C’est quand un virus prend contrôle d’une cellule et qu’il la force de produire des copies de lui-même que naissent les variants de la COVID-19, d’après les explications de Renaud Manuguerra-Gagné, journaliste scientifique de radio Canada, le 23 janvier 2021. Ces variants de la COVID-19 sont trouvés dans presque tous les pays européens, selon les reportages de Mampianina. Quant aux symptômes, Rindra nous en énumère quelques-uns, parmi lesquels figurent les urticaires ou les taches blanchâtres sur la langue.
Rehefa miditra ao anaty sela ka manosika azy hamoka dika mitovy aminy ilay otrikaretina, eo no teraka ny atao hoe « varintes » na karazan’endriky ny COVID-19 araka ny fanazavan’i Renaud Manuguerra-Gagné, mpanao gazety siantifika ao amin’ny radio Canada ny 23 janoary 2021. Hita any amin’ny ankamaroan’ny firenena Eoropeana ireo karazan’endrika COVID-19 ireo araka ny fanadihadiana nataon’i Mampianina. Mitanisa ireo soritr’aretina vaovao mety hitranga, toa ny fibontsonana kely amin’ny hoditra na tasy fotsifotsy amin’ny lela, kosa i Rindra.
Miaraka misakafo maraina I Stanislas sy I Bako ary I Saotra. Nampitandrina an-drainy amin’ny mety hanimban’I Romain an’I Stanislas rainy I Saotra. Niakatra ny feo teo ambony latabatra ary tonga tamin’ny fifamalian’izy mianaka. Nanohitra ny fiarahan’i Saotra sy Kalozara izy mivady rehefa nitohy ny fifamaliana.
Stanislas, Bako et Saotra sont à table pour prendre leur petit déjeuner. Saotra avertit son père Stanislas sur le fait que Romain compte nuire à sa réputation au sein de la commune. Stanislas hausse le ton, les menant à une grosse dispute. Bako, quant à elle, s’oppose à la relation entre Saotra et Kalozara. Stanislas se range du côté de sa femme. D’un ton sec, Saotra refuse de quitter Kalozara.
La musique combinée aux mots de Rabearivelo est au rendez-vous, dans la vidéo publiée par Mota Soa en janvier dernier pour son projet « Avoahay ». Cette œuvre est le fruit d’une résidence artistique datant de décembre 2020 à la Teinturerie et restituée le 15 janvier. L’artiste nous explique, dans cette interview, comment elle a transformé les mots en musque.
Studio Sifaka : Comment est née cette vidéo ?
Môta Soa : La mélodie est venue spontanément au moment de la lecture. En fait, ma lecture du texte était musicale. Il y a des choses qu’on ne peut pas expliquer. Je suis arrivée à un moment où je voulais me réconcilier avec moi-même par rapport à mon histoire et dans la foulée, me réconcilier avec Rabearivelo que je détestais pendant mon enfance.
De quelle façon avez-vous transformé les mots de Rabearivelo en notes de musique ?
Je connais Rabearivelo depuis longtemps. A 11 ans, j’ai détesté l’idée qu’il se soit suicidé et je me suis dit que je ne finirai pas comme lui. Mais à dire vrai, j’ai connu cette sensation de vouloir en finir avec la vie, bien plus tard. Je me suis remise en question par rapport à la façon dont je perçois Rabearivelo.
Comment vous avez fait pour mettre votre touche personnelle dans le texte ?
Ce sont des histoires qui se rejoignent. C’est son vécu à lui que j’ai ressenti quelque part dans mon vécu à moi. On se rejoint quelque part. Tout se joue au niveau de l’émotion je pense. Je me suis imprégnée de son histoire à travers les paroles de son petit-fils, à travers les paroles d’autres personnes aussi. Et puis, il fallait aussi que je construise ma propre histoire par rapport à lui. Et voilà, les choses se construisent petit à petit sans qu’on ait vraiment à l’expliquer. Ça vient ou ça ne vient pas. Donc là c’est venu, ça a parlé et voilà.
Propos recueillis par Andrea Razafi
Isan’ireo tsy nisitraka fizarana fanampiana masomboly teo an-tanàna i Velotody tao aorian’ny fizarana izany. Nitaraina tamin’i Johnny izy satria tsy izy irery no mpamboly tratran’izany fa maromaro. Misy anefa ireo tsy tokony hisitraka izany fanampiana masomboly izany kanefa nahazo. Noho ny maha mpikatroka azy ao amin’ny firaisamonim-pirenena dia niantso an’i Rabiry i Johnny mba hamakafaka marina ny zava-misy. Ity farany anefa nanilika ny fahadisoana tany amin’ireo komity loharano. Namporisika an’i Velotody i Jhonny arak’izany hitondra ny raharaha eny anivon’ny kaomina ary raha tsy voavaha ny olana dia hiakatra eny amin’ny Bianco. Nanoro an’i Velotody izy mba hiantso ny 321 amin’ny Airtel, na ny 033 33 00 321 mba hahaizana ireo torolalana rehetra ny amin’izany.
Velotody fait partie des nombreux agriculteurs qui n’ont pas reçu d’aide dans leur village, alors qu’ils ont réellement besoin de ces intrants. Il se plaint auprès de Johnny, qui fait partie de la société civile. Ce dernier a décidé d’appeler Rabiry, le chef fokontany, afin d’avoir sa version des faits. Ce dernier rétorque directement en accusant le komity loharano. Johnny conseille Velotody de déposer plainte au niveau de la commune et si nécessaire, d’avoir recours au Bianco. Il lui conseille d’appeler le 321 sur Airtel ou le 033 33 00 321 pour mieux comprendre ce qu’il faut faire.
Les troubles du sommeil ne sont pas une fatalité. Pourtant, ils peuvent influer grandement sur nos journées et surtout notre productivité. Avec le stress, la fatigue, et pression du quotidien, nous avons du mal à nous endormir le soir. Et pourtant, le manque de sommeil de la veille impactera fortement notre humeur, et le cycle infernal ne s’arrêtera pas. Mais il existe quelques petites astuces pour retrouver un sommeil réparateur, en voici quatre.
#1 — Une bonne nuit se prépare la journée
L’inverse est aussi exact, on passe une meilleure journée si le sommeil de la veille a été « réparateur ». Une meilleure journée, certes, c’est peut-être difficile d’en avoir avec tout ce qui nous attend. Mais il suffit de savoir adopter un « positive mind » et un « positive thinking » pour y arriver. En d’autres termes, éviter de trop stresser pour tout et n’importe quoi. Pour une meilleure détente physique et mentale, un peu de sport serait le mieux, à raison de 30 minutes durant l’après-midi pour ce qu’on appelle « la bonne fatigue ».
#2 — Ne pas sauter le dîner
Nombreux sont ceux qui, pour perdre du poids ou veiller à leur taille fine, ne mangent pas le soir, mais il faudra s’attendre à se réveiller au beau milieu de la nuit quand l’estomac se mettra à gargouiller. La meilleure chose à faire serait de toujours caler l’heure du dîner à une heure précise chaque soir. Ceux qui veulent suivre un régime alimentaire strict peuvent également réduire le volume, sans pour autant sauter le repas en lui-même. L’idéal serait aussi d’éviter les aliments et substances excitants, à savoir le café, le thé, les plats trop épicés ou encore de manger trop tard…
#3 — Attention aux fausses bonnes idées
Somnifères, un verre de vin, un peu de bière, un bain chaud pour se détendre… ; nombreuses « fausses bonnes idées » sont à proscrire. Certes, le somnifère aide à s’endormir, mais le corps peut facilement s’y habituer au point de devenir dépendant. L’alcool avant le coucher est aussi à proscrire. Bien qu’il assouplit et détend les muscles, il agit également sur les nerfs en tant qu’excitant. Pour ce qui est du bain chaud, c’est la température corporelle qui va entrer en jeu. Plus le corps est chaud, plus l’endormissement sera difficile.
#4 — Adopter les bons réflexes
Trois choses sont à voir dans la chambre : la luminosité, la literie et la température. Pour ce qui est de la luminosité, évitez les écrans ou autres sources de lumière. Plus la chambre est sombre, plus le cerveau arrive facilement à s’endormir. Pensez également à vérifier la literie. Si vous souffrez souvent de mal de dos car c’est peut-être à cause de la literie, et cela tend à nuire à la qualité du sommeil. Quant à la température, l’idéal est d’avoir une température aux alentours de 18° dans la chambre. Pensez à aérer, mais surtout évitez les ventilateurs, le bruit pourrait vous réveiller pendant la nuit.
La météo l’a déjà annoncé, et d’ailleurs ça se ressent déjà au quotidien, la température est en hausse depuis quelques semaines. Qui dit chaleur, dit déshydratation. Aussi, il est mieux de prévoir également des astuces pour réhydrater son corps autant que possible.
Le médecin n’aura de cesse de le dire, il faut boire beaucoup d’eau. C’est une chose importante pour l’organisme, et surtout en période de forte chaleur. Mais il faut savoir qu’on aura toujours du mal à remplir les 3 litres d’eau par jour dont le corps à besoin. Il reste cependant possible de compenser cela en optimisant son alimentation. Voici donc les fruits et légumes à intégrer dans sa diète pour compenser l’apport en eau et s’hydrater convenablement.
Le concombre
Le concombre est composé à 97 % d’eau et est également riche en vitamines, à savoir les provitamines A, les vitamines du groupe B, la vitamine C et la vitamine K. C’est aussi une source importante de minéraux dont le magnésium, le potassium, le fer ou encore le calcium.
Les radis
À 95 % remplis d’eau, les radis peuvent se manger crus ou cuits suivant les envies. Toutefois, pour en tirer les meilleurs avantages, il est mieux de les consommer crus. Leur taux calorique faible en font également un des légumes les plus appréciés par ceux qui suivent un régime minceur.
Les salades vertes
À l’instar de la laitue, les salades vertes sont fortement riches en eau (95 %), et permettent, en plus d’être rassasié, de se désaltérer. De plus, les salades peuvent se prêter à de nombreuses recettes suivant les envies de chacun.
Les melons d’eau et les pastèques
Contenant 95 % d’eau, les melons d’eau et les pastèques figurent parmi les fruits qu’on peut facilement trouver aujourd’hui au marché. Ces fruits peuvent se consommer en dessert, mais également en encas. Suivant les envies, elles peuvent même se manger glacée pour mieux se désaltérer. Sachez aussi que ces deux fruits sont parmi les moins caloriques (42 Kcal/100 g) et les moins riches en sucres (8 g/100 g).
La papaye et la pêche
Elle contiennent 85 % d’eau. Ces fruits sont survitaminés et très riches en fibre, ce qui les rendent pour la digestion. S’intégrant parfaitement dans un régime minceur, ces fruits permettent à la fois de s’hydrater, de garder la ligne et de surtout d’avoir une alimentation équilibrée.
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Le trafic à Antananarivo semble empirer à vue d’œil au fil des ans. En attendant que des solutions pérennes soient trouvées, aux automobilistes de choisir et tester des itinéraires alternatifs. Une application peut les aider à cet effet.
Les embouteillages dans la ville d’Antananarivo font perdre énormément de temps aux automobilistes tananariviens. Trouver le bon itinéraire pour éviter les bouchons est désespérant tant toutes les voies semblent être bloquées surtout aux heures de pointes. Une application gratuite permet toutefois d’avoir une idée de l’état du trafic dans la ville en temps réel. Sur une carte de la capitale, l’application Tag-Ip Traffic montre les artères de la capitale suivant des codes couleurs qui indiquent la fluidité du trafic, du vert au noir. Bien entendu, elle nécessite une connexion pour fonctionner ainsi que la fonctionnalité localisation du téléphone. L’utilisateur peut ainsi voir sa position sur la carte en temps réel.
Intéressant
Si l’application confirme les bouchons dans les principaux points noirs de la capitale comme la sortie d’Analakely vers Anosy ou encore Ankadifotsy, d’improbables éclaircis peuvent apparaître permettant aux automobilistes de réfléchir à des itinéraires alternatifs et ce, pratiquement en temps réel.
Les automobilistes qui ont testé l’outil sont agréablement surpris. « C’est intéressant », souligne le chauffeur d’une société. « Cela m’a aidé une ou deux fois déjà. Mais d’une manière générale, lorsqu’on se rend dans le centre-ville, presque tous les itinéraires sont bouchés. Je dirais que l’application permet de choisir le moindre mal », ajoute-t-il. Un autre conducteur, qui prend régulièrement la voiture, déplore que certaines artères ne contiennent pas d’information de trafic au moment voulu. « J’espère toutefois que l’application se développe pour couvrir toute la ville à tout moment parce que c’est vraiment utile avec les bouchons ».