Mialohan’ny hiadiana hevitra mikasika ilay volavolan-dalàna amin’ny fampitsaharana ny vohoka noho ny antony ara-pahasalamana eo anivon’ny antenimiera, tokony apetraka mialoha foana ny famaritana ny zaza ao an-kibo hoe efa voasokajy ho olombelona sa tsia. Toy izao ny fanazavan’ny mpahay lalàna iray, Ambinintsoa Andrianiaina, momba ny fanasokajian’ny lalàna ny zaza ao am-bohoka ho anisan’ny olombelona na tsia.
Avant de porter discussion sur l’interruption thérapeutique de grossesse à l’assemblée nationale, il convient de voir de près comment la loi considère le statut juridique d’un fœtus s’il en a un. L’assistante juridique, Ambinintsoa Andriniaina nous explique le statut d’un fœtus dans un cadre juridique.
Le discours actuel pousse les gens, notamment les jeunes, toutes classes sociales confondues, à s’engager dans l’entrepreneuriat. L’idéal vanté est le fait de créer son propre emploi. Un phénomène est observé ces derniers temps dans cette optique : le mimétisme.
Dans un quartier de la capitale, sur une portion de rue qui ne dépasse pas 200 m, deux pizzérias ont ouvert leurs portes en un peu plus d’un an, dont la dernière, il y a quelques semaines. Une enseigne était pourtant déjà présente dans le quartier, depuis quelques années. Quand une affaire semble fonctionner, cela attire les nouveaux venus. Et la libre concurrence est d’ailleurs garantie par la loi à Madagascar. Le nombre de personnes qui se sont lancé dans le commerce à distance au cours de ces deux dernières années en est un exemple flagrant.
Océan rouge
« Lorsqu’on entreprend, il est important de trouver le moyen d’être innovant afin de se démarquer de la concurrence », lance le coach en entrepreneuriat Harrison Ranivo. Confirmant cette tendance à la reproduction et au mimétisme, notre interlocuteur indique que le danger pour le secteur en question est de se retrouver dans une situation d’océan rouge. La locution océan rouge désigne un marché où l’intensité concurrentielle est particulièrement élevée et où la perspective de croissance est réduite car pour cela, une entreprise doit conquérir de nouvelles parts de marché. « Dans ce cas, c’est difficile de s’en sortir sous la pression des couts surtout lorsqu’un concurrent abaisse ses prix », explique Harrison Ranivo, qui ajoute que cela peut avoir des répercussions sur la qualité.
Le coach en entrepreneuriat de renchérir ainsi avec l’innovation. « On peut entrer dans une activité mais en apportant une innovation, on peut gagner de nouveaux clients et basculer ainsi dans un océan bleu », conclut-il. Mais cela suggère aussi beaucoup d’inconnus dans la mesure où le mimétisme se base sur une expérience connue.
Tolotra Andrianalizah
Il faut présenter le résultat négatif d’un test PCR, réalisé 72h avant l’embarquement. A l’arrivée, il faut disposer d’une attestation de réservation pour 2 nuitées, dans un des hôtels autorisés à héberger les voyageurs. Là, chaque passager devra repasser un test PCR, dont le coût sera à sa charge. En attendant les résultats, il est tenu de signer une lettre d’engagement de confinement. Si le test s’avère négatif, le passager doit quand même remplir une fiche de suivi de ses déplacements. En cas de résultat positif au test PCR à l’arrivée, un confinement obligatoire de 14 jours lui sera imposé, à ses propres frais.
Toutefois, les voyageurs en provenance des pays classés dans la catégorie « rouge » ne sont pas autorisés à entrer ici. Il s’agit des pays où le nombre de nouveaux cas dépasse les 300 cas sur 100.000 habitants par semaine.
Inona avy ireo fepetra takiana amin’ireo mpandeha avy any ivelany tonga eto Madasikara ?
Mila mampiseho valina fitiliana PCR natao 72 ora talohan’ny niaingana tany, manamarina fa tsy mitondra ny tsimokaretina ilay olona. Rehefa tonga eny Ivato indray, dia mampiseho taratasy manamarina fa nahavita famandrihana tany amina trano fandraisambahiny natokana handray ireo mapndeha. Asaina manao fitiliana PCR vaovao izy, ary mandrampiandry ny valin’izany dia manasonia “lettre d’engangement de confinement” ilay mpandeha, manaiky fa hanaja ny fotoana fihibohana. Raha miiba ny valin’ny fitiana dia afaka mody izy, sangy araha-maso ny toerana andehanany anatin’ny andro vitsivitsy. Raha miabo kosa ny valin’ny fitiliana dia manohy fihiboana mandritra ny 14 andro ilay mpandeha.
Une loi pour l’égalité femme-homme devrait bientôt passer en Conseil des ministres. Une première pour le pays.
« La sensibilisation ne suffit pas pour que la sensibilité au genre touche tous les secteurs. Il faut un cadre contraignant », lance la vice-présidente du Conseil national des femmes de Madagascar, l’activiste Holisoa Ravololomboahangy. Le cadre contraignant, le pays est en passe d’en avoir avec l’élaboration d’une loi pour l’égalité femme-homme. « La loi est déjà rédigée. Elle doit être présentée en conseil des ministres bientôt », indique une source auprès du ministère de la Population. C’est la première fois que Madagascar se doterait d’une telle loi ». Comportant une quarantaine d’articles, la loi entend institutionnaliser l’égalité femme-homme dans tous les secteurs, toujours d’après ses explications.
Politique nationale
Outre la loi, le département travaille également sur une politique nationale pour l’égalité femme-homme. Cette politique est appelée à remplacer la politique nationale pour la promotion de la femme. « Non seulement le langage a changé mais cette politique était obsolète. Nous avons commencé son actualisation en 2018 mais il y a eu la présidentielle puis la Covid-19. Nous avons repris les travaux en 2021. Il faut savoir que Madagascar n’a pas de document cadre légal qui parle d’égalité de genre », indique notre interlocuteur.
Pour Holisoa Ravololomboahangy, la volonté du ministère de la Population de s’engager sur cette voie est une avancée. « Actuellement, les victoires sur le front de l’égalité du genre s’apparentent au hasard. Avec des textes qui vont dans ce sens, on est obligé d’appliquer cette égalité. Ainsi, un décideur sera obligé d’intégrer les femmes. Cette décision ne devrait plus dépendre de sa simple appréciation », explique Holisoa Ravololomboahangy.
Tolotra Andrianalizah
Natokana ho an’ny ady amin’ny homamiadan’ny nono ny volana okotbra. Mifantoka manokana amin’ny fitiliana ny lohahevitra amin’ity taona 2021 ity. Eto Madagasikara, 60%‘ny ireo homamiadana no mahakasika ny nono. Ny 10%‘ny vehivavy malagasy ihany anefa no tonga manao fitiliana. Zava-dehibe anefa ny fitiliana satria io no hahafahana mitsabo azy mialoha, hoy tomponandraikitry ny serasera ao amin’ny toeram-pitsaboana Arovy, Raharimalala Rojo. Misy karazany roa koa ny fitiliana hoy ny dokotera Ramilison Nathalie, eo ny fitsapana ataon’ny tsirairay avy amin’ny vatany, manomboka eo amin’ny faha 25 taona fa oe ihany koa ny fitiliana atao eny amin’ny toerampitsaboana, manomboka eo amin’ny faha 50 taona. Manoro hevitra amin’ny fomba hisorohana ny homamiadan’ny nono ihany koa ny dokotera Waibel Fabien. Maro hoy izy ny antony mety mahatonga ny homamiadana ka miankina amin’izay ny fisorohana azy. Anisany hoy izy ny fitandremana amin’ny fisakafoanana, ny fanaovana fanatanjahantena ary indrindra ny fitandremana amin’ny fampiasana akora simika.
Le mois d’octobre est dédié à la lutte contre le cancer du sein. Le thème pour cette année 2021 se focalise sur le dépistage. A Madagascar, 60% des cas de cancers concernent le cancer de sein. Cependant, seulement 10 % des femmes malgaches viennent se faire dépister. Le test est très important car il permettra aux patientes de faire le traitement à temps, a déclaré le responsable en communication de la clinique Arovy, Rojo Raharimalala. Selon le docteur Nathalie Ramilison, il existe de deux types de tests, dont l’autopalpation, qui doit se faire à partir de 25 ans, et la mammographie, pouvant s’effectuer en milieu hospitalier, à partir de 50 ans. Le Docteur Waibel Fabien, donne également des conseils pour la prévention du cancer du sein. Il existe plusieurs facteurs de risques, selon lui, et la prévention en dépend. Il s'agit notamment d'être prudent avec l'alimentation, de faire de l'exercice et surtout d'être prudent avec l'utilisation de produits chimiques.
Antananarivo a vécu ses premières pluies dans la nuit de dimanche à lundi. Les détritus qui jonchent le sol le matin rappellent que le pays n’a pas encore tourné la page des sacs en plastique.
Plus d’une trentaine de pays africains ont fait un pas vers l’interdiction de l’utilisation du plastique à usage unique. Madagascar en fait partie depuis 2015, en votant une loi qui prohibe l’utilisation des sacs en plastique de moins 0.05 mm. Six ans après, force est de constater que, sur le terrain, rien n’a vraiment changé l’image de la capitale qui croule sous les restes de sac en plastique, dans certains quartiers plus que dans d’autres. Faute d’avoir pu interdire totalement les sacs en plastiques, la volonté des législateurs étaient alors de favoriser la réutilisation des sacs et de réduire ainsi les déchets.
Aujourd’hui, plus personne ne parle des sacs en plastique qui s’imposent plus que jamais dans les habitudes de course. Epiciers, marchands de légumes, snack, … la majeure partie des commerçants continuent de proposer allègrement ce contenant. La vente à distance, qui a eu le vent en poupe durant le confinement, n’a pas aidé car une grande majorité des marchandises sont livrées dans des sacs en plastique. Plus pratique et encore très bon marché, ces sacs se présentent comme solution de facilité, aussi bien pour les acheteurs que pour les vendeurs. Rares sont encore les malgaches conscients du côté néfaste du plastique.
L’exemple rwandais
Quoi qu’il en soit, des entreprises écoresponsables se sont lancées dans le recyclage de ces déchets. Une entreprise en fait, par exemple, des matériaux de construction, seulement ces initiatives sont encore peu nombreuses à l’heure actuelle. Les alternatives au sac en plastique existent également,mais une fois de plus, elles ne sont pas assez nombreuses. Faut-il le rappeler qu’avant la démocratisation du sachet, les « mofo gasy » étaient soigneusement emballés dans du papier ou que, pour aller au marché, on emportait des paniers en osier ?
Des pays africains ont pourtant réussi le pari de bannir totalement les sacs en plastique. C’est le cas du Rwanda depuis 2008, qui est souvent cité comme exemple. Bien qu’encore inconcevable pour de nombreux malgaches, les Rwandais ont montré qu’il est possible de se passer du sac en plastique. Mais encore faut-il avoir le courage de renforcer la loi mais surtout de l’appliquer.
Tolotra Andrianalizah
Amin’izao fotoana izao, tsara kokoa raha atao soratra amin’ny alalan’ny solosaina ny « lettre de motivation » noho izy madio sy mora vakiana kokoa ho an’ireo tompon’andraikitry ny fandraisana mpiasa. Raha toa koa anefa efa misoratra anaty tolotrasa hoe atao soratanana dia tsy maintsy manaraka izay, hoy i Olivia Tiana Harilalaina, tompon’andraikitry ny fandraisana mpiasa anatina orinasa iray.
Singa iray azo hitarafana ny toetra ny olona iray ny sora-tanany. Ireo mpandinika soratr’olona na « graphologue » no matihanina amin’izany sehatra izany. Fanoitra ilain’ny orinasa ny fananana matihanina tahaka io mba tsy ho diso fanantenana ny amin’ny mpiasa izay mety ho raisiny. Resadresaka iarahana amin’i Adrien Rakotondrabenja, mpandinika soratr’olona.
Faut-il rédiger sa lettre de motivation à la main ou sur ordinateur ? Olivia Tiana Harilalaina, responsable de recrutement, conseille plutôt le tapuscrit. Pour les recruteurs, c’est plus lisible et plus propre. Même si l’annonce précise une lettre de motivation manuscrite, il faut alors respecter l’instruction et faire très attention aux fautes d’orthographe.
La graphologie permet de déterminer le caractère et la personnalité d’une personne à travers son écriture. Selon le graphologue Adrien Rakotondrabenja, les recruteurs à Madagascar devraient appliquer ce genre de test afin de trouver le profil parfait pour un poste.