COVID-19 : Tous ensemble face au virus

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Karine Manoa Linda

Karine Manoa Linda

Selon les scientifiques, les tests PCR sont efficaces pour détecter les variants. Néanmoins, ils ne peuvent pas déterminer de quel variant il s'agit. Il doit donc y avoir d'autres analyses complémentaires pour connaître plus précisément de quel variant il est question. On appelle cela du séquençage d'ADN, c'est-à-dire des analyses qui vont détailler et déterminer la composition d'un génome (ADN). Sachez cependant que cette méthode ne peut pas être faite systématiquement car c'est une pratique lourde, longue et très chère. Aussi, rares sont les laboratoires équipés dans le monde pour faire des séquençages.

 


Ny fitiliana PCR ve afaka mizaha ireo karazana COVID-19 ?

Afaka mizaha tsara ireo karazana COVID-19 ireo ny fitiliana PCR araka ny voalazan’ny siantifika. Fa tsy afaka milaza hoe karazany inona ilay izy. Tsy maintsy misy fitilina hafa hatao noho izany hahafantarana tsara azy. Antsoina hoe « fanasokajiana ny ADN », izany hoe manome pitsopitsony momba ilay génôme izany. Fantaro fa tsy afaka atao matetika ity fomba fikarohany ity satria sarotra ihany ny manao azy sady ela no lafo. Noho izany, vitsy ireo tranom-pikarohana manana fitaovana hanaovana ity fanasokajiana ity maneran-tany.


Aux yeux de tous, les enseignants sont considérés comme des modèles au sein de la société, surtout vis-à-vis de leurs étudiants. Ils doivent donc suivre certaines normes sociétales qui leur sont imposées, comme le port d’« une tenue correcte ». En effet, la plupart des établissements exigent de leurs enseignants des tenues présentables. Un enseignant avec un tatouage, des dreadlocks, une tenue décontractée, serait mal vu par la société. Est-ce que l’habit fait vraiment le moine ? Les compétences d’un enseignant seraientt-elles jugées par son style et ses choix vestimentaires ? Telles sont les questions qui se posent. Tout est question de contexte selon Aina Ramaroson, enseignant en communication. Ce dernier opte pour le port de tenue correcte dans son travail : « nous sommes des modèles pour ces étudiants, donc on se doit d’être corrects sur tous les plans». Pour Ny Aina Anjarasoa Rajaonera, enseignante en gestion des ressources humaines, innovation, développement personnel à l’INSCAE «  … suivre cette norme, c’est comme dire aux étudiants qu’un enseignant est une personne qui est toujours en costume, chemise…et que si on ne se conforme pas à cette norme, on ne mérite pas le respect … ». Leurs avis dans Ndao Hilaoeky.

 


Manana anjara lehibe amin’ny fanabeazana ny mpampianatra. Modely sy fitaratra eo anivon’ny fiarahamonina izy ireny, indrindra ho an’ny mpianatra. Misy noho izany ny fenitra napetraky ny fiarahamonina hamaritra izay maha-mpampianatra izay. Anisan’izany ny fanaovana « tenue correcte ». Olona tahaka ny rehetra anefa ny mpanabe, manana ny fomba fiankanjony, ny zavatra tiany, ny safidiny. Tsy tena afaka maneho loatra izay anefa izy ireo noho izay fenitra napetraka hamaritana azy ireo izay. Ny fiendrika sy ny fianjaika ve izany no mamaritra ny maha izy anao sy ny fahaizanao ? Any no mipetraka ny fanontaniana. Ho an’ny Ramaroson Aina, mampiofana serasera eny anivon’ny anjery manontolo, dia «  modely amin’ny lafiny rehetra ny mampianatra na amin’ny fitafy, na amin’ny fiteny na amin’ny fomba, ka tsy tokony ampitovy tena amin’ny mpianatra amin’ny fomba fitafy mihitsy…. ». Ho an’i Rajaonera Ny Aina Anjarasoa, mpampianatra ny  gestion des ressources humaines, innovation, développement personnel ao amin’ny INSCAE kosa dia milaza fa : « ny fanarahana fotsiny ihany izay fenitra napetraka izay dia anisan’ny mitaona ny ankizy hihevitra fa ny olona manao an’izay tenue correcte izay ihany no atao hoe mendrika … ». Samy manana ny heviny izy mianadahy ireto. Henointsika ato anatin’ny Ndao Hilaoeky

 

mardi, 19 janvier 2021 12:41

Revue de presse du 19 janvier 2021

- Antsirabe : la police se mobilise pour le contrôle du port de masques
- Toamasina : le député de Toamasina I martèle la nécessité de la campagne de vaccination contre la COVID-19
- Vohipeno : la commune réhabilite l’escalier menant vers Vatomasina
- Côte-Est : la tempête tropicale Eloise approche les régions Est et Nord Est


- Antsirabe : miverina misava ny fitondrana arovava orona ireo mpitandro ny filaminana
- Toamasina : nanao fanambarana ny depioten'i Toamasina I fa tokony hampidirina ny vaksiny fanefitra ny COVID-19
- Vohipeno : amboarin’ny kaominina Vohipeno ny tohatohabato miakatra ny tampotananan’i Vatomasina
- Antsinana : mizotra manakaiky ny faritra atsinana sy ny avaratra atsinana ilay rivodoza Eloise

mardi, 19 janvier 2021 12:41

Journal des régions du 19 janvier 2021

- Antsirabe : la police se mobilise pour le contrôle du port de masques
- Toamasina : le député de Toamasina I martèle la nécessité de la campagne de vaccination contre la COVID-19
- Vohipeno : la commune réhabilite l’escalier menant vers Vatomasina
- Côte-Est : la tempête tropicale Eloise approche les régions Est et Nord Est


- Antsirabe : miverina misava ny fitondrana arovava orona ireo mpitandro ny filaminana
- Toamasina : nanao fanambarana ny depioten'i Toamasina I fa tokony hampidirina ny vaksiny fanefitra ny COVID-19
- Vohipeno : amboarin’ny kaominina Vohipeno ny tohatohabato miakatra ny tampotananan’i Vatomasina
- Atsinanana : mizotra manakaiky ny faritra atsinana sy ny avaratra atsinana ilay rivodoza Eloise

mardi, 19 janvier 2021 12:19

Le football professionnel à Madagascar

Jouer comme Lionel Messi, Cristiano Ronaldo, Kylian Mbappé ou encore Neymar est un rêve pour les jeunes fans de football. Certains jeunes footballeurs malgaches s’imaginent une carrière footballistique, surtout depuis l’exploit des Barea à la CAN 2019, cette équipe composée à plus de 80 % de joueurs professionnels expatriés.

Le sport comme option de survie

Rado Rasoanaivo est un ancien footballeur malgache professionnel. Il a évolué à Maurice puis à La Réunion.Il témoigne qu’être footballeur pro est un travail comme tant d’autres. Selon lui, à Madagascar, le sport est considéré comme une option de survie. Lorsqu’on n’a pas réussi l’école, on opte pour le sport. « Le football n’est pas fait pour ceux qui n’ont pas de parcours scolaire parce que, dans ce sport, il y a des calculs à faire. Sur le terrain, on doit à la fois regarder les tactiques des adversaires, gérer les passes décisives et marquer des buts. Tout cela en quelques minutes.  Ainsi, savoir calculer est important », explique Rado Rasoanaivo.

Ce que dit la loi sur le sport

Le football professionnel n’existe pas encore à Madagascar. Pourtant ce que dit la loi 97-014- Art.16 sur le sport dans ce pays est que « l'Etat reconnaît et encourage le Sport Professionnel. Le statut et l'organisation du Sport Professionnel sont fixés par voie réglementaire ». L’inexistence du football professionnel pousse les jeunes à évoluer à l’étranger. Cependant, ce n’est pas toujours gagné.

Commencer à 25 ans et être retraité à 30 ans

Un des critères de sélections des clubs étrangers, c’est d’être jeune. Cedric Djavo, responsable au sein du club 67 city FC, explique que l’idéal, c’est d’envoyer des joueurs au moins à l’âge de 18 ans. Ce qui n’est pas le cas à Madagascar. « Imaginez à Madagascar, les jeunes ne commencent à jouer en première division que vers 21 ans et  atteignent généralement le bon niveau vers 25 ans. C’est déjà très tard. Les recruteurs doivent encore les former pendant des années. Pourtant, arrivés à la trentaine, ils doivent prendre leur retraite », souligne le responsable du club city FC.  José Rolland, secrétaire général de l’Ajesaia, le club sortant de Bolida et Njiva renchérit avec le fait que c’est peine perdue pour les clubs, s’ils recrutent des jeunes de 25 ans.  « Les clubs ne risqueront pas d’acheter des joueurs qui vont arrêter 5 ans après. Ce serait une perte d’argent pour eux. Il faut que les dirigeants de clubs malgaches comprennent que l’idéal pour être footballeur pro, c’est à 18 ans. S’il y a de bons joueurs à cet-âge-là, il faut les laisser partir».

Etre joueur professionnel à Madagascar n’est pas facile. Cela ne se limite pas au ballon. Des paramètres sont également à voir au niveau des dirigeants.

Andrianina Rasolomampionona

On a souvent parlé de « donner la parole aux jeunes ». Mais quand ils ont la parole, est-ce qu’ils savent se faire écouter ? Est-ce qu’ils ont assez de tact pour attirer l’attention ? Une formation sur la plaidoirie pour les jeunes leaders est en cours à partir de ce 19 jusqu'au 21 janvier à Antsiranana. Il s’agit du projet Advocacy for youth. Elison Anjaratiana, de l’association Tanora Garan’teen, membre de l’une des associations formatrices nous en dit plus dans cette émission.


Heno matetika ny hoe “omeo sehatra ny tanora”. Fa rehefa omena fitenenana tokoa ve izy ireo dia hainy ny manintona olona hihaino azy ? Hainy ve ny mandresy lahatra sy mampita hafatra ? Misy fiofanana mikasika ny ady sisika omena ny tanora mpitarika any Antsiranana manomboka ny 19 hatramin’ny 21 janoary izao. Advocacy for youth no anarana nomena izany tetikasa izany. I Elison Anjaratiana, avy amin’ny fikambanana Tanora Garan’teen, fikambanana iray anisan’ny nikarakara ny tetikasa no hanazava ny momba izany amintsika.

Ao an-trano i Saotra zanaky ny Ben’ny tanàna. Gaga i Bako reniny satria tokony namonjy fivoriana tany amin’ny kaominina ihany koa i Saotra. Manahy I Bako sao hadinon’I Saotra noho ny fiainam-pitiavany ny seha-pihariany antoky ny ho aviny.


Saotra, le fils du maire d’Andranofady est resté à la maison. Bako, sa mère, est étonnée de le voir à la maison alors qu’il devait assister à une réunion à la commune. Elle craint que son fils soit obnubilé par des amourettes et en oublie son avenir. 

Mivory ao amin’ny efitrano malalaky ny kaominina ny ben’ny tanàna sy ny mpiara-miasa aminy ary olom-pirenena vitsivitsy. Manao ny tatitra vokatry ny fakan-kevitra nataon’ny rafitra ifotony fikaonan-doha I Valitera. Samihafa avokoa ny hetahetan’ireo mponina. Laharam-pahamehana avokoa ireo voalaza ireo hoy I Beby. Izany no hamporisihina ny vahoaka hiditra ao amin’ny rafitra ifotony fakan-kevitra.


Le maire d’Andranofady, ses collaborateurs et quelques habitants se réunissent dans la grande salle de la commune. Valitera fait le rapport des concertations réalisées auprès des institutions locales. Les habitants ont tous des besoins différents. Beby considère que tous les besoins énumérés sont tous prioritaires. Voilà pourquoi les habitants doivent intégrer l’institution locale de concertation.

Ny tsy fanajan’ny mpampiasa ny teny nomeny, ny tsy fahafahana mivelatra sy mivoatra intsony ao anatin’ny asa, ny tsy fisian’ny fankasitrahana avy amin’ny lehibe, ny disadisa eo amin’ny mpiara-miasa, ireo amin’ny ankapobeny no manosika ny olona nanontanianay hiala amin’ny asany. Manamafy izany ny Tale jeneralin’ny CFRH, Ivotoerana fampiofanana momba ny harena olona, Rakotonarivo Olivia. Aminy dia tokony ho kolokoloina ny farisihan’ny olona hiasa ary samy manana andraikitra amin’izany na ny mpiasa na ny mpampiasa. Araho ato anatin’ny Ketrika sy Kandra ny antsipirihan’izay lohahevitra izay.


Le patron qui ne respecte pas ses engagements ou qui manque de gratitude, la routine, un climat social tendu. Telles sont, en général, les raisons qui pourraient pousser les employés qu’on a questionnés à démissionner. Elles sont confirmées par la Directrice générale du Centre de Formation en Ressources Humaines, Olivia Rakotonarivo. Pour cette dernière, il faut entretenir les motivations au travail. Employés et employeurs ont le devoir de le faire. Suivez l’émission KSK pour en savoir davantage sur ce sujet.

L’objet tombé du ciel dans le village d’Antongompahitra, Commune Rurale de Bemanevika à Sambava, le 17 janvier, était un ballon stratosphérique. Ce ballon stratosphérique, qui est un instrument du projet Loon de Google aux Eats-Unis, sert à partager l’accès à Internet dans les zones les plus reculées de la planète. A un moment donné, les techniciens ont décidé de le faire atterrir pour cause de détérioration de l’objet. Etant doté d’un GPS, les techniciens savaient à l’avance où il allait atterrir et ont donc dépêché une équipe pour le récupérer. Si l’objet était tombé sur une infrastructure ou une personne, le principal responsable reste le propriétaire du projet, selon Andoniaina rajaonarivelo, point de contact de Space Generation Advisory Council à Madagascar. Il lui appartient de réparer ou de payer pour les dégâts.


Antsoina hoe « ballon stratosphérique » ilay zavatra nianjera tao amin’ny tanànan’ Antongompahitra, ambanivohitr’i Bemanevika any Sambava, ny 17 janoary lasa teo. Mizara aterineto amin’ireo toerana lavitr’andriana io zavatra io ary ao anatin’ny tetikasa « Loon » karakarain’i Google, any Etazonia. Misy fotoana izy io apetrak’ireo teknisianina ety ambonin’ny tany raha hitany fa misy tsy fahatomobanana. Nasiana « GPS » izy mba hafantarana hoe aiza ho aiza izy no hipetraka. Efa mandefa ekipa mialoha moa ny tomponandraikitry ny tetikasa mba haka ilay zavatra. Raha sanatria ka mianjera eo ambonina fotodrafitrasa na olona moa izy ity, dia ny tetikasa no tompon’antoka amin’ny fahasimbana rehetra araka ny nambaran’i Andoniaina Rajaonarivelo, mampifandray an’i Space Generation Advisory Council eto Madagasikara.

 

lundi, 18 janvier 2021 18:00

Journal du 18 janvier 2021

- Samy manana ny fihetsiny sy ny fiheverany ny olona manoloana ny fiakaran’ny isan’ireo voan’ny coronavirus

- Raisina an-tanana eny amin’ny village Voara Andohatapenaka ireo misy soritr’aretina coronavirus

- Ny fomba nifehezan’ny faritra DIANA ny fiparitahan’ny valan’aretina coronavirus

- Foulpointe: miomana amin’ny mety ho fandalovan’ny rivodoza any an-toerana ny mponina ao amin’ny fokontany Vohitamboro

- Association IZA : “Lasa mahazatra ny mandray zava-mahadomelina ampahibemaso ankehitriny ka tsy taitra intsony ny fiaraha-monina”




- Masques et gels hydroalcooliques accusent une hausse de ventes


- CHU Tanambao Antsiranana : vers des soins plus humains


- Un ballon stratosphérique a atterri à Sambava


- La culture générale pour une vie sociale plus riche


- Le harcèlement sexuel dans le bus : une réalité quotidienne à Madagascar


Avoir le profil idéal, avoir un curriculum vitae bien étoffé ou justifier de plusieurs années d’expériences ne suffisent forcément pas pour décrocher un emploi. L’entretien est tout aussi décisif, tant le contenu de l’entretien que l’impression que l’on donne à l’employeur sont importants.

Certes, le CV et l’expérience professionnelle peuvent permettre aux employeurs de juger le profil d’un candidat. Toutefois, ces critères ne sont pas forcément suffisants pour trancher, d’où la nécessité de l’entretien d’embauche. C’est le moment opportun pour un candidat de se démarquer des autres. La première impression que l’on donne aux recruteurs durant cette étape est plus qu’importante pour décrocher le poste. Voici cinq astuces pour faire bonne impression lors de l’entretien d’embauche.

  • La ponctualité

Il s’agit nettement du premier critère que le recruteur notera lors d’un entretien d’embauche. C’est à la fois un signe de respect, de professionnalisme et d’une bonne organisation. Souvent, on accuse le déplacement et les embouteillages, mais lors de l’entretien, il est conseillé et même recommandé de tout faire pour arriver à l’heure. En cas de déconvenue, pensez à prévenir l’interlocuteur à l’avance en précisant les raisons et l’heure à laquelle vous pourrez arriver.

 

  • La tenue

Nombreux sont ceux qui confondent tenue débraillée et avoir un look ‘’casual’’ou jeune, au risque de passer pour discourtois devant les recruteurs. Certes, « l’habit ne fait pas le moine », mais pour montrer du respect au recruteur, c’est mieux de bien choisir la tenue et soigner autant que possible l’apparence. Quelle que soit votre situation, évitez de négliger ces détails, surtout quand vous avez rendez-vous pour un entretien auprès d’une entreprise avec laquelle vous pensez signer une collaboration à long terme.

 

  • Calme et réactivité

Pour beaucoup, surtout pour ceux qui passent leur premier entretien, c’est normal de paniquer lors de l’entrevue. Mais plus le candidat arrive à gérer son calme et à rester détendu et surtout à être réactif aux questions, plus il aura un bon point auprès du recruteur. La clé est de bien se préparer, en d’autres termes en se renseignant sur l’entreprise et sur le poste à pourvoir.  

 

  • Sourire et ouverture

Nous avons tous entendu ce conseil sur « la poignée de main », mais y avez-vous accordé de l’importance ou non ? Une bonne poignée de main, un sourire franc et un regard droit, voilà les trois éléments qui frapperont en premier le recruteur quand il reçoit un candidat. Pour la plupart des recruteurs, ces critères permettent de juger la personnalité de la personne qui passe l’entretien. Les recruteurs plus expérimentés se baseront même sur cette première impression pour la suite de l’entretien.

 

  • Le langage non verbal

Le langage verbal ou langage corporel représente presque la moitié de la communication. Pour renvoyer l’image d’une personne professionnelle, d’une personne de confiance et impliquée dans la conversation, l’idéal est de garder une posture droite et le cou allongé. Une posture trop détendue laisserait transparaître un signe de nonchalance. De même croiser et décroiser les jambes à maintes reprises peut laisser croire que la discussion est ennuyante.  

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