COVID-19 : Tous ensemble face au virus

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Karine Manoa Linda

Karine Manoa Linda

Tous les vendredis, Studio Sifaka donne la parole aux jeunes. Aujourd’hui, Tsimijaly Irina, styliste et opératrice dans l’évènementiel, Yaka Rindra, consultant sportif au Direct.mg et Tojo Rabenjarimanana, professionnel dans le domaine de la communication, vont s’exprimer autour des sujets d’actualité de la semaine ci-après:

  • Les Barea de Madagascar
  • La fin d’état d’urgence sanitaire
  • L’artisanat Malgache

Isaky ny zoma, manome sehatra ho an’ireo tanora ny Studio Sifaka hanehoan’izy ireo hevitra momba ny vaovao nitranga tamin’ity herinandro ity. i Tsimijaly Irina : styliste sy mpisehatra eo amin’ny hetsika ara-kolotsaina, i Tojo Rabenjarimanana sy Yaka Rindra : mpisehatra eo amin’ny serasera sy mpamakafaka baolina kitra eo anivon’ny Direct.mg dia haneho hevitra mikasika ireto lohahevitra ireto :

  • Barean’ny Madagasikara
  • Fahataperan’ny hamehana ara-pahasalamana
  • Ny asa tanana Malagasy
jeudi, 21 octobre 2021 12:44

Journal des régions du 21 octobre 2021

 

    • Vakinankaratra : mandray andraikitra ho fanatsarana ny tontolo iainana, ny fiaraha-monina sy ny toeram-ponenana ny tanora
    • Sofia : handray ny hetsika Iraisam-pirenena hoan’ny faritra andiany fahatelo
    • Antsiranana : mitokona ny mpianatra sy ny mpampianatra ao amin’ny IST

  • Vakinankaratra : les jeunes s’activent pour l’environnement et la société
  • La Sofia accueillera la troisième édition de la journée internationale des régions
  • Antsiranana : grève des enseignants et des étudiants à l’IST
jeudi, 21 octobre 2021 12:38

Journal du 21 octobre 2021

  • Misy fiantraikany amin’ny toekaren’i Madagasikara ny fiovaovan’ny saran’ny entona fandrehitra
  • Mbola mitohy ny fanaovana vaksiny COVID-19 hatramin’ny desambra
  • Fananan-tany : mbola betsaka ny tsy mazava amin’ny olom-pirenena
  • Miroborobo ny asa sy ny tinady amin’ny fanamboarana fiara sy mécanique ao Bongolava

Oui, selon une étude récente réalisée par la revue scientifique américaine « Journal Clinical Investigation ». L’auteur principal de l’étude a montré qu’il est possible, en cas d’exposition à la COVID-19, de bénéficier d’une protection croisée contre d’autres formes de coronavirus, notamment le virus responsable du rhume.

Pour cette étude, les experts ont comparé le taux d’anticorps présent dans le plasma, avant et après la vaccination contre le SARS-COV-2 via Pfizer, Moderna et Janssen. Selon leurs observations, le taux d’anticorps contre la COVID-19 aurait augmenté de façon considérable. Mais surtout, le sujet aurait également développé des anticorps contre la SARS-COV-1, identifié en 2002 et contre un autre coronavirus, à l’origine du rhume.

Cette étude pourrait ouvrir la possibilité d’un vaccin universel pouvant neutraliser les principales familles de coronavirus. 


 


Mety afaka miaro amin’ny sery ve ny vaksiny COVID-19 ?

Eny, raha araka ny valina fikarohana navoakan’ilay gazety-boky amerikanina Journal Clinical Investigation. Voalaza ao fa rehefa voan’ny tsimokaretina COVID-19 ny olona iray dia mety manana fiarovana ihany koa amin’ireo endrika na coronavirus hafa aorian’izay, toy ny endrika coronavirus mahatonga ny sery.

Natao tamina olona vita vaksiny Pfizer, Moderna sy Janssen io fikarohana io. Hita fa niakatra ny hery fiarovana tao anatin’izy ireo iadiana amin’ny SARS-COV-2, fa tsy izay ihany fa hery fiarovana amin’ny SARS-COV-1 koa, izay hita tany amin’ny taona 2002, ary hery fiarovana miady amin’ny sery.

Mety azo eritreretina any aoriana any ny fisiana famoronana vaksiny iray afaka miady amin’ireo fianakavimben’ny coronavirus.


Si les feux de brousse sont pratiquement saisonniers dans le pays, la migration interne s’est ajoutée à l’échiquier depuis quelques années, soulignant la nécessité pour Madagascar de se doter d’une politique allant dans ce sens.

À quelques jours de la COP26, les feux de brousse sont là pour rappeler la nécessité d’agir pour l’environnement mais surtout des causes de sa destruction. Le directeur général de la gouvernance environnementale au sein du ministère de l’Environnement, Jean Noel Rakotoarisoa, a évoqué la migration interne parmi les explications des feux de brousse autour et dans le parc d’Ankarafantsika. Les autorités sont visiblement prises de court par les déplacements de population qui se sont accrus ces dernières années à cause des impacts du changement climatique dans le sud.

La migration interne n’est pourtant pas nouvelle. Si l’on a tendance à penser immédiatement à l’exode rural, une étude appuyée par le Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (CIRAD), datant de 2019, fait savoir que la migration à Madagascar est majoritairement du rural vers le rural. C’est d’ailleurs ce qui est en train de se passer actuellement avec le déplacement des populations du sud qui fuient la sècheresse. Un document disponible sur le site du Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme (OHCHR) précise qu’« à Madagascar, les populations se déplacent des zones du Sud vers des zones plus humide permettant l’accès à l’eau, aux forêts et à des terrains agricoles pour cultures sur brulis et riziculture irriguée ». Le document confirme que ces déplacements détruisent massivement l’environnement et présentent un risque de conflits sociaux.

Menace pour la paix

La situation met surtout en avant l’absence de politique de migration interne dans le pays, un vide souligné par le président du Comité Fihavanana Malagasy, Alphonse Maka, dans une interview récemment accordée au Studio Sifaka. Il évoque les difficultés qui peuvent découler des déplacements dans le maintien de la paix avec les tensions ethniques qui peuvent apparaître entre les migrants et les communautés hôtes. Le document de l’OHCHR est formel. Il est dit que l’Etat « est largement dépassé et ne dispose pas d’une capacité de prévention, d’organisation et de gestion des conséquences et des effets négatifs générés par les migrations. Il n’y a pas de politique de migration interne ».

Dans son « Cadre de politique migratoire pour l’Afrique et plan d’action 2030 », l’Union Africaine exhorte pourtant ses membres à renforcer la dimension locale des politiques et stratégies migratoires. Le cas des déplacés climatiques devrait accélérer les choses à Madagascar qui a vu la création d’un Observatoire de la migration interne en décembre.

Tolotra Andrianalizah

mercredi, 20 octobre 2021 12:42

Journal des régions du 20 octobre 2021

 

  • Foara Toam’Ketrika andiany faharoa : hamelomana indray ny toekarenan’ny faritra Atsinanana
  • Nanamafy ny fiaraha-miasany amin’ny faritra Normandie ny faritra Atsinanana
  • Vohémar : fomba iray hahafahana miady amin’ny doro ala ny fampandraisana andraikitra ny eny ifotony


  • Foire Toam’Ketrika - deuxième édition : pour relancer l’économie dans la région Atsinanana
  • La région Atsinanana renforce sa coopération avec la Normandie
  • Vohémar : vers la responsabilisation citoyenne pour lutter contre les feux de brousses
mercredi, 20 octobre 2021 12:37

Journal du 20 octobre 2021

  • Ny vola hiditra sy hivoaka amin’ny fanjakana no hita ao anatin’ny volavolan-dalàna mifehy ny teti-bolampanjakana
  • Oviala : ny fambolena azy any amin’ny tanim-boly no hisorohana ny fahalaniany tamingana
  • 95 isan-jaton’ny varika eto Madagasikara no ahiana ho lany tamingana
  • Tagnamaron’ny fandriampahalemana : miverina amin’ny titike ny mponina ao Ihosy

Rasamoelson Patrick est matelot à bord d’un bateau de croisière, faisant escale en Italie au moment de notre interview. Le métier de matelot, dit-il, consiste à effectuer des tâches d'entretien, de nettoyage, des manœuvres d'amarrage ainsi que le guidage du bateau. Les informations relatives au métier de matelot sont disponibles auprès de l’Agence portuaire maritime et fluviale (APMF) et la formation homologuée se déroule à l’École nationale d’enseignement maritime (ENEM) à Mahajanga, poursuit-il. Bien que ce soit un atout, il n’est pas obligatoire de savoir nager si l’on veut devenir marin, termine Patrick Rasamoelson.

Les « gens de mer » sont ceux qui vivent de la mer et des eaux douces, ceux dans les navires et ceux sur le littoral. Les marins sont aussi des « gens de mer » mais ils ne sont pas les seuls, selon le responsable du Bureau de Service Maritime / Shipping de Madagascar (BSSM), Gabriel Rasamoely. À lui d’ajouter que les métiers de la mer sont vitaux pour beaucoup de pays, surtout pour les îles. Il souligne que 98% de l’économie de Madagascar passent par la voie maritime, via le pétrole, les matériaux en tout genre, les produits de première nécessité, les produits d’exportation (vanille, girofle, cacao, nickel...). Cette année, la journée mondiale de la mer et la journée des gens de mer ont été parallèlement célébrées le 30 septembre.


Matilo miasa anatin’irony sambo vaventy irony i Rasamoelson Patrick. Miantsona ao Italia izy ireo ankehitriny. Ny atao hoe matilo, hoy izy, dia ireo misahana ny fahadiovana, ny resaka loko, ny fampiantsonana ny sambo ary ny resaka tady. Nanampy izy fa raha te hiditra ho tatsambo dia manantona ny Birao misahana ny ranomasina sy ny seranan-tsambo malagasy (APMF), avy eo manaraka fiofanana ao amin’ny sekolin’ny tatsambo ao Mahajanga. Tsy voatery mahay milomano vao afaka manao tatsambo hoy hatrany i Rasamoelson Patrick.

Ny atao hoe « olon-drano » dia ireo rehetra mivelona amin’ny ranomasina sy ny ranomamy.Tsy ireo tatsambo ihany no atao hoe « olon-drano » fa ireo mivelona eny amoron-tsiraka ihany koa. Manan-danja amin’ny firenena maro ny fananana moron-tsiraka, ary miankina tanteraka aminy ny toekaren’ny nosy toa an’i Madagasikara. Manodidina ny 98% izany taha izany eto amintsika satria an-dranomasina avokoa ny làlan’ny solika, ny sakafo, sy ny kojakoja rehetra ilaina miditra eto. Toy izany koa ny vokatra fanondrana toy ny lavanila, ny jirofo, ny harena ankibon’ny tany sy ny maro hafa, hoy ny tompon’andraikitra eo anivon’ny birao misahana ny fandefasan’entana an-dranomasina eto Madagasikara na (BSSM), Rasamoely Gabriel.

Les œuvres littéraires peuvent avoir un rôle éducatif et à la fois divertissant. Tout le monde a le devoir d’éduquer mais pas seulement les éducateurs ou les écrivains. Pour l’écrivain Mose Njo, si les œuvres littéraires ne font que divertir, il faut subtilement y glisser des soupçons de messages pour les jeunes et les enfants. Pour l’éducateur Raoeliarijao, les messages doivent correspondre aux valeurs de la culture malgache.


Afaka sady manabe no mampiala voly indray miaraka ireo asa soratra na ny literatiora. Ny rehetra dia tokony hanabe fa tsy hoe ny mpanabe na ny mpanoratra ihany. Ho an’ny mpanoratra Mose Njo, raha ohatra ka manana izay anjara asa mampiala voly izay ny asa soratra dia tokony hisoko miadana ny hafa-panabeazana raiketiny. Ho an’ny mpanabe Raoeliarijao kosa, tokony hifanaraka amin’ny soatoavina malagasy izay hafatra hampitain’ny asa soratra.

mercredi, 20 octobre 2021 10:44

Focus sur Andasibe

Reportage :

  • Le Green School installé prochainement à Andasibe par l’association Green School Madagascar aidera les enfants à prendre soin de la nature et de l’environnement où ils vivent. Il aidera également les parents VOI à se perfectionner en matière de technique agricole.
  • Les sifakas ou propithèques sont des lémuriens endémiques de Madagascar qu’on peut rencontrer dans le parc d’Andasibe.

Interview :

  • Solofomialitina Katuscia de Fakotory nous explique le principe de gestion des déchets à Andasibe.

Actualités :

  • Préparation de Madagascar pour la Cop26, en date du 12 octobre.
  • 15è Convention des Nations-Unies sur la diversité biologique (CBD COP15) du 11 au 15 octobre 2021.


Fanadihadiana :

  • Ny sekoly maitso izay hapetraky ny fikambanana Green School Madagasikara any Andasibe dia hampianatra ireo ankizy any hitia sy hiaro ny natiora sy ny tontolo iainana misy azy ireo. Hanampy ireo ray aman-dreny izay ao amin’ny vondr’olona ifotony hanamafy ny traikefa hananany mikasika ny fambolena sy fiompiana any an-toerana.
  • Ny sifaka dia anisan’ireo biby hita ao amin’ny valan-javaboary ao Andasibe. Tsy hita hafa tsy eto Madagasikara ity gidro ity.

Interview

  • Hiresaka amintsika momba ny fikirakirana ny fako any Andasibe i Solofomialitina Katuscia avy ao amin’ny Fakotory.

Vaovao

  • Nanomana ny fihatrehana ny fivoriambe faha 26 ireo firenena nankatoa fifanarahana lasitry ny firenena mikambana momba ny fiovan’ny toetr’andro i Madagasikara ny 12 oktobra teo.

 

La plupart du temps, les troubles hormonaux sont les principaux responsables de la perturbation du cycle menstruel. Liés à des problèmes psychologiques comme le stress ou la dépression, sur le long terme, les troubles hormonaux pourraient affecter la fertilité de la femme au point d’avoir des difficultés à enfanter, explique le Dr Rahaja Rafalimanana.

De plus, plusieurs maladies peuvent se cacher derrière l’absence partielle ou totale des règles. Il y a par exemple, la tuberculose génitale, l’imperforation hyménale, le cancer de l’ovaire ou du col de l’utérus. Lorsque ces maladies sont traitées à temps, la femme a plus de chance d’avoir des enfants, affirme le Dr Domoina Rakotonoely. 


Ny fikorontanan’ny risikaina foana matetika no antony voalohany mahatonga ny tsy fahatongavan’ny fadimbolan’ny vehivavy. Avy any amin’ny ati-doha no mahatonga io fikorontanan’ny risikaina io. Izany hoe raha toa ka misy rarin-tsaina, reraka na kizintina dia mikorontana ny fibaikona ao anatin’ny loha ka tsy mamokatra araka ny tokony ho izy ireo risikaina. Sarotra hoan’ireo vehivavy tratran’io fikorontanana io matetika ny mahazo zazakely. Na raha mahazo dia kely anaka, hoy ny Dr Rahaja Rafalimanana.

Maro ireo aretina mahatonga ny vehivavy tsy mandeha fadimbolana mihitsy hatramin’izay niainany na tsy nandeha fadimbolana tanatin’ny fotoana maharitra. Isan’izany ohatra ny raboka mahazo ny tranon-jaza, ny homamiadana ao amin’ny tranon-jaza na ao amin’ny atodin’aina, eo ihany koa ny tsy fahavakisan’ny maha virjiny ilay vehivavy. Mety hiverina hisy fadim-bolana ary afaka miteraka soa aman-tsara ireo vehivavy raha toa ka voatsabo tsara ireo aretina ireo, raha ny fanazavan’I Dr Domoina Rakotonoely.

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