Accepter ou refuser la dépénalisation de l’avortement à Madagascar ? Les avis des citoyens, des sociétés civiles, des médecins et même des juristes sont divergents. Les préoccupations se partagent entre le respect de droit de la femme de disposer son corps et le droit à la vie du fœtus. Par rapport à cela, le juriste Ranto Rasolonjanahary avance que la dépénalisation de l’interruption volontaire de grossesse est une solution pour normaliser les pratiques d’avortement dans le pays. De l’autre côté, Anjaratiavina Ravaka Lahatriniaina, étudiante en droit et sciences politiques soutient que le renforcement de l’assistance morale des mères enceintes est primordial afin d’éviter l’avortement et respecter le droit à la vie du fœtus.
Mety sa tsia ny fanesorana ny sazy amin’ny fanalana zaza eto Madagasikara ? Mizara roa ny hevitry ny olom-pirenena, ny fiarahamonim-pirenena, ireo mpitsabo ary ireo mpahay lalàna ihany koa. Ny fitakiana ny zon’ny vehivavy amin’ny safidy malalaka izay ataony amin’ny vatany ary ny fananan’ilay zaza ao am-bohoka zo hiaina no foto-kevitra hijoroan’ny andaniny sy ny ankilany. Raha ny hevitry ny mpahay lalàna Rasolonjanahary Ranto, mandrisika ny vehivavy hisafidy ny fomba fanalana zaza ara-dalana sy ara-pahasalamana izany fiovana izany. Naneho ny heviny koa i Lahatriniaina Anjaratiavina Ravaka fa ny fanampiana ara-moraly an’ireo reny bevohoka no tsy ampy mba hisorohana izany fanalana zaza izany sy hanajana ny zon’ilay zaza ao am-bohoka.
Occupant une place prépondérante dans le quotidien de chacun, les médias conventionnels (TV et Radio) jouent un rôle important dans l’éducation citoyenne. À Madagascar, avec l’arrivée des réseaux sociaux et d’Internet, ces médias ont-ils encore leur place auprès des jeunes ? Lalaina Rakotonirina, responsable communication auprès de l’ONG Ilontsera, observatoire des médias et de la communication nous en parle.
Studio Sifaka : Selon vous, les médias conventionnels ont-ils encore une place caractéristique auprès des jeunes à Madagascar ?
Lalaina Rakotonirina : En 2020, l’ONG Ilontsera a mené, avec l’appui du PNUD, une étude portant notamment sur la place que les médias occupent dans le quotidien des jeunes. Cela a permis de démontrer que les médias conventionnels restent les premiers canaux d’informations auprès des jeunes. 38 % des jeunes ont l’habitude de regarder la télévision et 26 % s’informent en écoutant la radio. Certes, ces recherches ont été menées dans trois grandes villes (Antananarivo, Mahajanga et Antsiranana), mais des études non officielles ont démontré la même chose en milieu rural.
Pourtant, avec le confinement, les réseaux sociaux dont Facebook, ont été un des outils les plus utilisés pour s’exprimer. Serait-il possible que les médias conventionnels soient dépassés par ces nouvelles plateformes?
Cela concerne plus les jeunes des grandes villes. Il faut savoir que le taux de pénétration des réseaux sociaux à Madagascar est encore très faible, avoisinant les 10 % seulement. Nous parlons d’un pourcentage sur tout âge confondu. Cela nous indique que les médias conventionnels gardent encore leur place auprès de la majorité des jeunes et des Malgaches. Par ailleurs, cet engouement s’explique par le fait qu’avec le confinement, les réseaux sociaux permettent de s’exprimer librement et d’échanger. D’autre part, les offres des opérateurs de téléphonie mobiles et internet facilitent l’accès aux réseaux sociaux. Mais dans tous les cas, même avec l’arrivée des réseaux sociaux, les médias conventionnels restent les premiers canaux d’information auprès des jeunes, surtout les radios.
Face à tout cela, les médias restent-ils des vecteurs permettant d’éduquer les jeunes en tant que citoyen ?
D’une part oui, mais cela dépend principalement de la ligne éditoriale ou des grilles de programme des entreprises médiatiques. En tout cas, globalement, on peut dire que les médias conventionnels qui existent à Madagascar remplissent encore leur rôle en tant que média, à savoir : divertir, informer et éduquer.
Cependant, il faut noter que les jeunes ont aujourd’hui du mal à s’identifier et se sentent même exclus des médias, notamment dans les émissions ayant une portée éducation citoyenne. C’est le cas, par exemple, dans les émissions à thématique politique, économique, développement… Ce sont souvent les personnes qui ont évolué depuis longtemps dans le monde politique, ou des spécialistes du domaine qui ont la parole dans ces émissions. Quelque peu mis sur la touche, les jeunes s’excluent eux-mêmes, car ils ne s’identifient pas dans ces émissions. Pourtant, il faudrait créer des plateformes ou des émissions pour les inciter à s’exprimer ou à prendre parole.
Phanala, de son vrai nom Malala Tojonantenaina Rakotozafindrainibe, fait partie des stylistes élevés au rang de Chevalier de l’ordre des arts, des lettres et des cultures, durant l’évènement Mihamy Mada Fashion le weekend dernier. Cette économiste de formation de 33 ans ne regrette pas son choix d’avoir suivi la voie de sa passion quelques années plus tôt.
Studio Sifaka : Que veut dire Phanala ?
Phanala : Phanala, c’est deux choses contradictoires. L’un signifie la lumière plus la chaleur et l’autre le froid. C’est justement mon style, il y a un mélange de genres parfois contrastés. L’orthographe « Ph » au lieu de l’usage du « F » pour « fanala », c’est pour l’ouverture vers l’extérieur puisque que le « ph » n’existe pas en malgache.
Comment avez-vous appris le métier ?
Ma mère est couturière et mon père sait très bien dessiner. Je dirais que leur union a donné une styliste (rires). A l’école, je remplissais mes cahiers de croquis. J’ai conçu et réalisé mon premier vêtement au lycée. J’ai appris les bases auprès de ma mère. J’ai ensuite suivi quelques formations et je me suis perfectionnée en autodidacte ensuite.
Quand est-ce que Phanala est née ?
C’était en 2008 lorsque j’ai participé à un concours à la télévision. J’étais en troisième année. Ce sont mes proches qui m’ont poussée à participer au concours. J’ai terminé parmi les finalistes.
Est-ce que vous avez pensé à devenir styliste quand vous étiez plus jeune ?
Pas du tout. Quand j’étais petite, je disais que je voulais devenir médecin puis greffier. Mais le droit, c’est beaucoup de leçons (rires). Puis finalement, j’ai fait économie à Ankatso, sanctionné par une maîtrise. Je dis souvent aux gens que je suis économiste de formation et styliste de passion.
… et de profession. Comment s’est fait le choix ?
Au départ, j’ai beaucoup tergiversé. Les gens me disaient, « à quoi te sert ton diplôme ?» Mais quelque part, dans ma tête, je voulais faire ce métier. Cependant, je me suis posée la question si cela allait me permettre de vivre. Quand je me suis mariée, j’ai travaillé dans un ministère pour justement utiliser mon diplôme mais au bout d’un an, j’ai fait mon choix. Je n’étais pas du tout épanouie dans mon travail. De ce fait, j’ai décidé de travailler à mon compte.
Pouvez-vous raconter comment vous avez eu votre première machine à coudre ?
C’était après mes études à Ankatso. L’heure était venue de trouver un job mais c’était plus parce que je voulais une machine à coudre. Hors de question de demander l’argent à mes parents donc j’ai travaillé comme opératrice média. Lorsque j’ai eu deux machines à coudre et un stockman (mannequin), j’ai arrêté.
Cela vous aide-t-il d’être économiste dans votre métier ?
Oui, dans la gestion de mon entreprise. Dans la comptabilité et dans tout ce qui est finances.
Qu’en est-il du marché de la mode à Madagascar ?
Le marché est encore vaste même si nous sommes nombreux. A chaque styliste de faire parler son identité et son style et de définir sa cible. Normalement, on peut reconnaître le concepteur d’un vêtement rien qu’en le voyant.
Quel est votre style à vous ?
Le lambahoany. Si je dis cela, vous allez dire que beaucoup font déjà du lambahoany. Certes mais j’ai une manière à moi d’incorporer le lambahoany. Pour moi, le lambahoany rehausse la création. Je brode littéralement le vêtement avec le lambahoany. C’est ma touche personnelle. Des fois, les gens ne réalisent que c’est du lambahoany que quand je le leur dis.
Avez-vous un styliste malgache que vous admirez en particulier ?
Oui, Tachou. Elle était la marraine du concours auquel j’ai participé.
Et étranger ?
Vera Wong.
Vous avez été décorée Chevalier de l’ordre des arts, des lettres et des cultures. Qu’est-ce que cette distinction signifie pour vous ?
Une consécration mais cela me pousse aussi à aller encore un peu plus loin. Ce n’est pas un but mais je dirais une étape.
Quel est votre objectif dans le métier ?
C’est faire briller la marque Phanala à l’étranger. Pourquoi pas dans les grands rendez-vous internationaux, des fashion week.
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Le passeport vaccinal est un certificat de vaccination qui atteste que la personne a reçu les deux injections du vaccin contre la COVID-19. Ce « laissez-passer » pourrait permettre à son détenteur de voyager, mais également de rentrer dans certains lieux culturels ou touristiques, tel que les restaurants et les musées.
Pour le moment ce document de voyage suscite beaucoup de polémiques à travers le monde, car il sous entendrait que la vaccination deviendrait obligatoire. De son côté l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS), est opposée à un tel projet à l'échelle planétaire « pour le moment ».
À ce jour, seuls les Seychelles et l'Islande ont mis en place un passeport de vaccination, respectivement depuis le 15 et 21 janvier 2021. D'autres pays européens ainsi qu'Israël pensent sérieusement à lancer ce nouveau passeport.
Inona ny atao hoe “passeport vaccinal”?
Taratasy Manamarina fa nahavita ireo vaksiny 2 an’ny COVID-19 ny olona iray, no atao hoe “passeport vaccinal”. Hahafahan’ilay olona mivezivezy amin’ny firenena samihafa, manao fizahantany, manatrika hetsika ara-kolontsaina, mankeny amin’ny toeram-pisakafoanana na ihany koa mitsidika mozea.
Miteraka resa-be aloha amin’izao ity taratasy fahafahana mivezivezy ity satria toa midika izy hoe tsy maintsy manao vaksiny ny rehetra. Etsy ankilany, manohitra ny fampiharana ity tetikasa ity manerantany ny sampan-draharahan’ny firenena mikambana misahana ny fahasalamana na ny OMS. Mbola I Seychelles sy I Islande ihany no mampiasa ity pasipaoro ity hatreto, nanomboka ny 15 Janoary 2021 ho an’ny ankilany ary 21 Janoary teo kosa ho an’ny andaniny. Ary mieritreritry ny hampiasa azy ihany koa ny firenena europeana maro sy I Israely.
Mpianatra mpandraharaha ao Soavinandriana Itasy I Narindra Fidintsoa sy i Rabesandratana Nomentsoa Finoana. Samy nanangana orinasa manodina ny vokatra ao an-toerana izy roa vavy. Famokarana divay ny an’I Nomentsoa Finoana ary fanodinana tamotamo sy sakamalaho no natsangan’i Narindra. Sady mianatra izy ireo amin’izany no miezaka mampivelatra tsikelikely ireo orinasany. Fandraisana anjara tamina tolotra fiofanana avy amina fandaharan’asa iray no nahafahan’izy ireo nanangana ny orinasany. Mitantara ny fianarany sy ny traikefa azony tany Indonesia kosa I Leonora Nambinintsoa ato anatin’ny Ketrika sy Kandra.
Narindra Fidintsoa et Nomentsoa Finoana Rabesandratana sont des étudiants entrepreneurs de Soavinandriana Itasy. Ces deux femmes ont créé leurs entreprises de transformation agroalimentaire. Nomentsoa Finoana produit du vin à partir de fruits et Narindra travaille dans la transformation de gingembre et de curcuma. En même temps, elles étudient et essaient de développer chacune leurs entreprises. Participer à un programme de formation leur a permis de créer leurs projets respectifs. Par ailleurs, Leonora Nambinintsoa partage dans Ketrika sy Kandra son parcours et les expériences qu’elle a acquises durant ses études en Indonésie.
La température de l’eau avec laquelle nous nous lavons les cheveux ne se choisit pas par hasard selon le climat ou selon notre humeur du jour. Il faut prendre en considération le caractère de nos cheveux. Si vous avez des cheveux gras aux racines, optez pour un lavage à l’eau chaude ou tiède. Si vous avez des cheveux secs, il est conseillé de les laver à l’eau fraîche. Ceci dit, il faut toujours penser à utiliser de l’eau un peu plus froide pour le dernier rinçage.
Le gommage du corps est un processus qui permet d’éliminer les cellules mortes accumulées à la surface de la peau. Cela hydrate et nourrit la peau tout en la rajeunissant. C’est un soin du corps conseillé à faire une fois par mois, pour les femmes comme pour les hommes. Néanmoins, il faut penser à éviter la zone de la poitrine lors du procédé. Le reste du corps, du visage à la plante des pieds, peuvent en profiter, explique la coiffeuse esthéticienne Nini Razafindrakoto.
Tsy kisendrasendra akory na arakaraky ny toetr’andro no hisafidianana ny hafanan’ny rano hanasana loha fa miankina amin’ny toetry ny volo. Ho an’ny volo mora miteraka sy mitahiry menaka dia rano mafana na matimaty no tsara. Raha volo mora makina kosa dia rano mangatsiaka. Na izany aza anefa tokony hangatsiaka kokoa hatrany ny rano hanakobanana farany mihoatra amin’ny rano hanakobanana ny savony.
Ny “gommage corps” dia fomba iray hanitsanana ny sela maty miangona eny amin’ny hoditra eny. Manamandina ny hoditra ihany oa izany ary manampy azy mba ho “tanora lalandava”. Fikarakarana hoditra tokony hatao indray mandeha isam-bolana izy io, na hoan’ny vehivavy na hoan’ny lehilahy. Mila tandremana kosa mba tsy kosehana ny hoditra eo amin’ny tratra. Ny faritra ankoatra izay, hatrany amin’ny tarehy ka hatrany amin’ny faladiha dia azo atao avokoa hoy Razafindrakoto Nini, coiffeuse esthéticienne.
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Les baskets basses blanches en toile sont hyper tendance. Passe-partout, juvéniles et offrant tout le confort nécessaire, elles se portent en tout temps. Malheureusement, avec la saison de pluie, nombreux sont ceux qui trouvent difficile de garder leur blancheur pour qu’elles aient toujours l’air neuves.
Surpris par la pluie, le soir en rentrant ou au cours de la journée, les baskets en toile peuvent perdre leur blancheur et virer au gris ou plutôt vers une couleur brunâtre. C’est le même problème pour ceux qui ont des Chuck Taylor, des Bensimon, des Vans ou de simples baskets vierges en toile blanche. Pluie ou non, ce n’est pas pour autant qu’il faut ranger ses baskets au placard. Il suffit de savoir comment bien les nettoyer pour les garder toujours aussi blanches. Voici quelques astuces !
L’idéal est d’utiliser une brosse aux poils durs, à l’exemple d’une vieille brosse à dents. Après avoir rincé la brosse sous l’eau, on y applique un peu de liquide vaisselle pour ensuite brosser la toile des chaussures en faisant des mouvements circulaires. Quand le liquide vaisselle commence à mousser, il faudra éponger avec une serviette. Une fois la mousse enlevée, on répète l’opération, mais avec du dentifrice blanc. Une fois que le dentifrice aura moussé, il suffit d’éponger avec la serviette et de laisser sécher à l’air libre.
À l’aide d’une brosse à dents, on commence par mélanger dans un récipient du bicarbonate de soude et du détergent à parts égales avec assez d’eau pour en faire un mélange pâteux. On apposera ce mélange par la suite sur les parties très sales des baskets en frottant de manière circulaire. Il faut laisser quelques minutes de repos pour que le mélange agisse puis essuyer l’excès de mousse à la serviette. Ce mélange de bicarbonate de soude et de détergent peut autant servir à nettoyer la toile que les semelles en caoutchouc.
Avec une quantité égale de talc et de détergent et un peu d’eau, il faudra réaliser une mixture qu’on appliquera sur les baskets avec une brosse à dents. L’idéal est de faire des mouvements circulaires tout en brossant sans pour autant frotter trop fort. Il faudra par la suite utiliser la serviette pour retirer les résidus de talc et la mousse, et laisser les baskets sécher à l’air libre.
Bien que cette solution ne soit pas efficace pour nettoyer entièrement les baskets, elle est imparable pour se défaire rapidement des petites tâches. De cette manière, il sera possible de garder les baskets toujours aussi blanches durant toute la journée. A la moindre petite tache sur les baskets, on peut frotter la toile avec des lingettes dissolvantes. Plus encore, le dissolvant permet de retirer les taches jaunes laissées par la colle des semelles sur la toile des baskets.
Un dernier petit conseil, peu importe la méthode que vous choisirez, n’oubliez pas de retirer les lacets et de les laver séparément. S’ils sont blancs, brossez les pour enlever la saleté et trempez-les dans l’eau avec un peu de Javel.