Un vendredi comme les autres, la parole appartient aux jeunes. Cécilia étudiante en sociologie et Léo, étudiant en communication nous font part de leurs avis sur les actualités qui ont marqué la semaine. Les thèmes du jour : la hausse des nouveaux cas de la COVID-19, l’affaire des 73,5kg d’or, la gestion financière pour le mois de janvier. Selon Cécilia et Léo, tout est question d’état d’esprit et de responsabilité. A leurs yeux, si chacun était responsable de ses actions, pouvait avoir conscience des potentielles conséquences de ses actes, et faisait son travail, le monde se porterait mieux. Le savoir organiser ainsi que le savoir anticiper sont aussi primordiaux, toujours selon ces jeunes afin de pour préparer l’avenir. Leurs avis dans #ndaohilaoeky.
Fotoana anomezana sehatra bebe kokoa ny tanora ny zoma tahaka izao. I Cecilia, mpianatra haimpiarahamonina sy Léo, mpianatra serasera indray no vahiny ato anatin’ny Ndao hilaoeky. Horesahana anio fiakaran’ny tahan’ny olona voan’ny corona virus, ny mahakasika ilay volamena 73,5kg ary ny resaka fitantanambola rehefa volana janoary tahaka izao, lohahevitra nisongadina tao anatin’ny fampahalalambaovao tamin’ity herinandro ity. Anisan’ny notsindrin’i Cécilia sy Léo tao anatin’ny fanehoankeviny ny tokony anatanterahan’ny tsirairay ny asany antsakany sy andavany, ny mahazava-dehibe ny fandraisana andraikitra. Noresahan’izy ireo ihany koa ny mahazava-dehibe ny fahaiza-mitantana sy fahaiza-mandamina ho fitsinjovana ny vody andro merika.Henointsika ato anatin’ny ndao hilaoeky ny andinindininy.
Il est difficile de répondre à cette question avec précision. Au printemps 2020, les scientifiques avaient défini sept groupes de variants COVID-19, selon des répartitions géographiques (continentales). Mais les mutations, soit les variations du virus continuent d'apparaître. Selon les scientifiques, le coronavirus n'est pas le virus qui mute le plus au monde. Le virus de la grippe ou celui du VIH Sida mutent beaucoup plus vite et souvent. Aujourd'hui, les variants les plus médiatisés sont aux nombres de 3 : le variant sud-africain, le variant anglais et le variant brésilien. Le premier des trois serait le plus contagieux au monde. Le virus mute donc de manière différente dans chaque pays. C'est pourquoi il est important pour les scientifiques de définir chaque variant du coronavirus avec une méthode appelé le séquençage.
Fantatra ve hoe firy ireo karazana coronavirus?
Sarotra ny mamaly io fanontaniana io. Namaritra karazana COVID-19 miisa 7 arakaraka ny kaontinaonta ireo mpikaroka, nandritra ny lohataona tamin’ny taona 2020. Mbola mitohy foana anefa ny fiovan-toetran’ilay tsimokaretina ary misy karazany vaovao mipoitra hatrany. Miova toetra matetika sy haingana kokoa ohatra ny VIH Sida sy ny gripa. Misy karazany 3 amin’izao ireo karazana coronavirus tena voaresaka anaty haino aman-jery: ilay any Afrika Atsimo, ilay any Angletera ary ilay any Bresil. Ilay voalohany io no tena mifindra haingana indrindra manerantany. Samy hafa tokoa ny fiovan-toetran’ilay tsimokaretina isaky ny firenena. Izay no mahatonga ireo mpikaroka mamaritra ireo fiovana ireo amin’ny alalan’ilay fomba fiasa hoe ”séquençages” na fanasokajiana.
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Refuser de s’ouvrir à de nouveaux arguments ou de nouvelles idées, croire fermement avoir raison ou encore vouloir tout contrôler…des comportements d’obstinés, qui empêchent d’avancer. Alors pourquoi ne pas lâcher prise pour s’ouvrir à d’autres possibilités ? Voici six façons pour ce faire.
1- Prendre du recul
Lorsque vos pensées vous envahissent, prenez un moment dehors pour prendre de grandes respirations. Ainsi, vous reprendrez le contrôle et chasserez les pensées négatives.
2- Faire face à vos inquiétudes
Listez toutes vos appréhensions sur un papier et relisez-vous plus tard. Et posez-vous ces questions : ces appréhensions sont-elles fondées ? Comment puis-je y remédier ? Sont-elles réelles ou issues de mes peurs ? En répondant à ces questions, vous arriverez à faire le point sur ce qui vous empêche de s’épanouir car vous identifierez en même temps les obstacles et les solutions.
3- Accepter ses torts
On s’acharne souvent à rejeter la faute sur les autres lorsque rien ne se passe comme on l’a espéré. Toutefois, souvenez-vous que vous êtes le premier responsable de vos actes. Ne jamais faire porter le chapeau à quelqu’un d’autre. Assumez en toute bonne foi votre erreur. Souvenez-vous, l’une des clés du succès est la capacité à reconnaître ses erreurs. Admettre une faute ne décrédibilise pas. Il s’agit d’un signe de sagesse.
4- Revoir ses priorités
Dressez un tableau en quatre cases pour ce que vous projetez d’entreprendre : ce qui est important et urgent, ce qui est important et pas urgent, ce qui n'est pas important et urgent et ce qui n’est ni important, ni urgent. Cela permet de ne pas tout entamer en même temps.
5- S’ouvrir aux autres
Rester ouvert à toute suggestion mène à éveiller de nouvelles idées. C’est pourquoi il est important de se mettre en tête que chaque conseil qu’on vous donne est précieux. Les écouter est une façon de montrer aux autres que vous les respectez, et que vous mettez de la valeur dans leur parole, leur pensée. Vous respectez en même temps leurs convictions comme vous respectez les vôtres. Vous êtes en paix avec vous-même et également avec votre entourage.
6- Être reconnaissant
L’obstination peut mener à l’ingratitude. Pour y remédier, tous les soirs, notez dans un carnet toutes les choses positives qui vous sont arrivées dans la journée. Vous vous rendrez compte que même au terme d'une mauvaise journée, vous aurez accompli de bonnes choses. Après, listez ce qui a rendu votre journée rude et demandez-vous pourquoi ? Cette technique mène à la prise de conscience permettant de travailler sur les aspects de votre vie qui vous empêchent d'avancer car elle réveille les manques et les blessures.
Si ces techniques ne marchent pas, vous pouvez vous confier à un psychologue ou un coach de vie pour vous aider à lâcher prise.
Mbola teo ampanasana lamba niaraka tamin’ny reniny teo antokontany i Kalozara no nandalo i Saotra niaraka tamin’ny fiarany nitady ny hiresaka taminy. Nentin’i Saotra teny amoron-dranomasina i Kalozara ary namborahany ny fitiavany. Tsy namaly nivantana i Kalozara, nefa maneho amin’ny fihetsika ihany fa manam-pitiavana an’i Saotra.
Kalozara était encore en train de faire la lessive avec sa mère lorsque Saotra est passé la chercher avec sa voiture. Ce dernier emmène Kalozara au bord de la mer et lui a déclaré sa flamme. Malgré ses attentes, elle ne lui répondit point mais ses gestes ont pourtant montré qu’elle a également des sentiments pour Saotra.
A l’annonce des modifications de ses conditions d’utilisation, WhatsApp a vu bon nombre de ses utilisateurs migrer vers d’autres plateformes. Pour tenter de juguler la fuite, le service a décidé de décaler l’effectivité des modifications. Les utilisateurs malgaches sont-ils concernés ?
« Partout ailleurs, cela a entraîné une perte de confiance des utilisateurs en la plateforme qui avait fait du cryptage des conversations et la protection des données son principal argument de vente, lance le consultant réseaux sociaux et co-fondateur de Akanga 2.0, Thierry Ratsizehena. Les personnes qui utilisaient WhatsApp sans être présentes sur Facebook seront les plus impactées car leurs données seront communiquées aux autres produits de la société Facebook comme Messenger ou Instagram ».
Les utilisateurs malgaches ne sont pas épargnés par les modifications, mais ils ne semblent pas être concernés par la situation. « Cette nouvelle ne m’a pas fait réagir outre mesure. Tant que les discussions sont chiffrées, cela ne me dérange pas », lance un utilisateur malgache de WhatsApp. En effet, WhatsApp a tenu à faire savoir que les conversations continueront à « être protégées de bout en bout ». Pour sa part, Thierry Ratsizehena estime que peu de Malgaches sont sensibilisés à la protection des données personnelles. « D’autant plus que le législateur malgache (ou l’autorité de régulation s’il existe) n’en a pas réellement fait une de ses priorités », déplore-t-il, soulignant au passage que peu d’utilisateurs malgaches savent que WhatsApp est désormais propriété de Facebook.
Il est difficile pour l’heure d’avoir des statistiques précises sur WhatsApp, la plateforme ne communiquant pas beaucoup sur le sujet. « Les derniers chiffres en ma possession datent de 2019 (https://mobilesquared.co.uk/whatsapp-users-by-country/). Ils font état d’un peu plus d’un million de comptes créés », indique Thierry Ratsizehena. Il estime que le principal avantage de WhatsApp est son accessibilité. Il est compris dans certaines offres téléphoniques qui ont permis de le démocratiser à Madagascar. « WhatsApp est simple d’utilisation et est adapté aux pays moins développés car consomme très peu de data », ajoute-t-il.
Des alternatives
Concernant les alternatives Signal ou Telegram, Thierry Ratsizehena avance que ce sont pour l’heure des plateformes de niche, utilisée par des personnes qui avaient besoin d’un niveau élevé de confidentialité de leurs conversations. Il fait savoir que Messenger reste encore la plateforme de messagerie la plus utilisée à Madagascar (étude Datareportal, We Are Social, Hootsuite de janvier 2020). Messenger est indissociable de Facebook qui demeure le réseau social le plus utilisé dans la grande île, avec presque 3 millions d'utilisateurs. « J’ai personnellement décidé d’utiliser davantage Signal, étant convaincu que la convergence et le monopole des données par Facebook est dangereux. Le temps nous dira si les habitudes des Malgaches auront changé avec cette récente modification de la politique de WhatsApp », conclut Thierry Ratsizehena.
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