COVID-19 : Tous ensemble face au virus

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Karine Manoa Linda

Karine Manoa Linda

vendredi, 22 janvier 2021 14:44

Revue de presse du 22 janvier 2021

- Des erreurs de calcul de la Jirama dans la nouvelle facture « optima »
- Désinfection de l’Université d’Antananarivo
- Deux personnes arrêtées pour diffusion de films pornographiques dans une salle de vidéo à Anosizato Ampitatafika




- Nisy fahadisoana tao anaty kajin’ny faktiora « optima » ny JIRAMA
- Nofendrahana ranom-panafody ny oniversiten’Antananarivo
- Olona roa mpandefa horonantsary mamoafady tao Anosizato Ampitatafika no nosamborina

Il ne faut surtout pas que cette information soit une raison pour ne plus se désinfecter les mains avec du gel hydroalcoolique... Tous les bijoux ne sont pas concernés par cette nouvelle. En effet,  pour les bijoux en or ou en argent cette solution ne représente aucun risque. Cependant, les matériaux plus fragiles tels que les perles, le corail et l'opale, etc... peuvent s'abîmer au contact de l'alcool ! C’est aussi pour cela qu'il n'est pas recommandé de mettre du parfum dans le cou lorsqu'on porte un collier de perle ou d'une de ces pierres citées.

Concernant les bijoux plaqués, il est aujourd'hui encore trop tôt pour se prononcer ! Mais dans le doute abstenez-vous d'en porter autour du poignet ou sur les doigts !


 

Loza hoan’ny firavaka ve ny gel hydroaloolique ?

Tokony tsy ho antony tsy hanasana tanana amin’ny gel hydroalcoolique ity fiheverana ity. Tsy ny firavaka rehetra akory no voakasik’izany. Marina fa tsy misy hatahorana raha ho an’ny firavaka volamena na volafotsy. Nefa kosa, mety ho simba ny akora marefo toy ny vakana, ny akorandriaka na opalinina, sns… raha diovina amin’ny alkaola. Izany ihany koa no antony tsy hanasiana ranomanitra eo amin’ny tenda rehefa manao vakana na iray amin’ireo vato ireo ianao.

Mbola tsy hay kosa ny mikasika ireo firavaka ankosoka ! Fa aza manao ireo karazana firavaka ireo amin’ny tanana raha manahy !

De la gare de Soarano à la stèle de Jean Ralaimongo, l’Avenue de l’Indépendance grouille de petits commerces en tout genre, informels pour l’essentiel, mais s’inscrivant dans le paysage d’Analakely. Bien que la Commune urbaine d’Antananarivo (CUA) tente d’y mettre fin, les marchands de rue persistent. Focus sur ce folklore au cœur de la capitale.

Téléphonie mobile

L’Avenue de l’Indépendance et ses alentours est un haut lieu de vente à la sauvette de téléphones portables et autres accessoires, mais aussi de réparation. La CUA semble avoir mis de l’ordre ces dernières semaines. Les voitures avec le coffre ouvert où il est écrit « décodage, flashage, … » ont laissé place à des hommes avec des pancartes.

Habillement et produits de beauté

Des vendeurs de vêtements qui squattaient le trottoir de la sortie vers Isoraka portent désormais leurs marchandises sur leur bras. Jeans, T-shirts, ceintures, … sont proposés aux passants sous la surveillance des agents de la commune. D’autres personnes proposent des produits cosmétiques allant des tubes de rouge à lèvres aux variétés de mascaras. 

Cambistes et acheteurs d’or

En marchant sur les bords de l’Avenue, notamment du côté de la gare, des voix demandent si on veut échanger des dollars ou des euros. En remontant sur l’Avenue, d’autres voix interpellent … cette fois pour acheter de l’or.

Photographes

L’Hôtel de Ville et la fontaine sur son parvis attirent des gens qui veulent immortaliser leur passage sur ces lieux. Malgré les smartphones, des photographes tournent autour du site pour proposer des photos.

Vendeurs de voiture

Pointés du doigt pour leur occupation prolongée des places de parking sur l’Avenue, des vendeurs de voitures d’occasion continuent de stationner sur l’Avenue. Bien qu’ils se veuillent discrets, ils sont facilement reconnaissables, à la plaque d’immatriculation étrangère de leur véhicule.

Autres

Les piétons sur l’Avenue peuvent tomber sur des produits ou des services improbables mais qui se fondent pourtant dans le paysage du site. De simples boîtes en carton comme présentoir ou déambulants sur les trottoirs, les marchands proposent différentes sortes d’articles. C’est le cas entre autres des pèse-personnes. Pour 100 ariary, on peut connaître son poids. Sinon, il y a aussi des vendeurs de petits équipements électriques et appareils électroménagers comme des fils, des prises ou encore des bouilloires et des mixeurs, sans oublier les vendeurs de balais-brosses et de coussins.

Bref, on trouve de tout sur l’Avenue de l’Indépendance. La CUA essaie de faire le ménage mais des irréductibles continuent de braver les interdits. Si un semblant d’ordre règne actuellement sur l’Avenue, ce n’est pas le cas derrière où les marchands de rue paraissent indéboulonnables.

jeudi, 21 janvier 2021 17:59

Journal du 19 janvier 2021

- Samy manana ny fandaminany ireo fiangonana ny amin’ny fisorohana ny valanaretina coronavirus
- Misy valanaretina sy biby kely manimba ny vokatra lavanila any SAVA vokatry ny fiovan’ny toetrandro
- Ritra ny reniranon’Ikopa : sahirana ireo olona mipetraka sy mivelona manodidina eny
- Fanendrena loholona : ny hevitra fonosin'ny lalana
- Rakotra tanàna ny velaran-tany malalaka ka tsy ahafahan’ireo mpamboly manahy vary intsony



- Une vague de chaleur intense se présente dans la capitale
- Reboisement : les écoles primaires et les lycées publics y participent aussi
- Continuer ses études à l’étranger en pleine période de pandémie
- Projet MAFI : pour plus d’accès des groupes de personnes vulnérables aux services d’assistance juridique
- Advocacy for youth : former les jeunes pour les aider à faire entendre leur voix

jeudi, 21 janvier 2021 17:49

Journal du 21 janvier 2021

- L’e-learning en digital arrive à Madagascar
- Des idées d’écogestes à adopter au quotidien pour protéger l’environnement
- Les malgaches n’extériorisent pas leurs sentiments à travers les câlins
- Absence de crèche au travail : dilemme des Working-Moms



- Manimba ny tetiandrom-pambolembary ny fiovan’ny toetr’andro
- Olona 1 no maty any Antsiranana taorian’ny fandalovan’ny rivo-doza Eloise
- Ny fampiasàna agenda mba hametrahana fanamby sy hahatratrarana tanjona isan’andro
- « Infirmière à domicile » : manampy amin’ny fikarakana marary any an-trano
- Amin’ny fotoana toy ny ahoana no tokony hampahafantarana ny olon-tiana amin’ny ray aman-dreny sy ny fianakaviana ?

jeudi, 21 janvier 2021 16:22

Revue de presse du 21 janvier 2021

- Le gouvernement donne 48 heures à la Jirama pour la restructuration de la facture « Optima »
- Bilan des dégâts laissés par la tempête tropicale Eloise dans la région Nord Est
- Grève des étudiants en Médecine à l’université Ankatso


- Manome 48 ora an'ny JIRAMA amin’ny fanitsiana ny faktiora “Optima” ny fanjakana
- Akon’ny rivodoza Eloise tany amin’ireo faritra Avaratra Atsinanana
- Mitokona ny mpianatry ny Médecine eny amin’ny Onivesite Ankatso

jeudi, 21 janvier 2021 16:12

Journal des régions du 21 janvier 2021

- Antalaha : la vie quotidienne des habitants reprend son cours
- Nosy Be : la route reliant Hell Ville et Andilagna est coupée
- Mahajanga : arrêt des cours provisoires dans les CISCO de Mahajanga I et de Mahajanga II
- Maroantsetra fortement touché par la tempête tropicale Eloise
- Côte Est : les fonctionnaires de la commune rurale de Toamasina et de la région Est suivent une formation en construction légale des maisons



- Antalaha : efa niverina amin’ny laoniny tsikelikely ny andavanandron’ny mponina
- Nosy Be: tapaka ny lalana mampitohy an'I Hell Ville sy Andilagna
- Mahajanga: niato ny fianarana rehetra ao amin’ny CISCO ao Mahajanga I sy Mahajanga II
- Analanjirofo: nandrava mafy ny rivodoza Eloise tao Maroantsetra
- Toamasina : manaraka fiofanana mahakasika ny fanorenana trano ara-dalàna ireo mpiasan’ny kaomina ambanivohitra Toamasina sy ny avy ao amin’ny faritra Atsinanana

Outil de mesure par excellence sur les marchés pour les graminées, le « kapoaka » est sur toutes les lèvres en ce début d’année où le prix du riz connaît une certaine hausse sur les étals. Retour sur ce petit gobelet qui fait partie intégrante de la vie des Malgaches.

Un demi-kapoaka par personne. C’est, en général, la ration de riz d’un individu pour un repas. Le kapoaka est l’outil pour mesurer le riz à cuire dans les ménages malgaches. De ce fait, pratiquement chaque foyer en a. « Une fois nous n’en avions pas chez nous. Nous avions utilisé une tasse. C’était difficile de jauger. Nous nous sommes souvent trompés », se rappelle une jeune femme. Le « kapoaka », c’est en fait une boîte de conserve de lait concentré sucré de 125 ml. Généralement, il est admis qu’un kilo équivaut à 3 kapoaka et demi. 

Importé par les Français

D’après un historien, l’utilisation du kapoaka date de la colonisation. « Ce sont les Français qui ont apporté les boîtes de conserve à Madagascar », indique-t-il, en soulignant que la tradition orale ne permet pas de savoir pour le moment ce que les Malgaches utilisaient avant pour mesurer le riz. « Les fouilles archéologiques n’ont permis que de découvrir des ustensiles de cuisine mais pas d’outil de mesure spécifique pour les graminées ». 

Pouvoir d’achat

Si le kapoaka est sur toutes les lèvres, c’est parce que le ministère de l’Industrie, du commerce et de l’artisanat entend imposer une norme sur cet outil afin de protéger les consommateurs. Les mesures sont, en effet, aléatoires et bon nombre de consommateurs se plaignent de fraudes sur le « kapoaka ». Henri Lenou, le président d’une association de consommateurs souligne l’importance du « kapoaka » chez les Malgaches au budget limité. « Les familles qui vivent au jour le jour ne peuvent se permettre d’acheter du riz au kilo. C’est tout l’enjeu du kapoaka », lance-t-il.

Outre la boîte de lait concentré sucré, d’autres « kapoaka » sont utilisé sur les marchés. Ce sont les boîtes de concentré de tomates appelé couramment « madco ». Le « madco » est surtout utilisé pour le « patsa » (chevaquine) et l’arachide. 

Les scientifiques l'appellent aussi l'immunité innée...

Depuis le début de la pandémie, plusieurs médecins dans le monde entier auraient reçu des patients avec des marques sur la peau. Ces marques en question sont des engelures ou de l'urticaire pour certains. Au printemps dernier, aucun scientifique n'y avait porté attention, jusqu'à ce qu'un dermatologue français pousse les recherches plus loin.

Tous les patients en question ont un point commun, ils auraient été en contact avec une personne infectée par la COVID-19 ou suspectée de l'avoir été dans les trois semaines précédant la consultation chez le dermatologue.

Sachez qu'il existe dans les études médicales des exemples de réactions cutanées généralisées, comme les urticaires. Ils seraient apparus après une infection virale respiratoire.

 


Mariky ny fiarovan-tena tena mandaitra ve ny fisian’ny fivontosana eo amin’ny hoditra ?

Antsoin’ny siantifika hoe fiarovan-tena efa hatrany an-kibo izy ity…

Efa hatrany am-piandohan’ny valanaretina no nandray marary misy marika eo amin’ny hoditra ny mpitsabo manerana izao tontolo izao. Fivontosana na tandomerina izany ho an’ny sasany. Tamin’ny lohataona teo, tsy nisy mpikaroka nahatsikaritra izany raha tsy nisy mpahay aretin-koditra nanao fikarohana lalindalina kokoa.

Misy ifandraisany avokoa ireo marary rehetra, nifampikasoka tamina olona voan’ny COVID-19 na ahiana ho voa izy ireo telo herinandro talohan’ny nakanesana tany amin’ny mpahay aretin-koditra.

Fantaro fa misy ohatrana tandomerina amin’ny ankapobeny hita tamin’ireo fikarohana ara-pahasalamana. Mipoitra aorian’ny fiparitahan’ny otrikaretina amin’ny alalan’ny taovam-pisefona izany.

Chez la femme, la partie intime est délicate. Il est vraiment nécessaire d’avoir une hygiène de vie adéquate pour éviter maladies et infections.  Par exemple, la candidose vaginale est une maladie très fréquente et peut toucher plusieurs catégories de femmes. Il est important pour la femme d’en détecter les causes et les symptômes. Par ailleurs, l’épilation du maillot figure parmi les petits soins essentiels de la partie intime. Néanmoins, la pratique de l’épilation exige des normes hygiéniques à considérer. La gynécologue, Volana Ramboahangison apporte des explications à ces sujets.


Saropady ny taova ara-pananahanan’ny vehivavy. Ilaina ny fitandrovana ny fahadiovana sy ireo fepetra ara-pahasalamana mba hisorohana ireo aretin’ny fivaviana. Ohatra amin’izany ny « candidose vaginale » izay aretina mateti-pitranga amin’ny sokajin’olona maro. Zava- dehibe araka izany ny fahafantarana ny antony sy ny fitrangan’io aretina io. Ankoatran’izay, ny fiaratana ny faritra ny mahavehivavy koa dia antoka ny fahadiovana. Anefa, misy ihany koa ireo fenitra ara-pahasalamana izay tokony harahina amin’ny fanaovana izany. Mitondra fanazavana mahakasika an’ireo lohahevitra ireo, ny dokotera Ramboahangison Volana.

« Soamandrakizay » ou le « bonheur éternel », c’est ainsi que Jean Laborde a nommé son tombeau. Il a su par avance qu’il finirait ses jours à Madagascar. Il a construit lui-même ce tombeau, trente ans avant sa mort. Il y est enterré avec sa famille, son frère, sa sœur, ses neveux et nièces. Des tombeaux de marins indiens et de missionnaires s’établissent autour de celui de Jean Laborde. Gaëtan Baranger, le fondateur de l’Association Amis de Jean Laborde, est également enterré dans l’enceinte. Et comme toujours, fidèle à sa vision du monde, Jean Laborde a fait ériger une représentation de phallus sur le sommet de son tombeau.

 


Nomen’i Jean Laborde anarana hoe « le bonheur éternel » na « Soamandrakizay » ny fasana ilevenany. Izy ihany no nnorina ity fasana ity, telopolo taona talohan’ny nahafatesany. Milevina ao ihany koa ny rahalahiny sy ny anabaviny ary ny vady aman-janak’ireo. Misy fasana tantsambo indiana sy misionera ihany koa miodidina ny fasan’i Jean Laborde. Eo ihany koa ny fasana misy an’i Gaëtan Baranger, nanorina ny fikambanana « les amis de Jean Laborde. » Araka ny fombany, nanorina « phallus » eo amboniny fasany i Jean Laborde.

Tsy misy atokona ao an-trano rehefa tsy miasa I Jhonny noho ny faharatsian’ny andro mandritra ny vanim-potoanan’ny rivodoza. Ketraka izy mivady. Misy sakatsakana foana ny fanarenana ny toekarena ka manahy I Kalozara. Manome tsiny ny ben’ny tanàna izy telo. 



Le foyer de Jhonny et Alima va mal depuis que le premier ne peut plus travailler, à cause du cyclone. Le couple est à bout de force. Kalozara s’inquiète face aux plusieurs obstacles qui les empêchent de retrouver leur stabilité économique. Les trois rejettent la faute sur le Maire.

mercredi, 20 janvier 2021 17:08

Journal du 20 janvier 2021

- COVID-19 : vers le renforcement des mesures sanitaires en région Analamanga
- Football : lancement de la détection des minimes pour la relève des Barea de Madagascar
- Môta Soa revisite Rabearivelo en musique
- Le livre « Vakivakim-piainana », ravivé par les étudiants de l’ENS en version anglaise
- « Infirmières à domicile » : vers des services d’assistance médicale chez soi



- Nametraka fandaminana manokana ireo tobim-pahasalamana na CSBII eto Antananarivo izay handray ireo olona ahiana ho tratry ny coronavirus.
- Mihamafy ny fanaraha-maso ireo fepetra hiarovana amin’ny COVID-19 ao amin’ny faritra Sofia
- Misy fiantraikany amin’ny hoditra ny fiovan’ny toetrandro
- Miova paika ny mpivarotra zava-pisotro mangatsiaka manoloana ny fiovan’ny toertr’andro
- Mamono vehivavy maro ny homamiadan’ny vozon’ny tranon-jaza eto Madagasikara

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