La journée mondiale de la radio est célébrée le 13 février. Cette journée a été proclamée en 2011 par les Etats membre de l’UNESCO. A l’occasion de cette célébration, l’UNESCO a choisi le thème « Nouveau monde, nouvelle radio » pour cette année. La radio reste le média le plus consommé au monde. Elle évolue et elle doit suivre les innovations apportées par les technologies, explique le Secrétaire général de la commission national malgache pour l’UNESCO, Manda Ravelojaona. C’est l’une des raisons du choix de ce thème. Pour un nouveau monde, la radio doit être indépendante. Elle doit être en faveur de la paix et de la démocratie, toujours d’après Manda Ravelojaona
Ankalazaina ny 13 febroary ny andro manerantany ho an’ny onjampeo. Ny taona 2011 izany no nisian’ny fankalazana voalohany nataon’ireo firenena mikambana ao amin’ny UNESCO. Ny lohahevitra nosafidiana amin’ity fankalazana ity dia « tontolo vaovao, onjampeo vaovao ». Ny ojampeo aloha hatreto no haino vakijery be mpanaraka indrindra. Mivoatra izy. Noho izany mila manaraka ny fivoaran’ny tekinolojia ihany koa araka ny fanazavan’ny sekretera jeneralin’ny vaomieram-pirenena malagasy ho an’ny UNESCO, Ravelojaona Manda. Izay fanarahana ny fivoarana izay no isan’ny antony nisafidianana io lohahevitra io. Mba hisian’izay tontolo vaovao izay dia mila mahaleo tena ny onjampeo.Mila mitarika amin’ny filaminana sy ny fahandriampajalemana. Ary ny fametrahana ny democrasia ihany koa hoy Ravelojaona Manda.
Tonga ao an-trano I Stanislas. Gaga izy mahita an’I Saotra efa ao an-trano sady nanome tsiny azy tamin’ny tsy niarovan’ny zanany azy nandritra ilay korontana tany amin’ny kaominina. Nifamaly teo izy mianaka ary nitohy tamin’ny fankahalan’I Stanislas an’I Kalozara ny resaka. Mirintona mandeha I Saotra fa tsy te hihaino an-dRainy.
Arrivé à la maison, Stanislas est surpris de retrouver Saotra déjà chez lui et lui a reproché de ne pas l’avoir protégé lors des conflits. Le ton monte et la conversation se poursuit par la haine de Stanislas pour Kalozara. Saotra préfère quitter les lieux car il ne veut pas écouter son père.
Le timing revêt une importance particulière à la Radio Madagasikara. Véritables références horaires, les productions de la RNM ont rythmé et continuent de rythmer le quotidien des auditeurs avec des génériques iconiques à l’image de celui de Tetsy sy Teroa. Focus sur des émissions emblématiques diffusées à la radio nationale
Diary : 6h20
Tous les matins, les auditeurs de la Radio Madagasikara ont pris l’habitude en fredonnant ou en sifflant l’air « Where the Rainbow Ends » de The Tony Hiller Orchestra, le générique de Diary. C’est l’instant culture générale de la radio nationale où sont rappelés les anniversaires historiques du jour. Depuis le 4 mai 1992, la voix de Suzelle Ravololomihanta accompagne les familles malgaches qui se préparent pour la journée. L’émission a fait peau neuve en juillet 2019 en changeant notamment de nom.
Ampitapitao : 10h00
C’est le tour des régions ou plutôt des districts sur les ondes de cette radio historique. Les journalistes de la radio un peu partout dans Madagascar ont quelques minutes pour remontrer les actualités de leur localité. Cette émission a été diffusée pour la première fois en 1992.
Sary indray mipika : 12h25
C’est le 1er février 1992 que cet autre incontournable de la RNM a été diffusé pour la première fois. Pendant cinq minutes, l’émission humoristique est campée par Dadavy et Arison Razanakoto. Il précède les infos de 12h30.
Tetsy sy teroa : 13h30
« Coin, coin, coin coin … ». Le générique de Tetsy sy Teroa sonne le départ pour l’école ou pour le travail pour ceux qui rentrent à midi. Tous les jours depuis 1991, c’est la même rengaine à 13h30. Tetsy sy Teroa, c’est un petit théâtre radiophonique humoristique qui raconte les déboires d’une famille. Il est associé à un monument de la radio, Max Jericothin, décédé en 2018.
L’arrivée d’Internet a largement ouvert l’horizon des possibles dans le monde. L’audiovisuel en a également profité, à l’exemple de la web Radio. À Madagascar, les web radios commencent également à se mettre en place, mais les problèmes d’infrastructures restent un blocage majeur.
Pouvoir émettre partout dans le monde, ne pas avoir besoin de beaucoup de matériels et surtout être exempté des procédures de demande de fréquence auprès de l’autorité… ; la radio en ligne offre de nombreux avantages. À Madagascar, la web radio se présente comme étant une solution efficace pour dépasser la limite de la zone de couverture des ondes hertziennes. Pourtant, le problème d’infrastructure et aussi le coût de la connexion Internet constituent des blocages majeurs.
Pour dépasser la couverture des émetteurs Â
À Madagascar, environ une trentaine de radios émettent aujourd’hui via Internet. « La web radio existe déjà depuis longtemps, mais dans la Grande Ile, le coût de sa mise en place reste un blocage », souligne Fanja Roger, directeur de la radio RNA Sava. En effet, si les radios sur internet ne nécessitent pas d’émetteurs hertziens, une connexion haut débit est requise et, selon les cas, un abonnement auprès d’un hébergeur en ligne.
Il faut souligner cependant le fait que les web radios permettent de dépasser la limite de couverture des émetteurs qui, dans la majorité des cas, ne dépasse pas les 100 km. « C’est un des avantages des web radios, les diasporas malgaches à l’étranger ou les personnes dans les zones qui ne peuvent plus capter les ondes FM peuvent toujours capter dès qu’ils ont une connexion à Internet», explique Faly Rakotoarivony, chef de service de la communication, du marketing digital et de l’évènementiel à l’Université d’Antananarivo, également responsable de la Radio de l’Université, qui émet aujourd’hui en ligne sur le site web de l’Université d’Antananarivo.
L’accès à Internet, un blocage majeur de leur essor
« Généralement, les stations qui émettent en onde hertzienne et  également sur le web ne ciblent pas des auditeurs nationaux, mais plutôt la diaspora malgache à l’étranger », appuie Fanja Roger, le directeur de la RNA. Dans leur cas, les cibles de la radio web RNA sont plutôt les auditeurs à l’étranger. La raison est simple : à Madagascar, l’accès à Internet est difficile autant à cause du coût encore élevé pour la majorité, mais aussi à cause de l’insuffisance d’infrastructure.
Le responsable de la Radio de l’Université, Faly Rakotoarivony, indique toutefois que, depuis quelques années, les web radios commencent à se faire une place dans les habitudes des auditeurs à Madagascar. « Le blocage est, à mon avis, le fait que la plupart des radios revêtent les couleurs d’un parti politique ou d’une religion, ce qui n’encourage pas les auditeurs. Par ailleurs, certaines ne proposent pas une grille de programme intéressante », souligne-t-il.
À Madagascar, selon les chiffres estimatifs de la direction de la régulation des médias, il y a aujourd’hui près de 500 radios qui existent sur tout le territoire national. Une trentaine émet aujourd’hui en ligne sur Streema. À noter qu’en tant que publication de contenu médiatique sur Internet, les web radios doivent se conformer à la loi 2020-006. Par contre, l’ouverture de ce type de media reste libre et ne nécessite aucune formalité administrative.
Un préparateur physique n’est pas un coach. L’entraîneur est plus dans la technique tandis que le préparateur physique appuie le coach dans le développement physiologique des sportifs. Le préparateur physique, Manantsoa Andrianasolo explique, qu’en principe, il établit des entraînements personnalisés pour chaque joueur. Il développe la force, l’agilité et la vitesse des sportifs. Ce métier est fait pour ceux qui ont suivi des formations spécialisées en sport et ayant reçu des autorisations de fédérations concernées. Il en est de même pour devenir maître-nageur ou professeur de natation, comme Fantarijaona Isambilonjanahary qui précise que des connaissances pédagogiques, psychologiques et physiologiques sont exigées pour devenir maître-nageur.
Ny mpanomana ara-batana dia tsy mpanazatra. Ny mpanazatra dia ny resaka tekinika no tena hifantohany. Ny mpanomana ara-batana kosa dia manampy ny mpanazatra amin’ny fivoarana ara-batan’ireo mpilalao. Amin’ny ankapobeny hoy ny mpanomana ara-batana Andrianasolo Manantsoa dia manome fanazaran-tena manokana hahafahana mampivoatra ny tanjaka, ny hakingana sy hafainganam-pandeha ho an’ny mpilalao izy. Ity asa ity dia natao ho an’ireo izay nanaraka fiofanana manokana miksaika ny fanatajahantena ary nahazo alalana avy amin’ny federasiona ihany koa. Toy izany ihany ny asan’ny maître-nageur. Manazava ny maître-nageur Fantarijaona Isambilonjanahary fa misy fahalalana ara-batana, pedagogique sy psychologique tsy maintsy hay vao afaka manao io asa io.
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Une fois n’est pas coutume, la Saint-Valentin tombe un dimanche cette année. Avec le virus qui court toujours les rues, les sorties ne sont pas conseillées. Se regarder un bon film est une option et pour être dans le thème, pourquoi pas une bonne dose de comédie romantique surtout si la pluie est de la partie. Voici une sélection de films à voir et revoir.
Love actually
C’est un grand classique des comédies romantiques britanniques campé par des valeurs sûres en la matière avec en tête Hugh Grant et Colin Firth mais également Emma Thompson ou encore Keira Knightley. Le film est une compilation de petites histoires qui sauront arracher de petits sourires ici et là .
La série To all the Boys
L’histoire d’amour entre la jeune Lara Jean Covey et son béguin pour Peter Kavinsky apporte un peu de fraîcheur dans la catégorie comédie romantique de ces dernières années. Jouant sur les codes d’un basique film d’amour de lycéen américain, le film n’en demeure pas moins attachant, porté d’ailleurs par une charmante Lana Condor dans le rôle de la lycéenne. Le troisième volet To all the Boys: Always and Forever, Lara Jean est prévu sortir le 12 février sur Netflix.
Mary à tout prix
Des scènes iconiques, un Ben Stiller au sommet de son art et la belle Cameron Diaz qui confirme son ascension dans le cinéma après The Mask, Mary à tout prix s’est érigé comme un classique des comédies romantiques de la fin des années 90.
Amour et Amnésie
Adam Sandler joue le rôle d’un playboy qui tombe amoureux d’une jeune femme, Drew Barrymore, qui oublie chaque nuit ce qu’elle fait dans la journée à la suite d’un accident de voiture avec son père. Il doit faire preuve de créativité pour reconquérir sa belle tous les jours.
She’s out of my League!
Molly (Alice Eve) est tout simplement trop belle pour Kirk (Jay Baruchel). Mais contre toute attente, Molly accepte de sortir avec ce banal agent de sécurité d’aéroport, au grand étonnement d’ailleurs du principal intéressé. Leur relation résistera-t-elle à la grande différence physique qu’il y a entre eux ? Une comédie romantique à découvrir ou redécouvrir.
Miditra ny trano miaraka amin’ny fitafiana mihosin-drà I Kiady. Taitra I Nosivola. Nandeha ny fanazavana ka fantatra fa rà nipitika taminy nandritra ny fanasarahan’I Kiady ny adin’ireo mpandraharaha izay nivory teo amin’ny kaominina izany. Malahelo I Nosivola fa mihitsoka tanteraka ny fanarenana ny toe-karena.
Kiady rentre chez lui, les vêtements tachés de sang. Nosivola en est choquée. Kiady explique que ces taches de sang proviennent de son intervention lors d’une bagarre entre des entrepreneurs durant une réunion à la commune. Nosivola craint que la reprise économique se retrouve au point mort face à cette situation.
La lutte contre l’utilisation des objets plastiques à usage unique est devenue une affaire mondiale. Ces objets commencent à être éradiqués du marché. Bien que Madagascar soit en retard par rapport à d’autres pays, des initiatives commencent à se mettre en place, à l’exemple de la paille en « penjy ».
Auparavant connu surtout comme matière première dans la vannerie, le penjy trouve également aujourd’hui d’autres utilisations à Madagascar. En effet, cette plante herbacée, appelée Lepironia Articulata sert également aujourd’hui de paille et peut très bien remplacer celles qui sont fabriquées en plastiques jetables. Manesimanana Rafanomezantsoa Michaël nous parle de la naissance de cette initiative écologique.
Une plante qui trouve de nombreuses utilités
Historiquement et traditionnellement, le penjy a toujours été utilisé dans la vannerie. Mais dans le cadre du PAZC ou projet d’adaptation de la zone côtière au changement climatique, ces plantes herbacées ont été utilisées pour gérer la montée des eaux. « Il arrive dans certaines zones côtières du sud-est de l’île que les eaux montent, surtout en période cyclonique, inondant les rizières et les champs. Le penjy permet de gérer cela », explique Manesimanana Rafanomezantsoa Michaël, coordonnateur du projet. Â
Mais c’est à la suite d’une surproduction que l’idée de travailler ces plantes pour créer des pailles écologiques est apparue. « En fait, des étrangers qui ont vu l’évolution des plantations nous ont conseillé d’exploiter ces plantes au maximum en indiquant qu’elles peuvent aussi servir pour des pailles naturelles », explique-t-il. Aujourd’hui, les penjy servent dans la préservation de l’environnement autant à travers la protection des zones humides qu’à travers les pailles écologiques.
La production de pailles, encore au stade d’essai
Bien que la plantation de « penjy » ait permis d’innover et de produire des pailles écologiques, cette partie du projet reste encore aujourd’hui au stade d’essai. « Ce sont les associations de femmes dans les villages où le PAZC est mis en œuvre qui ont choisi les penjy », souligne Manesimanana Rafanomezantsoa Michaël. Selon lui, le but de ces femmes était surtout de protéger leurs localités, tout en ayant une matière première à portée de main pour la production d’articles de vannerie.
Cependant, la possibilité d’exploiter les penjy pour en faire des pailles permet de rentabiliser au mieux le projet. « Aujourd’hui, nous ne pouvons utiliser que le reste de penjy qui n’est plus utilisé par ces associations dans la production de vannerie. De fait, ce n’est pas encore assez pour produire des pailles écologiques en masse », souligne Manesimanana Rafanomezantsoa Michaël, poursuivant que l’idée des rambostraws de la Société Mikalo, qu’il dirige aujourd’hui, est de montrer les possibilités.
Soulignons que les pailles écologiques fabriquées à partir du penjy ou Lepironia Articulata sont réutilisables et aussi biodégradables. Une alternative qui répond aux ODD, dans la recherche de solutions pour limiter les déchets plastiques. Â