-piterahana : ny pilina no tena ampiasain’ny tanora any Antsiranana

  • Bilan hebdomadaire de la covid 19 du 6 au 12 février
  • La photographie de mode pour valoriser les œuvres des stylistes
  • L’Agroécologie comme solution durable pour contrer le kere
  • CUA: date butoir pour l'élaboration de badges pour les charretiers fixée au 31 mars
  • « Introspection » : l’exposition de peintures sur verre de Maraa

lundi, 15 février 2021 13:04

“Vita matavy”

Selon les explications de Aina Ramaroson, l’expression “vita matavy” était utilisée à l’abattoir pour signifier qu’un animal est suffisamment gras pour être tué et vendu. Le terme a été ensuite transposé dans la société. Dans ce cas, il garde son sens original, la mort mais sur des êtres humains.


Araka ny fanazavan’I Ramaroson Aina, ny andian-teny hoe “vita matavy” dia nampiasaina tany amin’ny tontolon’ny labatoara, hilazana biby iray izay efa matavy tsara ka azo vonoina sy varotana amin’izay. Rehefa tonga tao anaty fiarahamonina io teny io, nitazona ny heviny voalohany ihany izy, izany hoe resaka fahafatesana ihany, fa saingy hoe fahafatesana mihatra amin’ny olombelona.

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