COVID-19 : Tous ensemble face au virus

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Karine Manoa Linda

Karine Manoa Linda

Aujourd’hui, les maladies cardio-vasculaires atteignent de plus en plus de jeunes dans le monde. On compte 10 décès sur 100 aujourd’hui contre 7 décès sur 100 en 2004. Douleur au niveau du cœur, essoufflement, palpitation ou évanouissement en sont les signes précurseurs. Mais comment les éviter ? Selon le docteur Lalasoa Rasoviniaina, il faut équilibrer son alimentation, éviter les excès de sel, de sucre, soigner sa santé buccale afin de protéger les autres organes, pratiquer un sport ou faire de la marche, éviter les substances psychoactives, dormir suffisamment et surtout savoir gérer le stress.


Mitombo isa ireo tanora tratran’ny aretin’ny fo sy ny lalan-drà ankehitriny manerantany.  Olona 10 amin’ny 100 no matiny ankehitriny raha toa ka 7 amin’ny 100 izany tamin’ny taona 2004. Misy manindrona ny fo, sempotra, mitempo mafy loatra ary mety ahasafotra ihany koa, ireo no fambara voalohany amin’izany. Inona avy anefa ireo fomba fitaizana ny fo ? Manamafy ny dokotera Rasoviniaina Lalasoa fa tsy tokony atao be sira na siramamy ary atao maroloko ny sakafo hanina, tsaboina tsara ny ativava mba tsy hiterak’olana amin’ny taova any anaty toy ny fo, tokony manatanja-tena na mandeha tongotra matetika, tokony mifady ireo zava-mahadomelina, tsy tokony hiari-tory ary indrindra tokony hahay handamin-tsaina.

“Le confinement causé par la pandémie du coronavirus n’a pas épargné les personnes vivant avec le VIH/SIDA. Nous avons eu beaucoup de difficultés pour avoir nos doses de médicaments quotidiens vu le trajet vers les hôpitaux et faute de moyens de transport. Par conséquent, certains patients ont vu s’aggraver leur maladie tandis que d’autres ont succombé. Cette situation a renforcé notre solidarité”. Tel est le témoignage d’un jeune homme malgache qui souhaite préserver son anonymat.

Le rapport sexuel non-protégé n’est pas le seul mode de transmission du VIH/SIDA. Les bactéries, les virus et les parasites en sont les principaux agents responsables. C’est une maladie chronique et incurable jusqu’ici. Le traitement se fait quotidiennement et à vie, même sans la présence de signes cliniques. Toutefois, les personnes vivant avec le VIH-SIDA peuvent être vaccinées contre la COVID-19, selon le docteur Mahanina Rajaonarivony.


“Nisedra olana maro izahay mitondra ny VIH/SIDA nandritra ny fihibohana vokatry ny valan’aretina coronavirus. Maro no tsy afaka nanaraka fitsaboana noho ny fahalaviran’ny toeram-pitsaboana sy ny tsy fisian’ny fitanterana nandritra izany. Nisy nihombo ny aretiny, nisy koa ny namoy ny ainy. Nanamafy ny firaisankina teo aminay anefa izany”. Fijoroana vavolombelona nataon’ny tovolahy malagasy iray izay tsy hotononina anarana.

Tsy ny fanaovana firaisana ara-nofo tsy voaaro ihany no ahazoana ny otrik’aretina VIH/SIDA. Maro no mety ahazoana azy, toy ny bakteria, ny virosy ary ireo parazita samihafa tafiditra amin’ny vatana ka miotrika maharitra ao. Hatreto, mbola tsy ahitana fanefitra izy io.

Tsy maintsy mihinam-panafody isan’andro ary mandritra ny androm-piainany noho izany ireo olona mitondra io valan’aretina io na dia tsy misy fambara ety ivelany ary izany. Na izany ary, afaka manao ireo vaksiny miaro amin’ny coronavirus ny olona mitondra ny VIH/SIDA satria manamafy ny hery fiarovan’izy ireo izany hoy ny dokotera Rajaonarivony Mahanina.

 

samedi, 23 octobre 2021 11:45

Journal des régions du 23 octobre 2021

    • Antsiranana : nisokatra omaly ny fankalazana ny andro iraisam-pirenena hoan’ny magnangy ambanivolo, ny sakafo sy ny ady amin’ny fahantrana
    • Alaotra Mangoro : nisitraka fanamafisana fahaiza-manao mikasika ny resaka teti-bola, tsenam-baropanjakana ny tompon’andraikitra avy amin’ireo kaomina ao amin’ny distrikan’Amparafaravola
    • Faradofay : hametraka ny lamina hanarahana ny vidin’ny entana ny eo anivon’ny ministera
    • Toamasina : 16 taona aty aoriana, mbola mahasarika olona hatrany ny Angaredona

  • Antsiranana : ouverture de la journée de la femme rurale, de l’alimentation et de la lutte contre la pauvreté hier à Anivorano, Antsiranana II
  • Alaotra Mangoro : formation sur le budget et les marchés publics pour les responsables auprès des 22 communes du district d’Amparafaravola
  • Fort-Dauphin : le prix des PPN sera suivi de près selon le ministère de l'économie
  • Tamatave : 16 ans après sa naissance, le festival Angaredona attire encore la foule

Hallowen approchant, l’escape game fait partie des jeux à thèmes proposés par Madagascar underground, pour plonger les gamers dans le décor, au rendez-vous de la Spooktacular week, du 29 au 31 octobre prochains.

A deux ou à plusieurs, l’escape game est un jeu cérébral menant à une réalité virtuelle et permettant à ses joueurs de s’évader. En famille, entre amis ou pour une team building, l’escape game a le don de fédérer une équipe pour une atteinte efficiente d’objectifs fixés.

Si à la base, il est né au Japon vers les années 2000, basé sur un jeu vidéo d'aventure japonais appelé « Crimsom Room », ce divertissement ludique est de plus en plus prisé par les jeunes malgaches. En 2007, ce jeu a été transposé, par une société japonaise, dans le concept du monde réel, créant ainsi le premier livre « escape room ». De nos jours, de nombreuses variantes en découlent, l’objectif étant de conduire les participants à vivre une évasion virtuelle, le temps d’une heure, et en groupe.

Emotions

Une fois que le game master soit le mentor bienveillant aura expliqué les règles du jeu et qu’il se sera assuré que tous les participants ont bien compris, la partie peut commencer. Même si l’objectif principal est de relever des défis, en cas de difficultés, le game master intervient et guide l’équipe tout au long de la partie.

Chaque partie repose sur un thème qui renvoie au décor préalablement créé par les concepteurs, que ce soit dans une maison grandeur nature ou dans un jeu vidéo. En général, il s’agit d’un endroit clos. Cela peut être une maison avec plusieurs chambres, un château, une maison hantée, un site archéologique, un décor sous la mer… Pour beaucoup, c’est le décor qui transporte vers un autre monde virtuel, permettant l’évasion. Dans le cas où le décor est trop effrayant, il faut préciser que les parties sont sécurisées et qu’il est possible pour un joueur d’arrêter la partie à tout moment, lorsqu’il n’en a plus envie.

Les joueurs sont limités par le temps imparti, qui est généralement de 60 minutes, dès le départ. Cela n’exclut pas que certaines parties peuvent durer 75 ou 90 minutes, d’ailleurs dans certains pays où l’escape game se tient dans les bois, une partie peut s’étaler sur 20 heures.

Communication et collaboration

Les membres d’une même équipe ont pour objectif de commencer et de finir le jeu ensemble, leur objectif étant d’en sortir dans un délai de 60 minutes, en se servant de leur matière grise, de leur imagination et des indices. Pour ce faire, ils doivent collaborer pour trouver des pistes, à partir d’objets qu’ils ont à portée de main, afin d’en déduire une combinaison qui peut, par exemple, être une clé, pour mener à l’étape suivante.

La communication est de mise, pour éviter de tomber dans des pièges et de faire revenir l’équipe entière à zéro. C’est face aux énigmes, aux casse-têtes et à l’aventure, que la rigolade mais aussi parfois des accrochages car des idées disparates peuvent créer des désaccords entre participants. Cependant, toutes les compétences peuvent être exploitées, tous les âges peuvent y participer et avancer ensemble. D’ailleurs, pour les groupes d’enfants, les difficultés sont réduites.

Certaines entreprises recourent à l’escape game pour raffermir la cohésion entre collègues et collaborateurs. Dans un cadre plutôt familial, une partie permettrait de souder les liens et de renforcer la confiance mutuelle. Entre amis, la détente sera au rendez-vous. L’équipe malgache d’Enigmatsika, une maison de jeux où l’escape game est l’activité principale, ne vous dira pas le contraire.

Linda Karine 

Outre le stéréotype de « fanaka malemy » et parfois de maltraitance physique subie en ménage, de nombreuses femmes malgaches endurent également des formes de violences morale et économique, les empêchant de s’épanouir personnellement et professionnellement, selon le maître Narindra Andriamananony.

Même si, en fin 2019, suite à des débats houleux, Madagascar a adopté une loi réprimant les violences fondées sur le genre, à savoir « la violence physique, sexuelle, psychologique et économique exercée au sein de la famille », cette année, 40% des demandes de divorces ont la violence morale et économique pour motif, dans le cabinet de l’avocate, le Maître Narindra Andriamananony.

Selon elle, bien que Madagascar dispose de conventions internationales, notamment de la Convention relative aux droits de la femme et aussi de la Convention sur l’élimination des formes de discrimination à l’égard des femmes, outre la loi 2019-008, relative à la lutte contre les VBG, promulguée le 16 janvier 2020, diverses formes de violence morale, physique et surtout économique limitent les épouses malgaches. En général, elles ne connaissent pas leurs droits d’une part. D’autre part, même en connaissance de cause, elles tergiversent quant au fait d’en jouir.

Ni entreprendre ni travailler

Aina 29 ans, refuse de sortir de chez elle car son mari l’a battue pour « avoir osé consulter des offres d’emploi sur internet ». Tout le voisinage d’Ambatoroka a entendu ses cris et son mari lui proférer des menaces concernant le fait qu’elle se mette à chercher un emploi. Cependant, personne dans leur entourage n’a osé réagir, de peur d’intervenir dans les disputes récurrentes de ce couple. Ne pouvant ni entreprendre ni travailler, le sort de cette épouse semble s’arrêter à être mère au foyer, et à accepter les agressions physique et verbale de son époux, tant qu’elle ne reconnaîtra pas ses droits, ni ne les fera valoir.

Il ne s’agit pas d’un cas isolé. Dans d’autres ménages, comme dans celui de Zarasoa, « les coups et les insultes s’accompagnent de d’humiliation et d’intimidation, en lui martelant que si un recruteur voudrait bien de sa candidature, elle ne gagnerait qu’un salaire de misère ». C’est avec les larmes aux yeux que cette épouse qui, à 5 ans de mariage, n’a jamais osé porter plainte contre son mari, nous confie que « ce serait honteux de divorcer à seulement 30 ans ». Dans ses lamentations, elle se demande « qui voudrait me recruter à mon âge, puisque je n’ai pas d’expérience du tout ».

Des actes punis

Le maître Narindra Andriamananony de rappeler que selon l’article 9- loi 2019-008, relative à la lutte contre des VBG, le fait de ne pas laisser la femme travailler constitue une forme de violence morale. Dans son préambule, la Constitution de la république de Madagascar prône également « l’égalité de tous et le fait que chaque citoyen a le droit d’avoir un travail ».

Les frappes morales envers les femmes peuvent être ancrées et les empêcher d’aller de l’avant pour chercher un emploi, même si elles affirment ressentir les difficultés d’un seul salaire pour faire tourner le foyer, sans compter les formes agressives d’humiliation pour leur rappeler que leur mari est « le chef de famille ». Cette expression stipulée dans l’article 54 de la loi 2007-22, relative au mariage et aux régimes matrimoniaux s’avère, dans de nombreux cas, exploitée par certains hommes pour exercer leur supériorité afin de mieux contrôler leur épouse.

Cependant, l’article 12 de la loi relative à la lutte contre des VBG stipule que « Quiconque aura privé ou restreint son conjoint ou la personne engagée avec lui dans une union, de ses droits liés à l’accès aux ressources financières est puni d’une amende de cent mille Ariary à cinq cents mille Ariary (100.000 à 500.000 ariary) ».

Tant que les femmes garderont leur silence, leurs droits resteront bafoués. « Les quelques braves qui s’aventurent à passer devant le tribunal, dans le cadre d’un divorce, restent vulnérables même si elles sont sûres d’elles lors des procédures de divorce », conclut le maître Narindra Andriamananony. Les sensibilisations sur les VBG envers les femmes restent une manière de les conscientiser sur leurs droits afin qu’elles puissent s’épanouir, personnellement et professionnellement. Néanmoins, en parallèle, de nombreux hommes malgaches œuvrent pour aider leurs épouses dans leur ascension et leur épanouissement professionnels.

Linda Karine

vendredi, 22 octobre 2021 13:48

Journal du 22 octobre 2021

  • Fisokafan’ny sisin-tany : ho an’ireo nosy manodidina ihany hatreto
  • COP 26 : hitoroka ny tsy rariny ara-toetrandro na ny « injustice climatique » izay mianjady amin’i Madagasikara ireo solontena malagasy
  • Fahamarinana ara-tsosialy sy fampanjakana ny demokrasia eo amin’ny sehatry ny asa no tanjon’ny sendika
  • Tranombakoka : ny efitra fitahirizana vakoka no mampisy lanja azy

Le coordinateur régional du KMF/CNOE, Betsara Jean Kinnear, se réfère à l’article 75 de la Constitution malgache, pour définir la session parlementaire. En effet, celle-ci prévoit que l’Assemblée Nationale, composée des députés, se réunit en session ordinaire deux fois chaque année. La première débute le premier mardi du mois de mai et la seconde, le troisième mardi du mois d’octobre. Cette année, la seconde session ordinaire commence le 19 octobre 2021. Cette session est surtout consacrée à l’adoption de la loi de finances pour l’année 2022 mais, d’autres propositions et projets de lois peuvent être inscrits à l’ordre du jour. Eventuellement, sur demande du Premier ministre ou de la majorité absolue des députés, ces derniers peuvent se réunir en session extraordinaire. Après chaque session, les députés sont dans l’obligation de rendre compte des décisions qui y ont été prises aux Malgaches.


Ny lalam-panorenana malagasy no mamaritra hoe in-droa isan-taona ny fivoriana ara-potoana ataon’ny antenimiera roa tonta hoy ny mpandrindram-paritry ny KMF/CNOE Betsara Jean Kinnear. Natomboka ny 19 oktobra ny fivoriana aram-potoana faharoa tamin’ity taona ity. Ny volavolan-dalàna mikasika ny teti-bola ampiasana amin’ny taona 2022 no tena dinihina mandritra izany. Tsy misakana ny fifidianana ireo tolo-dalana sy volavolan-dalàna hafa anefa izany. Misy ihany koa ny fivoriana tsy ara-potoana arakarakan’ny fangatahan’ny praminisitra na ny antsasamanilan’ireo mpikambana ao amin’ny antenieram-pirenena no anaovana azy. Tokony hanao tatitra amin’ny olom-pirenena hatrany ny solombavambahoka sy ny loholona rehefa mahavita fivoriana.

vendredi, 22 octobre 2021 11:44

Journal des régions du 22 octobre 2021

 Toliara : manao ny ezaka rehetra hampandrosoana ny seha-pihariana jono any Toliara ny Ministeran’ny Jono sy ny Toekarena Manga

Menabe : miroso amin'ny fanamafisana ny rafi-pitsaràna momba ny fisorohana, fanenjehana ary fanasaziana ny herisetra mianjady amin’ny lahy na ny vavy ny FPFE sy ny association “Jeunes Elites du Menabe”

Port Berger : mampitaraina ny mponina ny resaka varo-maizina solika any an-toerana

Vohémar: hisarihana ny tanora amin’ny zava-kanto nentim-paharazana ny fifaninana “Aboaha Talenta”


Tuléar : le ministère de la pêche et de l’économie bleue multiplie ses efforts pour l’essor de la pêche

Menabe : descente sur terrain des responsables de l’ONG FPFE pour vulgariser la loi sur les VBG, grâce à son partenariat avec la JICA

Port Berger : la population se plaint des ventes illicites de carburant

Vohémar : le concours « Aboaho Talenta » pour attirer les jeunes aux patrimoines culturels

Madagascar ne dispose pas encore de lois régissant la vente en ligne. Ce vide expose toute transaction financière à divers dangers, tels que la fuite de capitaux. Le poids du secteur informel, grandissant, pèse aussi sur l’économie : « les acteurs du secteur informel (qui ne paient pas d’impôts) incitent ceux du secteur formel à désister et les poussent à la facilité. Pourtant, cela incite à l’évasion fiscale », selon l’économiste, Cédric Ratsironkavana.

Le président de la république a annoncé la franchise des taxes sur les ventes en ligne. Une déclaration susceptible de changement souligne Ratsironkavana Cédric. « Nous sommes motivés à payer nos impôts, le seul obstacle est l’absence d’un cadre légal autour de la vente en ligne » répond le gérant d’Innov en ligne, Tahiry Razafindrado.

Bien que cette absence de cadre juridique sur les ventes en ligne ne garantisse pas la sécurité des transactions, elle constitue une liberté d’exercer et encourage les jeunes à monter leur « business ». Des initiatives voient le jour : « Nous sommes en train de monter une coopérative de vendeurs en ligne. Cela nous aidera à mieux encadrer le domaine de la vente en ligne d’ici quelques années », conclut Tahiry Razafindrado.


Mbola tsy manana lalàna mifehy ny varotra amin’ny aterineto i Madagasikara. Mety ho betsaka ny vola very noho izany fahabangana izany. Manampy trotraka ihany koa ny sehatra tsy manara-drafitra : « Maka fanahy ireo mpivarotra mandoa hetra hiala amin’izany ireo mpivarotra tsy manara-dalàna. Mety hitarika faty antoka goavana amin’ny kitapom-bolam-panjakana anefa izany raha tsy voafehy », hoy ny mpahay toekarena Ratsironkavana Cédric.

 

Nanambara ny filoham-pirenena fa tsy mandoa hetra ireo tanora misehatra amin’ny varotra amin’ny aterineto. Nanampy i Ratsironkavana Cédric fa mety hivoatra izany ao aoriana ao. « Mazoto ny handoa hetra izahay. Ny sakana dia ny tsy fisian’ny lalàna mifehy ny varotra an’aterineto eto amintsika » hoy i mpitantana ny Innov en ligne, Razafindrado Tahiry, namaly.

Na izany aza ny zava-misy, tohana ho an’ny tanora mba hiroborobo amin’ny sehatry ny varotra an’aterineto ny fanekena ny tsy handoavan’izy ireo hetra.

 

La branche anti-corruption au sein de Sahanala Madagascar a été lancée le 14 octobre 2021. Sahanala Madagascar est une entreprise associative, fédérant 5 secteurs clés du développement, dont le secteur vanille, le secteur pêche, le secteur tourisme et restauration et le secteur industrie. Sa branche anti-corruption privilégie la prévention à travers la sensibilisation et l’éducation de ses membres. Mais aussi en créant des conditions de travail décentes pour réduire les risques de corruption. Des référents éthiques, agents spécialement consignés par Sahanala Madagascar, investissent le terrain, détectent les cas suspects et rédigent des rapports auprès des autorités concernées, selon l l’une des responsables du projet, Nantsoina Rakotozanany.


Nisokatra ny 14 oktobra 2021 ny sampana miady amin’ny kolikoly eo anivon’ny Sahanala Madagascar. Ny Sahanala Madagascar dia orinasa mandraharaha amina sehatra 5 lehibe toy ny lavanila, ny jono, ny fizahan-tany, ny fandraisam-bahiny, sy ny indostria, manenika faritra maro eto Madagasikara. Tsy voatery hiandry kolikoly mitranga vao hiady aminy, hoy Nantsoina Rakotozanany, tompondraikitra ao amin’ny orinasa. Azo atao tsara ny misoroka mialoha amin’ny alalan’ny fampahafantarana, ny fanofanana sy ny fanaraha-maso ireo mpikambana ao aminy. Eo koa ny fanomezana asa tsara sy asa mendrika mba tsy ho latsaka anaty kolikoly. Farany, ny fametrahana ireo tantsoroka ara-pitondrantena na « référents étique » izay mandray ny fitarainana raha misy ahiahy. Izy ireo no mitsirika eny ifotony manamarina ilay tranga ahiahiana ary mitatitra izany eny amin’ny manam-pahefana isan-tsokajiny.

Un des rôles de l’Ordre des Journalistes à Madagascar (OJM) consiste à protéger les journalistes dans l'exercice de leurs fonctions. Il lui appartient également de garantir aux journalistes l’exercice de leur liberté d’expression dans le respect des lois selon les explications du président exécutif de l’Observatoire des Médias et de la Communication à Madagascar – Ilontsera, Mamelasoa  Ramiarinarivo.


Anisan’ny andraikitry ny holafitry ny mpanao gazety eto Madagasikara na ny OJM ny fiarovana ny mpanao gazety amin'ny fanatanterahana ny asany. Anjarany ihany koa ny miaro ny fahalalahan’izy ireo hikaroka sy hampita vaovao anatin’ny fanajana ny lalàna, araka ny fanazavan'ny filoha mpanatanteraka ny Ilontsera, Ramiarinarivo Mamelasoa.

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